• Celui qui est conscient de sa faiblesse dans
     la pratique de ses devoirs est bien proche
     de la force d'âme nécessaire à leur accomplissement.
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  • Et l'art de se servir de leurs dons-Il faudra qu'il apprenne à les  connaître pour ne pas faire d'erreur et quand il sera sûr de ce qu'ils sont réellement, alors, la bataille pourra commercer, car la sorcière sera elle aussi au courant- ( écoutes moi mama comme si je te racontais une légende, tu veux bien! écoutes moi mama, ferme tes yeux,écoutes.)

    Au moment même ou il saura qui sont les enfants qu'on lui a confié, elle comprendra et alors,elle sortira lentement de son sommeil-Le vieux sage eut la chance de découvrir le premier des cinq-

    Un adolescent d'environ douze ans, mis au travail par un fermier peu regardant- Il avait accepté  de prendre a sa charge le garçon, mais en échange il devait travaillé et pas faire le fainéant, car lui, il détestait  ça les fainéants-

    Quand le vieux sage s'approcha du garçon, ses yeux devinrent dur comme la glace et aussi froid que celle-ci- Le fermier recula et dit d'une voix tremblante:" vous connaissez ce petit, vieux sage? La voix du maître était crissante comme des ongles qui glissent le long d'une paroi et le fermier rentra sa tête dans ses épaules les yeux agrandis par la peur- Le maître lui répondit:


    " Je prends l'enfant, tu as quelque chose à redire à cela!" _ Euh vieux sage- cet enfant m'a été confier par mon frère, qui est parti dans la vallée des ombres voir sa soeur, qui n'est pas la mienne- Alors, je ne sais pas si je dois te laisser l'enfant, tu comprends?


    -Oui...je comprends, mais regardes moi...aller  regarde moi! Tu vois le petit a été malade alors, tu l'as envoyé rejoindre son tuteur avec la caravane des toiles, d'accord fermier!- Ah ah, la caravane des toiles...oui c'est vrai ça, le petit était très malade, moi, je ne peux pas m'en occupé alors, il est parti avec la caravane rejoindre mon frère, oui! c'est ça. Je ne peux pas vous dire ou il est, vous comprenez vieux sage! la caravane est partie hier soir, elle doit être très loin maintenant, désolé vieux sage.


    _ Ce n'est rien mon ami, de toute façon, ce n'est pas lui que je venais voir, mais votre frère pour l'achat d'une charrue. Vous pourrez le lui dire lorsqu'il rentrera .? - Bien sûr vieux sage, vous reviendrez quand? A la saison de la pluie, alors à bientôt!-Oui, c'est ça à bientôt. Le vieux sage emmena le jeune garçon tout en maugréant contre la sottise humaine.


    Le gamin ne tenait pas sur ses jambes. Il fut obliger de construire une civière avec des joncs tressés, il mit son vieux manteau dessus et allongea le garçon qui ne dit pas un mot et qui n'ouvrit pas les yeux. Alors, toujours maugréant il continua son voyage avec le premier des cinq qui était mal en point. Les soins à lui prodigués seraient bien plus difficile  que prévu.


    Le chemin était long et ils marchèrent longtemps avant de trouver le deuxième. Quand ils le trouvèrent ils s'aperçurent qu'en fait c'était le troisième. Celui-ci avait l'air bien mais, quand le vieux maître s'approcha, il vit autre chose qui le mit une fois de plus en colère. Le premier (Zian ) regardait son maître et voyant la colère dans ses yeux recula de quelques pas et de loin, il regarda. Apprenant de son mentor,il ne dit pas un mot se contentant de regarder.


    Le jeune garçon qui intéressait le maître, pas bien grand, pas costaud, il avait en lui quelque chose de bizarre, ses yeux étaient bleus, avec des reflets verts et ils bougeaient sans cesse. C'était vraiment beurkkk. Le maître se retourna vers lui et lui dit de se taire car le danger était tout près d'eux. Pourtant il n'y avait que le jeune garçon, il ne voyait que lui.


    ce ne pouvait être ça le danger!  Le maître devait se tromper, quoi que le maître ne se trompait jamais, alors...attendons, nous verrons bien se dit-il .Gare pensa t-il à celui qui a fait cela au jeune garçon aux yeux bleus -verts.


    Le maître fit signe à Zian d'approcher et il lui parla à l'oreille lui disant:" Zian...ce jeune garçon doit rester ici et personne tu m'entends, personne ne doit l'ennuyer... tu as compris! Personne, bats toi s'il le faut, mais que personne ne touche à cet enfant."- Mais maître, il est aussi vieux que moi, il peut se défendre tout seul!"


    _ Non Zian, la voix du maître était dur. Il ne peut pas et il ne faut pas qu'il se batte, pas maintenant. Ah j'oubliais... c'est ton frère, ton jeune frère, le troisième, alors veille sur lui! Et le maître partit laissant Zian abasourdi de cette nouvelle. Il s'approcha du garçon et tourna autour de lui pour voir s'il avait peur de lui, s'il se ressemblait un peu...au bout du troisième tour; il entendit comme un feulement d'animal en colère, alors, il s'arrêta et chercha autour d'eux pour voir quel animal avait bien pu feulé et pourquoi.


    C'est alors que trois grandes brutes de plus de quinze ans apparurent au tournant de la taverne. Voyant les deux enfants, ils se mirent à rire grassement et à tapé dans leurs mains.  Zian n'était pas tranquille alors, il prit le bras de celui qui d'après le vieux maître était son frère et voulu le faire avancer afin d'échappés à ces trois voyous.


    Le feulement reprit de plus bel, alors Zian cria aux gars de décampé car il y avait une bête féroce dans le coin et pas très loin, parce que dès qu'ils bougeaient...la bête se mettait à feulé.Ils partirent en courant à la taverne tout en criant qu'il allait recommençait et qu'il y avait un jeune garçon avec lui et  que le pauvre allait mourir si personne n'allait le chercher.


    Le tavernier pesta en disant haut et fort qu'il n'avait jamais vu ça...un gars qui se mettait en colère dès qu'on voulait le battre et qui en plus ficher la trouille à toutes les bêtes du coin et que si quelqu'un pouvait l'en débarrassé, il serait très heureux de lui offrir à manger pour emporter (Les mots qu'il employa ne seront pas transcrits ici).Alors...le vieux maître lui dit:"


    Moi, je le prends et je prends la nourriture aussi, nous sommes trois et si vous aviez une bête de somme en plus à offrir ce serait merveilleux et le tout dit avec le sourire et cela fit frémir l'assemblée. - Vieux fou lui répondit le tavernier, ce gars c'est un fauve, vous pouvez pas l'emmener tout seul.


    On sait comment il fait mais, l'est dangereux j'vous le dis moi". - ce n'est rien tavernier j 'emmène  le garçon ne vous inquiétez pas; maintenant, donnez moi à manger pour trois, merci et au-revoir...Vous ne nous connaissez pas compris! et le maître fit un geste de la main et tous se mirent à rire.


    Le tavernier retourna derrière son échoppe et tout fut fait. Quand le maître arriva auprès des jeunes garçons il sut qu'il y avait un problème. Alors il dit à Zian d'aller chercher de l'eau et zian revint avec un seau plein d'eau froide.

    Le maître y mit des feuilles sèches qui dès qu'elles touchèrent l'eau se mirent à grésillé es, donnant à l'eau une couleur pourpre. Le maître prit le seau et le jeta sur Lizu qui hurla et se jeta sur le sol se roulant dans la poussière.Quand il eut fini, il se releva et regarda le vieil homme ses yeux étaient redevenu bleu. il demanda au vieil homme

    :' pourquoi cette eau?" qui êtes vous et que me voulez vous?"
    _ Ah mon garçon mon nom ne te dira rien...appel moi maître ou vieux sage si tu le veux bien.

    Voici ton frère zian c'est l'aîné de ta famille, il nous manque les autres. _Alors moi je suis le deuxième?
    - Non, tu es le troisième et reste à ta place.

    _ Je dois vous croire sur parole vieux sage! Parce que ce que vous me dites là hé bien... c'est des mensonges. J'ai pas de famille, pas de père, pas de mère, alors des frères! Je crois que je vais retrouver celui qui m'a laisser ici et, je pense que je vais lui apprendre deux ou trois petits tours de ma façon.


    Vous savez , vieux sage, j'ai appris beaucoup de chose en ces quelques années passaient avec ce tavernier et, ceux qui viennent boire dans son bouge, j'ai compris quelque chose, oui. Ecoutez... ils ont peur de moi, oui, c'est cela...ils ont peur de moi et, je crois que j'aime ça.


    -Ah petit, il était temps que j'arrive, oui, je vois que j'arrive à temps. Tu dois savoir que c'est ton père qui m'a chargé de vous retrouver tes frères et toi afin de vous emmenez et, de vous enseignez l'art de la guerre, et, l'art de la discipline.


    Je ne peux t'en dire d'avantage, car ton esprit s'éveillerait et il n'est pas encore temps pour cela; mais ne t'inquiète pas, tous viendra en son temps et, cela c'est une promesse.
     

    Bien sûr tu ne me connais pas et, je te demande de bien vouloir me pardonner pour ce que je vais faire, mais, cela est nécessaire...car tu es trop près, regarde ton frère! Aller, regarde le bien, obéis car c'est un ordre et, tu ne peux y résister je t'ordonne de m'obéir.

     
    Ouf! Il était temps que j'arrive, cet imbécile de tavernier a bien faillit l'éveillé...Zian, il faut que tu t'occupes de ton frère.
    - Mais, maître, je ne peux pas le faire! Comment voulez-vous que...
    _ Ah Zian! Ne cherche pas à comprendre, écoutes, je vais vous confier à des amis et, vous devrez rester avec eux et, les considéraient comme vos parents. Pour ton frère, cela ne posera pas de problème, car j'ai donné ordre à son esprit de faire tout ce que tu fais, ce que tu feras



    . Ecoutes encore, je dois partir à la recherche des deux autres et, je pense que cela prendra du temps. Avec les gens chez qui vous allez vivre, il n'y aura pas de problème, oui,je me répète,mais c'est important.


    Apprenez les métiers qu'ils voudront vous enseigner, écoutez leur conseils, obéissez et, quand je reviendrais...alors, vous serez réunis tous les cinq. Est tu d'accord Zian?(Y-L)
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  • La plage, Vrai! ou faux!

    Portugal, un animal monstrueux retrouvé sur...

    Portugal, un animal monstrueux retrouvé sur...

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  • Ellen Jewett ( et ses sculptures).Ellen Jewett ( et ses sculptures).j'aime bien la chouette.
    Ellen Jewett ( et ses sculptures).Ellen Jewett ( et ses sculptures).Ellen Jewett ( et ses sculptures).
    Ellen Jewett ( et ses sculptures).

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  •  Sur mon petit écritoire- Page blanche- Page noire.
    Je trace les lignes qui comblent de leur sinuosités intemporelles, la trame diaphane d'une feuille de papier à l'élasticité étonnante. Environné par le brouillard et le vent, les oiseaux,pauvres angelots du ciel, prisonniers du courant, semblent malhabiles.

    Et pourtant, leur ballet aérien, nous démontre là encore la puissance de leurs petites ailes. Angelots du ciel parcourant parfois des miles et des miles pour arriver à leur point de nidification; ils nous montrent le courage, la force et l'abnégation, dont ils sont capable pour parvenir à leur point de survie.

    Sur mon petit écritoire- Page blanche-Page noire- Je me demande si nous sommes nous les hommes, aussi courageux que ces petites boules de plumes- à peine plus lourds que le tas de plumes qui les couvrent. Angelots du ciel, minuscules parmi le brouillard et le vent... ils nous offrent en prime le charme de leur chant qui, d'une simple trille illumine en un instant le plus délicat matin.

    J'écoute vos chants, je vous sais nombreux à la campagne, peut être moins à la ville ou là encore Angelots du ciel- vous êtes présents.Vous prenez part à notre vie et chaque jour et pour vous un défi,un pari: trouverais-je ma nourriture! un endroit ou me cacher du froid terrifiant de la nuit ! un abri contre  la pluie et le vent!

    si je meurs qui sera près de moi? Mais, de cela vous les Angelots du ciel, vous n'y pensez pas car, pour vous la vie se résume à chantés dès que pointe le jour. Courageux angelots, de mon écritoire je vous fais un aveux- moi, simple mortelle, je vous trouve  courageux .

    L'Immortel qui vous donna le jour,  le fit sûrement pour la leçon que vous nous donnez chaque fois que nos oreilles entendent le son mélodieux de vos chants. Page blanche-Page noire- je ferme mon écritoire.
    y-l.

     

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  • Alors, pour tout dire...heu! j'avais pas saisie! Quoi? Ben...on est le Premier, hein!

    Hello, c'est le Premier!

    Hello, c'est le Premier!

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  • I ne sait pas comment faire ce matin, il a un gros chagrin, son petit chien Tiliti est parti. I, sait bien que sa Tatie Kitie va le chercher avec son fils Igord, mais I, a de la peine. C'est le voisin Christian B. qui a prévenu Tatie que Tiliti attendait devant la boucherie.

    Tatie confie I à sa petite fille qui a dix huit ans, puis, elle dit: ne t'inquiète pas I, je vais le ramener à la maison. I, se sent en joie car il sait que Tatie fera tout pour ramener Tiliti, et ce sera la fête. Vivie, la fille de Tatie, offre à I, un petit collier fait avec des cailloux de toutes les couleurs.

    Oh, tu les a trouver Ou! demande I, à Vivie. Dans la rivière près de la colonie de vacances, si Tatie le veut bien, nous irons tous les trois et nous pourrons en ramasser, oh, j'oublier Tiliti, lui aussi viendra avec nous, il prendra son bain, tu veux I?

    Oh, oui Vivie, merci , Tatie va revenir, c'est pas loin la boucherie, peut être que Pierre qui fait la viande donnera à Tiliti un os, écoute Vivie! J'entends Tiliti c'est lui qui aboi...viens vite Vivie, allons voir à la fenêtre.

    Vivie prit dans ses bras I, et, voyant Tatie discuter avec le voisin Christian, ouvre plutôt la porte et dit à I, fais attention aux voiture, reste bien sur le trottoir et allons chercher Tiliti .


    I, se sent tout content, Tiliti le voit de loin et il aboi car lui aussi est en joie. Tiliti! Tiliti, hurle I, tu es là, Mon chien à moi, et sautillant et criant I arrive à côté de Tatie et de Tiliti. Christian, le voisin lui sourit et I, dans un grand sourire lui dit:


    Merci Christian, tu as dit à Tatie ou chercher Tiliti, merci, et I se met sur la pointe des pieds et entoure le cou de Christian de ses petits bras d'enfant et lui plante un gros bisou sur la joue. Tatie et Vivie se mettent à rire, car Christian le voisin et tout ému.

    " De rien mon petit, de rien, te voir en joie et mon plaisir. Et Tiliti est si beau. A bientôt, je pars voir ma femme, nous avons un fils et moi aussi je suis en joie.

    I, trépigne et sautillant d'un pied sur l'autre, il prend la laisse des mains de sa Tatie et lui et Tiliti s'en vont vers la maison, une aventure vient de se terminer, et, i, et Tiliti sont fatigués.


    Cherche avec ta maman tout les I,i,
    et mets les en couleurs, amuses toi bien.
    y-l. 

    Petite histoire de I.

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