•  En France, les rails de chemin de fer sont écartés de 1,435 mètre. Pourquoi ce nombre étrange? Parce que la France, comme la plupart des pays d’Europe, a adopté l’écartement utilisé en Grande-Bretagne: 4 pieds et 8 pouces et demi, soit très exactement 1,435 mètre. Pourquoi avoir imité les Anglais? Parce que ce sont eux qui, les premiers, ont développé les chemins de fer. Au XIXe siècle, pour sortir le charbon des mines, ils ont eu l’idée de construire des rails et d’y placer des wagonnets, parfois tiré par des chevaux. C’étaient les tout premiers trains. Mais pourquoi les Anglais ont-ils choisi cet écartement bizarre de 4 pieds et 8 pouces et demi? Parce que c’était l’écartement utilisé pour les roues des diligences et des chariots. En gardant la même valeur, ils pouvaient adapter des chariots pour en faire des wagons. L’écartement des roues de notre TGV est donc le même que celui des vieilles calèches anglaises….
    Dans les années 1950, il faut 15 heures pour aller de Paris à Nice, avec une place assise si l’on a de la chance. Avec moins de chance, on s’installera dans le couloir. Dans le compartiment, les voyageurs font connaissance et proposent poliment à leurs voisins quelques morceaux de leur pique-nique. Sans climatisation, les odeurs de victuailles et de transpiration envahissent bientôt l’espace…Ah! la joie du doux confort de maintenant, non?Un nombre étrange. dans histoire adbdragondancetagurw9999-300x241

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  • " Que tu me plais dans cette robe qui te déshabille si bien."

    Théophile Gautier.

     

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  • C'est la folie qui guette
    zut un oubli et on repart
    c'est pas toujours la fête
    de préparer les fêtes.
    Que cela ne nous tourne
    pas la tête.
    Gardons les pieds sur terre
    vivons les moments qui
    s'annoncent avec bonheur.
    De biens bons moments
    je vous souhaite.
    amicalement.
    Y-L

    Bonjour en ce mercredi.

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  • Anléé n'est pas encore née, pour le moment elle se trouve bien au chaud dans le ventre  rebondit de sa mère.

      Mêhey est retourné vivre chez sa propre mère, veuve depuis bientôt deux ans.


    Celle-ci a hériter de la plus grande et la plus ancienne grotte qui existe depuis que les Nawahatans ce sont installés dans les montagnes de l'Est.

    Il y fait très froid, le sol se couvre d'une matière blanche, glacée par le vent violent de la saison de la nuit.
    Mêhey était encore un bébé, lorsque son père fut trouer mort au pied de la montagne fumante.


    Son loup revint seul épuisé , cherché de l'aide, mais il était trop tard; lorsque le groupe de chasseur partit à sa recherche.le loup lui  resta au pied de la maison de bois ou se trouvait le descendant de son maître.


    Lentement, le groupe de chasseur s'approcha de la grotte du chef et déposa devant le rabat de peaux, la dépouille d'Ekneq;fils de chef et époux aimant de Nawa, future mère de Mêhey.


    Quand le chef aperçu la dépouille de son fils, il se jeta par terre et se couvrit la tête de poussière.


    Nawa hurla et tomba au pied du défunt, son enfant bougea dans son ventre, il bougea avec violence et Nawa s'évanouit.


    Lorsqu'elle revint à elle, elle était étendue sur une épaisse couche de fourrure et le loup dormait à son coté.Les hommes et les femmes réunis, chuchotèrent des mots que Nawa ne comprenait pas, mais l'enfant qui bougeait en elle, semblait comprendre.


    L'enfant donnait de violent coups de pieds et la douleur était très forte; alors Nawa cria, elle cria des mots qui lui venaient sans qu'elle les comprenne.


    " C'est la mort, c'est la mort, nous devons fuir, nous devons fuir."
    Le loup se leva d'un bond et hurla à la mort.

    tous en furent saisit de peur, la peau hérissée, les poils dressés, les babines retroussés, le loup s'avança vers le chef et tout en grondant, il poussa le chef en dehors de la grotte.


    pieds agiles regarda étonné ce loup qu'il connaissait bien: était-il malade lui aussi?
    Grondant toujours, le loup modula sa voix et dans le vent glacé, pieds agiles crût entendre ces mots:
    " Fuir la montagne, fumée, gronde, fume, crache, sent mauvais, la montagne fume.

    Fuis."
    Alors pieds agiles sortit de la grotte, il regarda et son sang se glaça dans ses veines.Hume le vent n'avait rien dit, ou était-il? que faisait-il?

    Il n'avait plus le temps de faire des recherches, ses guerriers et lui-même se devaient de conduire le peuple loin, très loin de la montagne.


    Auraient-ils le temps? Pourraient-ils faire une aussi grande marche? trouveraient-ils leur ancienne vallée?


    Tant de chose à faire en si peu de temps... Pieds  agiles attrapa son bâton et frappa plusieurs fois sur le tambour.La violence du son fit levée la tête de tous les Nawahtans.


    Au deuxième coup de tambour, les femmes prirent les plus petits dans leur bras, ramassèrent très vite les marmites, les herbes, crièrent vers les plus âgés afin qu'ils prennent les peaux; qu'ils attèlent les chiens, crièrent encore pour que ceux-ci fassent vite sans se battre.


    Au troisième coup de tambour, elles partirent avec le peu qu'elles avaient réussis à prendre et entrainèrent avec elles les jeunes et les vieux.


    Les hommes suivaient, cherchant du regard la menace, puis le chef emmena de force Nawa et ceux qui étaient encore dans la grotte.
    Il hurla un ordre de départ et tous prirent la fuite dans un grondement de tonnerre.


    une pluie fine, sale, se mit à tomber du ciel, il y avait urgence. La fuite éperdue du peuple de pieds agiles commençait.
    Y-l ( ceci est de moi, votre avis m'intéresse,merci).

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  •  Il y a 50 ans le poète et écrivain Blaise Cendars quitte les aventures terrestres.
    îles
    îles
    îles
    îles ou l’on ne prendra jamais terre
    îles ou l’on ne descendra jamais
    îles couvertes de végétations
    îles tapies comme des jaguars
    îles muettes
    îles immobiles
    îles inoubliables et sans nom
    je lance mes chaussures par-dessus bord car
    je voudrais bien aller jusqu’à vous.
    1924, feuilles de route.

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  •  

    La loi des Loups.

     

    Etonnante que cette loi: nous vivons en meute et il n’y a qu’un chef et qu’une louve. Ils sont les procréateurs de la future lignée.
    Le mâle dominant a dû combattre avec acharnement pour avoir le droit de vivre avec la grande louve.


    Plusieurs loups solitaires ont essayé de la conquérir en tuant le mâle dominant du moment. 


    C’est le temps  du renouveau. Mais, le vieux rusé à préféré partir  plutôt que d’affronter  six gros loups tous envieux de son sort.


    Il a alors compris qu’il était bien temps de laissé la place aux jeunes. Louve l’a regardé d’un air de dédain et levant la patte elle lui urina sur la queue, signe flagrant de l’estime qu’elle lui portait.


    Le vieux loup partit au petit trop sans se retourner; de toute façon cela faisait deux années qu’ils n’avaient plus de petits.
    Comme si louve  le sentait venir ce jour ou le plus puissant des jeunes loups serait son compagnon de vie. un compagnon fier et fort, qui prendrait soins de sa meute.


    Pas comme le vieux  loup ,qui lui, ne pensait qu’à manger.
    Louve les regarda de ses yeux d’or. Aucun de ceux-là ne lui convenait. Ce ne serait pas pour aujourd’hui se dit-elle…


    Les autres commencèrent à grognés,à grondés, à se mordre et à se jeter les uns sur les autres, mais  sans vraiment de volonté.
    A la moitié du jour, ils étaient déjà fatigués et espéraient avoir à boire et à mangés.


    Mais, louve s’en alla tranquillement se caché, là ou elle était sûre qu’aucun d’entre eux ne pourraient la trouvé.



      Elle allait bon train, elle s’arrêta pour boire à la source de la grenouille, elle lapait avec délectation cette eau douce et légèrement amer.
    Puis, elle dressa ses oreilles, leva sa belle tête et huma l’air, mais dans cet endroit l’air est chargé de trop d’odeurs et nul ne peut comprendre ce qui s’y passe.



    Louve resta aux aguets… elle sait qu’il y a quelqu’un avec elle.
    un loup! ça c’était sûr, mais lequel?
    Elle s’assoit et attend, sachant que la chaleur forcera l’importun à venir boire de cette eau si douce.


    Elle attend et le temps devient long, même pour une louve.
    Alors elle s’écarte du point d’eau; se disant qu’ainsi il pourra venir y boire sans se sentir agresser par elle.


    Elle attend mais rien, elle se lève, hume le vent et d’un fort grondement dit:
    - Si tu es un loup, je t’accorde le droit de venir boire à ce point d’eau, car plus loin, il n’y en a pas…

    si ce n’est celui de ma grotte et là, je te le dis, tu n’y entrera pas.
    – Bien, répondit une voix sourde.


    Bien, si tu le dis, je te prends au mot louve, tu m’accordes de boire à ton point d’eau… j’ai donc gagné une de tes faveurs et je la prends.


    Et  s’avançant, un magnifique loup noir, plus grand qu’elle et portant une tache blanche sur la hanche s’approcha très lentement du trou d’eau.
    Louve eut tout son temps pour le regarder venir vers elle.


    Il est beau, très beau, du muscle, ce corps de loup est bien musclé, un futur chef, louve sait qu’elle a devant elle un  futur chef de meute puissant.
    Un vainqueur qui ne reculera devant personne pour avoir sa femelle et formée sa propre meute.


    Elle frissonne et se cabre, elle veut fuir, mais l’or des yeux du loup se sont déjà posé sur l’or de ses propres yeux; et mille et une chose se sont produites en ce cours laps de temps. Louve est vaincue, elle accepte ce mâle, car il est le plus fort.


    Et, cela sans carnage, sans mort.
    Un combat de chef à chef vient de se déroulé là à côté d’un petit trou d’eau, sans qu’il n’y ai de témoin.


     Louve est maîtresse en ce lieu et elle accepte qui elle veut.
    Mais ,le choix  lui fut imposé, elle en est certaine.
    elle irait voir le vieux mage qui vit loin, au-delà la vallée des rois, pour lui demandé des explications

    .- Comment t’appelles tu?
    -Ombre blanche est mon nom.
    – Ombre blanche! tiens donc…
    -Oui, c’est cela, et toi quel est donc ton nom?
    – il te revient de me nommée, puisque je serais la mère de ta descendance…trouve moi donc un nom, Ombre blanche!
    -Oui, je vois! Alors tu seras Vanachess ( louve qui modifie).



    – Non! Pas ce nom là, tu ne peux me donner ce nom là. Cherches en un autre
    . -Un autre! Alors que ce sont les mages qui me l’ont conseillés?
    -Oui, peut être… mais je suis sûre que Hankum  lui, t’en a donné un autre! Je veux le nom d’Hankum

     

    –Bien, je vais te le dire et n’oublie  pas que c’est toi qui l’a choisit…
    - Oui, oui, je sais.
    - Hankum; m’a dit: appelle la Pattes Rousses qui vole au combat.
    - C’est un peu long ça comme nom!
    - Oui, mais c’est le nom qu’il m’a donné.
    - Et toi? Comment aimerais tu m’appeler?
    - Moi! Pour moi tu es Feu au Vent d’été…
    - Feu au Vent d’été…


    -Oui, oui, j’aime bien ce nom là, je le garde, je serais donc  » feu au Vent d’été et tu auras beaucoup de fils et de filles.

    C’est avec bonheur que nous ferons cela.
    Feu au Vent d’été entraîna dans sa grotte Ombre Blanche et elle devint sa louve et lui le mâle dominant.


    Les autres loups  protestèrent, mais, Ombre Blanche sortit de la grotte hérissa ses poils, gonfla son torse, hérissa ses babines et se mit à gronder; un son étrange, lourd, caverneux sortit de sa gorge.




    Un son très long… il se ramassa sur ses pattes arrières prêt à bondir, puis, soudain, se fut le calme.
    Tous les autres loups disparurent et jamais ils ne revinrent se poster devant la grotte de Feu au Vent d’été et d’Ombre Blanche


    . La vie poursuivis son cours et de nombreuses petites boules de poils virent le jour.


    Je tombais sur l’une de ces petites boules de poils un soir en allant à la chasse aux papillons de nuit.
    Je revenais bredouille… quelle ne fut ma surprise d’entendre un son plaintif, lancinant.


    Je cherchais le son et finis par le trouvé.
    Un petit louveteau de trois mois environ était tapis dans l’herbe haute, une patte prise dans un piège.



    Je bouillais de rage, car ce genre de piège, des enfants qui se promènent souvent par ici, pourraient  être les prisonniers de ces engins de tortures.


    La petite bête avait commencé à ronger sa patte.
    Elle était fatigué, avait soif et c’est ce qui sauva sa patte.

    J’enlevais doucement le piège tout en lui parlant, car les petites épines qu’ils ont dans leur gueule en se fermant sur vos doigts vous font beaucoup de dégâts.



    Ne l’oubliez pas, si un jour!
    Trop faible, il ou elle, ne bougea pas. Alors prenant mon courage à deux mains, j’enlevais ma veste, il ne faisait pas si chaud que ça

    …et ce n’est pas non plus un papillon…

     

    J’enveloppais ma prise et la calant le mieux possible je me dirigeais rapidement vers ma hutte faite de bouts de bois flottés et de morceaux de bois.


    Mon feu était presque éteint, alors je ramassais quelques petits bouts de bois pas trop mouillés que je jetais sur le feu.




    Je sortis ma gamelle, y mis de l’eau et je laissais le pauvre animal boire tout son saoul.


    Bien que peureux, la soif et la douleur le rendait arrangeant. Quand je voulus regardé de plus près sa patte, un son lugubre, sonore, long, emplit mes oreilles.



    Le petit se mit à geindre et je compris le message. Père ou mère était là… comment faire?
    Je déposais mon fardeau au pied de ma hutte et je m’éloignais de quelques pas.


    Un loup noir monstrueux avec une tache blanche sur le flanc apparut, les oreilles couchées, ses babines retroussées, le poil hérissé  jamais je n’avais vu ce genre de comportement.


    Il suivait de ses yeux d’or le moindre de mes mouvements et j’en faisait autant.



    C’est tous vous dire… Puis un coup de génie!
    Je m’assis par terre et je baisse la tête, j’entends un bruit, puis un cri, je lève la tête, je regarde.


    Le petit est tombé sa patte est cassée, broyée…il lui faut des soins sinon il mourra; et, comme un benêt je parle au grand loup qui semble m’écoutait.


    Je lui dit que je vais emmener son petit et le soigné. Que nous reviendrons l’année prochaine et que son petit irait  beaucoup mieux. qu’il doit me faire confiance.


    Et tout en palabrant comme ça, je vois le grand loup qui s’approche de moi.

    Pas fier le gars je vous le dis… Il me coule son regard d’or de fauve.


    Puis pose son museau sur ma joue et il disparaît. Croyant être sortis d’affaire, je me lève, quand soudain un autre son moins terrifiant mais quand même se  fait entendre.


    Une louve, belle, Feu au Vent d’été c’est sûr c’est elle! La légende est vraie…

    quel plaisir de la voir, elle a vieillit cela se voit à ses yeux, mais elle a de beaux reste.


    Elle me brave de ses yeux fanés et pourtant si beaux. Je baisse la tête et je murmure des paroles sans suite; et, dans le vent j’ai cru entendre ces mots » Prends soins d’elle et revient comme tu l’as promis.


    Le nez, le nez sur ma joue froid et tiède, un coup de langue, idem pour la petite et plus de loups autour de nous.
    Et notre vie commença ce soir là à Avana et moi, Martin.




    Nous sommes revenues dans le froid mordant du grand nord Avana et moi, et, ils étaient là, tous les deux. Au loin un long cri à vous déchiré le coeur, l’adieu de la meute.



    Ils ont refait connaissance tous les trois. Puis ils sont partit. 
    Avana à dix ans aujourd’hui, nous sommes de retour.
    Notre vie s’achèvera ici ou tout commença 81eab77f.jpg
    image de chez
    mamietitine.overblog.fr
    Y-L

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    2 commentaires
  • La non -violence signifie ne pas éviter seulement la violence physique externe, mais aussi la violence interne de l'esprit.


    Vous ne refusez pas seulement de frapper un homme, mais vous refusez de le haïr.
    Au centre de la non-violence se tient le principe d'Amour.
    (1929-1968.)

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