•  Le futur opposant d’Hassan II, réussit son bac au lycée Goureaud. il enseignera les mathématiques au lycée Descartes de Rabat au début de sa carrière. Même dans les années 1990, la cohabitation entre garçons d’origines différentes ne se fait pas sans mal, si l’on en croit David Bensoussan, ancien élève du lycée Lyautey de Casablanca: » juifs dans une école française en pays musulman, nous avions droit aux congés des trois religions et cela était fortement jalousé par nos camarades français qui n’avaient droits qu’aux fêtes fériées chrétiennes et musulmanes. Certains de nous refusaient de venir en classe le samedi, d’autres se permettaient de venir mais pour écouter  seulement, d’autres encore participaient normalement. Il y  avait peu d’Arabes en classe. Ils étaient généralement discrets et une proportion importante proférait un marxisme salutaire.La douce cruauté des Français qui attendaient la période du Ramadan pour entrer en classe avec des sandwiches au jambon odorant! » Nombreuses sont  les personnalités françaises à être devenues bachelières de ce côté de là.

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  •  

    Genèse

    14) Et Dieu dit encore:  » Que des luminaires paraissent dans l’étendue des cieux pour faire une séparation entre le jour et la nuit; ils devront servir  de signes et pour les époques et pour les jours et pour les années.(15) Ils devront servir de luminaires dans l’étendue des  cieux pour éclairer la terre. Et il en fut ainsi.(16) Et Dieu se mit à faire les deux grands luminaires, le grand luminaire pour la domination du jour et le petit luminaire pour la domination de la nuit, et aussi les étoiles. (17) Ainsi Dieu les mit dans l’étendue des cieux pour éclairer la terre. (18) Et pour dominer de jour et de nuit, et pour faire une séparation entre la lumière et les ténèbres. Alors Dieu vit que c’était bon. (19) Et vint un soir et vint un matin: quatrième jour.  (20) Et Dieu dit encore:  » Que les eaux pullulent d’âmes vivantes et que des créatures volantes volent au-dessus de la terre sur la face de l’étendue des cieux. ( 21) Et Dieu se mit à créer les grands monstres marins et toute âme vivantes qui se meut, dont les eaux pullulèrent selon leurs  espèces, et toute créature volante aillée selon son espèce », et Dieu vit que c’était bon. (22) Là*dessus Dieu les bénit, en disant:  » Soyez féconds, devenez nombreux et remplissez les eaux dans les bassins des mers, et que les créatures volantes deviennent nombreuses sur la terre ».

    Au commencement  » Dieu » créa les cieux et la terre
    2 Or la terre était informe et déserte et il y avait
    des ténèbres sur la surface de l’abîme d’eau; et la
    force agissante de Dieu se mouvait sur la surface des
    eaux.(3) Et  » Dieu » dit alors:  » Que la lumière paraisse. »
    alors la lumière parut.(4) Après cela Dieu vit que la
    lumière était bonne, et Dieu opéra une séparation
    entre la lumière et les ténèbres.(5) Et Dieu appelait
    la lumière Jour, mais les ténèbres, il les appela Nuit.
    Et vint un soir et vint un matin: premier jour.
    (6) Et Dieu dit encore:  » Qu’il y ait une étendue entre
    les eaux et qu’il se fasse une séparation entre les eaux
    et les eaux. » (7) Alors Dieu se mit à faire l’étendue et
    à faire une séparation entre les eaux qui devaient être
    au-dessous de l’étendue et les eaux qui devaient être
    au-dessus de l’étendue. Et Il  en fut ainsi.(8) Et Dieu
    appelait l’étendue Ciel. Et vint un soir et vint un matin:
    deuxième jour. (9) Et Dieu dit encore:  » Que les eaux
    ( qui sont ) au-dessous des cieux se rassemblent en un
    seul lieu et qu’apparaisse la terre ferme. » Et il en fut ainsi. (10)
    Et la terre ferme, Dieu l’appelait Terre, mais le rassemb

     

    lement des eaux, il l’appela Mers. En outre, Dieu vit que
    c’était bon. ( 11) Et Dieu dit encore:  » Que la terre fasse
    pousser de l’herbe , de la végétation portant semence,
    des arbres fruitiers donnant du fruit selon leurs espèces,
    dont la semence est en lui, sur la terre. » Et il en fut ainsi.
    (12) Et la terre produisait de l ‘herbe, de la végétation
    portant semence selon son espèce et des arbres donnant
    du fruit, dont la semence est en lui selon son espèce ».

     

    Alors Dieu vit que c’était bon. (13) Et vint un soir et vint un
    matin: troisième jour.
    Dorcas:
    Gazelle en grec). Chrétienne de la congrégation de Joppé qui était  » riche des bonnes actions et des dons de miséricorde qu’elle faisait, entre autres des vêtements de dessus et des vêtements de dessous pour les veuves dans le besoin ( actes 9:36,39).  » Dorcas » correspond à l’araméen  » Tabitha », les deux noms signifiant  » gazelle ». Il est possible que Dorcas ait été connue sous les deux noms, car il n’était pas rare pour des Juifs de porter à la fois un nom hébreu et un nom grec ou latin, particulièrement ceux qui vivaient dans une ville portuaire comme Joppé, ou la population se composait de Juifs et de Gentils. Ou bien, Luc a pu traduire ce nom pour les lecteurs gentils. Dorcas est la seule femme  » disciple » ( mot employé au féminin) citée dans les écritures. Il ne faut  toutefois pas en déduire qu’elle avait une fonction particulière au sein de la congrégation, car tous les chrétiens étaient en fait des disciples de Jésus-Chrits ( Mat.28:19/20). Bien que sa mort, survenue vers l’an 36 de notre ère, ait beaucoup fait pleurer les veuves qui avaient, semble-t-il, grandement profité de ses bontés, le fait qu’il ne soit pas question d’un mari affligé par la mort de sa femme donne à penser que Dorcas n’était pas marier à l’époque. Une fois morte, les disciples de Joppé la préparèrent en vue de l’inhumation: or, apprenant que Pierre se trouvait à Lydda, à quelques kilomètres au sud-est de Joppé, ils l’envoyèrent chercher. Ils avaient certainement entendu parler de la guérison du paralytique Enée opérée par Pierre à Lydda, et ce miracle a pu leur faire croire que l’apôtre pourrait ressusciter Dorcas. Ou alors, ils ont pu se tourner vers l’apôtre simplement pour être consolés (Actes *9:32-38). A l’exemple de Jésus lorsqu’il rendit la vie à la fille de jaïrus ( Marc 5:38-41). Pierre fit sortir tout le monde de la chambre haute, pria et dit:  » Tabitha » lève-toi! » Dorcas ouvrit les yeux, s’assit et prit la main de Pierre pour se lever. Cette résurrection opérée par un apôtre est la première du genre mentionnée dans les Ecritures et elle fut à l’origine d’un grand nombre de conversions dans tout Joppé ( Actes 9:39-42).

    Drusille:

    Troisième fille, la cadette, d’Hérode Agrippa 1er, née probablement en 38 de notre ère; elle est soeur d’Agrippa II et de Bérénice. Le nom de sa mère était Cypros. Elle n’avait pas encore six ans, qu’elle était fiancèe au prince Epiphane de Commagènes, mais le mariage n’eut pas lieu parce que le futur époux refusa d’embrasser le Judaïsme. A l’âge de 14 ans, elle devint la femme d’Azizus d’Emèse, roi syrien, qui, lui, avait accepté la clause de la circoncision. Exaspérée par la cruauté de son mari et irritée de la jalousie de sa soeur Bérénice, moins belle qu’elle, Drusille se laissa facilement persuader de divorcer avec Azizus, contrairement à la loi juive, et d’épouser le gouverneur Félix, vers l’an 54 de notre ère. Elle était peut être présente quand le prisonnier Paul parla  » de justice, de maîtrise de soi et du jugement à venir », ce qui troubla fortement la tranquillité du gouverneur Félix. Deux ans plus tard, quand Félix céda la place de gouverneur à Festus, il laissa Paul dans les chaînes,  » désirant obtenir faveur auprès des Juifs »; certains pensent qu’en agissant ainsi il cherchait à complaire à sa jeune femme,  » qui était juive ». ( Actes 24:24-27.) Le fils que Drusille eut de Félix, et qui avait aussi pour nom Agrippa, périt, pense-t-on, dans la grande éruption du Vésuve ,en 79 de notre ère.

     

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  •    

    Il était une fois…
    Un très vieil homme qui vivait
    dans une grande forêt
    faite d’arbres sans pareil.
    Tapis au fond de la grande forêt,
    bien à l’abri des regards;
    la chaumière du vieil homme
    était bien abritée.
    A l’aube d’un matin plutôt calme,
    le vieil homme ouvrit un oeil, et
    poussa un soupir.
    Un jour nouveau venait de naître.

    Il se leva, mit ses chaussons  et
    jeta sur ses larges épaules
    une vieille couverture.

     

                     Il prit son temps pour déjeuner,
                       savourant son pain chaud et
                          la confiture de lait de  miel.

                        Une tête apparue à la fenêtre
                        et le vieil homme bougonna.


                          _ » Ah non! Pas déjà!
                      Il ne faisait pas très chaud dehors,
                              alors le vieil homme

                              fit entrer le drôle de petit
                                bonhomme qui l’épiait.
                              -  » il est un peu tôt,
                                    tu ne trouves pas »?


                                           -  » Oh non!
                           c’est juste l’heure puisque                                         vous mangez… »
                    Hum!hum!hum! fit le vieil homme,
                            tu me fais rire.
                             -Ho! ho!   hohhh! kum kum kum fit                           le petit drôle.


                                  Les yeux grands

                         ouverts le vieil homme lui dit:
                           » Tu es un lutin,non? »
    - Ooui… répondit le petit être tout de vert vêtu.
    - Dis-moi, combien êtes-vous?
    -Eh bien, je suis le troisième,
    alors je suis Lutin3,
    j’ai deux frères plus grands et un tout petit…
    -Pas plus!!!


    - Oh, j’ai des cousins,  et des cousines,
    des oncles et tantes…
    Soudain, un petit bruit se fit entendre
    et tout émerveillé le lutin vit sortir d’une toute
    petite maison accrochée à une poutre;
    une petite fée d’argent qui en battant des ailes
    faisait tombé une pluie fine argenté.

     



                     -Il est l’heure demanda t-elle?
                           - Non!non! répondit l'homme il                              est encore trop tôt.
                              - Ah non répondit-elle .
                     Elle battit plus vigoureusement des ailes,
                                      un peu d’humidité
                          sembla flottée dans la chaumière.



    - Pas ici! tonna le vieil homme,
    tu refais la même erreur,
    non! non !non! pas iciiii!!!
    - Ooooh!!!
    je vais éveillée mes soeurs.
    Et sous les yeux du lutin,
    plusieurs fées sortirent de
    la petite maison,
    elles étaient de toutes les couleurs,
    argent,or,bleu,rouge,ver,rose et
    les fines gouttelettes
    qui tombaient de leurs ailes
    semblaient brillé de mil feux.



    Le vieil homme ronchonna encore,
    puis, la petite voix de la fée d’argent jaillit…
    _Il est
    presque l’heure avez-vous trouver de l’aide?
    _Hu!! hum!

                                ,hu!!. Oui, Je crois.
                     Lutin 3 me disait justement qu’il avait
                         une grande famille, des frères,
                                  des cousins.
             La voix claire de lutin3 retentit alors:
                    "n’oubliez-pas, mes cousines!"

    Alors, tout bas, le vieil homme lui répondit: 
    » euhhhhhhh!!!   humhumhumm!!
    tu veux
    bien ne pas en parler à la petite fée,
    hummmm!


    Les yeux grands ouverts lutin3
    ne comprenait pas.
    _Ecoutes moi lui dit le vieil homme
    en baissant encore la voix,
    les filles, ne sont pas
    très utiles ici,



    elles rient tous le temps
    et le travail n’avance pas.
    Cette année encore,
    à chaque rêves d’enfants,
    je faisais ce que j’avais lu dans le rêve
    et fée d’argent était là
    à faire des Oôôôôôôôô!!
    et encore des Oôôôôôô!!!

    puis ses soeurs venaient pour emballés
    le rêve...
    et là encore c’était des Oôôôôôô!!!
    ou des Aaaaaaaaa! !!
    à n’en plus finir, alors s’il te
    plaît,
    ne dis rien hein!

     



    _ Oôôôô! entendirent-ils tout à coup.
    La petite fée d’argent venait de comprendre.

    Ooôôô!!!!
    répéta-t-elle

                   , puisque c’est comme ça!
                     elle sortit avec ses soeurs                                 et toutes ensemble,
                 elles battirent avec vigueur des ailes.



                                _ Nonnn!
                     cria le vieil homme, pas encore,
                                    pas encore….
                             Trop tard...
                       un épais brouillard
    tomba lentement,
    nimbant la chaumière d’un
    épais manteau ouaté
    et un petit tout petit
    bonhomme de blanc vêtu
    apparu soudain tout gaillard.

     

    AAAAAAAh!!
     c’est l’heure?
    alors père
    que Noël fait,
    tu as fini ton travail?
    _ Non !non! non! non!
    tempêta  le vieil homme,
    j’allais enfin être dans les temps;
    il va falloir
    travailler dur pour y arriver,
    oh fée d’argent, tu ne devais pas faire cela,
    il est trop tôt.


    _ Lutin3, tu iras chercher tous ceux
    que tu connais,
    appelle aussi les animaux,
    fée, tu
    travailleras avec tes soeurs.
    _ Non, fut la réponse de la petite fée d’argent,
    j’ai moi aussi du travaille,
    la brume ne se fait
    pas toute seule et si vous
    voulez travailler en paix;
    elle doit rester…


    alors le petit bonhomme
    tout de blanc vêtu ria

                      si fort qu’il fit sursauter tout le monde.
                             Il sortit de sa poche une petite
                          baguette de glace et d’un large
                                   mouvement du bras,
                    il traça des signes dans le vide
                                        et soudain…

     

     


                           Une poudre blanche tomba du ciel.

     

                     les fées furent émerveillées,
                         alors, elles sortirent,
                                    battirent
                       des ailes et la poudre blanche
                                   brilla de mille étincelles,
                    de couleurs plus belles les unes que les
                                     autres...



                              La chaumière était toute blanche,
                   scintillante de diamant, de rubis,
                                   d’émeraude,d’or,
                           les fées y allaient de leur couleur,
                                       violet,rose, argent.

    Une grotte de neige était accolée à la
    chaumière et les animaux arrivaient
    les uns derrière les autres, 
    alors le vieil homme accrocha
    des chandelles,
    et la chaleur des animaux
    et des chandelles fit que dans cette grotte,
    il faisait
    bien chaud.

     


    Mais le vieil homme eut peur pour les animaux
    avec ces chandelles,
    un coup de
    baguette et hop,
    les chandelles flottèrent dans le vide .

                  Le petit bonhomme vêtu de blanc avec son
                      chapeau rouge se mit à rire,


                       lutin3 en fit autant et cela donna ceci
                             …oh oh oh-hum ,hum,hum,kek,
                                                kek,kek,
    les fées rirent elles

    aussi ôôôô,ôôôôôô!!
    alors celui qu’on appelle
    le père que Noël fait,
    s’essuyant les yeux dit:
     » C’est ça, oui, c’est ça,
    je vais faire ainsi.

     



    Les autres le regardèrent, les
    yeux grands ouverts et la bouche
    qui riait encore.
    _ Oui, j’ai trouvé!
    Ho ho ho ho ho ho !!
    hum hum hum!
    Et le petit bonhomme
    de l’hiver tout de blanc
    vêtu lança alors sur



    la tête du père que Noël fait,
    son chapeau rouge et
    tout le monde travailla
    dans la bonne humeur.
    Mais le père que Noël fait
    n’invita pas les cousines de lutin3.


    C’est pour
    cela ( d’après une vieille légende)
    oui, c’est pour cela que les petits enfants,
    quand  le matin arrive
    et que l’arbre de Noêl
    ( les drôles de gâteaux du père que Noël fait;
    ah! je ne vous ai pas raconté cette histoire là?
    Hum! plus tard peut-être…)




    Enfin, quand l’arbre

           de Noël est enveloppé de guirlandes,
                     de boules scintillantes et qu’à son pied
                 se trouve les rêves( cadeaux) ,
                           tous les enfants du monde,
                        font Oôôôôôô!!!!! Oôôôôôô!!!!!!!!!
                               C’est le clin d’oeil des fées.
    Y-L

    La légende du Père que Noël fait.

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    3 commentaires
  •  

    Bandit! Voyou! voleur! Chenapan!
    Au-dessus de l’île on voit des oiseaux


    Tout autour de l’île il y a de l’eau


    Bandit! Voyou! Voleur! Chenapan!




    Qu’est-ce que c’est que ces hurlements


    Bandit! Voyou! Voleur! Chenapan!
    C’est la meute des honnêtes gens


    Qui fait la chasse à l’enfant
    Il avait dit j’en ai assez de la maison


    de redressement
    Et les gardiens à coups de clefs lui avaient


    brisé les dents
    Et puis ils l’avaient laissé étendu sur
    le ciment


    Bandit! Voyou! voleur! Chenapan!
    Maintenant il s’est sauvé

    Et comme une bête traquée
    il galope dans la nuit
    Et tous galopent après lui

    Les gendarmes les touristes les rentiers
    les artistes

    Bandit! Voyou! Voleur! Chenapan!
    C’est la meute des honnêtes gens

    Qui fait la chasse à l’enfant
    Pour chasser l’enfant pas besoin de permis
    Tous les braves gens s’y sont mis


    Qu’est-ce  qui nage dans la nuit
    Quels sont ces éclairs ces bruits

    C’est un enfant qui s’enfuit
    On tire sur lui à coups de fusil

    Bandit! Voyou! Voleur! chenapan!
    Tous ces messieurs sur le rivage

    Sont bredouilles et verts de rage
    Bandit! Voyou! Voleur! Chenapan!

    Rejoindras-tu le continent rejoindras-tu
    le continent!

    Au-dessus de l’île on voit des oiseaux

    Tout autour de l’île il y a de l’eau.
     

    Chasse à l'enfant. dans Fables img_3477-300x225
    photo de josé à Carnac

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  • L’Avent débute le quatrième dimanche avant noël, entre le 27 novembre et le 3 décembre. ( cette année, nous avons 5 dimanche et 5 lundi…amusant,non!) C’est la période pendant laquelle les chrétiens se préparent à la venue du Christ-Roi, d’ou son nom, qui vient du latin adventus: venue, arrivée. Le symbole de l’Avent, c’est la lumière, celle de l’espoir, du retour divin, mais aussi, en cette époque de l’année, celle des jours qui vont recommencer à croître. La maison tout entière se pare dans l’attente du grand jour. Faîtes de branches de sapin et de houx, les couronnes de l’Avent traditionnelles sont nouées de rubans rouges et ornées de quatre bougies ou pommes de pin, qui marquent les quatre dimanches( cinq cette année) avant Noël. Le calendrier de l’Avant est une tradition importée d’Allemagne afin de mieux faire patienter les enfants jusqu’à Noël. A l’origine on remettait une image pieuse aux enfants et cela chaque matin, comportant une phrase de l’évangile ou une incitation à faire une bonne action. Aujourd’hui… chocolats et gâteaux sont à la noce…

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  • Le Baron et la Baronne de Maudiere.
    En ce 23 décembre 1865, invite en leur château :
    Les paysans et leurs enfants à venir y chercher :
    un pain, de la farine, du sel et une pièce de lard.
    La Baronne offre à ses paysans une belle part de
    légumes et quelques fruits secs.
    - Voyons ma mie! Vos pauvres paysans ne savent pas lire. Comment voulez-vous donc qu’ils viennent ici nous voir !
    - Ah mon ami !
    A cela, je vous l’avoue, la pensée ne m’en étais venue…Comment faire ?
    -Oh…oui…oui, je sais, je vais faire un dessin et à la place du château, je vais dessinée l’église; ils auront moins peur,
    ils viendront plus facilement à l’église et le Père Brazallac leur expliquera le cadeau que nous offrons.
    -Oh Albert mon époux!
    Ne voyez vous pas en ce cadeau le don de notre Seigneur Jésus ?
    - Que non ma mie! j’y vois plutôt le trou dans nos greniers à grains.
    Pains et farine pour 100 personnes, avez-vous quelque peu compter à la dépense?
    A votre air; je vois bien que non...
    mais diantre,
    dites moi donc d'ou vous est venue cette idée quelque peu saugrenue!
    -Ah votre regard vous a trahi mon époux,
    vous vouliez dire Stupide!
    Sotte! ou que sais-je encore.
    -oui là! vous vous devez de comprendre.
    -Non...je ne veux pas comprendre,et puisque vous voulez savoir
    pourquoi, je vais vous raconté une histoire.
    Non, non Albert mon cher, vous n'y couperez pas.
    Prenez donc vos aise, un petit cognac, un cigare et vous voila prèt
    à entendre mon récit.
    Il y a trois ans de cela,
    j'allais comme tous les ans voir ma mère
    ( ne faites pas cette tête)...Hum!
    Il faisait froid et j'avais hâte
    d'arriver.
    Le cocher fit donc galoper les chevaux, une
    ornière mal prise et nous voila avec l'essieu cassé.
    un paysan pauvrement vêtu, s'arrêta et avec beaucoup de douceur,
    expliqua au cocher ou il pourrait trouvé à loger la dame,
    pendant que ses amis et lui-même répareraient l'essieu.
    un peu sur la défensive, Gustave notre cocher... lui parla
    avec dureté de ton.:" Ou donc voulez-vous que ma Maîtresse
    aille se mettre à l'abri! ici il n'y a que pauvre masure.
    Ma Maîtresse aura froid paysan, tu ne réfléchis pas...
    Toujours avec douceur, le simple paysan reprit... sur l'honneur de
    notre village messire, à la Chapelle,
    votre Dame aura bien chaud.
    Les sources d'eaux chaudes qui passent
    sous  les pieds de la Chapelle réchauffe avec ardeur.
    -Bien, alors allons voir cela!
    Plus de dix minutes passèrent et oui, j'avais froid, de plus en plus même.
    Gustave revint le sourire aux lèvres.
    -Madame, venez, venez, je vous accompagne, vous verrez que
    dans cette petite Chapelle, il y fait très bon.
    Deux femmes du village vous apporterons de quoi vous restauré.
    Un bol de  bouillon et un peu de pain.
    - Quel délice vraiment! J'allais donc avec Gustave et
    chemin faisant, cinq hommes vêtus plus que pauvrement,
    nous croisèrent, ils s'inclinèrent devant moi
    et soulevèrent leur béret- puis, sans plus de façon
    allèrent aider l'autre paysan.
    La petite Chapelle était toute ensevelie par la neige
    et un nuage blanc l'environnée. Elle était belle malgré la marque
    du temps, j'entrais à l'intérieur et Gustave repartit pour
    surveiller les hommes, surtout les bagages.
    Deux femmes étaient là, elles attendaient, elles s'inclinèrent
    et avec chaleur me tendirent une écuelle fumante et un gros morceau
    de pain, je pris place sur la chaise bancal et je voulus
    partagé ce repas avec elle, mais  j'eus à peine le temps de me
    retourner que déjà...elles étaient partis me laissant seule à mon repas.
    Je ne sais pourquoi, mais, cela me chagrina.
    Je goûtais au bouillon et fit la grimace,
    plutôt fade, je pris un morceau de pain et le mis dans ma bouche;
    j'allais le recracher tant il était apre,
    puis me dit que ce cadeau ne devait pas être jeter.
    Alors, je bu et je mangeais le pain et je remerciais
    du fond de mon  coeur ces hommes et ces femmes de ce


    petit village ( hameau) pour le cadeau offert.
    Je savais que ces parts étaient celles d'une femme, d'un homme et d'un enfant
    et me promis qu'au retour, ils auraient eux aussi un cadeau.

    à suivre.
    y-l

     

     

     

     

     


    (à suivre).

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  • Je passe chez les gens , leur fais un petit coucou
    honnête et tout doux.
    Je ne cherche rien d'autre que l'amitié, pas d'écrit
    sur le papier.
    Après tout, qui sommes nous?
    Je passe chez les gens, je m'invite en passant.
    Si je m'impose, dites-le.
    Je passe  chez les gens, je rime tout le temps,
    pas poète pour deux sous, je bavarde tout le temps.
    Je passe chez les gens,parce qu'en fait...
    je m'ennuie souvent.
    Y-L

    Je passe chez les gens...

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