• Les petits enfants.
    Quelqu'un fronce les sourcils,
    Son nez rose est tout fripé:
    Ou est mon bébé qui rit?
    Ce "quelqu'un", je le connais,

    Car voila que sous les plis,
    Je vois mon bébé joli:
    juste un bisou sur le nez
    Et le voila retrouvé!
    Souris mon petit, car de ton rire
    joli, papa et maman, de rire sont ravie.
    Fronce, fronce ton petit nez,
    d'un chatouillis, je trouverai
    la douce mélodie de ton
    charmant gazoullie...
    Y-L

    Chanson pour dérider

     

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  • www.chapelier-fou.com
    Petit coup de pub pour ces jeunes qui débutent leur affaire.
    qui sont-ils? Ils expliquent:
    Nous sommes une jeune marque sans prétention qui a choisi de mettre de la bonne humeur dans votre thé!
    Amoureux du thé bio et gourmand
    ...à vos clics.
    bonne journée.( moi, j'ai celui -ci, thé noir Assam,Inde du Sud,morceaux de pommes, écorces d'orange, morceaux de cannelle, pétales de rose, arôme naturel, cardamone entière. * issu de l'agriculture biologique*.

    Un coup de pub, pour une p'tite société.

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  • A la recherche d'une légende, je trouve l'amour d'une meute.
    Etonnante que cette loi, nous vivons en meute et il n'y a qu'un chef et qu'une louve. Ils sont les procréateurs de la futur lignées.
    Le mâle dominant à du combattre avec acharnement pour avoir le droit de vivre avec la grande louve.


    Plusieurs loups solitaires ont essayés de la conquérir en tuant le mâle dominant, mais le vieux rusé a préférer partir, de voir venir six gros loups tous envieux de son sort...lui a fait comprendre qu'il était bien temps de laisser la place aux jeunes.


    Louve l'a regardé d'un air de dédains et  levant la patte, elle lui a uriné sur la queue.
    Signe flagrant de l'estime qu'elle lui portait.

    Vieux loup partit au petit trop sans se retourner, de toute façon cela faisait deux années qu'ils n'avaient plus de petits.


    Comme si louve le sentait venir ce jour ou le plus puissant des jeunes loups, serait sont compagnon de vie.
    à suivre.

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  • Mais pour l’instant, je suis encore dans la montagne, la fin d’août est là et les nuits commencent à fraîchirs. J’ai déjà vu plusieurs personnes se promenées de ce côté-ci; ils vont aller au vieux bâti, sorte de longue maison abandonner depuis ma naissance.


    Tous les ans, ils reviennent la remettre  en état pour l’hiver. Comme-ça quand les français veulent faire du sky comme ils disent; ils peuvent venir boire le bouillon et le vin chaud, dormir pour une nuit dans la masure. Ils appellent cela un chalet.


    Mfffffffff on rigole bien nous autres, là il me reste une quinzaine puis ce sera le moment de descendre doucement. On descendra par palier de deux suivant le temps.


    L’année dernière au 15 septembre il y avait 50 cm de neige, puis au bout de 4 jours 1,50 cm de neige. Heureusement le vieux François nous avait prévenu et on écoute le vieux François.


    Avec ses os qui craques, ses articulations qui le pince méchamment quand le temps devient mauvais. Tiens, je vais vous raconter l’histoire de Georges Flavio : un jeune de la ville qui en avait marre d’être tout le temps malade à la ville.


    Son médecin lui avait dit: Monsieur votre santé mérite ce qui se fait de mieux et pour vous c’est la montagne. Pour d’autres ce seraient la mer; mais, pour vos

    poumons, la montagne  c’est la montagne qu’il vous faut ». Et c’est ainsi qu’il bazarda sa grande maison, sa grosse voiture et qu’il vint vivre au pied de notre montagne.

     


    Oh! l’était ben bon, c’est pas ça! mais ce sont ses façons qui n’ont pas plus. A trop vouloir vous montrer que vous êtes de simples personnes, cela finit par fâcher. Et c’est ce qui arriva.

     


    Le père Simon voulait vendre ses bêtes pour partir chez son fils du côté de la mer. Alors, il proposa son troupeau au Flavio. Celui-ci ne dit ni oui, ni non, mais qu’il devait réfléchir.

    En attendant ceux qui étaient intéresser par une ou deux bêtes vinrent les achetés; et le troupeau diminua de presque moitié. Quand le Flavio tout venant

    de sa bonne fois vit que le troupeau était plus petit, il voulu savoir ce qu’il en était.

    Le père Simon lui cracha le morceau avec ses mots à lui: » té t’as pas voulu me les prendre, alors ceux qui veulent une ou deux voir trois bêtes, ils les paies,

    c’est comme ça ici, si tu veux le lot, tu payes tout de suite, ou bin demain y en manquera d’autres.



    Gars c’est la vie, à la montagne, ça traîne pas vieux. Outré, mais voulant le reste du troupeau, Flavio paya le prix un peu au dessus de ce qu’il aurait dû

    payer, mais là encore, si tu connais rien! Puis il voulut des terres.

    Alors le vieux Simon en blaguant lui dit qu’il y avait la trouée aux loups mais qu’il valait mieux évité cet endroit. Car c’était le passage d’un loup blanc qui

    apparaissait chaque fois que les hommes s’appropriaient ce qui ne leurs appartenaient pas.

    Cette histoire remonte à loin et plus grand monde n’y croyait forcément un gars

    de la ville y croyait encore moins.


    Flavio nous regarda l’oeil noir et sans plus réfléchir dit:
     » bien, je vois  ce que cela veut dire, alors, écoutez tous tant que vous êtes… voila ce que je vais faire, cette trouée je vais l’acheté et je mettrais du fils barbelé tout le long de celle-ci ainsi le loup ne pourra venir chez moi; et surtout pas vos moutons! à suivre???

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  • Eté 1909.
    Nous vivions de l’autre côté de la frontière du côté Italien et fier de l’être. Certains disaient que nous volions les bêtes qui s’égaraient attirées par les aboiements des chiens.

    Les moutons perdus viennent alors grossirent le cheptel. Quand le français vient braillé qu’on a des bêtes à lui dans notre troupeaux, on dit pas non… Qu’il nous montre sa marque et alors, il peut repartir avec ses bêtes.


    Quand aux autres, elles restent avec le troupeau. C’est au berger de venir reprendre ses bêtes, c’est à lui qu’elles ont été confier, c’est la loi. Tout était calme de notre côté…

    oh il y avait le leu ça c’est sûr, mais il ne venait pas voir les moutons; sauf s’il y en avait un de crevé et encore.

    Le loup ne bouffe pas de la charogne, je suis berger depuis que j’ai l’âge de tenir un bâton et de savoir siffler. Je suis  le seul garçon, mes parents ont eu trois enfants, moi, et mes deux soeurs.



    J’ai bientôt 12 ans, je le sais car dans l’abri là-haut, j’ai fait des marques dans la pierre qui sert de seuil. Là en ce moment il y en a 11. Quand on descendra cet  automne des pâturages de montagne, quand la neige et le gel sera là, j’aurai mes douze ans et mes soeurs 10 et 6 ans.



    Elles, elles vont à l’école du curé, un bon vieux monsieur qui cultive des herbes. Il dit des épices et des simples et avec quelque unes il fait des liqueurs, jaune, verte puis des sirops pour la toux; des infusions avec ses simples.Il cultive aussi son grand jardin.


    Des pommes de terre, des choux, des carottes, des poireaux et des navets. Comme il le dit , de quoi faire une bonne grosse soupe l’hiver quand il fait froid. Dans notre village, le vieux curé n’a pas toujours était vieux, que non! Il est arrivé chez nous, il devait avoir presque trente ans, ça c’est ma mère qui me l’a dit.


    Et comme il était bien beau, les filles avaient tendance  à aller à la messe pour le voir; mais pas pour écouter père Mathias qui s’appelle.


    10 ans après il avait une bonne qui lui faisait son ménage, ses courses, sa cuisine, son linge et comme le dit si bien les deux commères, Ginette et Rosaberthe ( le lit, elle réchauffe bien le lit du petit curé).



    Et elles rient comme deux vieilles bigotes pas méchantes, mais qui se mêle de tout. Tout le monde le sait et alors! qu’est ce que ça peut faire?

     


    Il nous aime bien et nous aussi. Y a deux ans il a voulut faire du vin qui pique, ben pour avoir fait du vin qui pique! C’était bien une bonne piquette, mais sucrée et douce, fallait s’en méfier sinon trois verres après vous étiez sonner.


    Et pas par les cloches de l’église. Sa petite piquette eut beaucoup de succès. Mais jamais il ne nous donna sa recette.


    Enfin, les vieux lui en voulurent un peu, puis ils oublièrent; quoique c’est bientôt qu’il doit la mettre en bouteille.


    Peut être que les vieux vont s’en souvenirs et qu’ils rentreront pompette à la nuit tombée et auront droit aux coups de bâtons de leur femmes!à suivre???

    Y-L

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  •  

    1854…pays de Caux. Nos deux familles vivent presque l’une à côté de l’autre. Nous sommes les plus proche voisin, les autres se regroupent en un fatras de maisons et ils vont ensuite travailler leur terre. Mes parents n’ont pas voulu se laisser faire par le notaire du vieux Bringdan et ils avaient refusé de vendre leur terre et leurs bêtes.Ce vieux renards voulait récupéré les terres, car il avait entendu que certains bourgeois de la grande ville cherchaient des terres afin de s’installer à la campagne; ou, simplement y construire une belle demeure pour la vieillesse avec terrain. Pour sûr que, quand le notaire se présenta chez mes parents que ceux-ci étaient prêts à négocier comme le disait si bien ce vieux raseur de notaire ( Blain, il s’appelait ainsi.) pour mettre les parents en confiance. Il expliqua que beaucoup de petits fermiers avaient déjà vendu et qu’ils étaient satisfait de la somme d’argent ainsi gagné sans travailler. Qu’il était évident que la famille Belmaison en ferait autant. Là, ma mère ricana doucement montrant ainsi le peu de dent qu’il lui restait. Mon père regarda froidement M. Blain et lui dit:
    - » Vous nous annoncez la nouvelle que la famille Belmaison va vendre toutes ses terres »?
    - Non! non Monsieur loupba, ce n’est pas ce que j’ai dit.
    Il est vrai que le prix plus que satisfaisant que mon client offre
    à Monsieur et Madame Belmaison  n’est pas à négliger…
    -Bien Monsieur Blain, votre client sera satisfait de savoir que la moitié des terres de
    Monsieur et Madame Belmaison appartiennent aux enfants et qu’aucune décision ne
    peut être prise sans leur accord!
    -Ah bon! Là vous m’en apprenez une belle… Non, je n’étais pas au courant de cela.
    Qui sont les enfants qui profitent ainsi des terres de leurs parents?
    - Oh Oh! Monsieur Blain… je vous suggère de rendre visite à Monsieur  et Madame Belmaison
    pour plus de renseignements, car je n’aime pas colportés les racontars, mêmes si certains sont vrais;
    et voyez-vous la vieille Madame Belmaison n’est pas d’accord, mais alors pas d’accord pour vendre le
    dur travail de feu son mari. Alphonse-André de Belmaison.
    -oui, oui, je vois vieille famille qui croit encore qu’une petite particule à de l’importance.Hum!
    -Sans doute, sans doute Monsieur Blain, mais depuis  êtes-vous retourner à Belmaison?
    -Non, j’avoue que non, mon clerc y est allé ce pauvre niais est rentré chez nous avec une espèce
    de fièvre qui a durée de longues semaines et il n’a pas voulu y retourner.
    Bouguonnant des mots comme: chat fou, vieille  femme dangereuse, famille et maison à
    éviter à tout pris et pour un peu, ce jeune sot me rendait son écritoire et sa blouse!
    moi qui cherche depuis des années un jeune homme séduisant et ayant autant de connaissance.
    Il était évident que je n’allai pas le laisser partir ainsi. J’ai envoyé à sa place le petit Thimothé
    Boniface, un peu niais, mais bon garçon, d’ailleurs il devait venir vous voir il y a trois jours de cela
    l’avez-vous vu?

    - Non, Monsieur Blain, non, on ne l’a pas vu.
    Y-L

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  • Le voile de l’amitié vient de se déchiré.
    pour certains, tu vas entamer un long voyage,
    vers une autre contrée, prendre un chemin que
    l’homme ne peut emprunter.
    Pour d’autres, le chemin de ta vie cessera.
    Le voile de l’amitié vient de se déchiré.
    il va t’emporter, les mots vont défilés;
    emplir pages et pages…mais par-delà ces mots
    écrits, il y aura ceux qui ne diront rien, qui
    cacheront leur chagrin.
    On ne peut pas toujours tout partager.
    Y-L
    Le voile de l'amitié... dans poesie 6c6295fd-150x91

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