• Comme un tourbillon, je suis né d'une fine poussière, les feuilles et les brindilles qui tombent lentement me nouent entre elles. La fin de l'été, le début de l'automne, le vent nous entraîne dans ce tourbillon, valse puissante, fracassante, nous jetans sur tout ce qui se trouve devant nous.
     

    Le tourbillon que je suis n'a pas envie de vous faire souffrir...ni de détruire  ce qui est à vous...mais le vent furieux  lui n'a pas cette conscience,il chante avec force et malmène les pauvres passant.


    La pluie qui souvent l'accompagne essaie de se faire douce mais...tenace,le vent jette ce que nous sommes devenu...un tourbillon
    turbulent, ventripotent, volant sur son passage le maigre abri.


    Je ne suis qu'un petit tourbillon, qui forcé par le vent devient un
    maelstrom infâme. 
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