-
Par
osebo-moaka dans
poésie le
19 Juin 2015 à 16:59
Puis-je te comparer à un beau jour d'été?
Ta nature est bien plus aimable et tempérée;
Des vents brutaux secouent les chers bourgeons de mai,
Et le bail de l'été a trop courte durée.
Parfois de l'oeil du ciel l'éclat est trop ardent;
Souvent, l'or de son teint se ternit et se brouille: Toute beauté déchoit quelque jour de son rang
Quand le cours de Nature ou le Sort la dépouille.
Mais ton été sans fin ne se peut point faner,
Ni perdre la beauté qui t'échut en partage;
Dans ses ombres la Mort ne te saurait compter.
Si ces vers éternels du Temps te font l'image:
Tant que vue ou haleine aux hommes n'est ravie,
Ce poème doit vivre, et te donner la vie.
Sonnets XVIII.
18 commentaires
-
Par
osebo-moaka dans
femme célèbre le
6 Juin 2015 à 13:50
La psychanalyse ne peut rien pour les hommes, pour remonter dans leur enfance, encore faudrait-il qu'ils en soient sortis.
6 commentaires
-
Par
osebo-moaka dans
homme célèbre le
6 Juin 2015 à 13:46
Ce qu'une femme appelle " travailler à notre bonheur", c'est faire ordinairement tout ce qu'il faut pour le détruire.
2 commentaires
-
Par
osebo-moaka dans
homme célèbre le
6 Juin 2015 à 13:44
En Orient, les femmes cachent religieusement qu'elles ont un visage; en Occident qu'elles ont des jambes.
Dans les deux cas, elles montrent à l'évidence qu'elles ont peu de cervelle.
votre commentaire
-
-