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Dans ce monde de douleur
chaque jour on perd
un frère, une soeur, une mère, un père
nos grands-parents, nos petits-enfants
des ami(es) et nos coeurs
se gonflent comme un torrent
que rien ne peut tarir.
Autant de mots donnés
en ces longues journées de deuil;
autant de sourires, de mains à pressées,
de bouches qui se collent sur nos joues.
Les gens nous entourent, ils restent présent
aussi longtemps qu'ils pensent que
cela est respectable, nécessaire,
puis, petit à petit on oubli
et c'est là, à ce moment qu'il faut faire
l'effort de téléphoner, d'écrire,
de dire que malgré les jours passés,
ils ne sont pas oubliés.
Dans les prières, dans les pensées,
que nos coeurs restent attachés auprès
de leur coeur, l'amour, l'amitié, se démontre
de bien de façons.
Chacun pleur, celui ou celle qui est parti (e).
Le long chemin de la vie se termine
mais l'homme garde dans son esprit une
grande place pour l'absent(e).
On laisse nos ami(es) pleurés ,
mais qu'ils sachent que nous ne sommes
pas si loin, on sait écouté le coeur en détresse
et témoigné notre tendresse.
Y-L
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Pivoine, ma rose première,
reine printanière-
de ton coeur doublement ombré
se dégage de petites notes sucrés.
demoiselle se gardant
de sa pureté
au soir en un point serré.
Au levé du jour, tu dévoiles
toute ta tendresse et ton charme,
bourdonnants ne s'y trompent pas
et
c'est avec hardiesse et émoi
qu'ils viennent et festoies,
puisant en toi
la chaleur et l'amour de ton coeur de velours.
Pivoine, ma rose première
tu restes ma rose
printanière.
Y-L
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Bonjour,
Que votre semaine soit agréable,
beau temps, soleil et le reste.
En ce qui concerne
les créas, elles ne sont
pas de moi, mais de
mon amie
mamititine .
Voila,je tenais à le préciser.
je suis incapable
de faire ce genre de
chose.
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