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Dans ce monde de douleur.
Dans ce monde de douleur
chaque jour on perd
un frère, une soeur, une mère, un père
nos grands-parents, nos petits-enfants
des ami(es) et nos coeurs
se gonflent comme un torrent
que rien ne peut tarir.
Autant de mots donnés
en ces longues journées de deuil;
autant de sourires, de mains à pressées,
de bouches qui se collent sur nos joues.
Les gens nous entourent, ils restent présent
aussi longtemps qu'ils pensent que
cela est respectable, nécessaire,
puis, petit à petit on oubli
et c'est là, à ce moment qu'il faut faire
l'effort de téléphoner, d'écrire,
de dire que malgré les jours passés,
ils ne sont pas oubliés.
Dans les prières, dans les pensées,
que nos coeurs restent attachés auprès
de leur coeur, l'amour, l'amitié, se démontre
de bien de façons.
Chacun pleur, celui ou celle qui est parti (e).
Le long chemin de la vie se termine
mais l'homme garde dans son esprit une
grande place pour l'absent(e).
On laisse nos ami(es) pleurés ,
mais qu'ils sachent que nous ne sommes
pas si loin, on sait écouté le coeur en détresse
et témoigné notre tendresse.
Y-L
Tags : coeur, monde, douleur, petit, pere
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Commentaires
Très beau texte ! Il me touche plus que je ne pourrais le dire avec des mots ... Gros bisous. Annick
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C'est ce qui est terrible dans un deuil, c'est les jours après l'enterrement, le grand lit froid, les soirées seul quand la ville c'est endormie, repliée sur elle même, l'endeuillé reste seul face à sa peine
passe une belle journée
amicalement
Claude