• Le concourt "Montre-moi ta belette" organisait par Moinaumou, s'est mal terminé. Le comité des fêtes , fort dépité, ne s'en est toujours pas remis.
    _C'était quoi ce bazar Monsieur Renardino, que s'est 'il passer avec Mesdames Lapara, Sangliart et Geaianine? elles sont venues avec leurs amies belettes de chaque coin des bois des oubliettes et vous osez, vous Monsieur Renardino...nous faire cette démonstration plus que...plus que.

    Le pauvre Moinaumou ne trouve plus ses mots. Comment gérer cette situation? Que vont dire ceux qui se sont déplacés de si loin pour participé à une fête sans préjugé?

    Renardino est fort fier de sa démonstration et avec Merlino son ami et confident ainsi qu'avec Ratreur le conteur...Ils s'étonnent que cela choque ces dames, quoi! quel est le souci? La nature l'a bien pourvu  et alors ou donc se situ  le problème?


    Il n'y avait pas de petits sauf ceux qui bien au chaud dans le ventre de leur mère mais bon, eux ils ne comptent pas. Oh oui les bigotes, telles Mesdames Teurelle, Buzla, Coulveuse, Ilrondo, toutes faisant parties du commité des fêtes se sont senties mal et avec moult cris, glapissements, crissements et autres ments théâtrale , l'ont banni à vie de chaque concourt ou participation aux fêtes.


    Elles en ont fait tout un plat chaud afin de faire, en sorte que les Dames venues assister à la fête, soient elles aussi fortement contrarier alors que...juste avant...Hum, Hum, Hum!


     Soudain, n'en pouvant plus de ces hypocrites enrubannées, Renardino se tourna vers les jeunes Belettinaées et d'une voix tonitruante, grandiloquente, demanda:" Mes chères Demoiselles, que pensez-vous de mon passage sur les planches? Est-ce choquant pour vos beaux yeux?"

    Gloussantes, se trémoussant, faisant gonflés leur poil soyeux...elles s'exclamèrent toutes en coeur :" _Oh non, on en veut encore, Oh oui encore Renardino". Il glapit de joie, remonta sur les planches, se collant contre les jeunes demoiselles frissonnantes et avec gouaillerie...montra de nouveau le morceau choisit du délit.


    Même Moinaumou s'exclama :" alors là Mesdames quel morceau! Ne boudez donc pas votre plaisir et Messieurs prenez_en de la graine. Cette paire là...ma foi, vaut bien le détour. Pourtant cher Renardino, je maintiens que votre acte ce jour, indescent va vous valoir, le retrait ferme de notre association...à votre déplaisir belles dames et Demoiselles gouailla le sieur Ratreur riant sous cape.


     Moinaumou malgré tout fort déconvenue refusa la suite de la fête. Tout un chacun repartit qui dans son trou, qui dans son nid, qui dans la pierre. Ce petit épisode des plus plaisant pour les uns, intriguant pour les autres fit parler très très longtemps.

     Pourtant, au bal du printemps, Renardino et ses amis étaient présent et ma foi...fort bien accompagnés. Moinaumou , invita de nouveau Renardino aux prochaines fêtes de présentations et celles du renouveaux car après tout... que serait la vie sans ce perturbateur au grand coeur? Hum! y.l.
    sur une idée de Pascal Perrat.
    478 mots 27 j 2019.
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  • Racontez une poursuite effrénées dans laquelle vous devez intégrer tous ces divers arrêt. Arrêt d'autobus, arrêt de travail. arrêt cardiaque. arrêt d'urgence, arrêt sur image, arrêt minute, arrêt de mort, maison d'arrêt.


    Me voila et encore une fois, je me suis laisser emporter par Dmitri et Vlad. Un jour de plus de ma misère sans retour, la guigne complète. Une visite, juste ça, ben voyons,ils me prennent pour un naze de première ou quoi! 


    Bon j'ai cédé encore!!!le gros con c'est moi. Le bureau de Dmitri est si grand que je pourrai y mettre mon deux pièces c'est dire! Les deux m'ont invité car paraît 'il il y a eu un gros problème dans l’entrepôt, je dois pour bien faire... trouver celui qui mène une très vilaine danse dans le coin, le pauvre ne sait pas qu'il a mis les pieds dans un sale engrenage. Faire des affaires sur le dos de Dmitri et  Vlad, c'est  courir vers l'arrêt cardiaque assurer.


     Moi! Ben je suis une espèce de détective d'un genre très privé, peu de gens peuvent se payer le droit à mon savoir faire ( oui bon je me fais des compliments, j'en ai le droit) Ok arrêt sur image un court instant...voila c'est fait. J'ai déjà mon idée,mais ce soir, je suis pris. Mes deux bosses ont décider de faire une partie de poker avec certains employés, je pense que je vais devoir faire durant la partie un arrêt d'urgence.


    Qui va goûter aux plombs façon Vlad? Est ce le bon moment pour canarder ce pauvre bougre? Non, je pense qu'il faut qu'on trouve celui qui tire les ficelles et ce soir les langues vont se déliés, j'en suis sûr!Ceux qui viennent ,  vont prendre le bus, je peux les attendre à l'arrêt de ce fichu bus, ainsi, on ne prendra pas de retard Dmitri déteste cela ce qui peut nous valoir un arrêt de mort pour sûr!
     

     je passe devant Bonne Nouvelle, une bien triste Maison d'arrêt vue de l'extérieur et je suis pas presser de voir l'intérieur.
    Ah! Je vois Alex , Dom, Frank et le pauvre Greg qui est en arrêt de travail, d'ailleurs pourquoi vient 'il celui-là? Dmitri ne craint pas les mauvaises visites? Bon ça ne me concerne pas, j'ai un travail à faire et j'ai deux suspects.


    Après les avoir déposer, je gare ma vieille bagnole dans la petite rue qui désert le hangar. Je suis étonné, un van s'y trouve, ça bouge dur à l'intérieur, que s'y passe t'il? Doucement je m'approche le ber en main on ne sait jamais. Des cris, des beuglements, des hurlements, pas bon du tout ça! Je frappe du ber contre la porte...Vlad ouvre blanc de rage


    _ Tu veux ta mort ou quoi Vincent,
    _Non mon pote, juste savoir ce que tu fais!
    _On a trouver l'espion et l’instigateur des vols dans le hangar alors dégage de là, j'ai du taf  moi!_
    T'es sûr de toi Vlad, parce que moi...j'ai trouvé mes deux lascars et c'est pas le pauvre bougre que je vois là.
     




    _Hein! Tu déconnes Vince?
    _Non pas du tout mon genre.  Ou tu les as trouver tes deux drôles?
    _Ils font partis de la boîte mais, ils ne sont pas le boss de l'histoire, faut peaufiner encore un peu et ce soir justement, c'est le bon soir; tu viens, la partie va commencer?

    _ben je fais quoi du type qui ...
    _Laisses-le là, il va pas se sauver, juste un arrêt minute lui fera reprendre des forces aller Vlad amènes tes fesses Dmitri nous attends.
    _Cool mec j'arrive. La porte du van claque sèchement sur un soupir. y.l.


    sur une idée de Pascal Perrat.
    604 mots.

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  • Non! Ne t'approche pas de moi. Restes ou tu es! Arrêtes toi! Mais arrêtes toi merde! Il me fout la trouille. Tout commença en début de soirée, alors que Massylia et Antonine m'ont rabattues les oreilles à n'en plus finir, voulant à tout pris me changer les idées; car comme elles le disent si bien "un de perdu, dix de retrouvés" ou encore

    " la vie est emplis de cons mignons, qui ne savent pas ce qu'ils perdent...alors il te reste un largrrge choix pour en trouver un autre et qui sait...si ce faisant...tu ne tombe pas sur le bon. Sur celui qui verra au travers de l'enveloppe, celle que tu es vraiment. Te laisses pas abattre, tu l'as vue il ricane quant il te voit et ses potes se fendent la gueule...tu vas pas te laisser prendre comme ça, hein?


    Bon , elles y vont fort mais c'est pour mon bien parait-il. Quoi qu'il en soit, j'ai dis oui pour ce soir et nous voila toutes les trois devant le grand miroir et ce qu'il nous renvoie, nous fait plaisir. Fortes de ce constat, le sourire aux lèvres, le manteau sur le dos, le sac; les gants, les clés...nous voila devant la porte du garage ou dort ma  Camaro rouge brique, une merveille. Elle me plaît de plus en plus, une occasion en or que je ne pouvais manquer. Bon mon compte en banque et mon banquier ont friser la crise cardiaque, tant pis, l'argent c'est fait pour courir pas pour dormir. Oui,oui, je sais c'était une vraie folie. Enfin... C'est avec un pincement au coeur que j'ouvre la porte.

    Massylia veut pas aller en boîte avec son tacot et Anto a bousiller la sienne il y a trois jours de ça et comme elles le disent:" y aller  en bus ça fait tarte". Donc ma choupine et bonne pour la soirée. je grince des dents mais le choix est vite fait. Quarante minutes plus tard, on se retrouve devant  le "chic " hangar dans l'ancienne zone industrielle à faire  le pied de grue devant une foule mise sur son trente et un.

    Des relents de parfums qui se mélangent, formant une odeur soit de relent avariés ou d'une douce fragrance, j'en respire une bouffée , je sent mes poumons qui tirent leurs révérences.  Pas de chance "merde". Je sorts mon petit inhalateur, psssift une bouffée, je respire, flûte une autre est nécessaire la " poisse".


    Je respire re " flûte" ça va pas être suffisant...là, je cherche mon souffle un peu de panique de la part de Massy, qui va je le sent glapir un " au secours!" elle étouffe! dans pas longtemps. Pourquoi donc les filles se cocottent elles autant pour venir dans une boîte qui va puait les diffusions susceptibles de vous donner envie de boire. Certains parfums attisent ainsi une zone du cerveau qui et là c'est insidieux, vous pousse à consommés. Oh oais, on vous dira que c'est faut. Qu'il faut pas toujours lire ce qu'on écrit dans la presse ou encore sur les cites divers et variés. Mais, il s'avère que c'est vrai, tout comme le fait qu'il n'y a que de l'eau chaude pour se laver les mains, ainsi, on ne boit pas l'eau...on consomme, on paie, pas mal comme combine .
     

    Là, c'est mon cerveau qui est aller chercher je sais pas quoi au sujet des odeurs...je cherche à respirer, ma gorge est en feu. Pourquoi donc mon spray n'a pas fonctionner? Je le secoue et " merde" il est  plus bon et presque vide, ça va pas le faire. Une sirène. Une ambulance s'arrête. Hein! Un médecin sort de l'ambulance, qu'est ce que j'ai raté moi? Son sac en main, il se faufile, un autre prend plus de matos...il se fait cueillir par Massy qui lui braille quelque chose.

    L'homme se retourne, cherche mais ne voyant rien d'urgent continu. Massy lui bourre les côtes de ses petits poings. Il gronde et va pour la poussée quant avec l'aide d'Anto, je parviens enfin à sa hauteur là, il dit:" oui ça peut devenir urgent ce truc là. Bon vous avez vôtre inhalateur avec vous? "
    Ne pouvant alignés deux mots, c'est Anto qui lui répond :" elle l'a mais comme il est presque vide, elle a de plus en plus de mal à respirer, vous pouvez faire quelque chose?"


    Son regard presque violet se pose avec douceur sur l'homme qui se perd dans celui-ci et sourit. Massy plus terre à terre lui redonne quelques petits coups avec ses poings..." euh oui, j'ai ce qu'il faut mais il fut entrer ici, venez avec moi .
    Mes copines me soutenant au mieux me font avancer et nous suivons l'ambulancier qui nous donne l'ordre d'aller plus vite. Mes copines grondent et d'un mouvement brusque me font passer la porte de la boîte sur les traces de l'homme.

    Il nous montre un espace ou une banquette et deux fauteuils de cuir noir liseré d'argent assorti à une table basse en verre dépolie qu'un pied en forme de tête de tigre supporte...on a envie de s'extasier sur la beauté de cette table mais l'ambulancier qui est en fait un interne, me fait asseoir  suivit d'une piqûre que je n'ai pas vue venir ( je déteste les piqûres") Je grogne un "mais ça va pas non!"_C'est le seul moyen que j'ai pour faire passer vôtre crise mademoiselle, si elle ne passe pas, c'est l'hôpital...on ne rigole pas avec une crise d’asthme, vous le savez non?

    Le ton est dur. Je sais qu'il a raisin. J'aurai dû vérifier et la date et le fait que mon inhalateur soit plein ça me donne envie de me baffée. Heureusement pour moi la mercuriale s'arrête la, il disparaît juste au moment ou Massy ouvre la bouche. Ouff on l'a échapper belle. une Massy en rogne c'est pas beau à voir. anto elle, elle suit du regard les belles fesses de l'interne et son soupir en dit long. elle bave d'envie. Mon souffle me revient, ma première parole est pour elle.

    _Il va revenir me voir  Anto, reste avec moi et tu le reverras. Elle me regarde son sourire mutin me fait sourire. le médecin qui s'est faufilé en premier réapparaît à sa suite l'interne. Anto rougit furieusement car l'homme ne la quitte pas du regard. Il lui fait un petit signe et voila ma petite Antonine qui s'avance vers celui qui lui a tapé dans l'oeil. Il lui murmure quelque chose à l'oreille Anto  acquiesce vivement toute rose. la main de l'homme se pose doucement dans son dos celle_ci frémit puis il lui murmure encore encore quelque chose à l'oreille et là, elle frétille.

    La main du géant ( par rapport à Anto, il est très grand) attrape celle d'Anto et je vois un papier qui se glisse dans cette petite main qui se ferme. Elle pousse un soupir quand l'homme s'avance vers moi. Elle le suit de son regard qui a prit une teinte sombre. Ouh ouh ouh, ma petite  anto en pince grave là, ça va faire des étincelles. Il me regarde, son regard sombre me dit que lui aussi à un coup de coeur ( yes,il en pince de crabe pour elle, on va voir jusqu’où ça ira) Il me dit :" - alors jeune fille comment allez vous? _je respire mieux merci._Faites voir un peu... je prends une grande respiration,il écoute,_ C'est mieux mais la crise n'est pas passer loin,bon j'ai un inhalateur de secours, je vous le laisse juste au cas ou mais et je dis bien mais...si après trois bouffées votre souffle reste sifflant, venez directement au urgence et vous me faites appeler,on est d'accord mademoiselle?!


    _Ah! Euh! Antalia Marivau et oui, je vous le promets.
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  • Mandarine, convaincue de ne pas être assez charnue, s'était faite "repulper" puis elle avait changé de nom. Désormais, on devait l'appeler Clémentine.Non mais, vous avez vu cette pimbêche? Elle s'imagine quoi en fait? Elle part trois semaine à Rome-nous revient changer est ce mieux? J'en doute vraiment. qui! Moi? Oh! Désolée ma famille m'a toujours appeler Manga.
    Je ne me prends pas pour ce que je ne suis pas. Alors que cette peste se croit tous permis depuis son retour. Elle se pavane, minaudant, roule , se presse contre les autres comme un citron pour, bien montrer toute sa "rondité". Même les William, les Ananas, les Oranges et j'en passe, ne savent plus comment se comporter fasse à ce changement radical.

    La mettre ou? Avec qui? Plus aucuns agrumes de bon renom ne  veulent être accoquinés avec cette chose complètement hors norme. Elle ne ressemble plus à rien. Les mains palpent mais rejettent. Elle reste encore et encore au fond du cageot. Elle a beau gémir, se lamenter personne ne veut se charger d'elle.

    Aujourd'hui, c'est le dernier jour, nous  faisons luire notre peau. Les fous sont lâchés, les bruits, les cris, les mains avident nous peluchent, nous écrasent, nous roulent pour savoir si on a encore du jus sous notre peau légèrement flétrie. Puis, ils nous relancent au fond du cageot, nous laissant plus blessés encore.Ben comment veulent 'ils qu'on soient super canon après ce tripatouillage hein! J'aimerai bien les voir moi tien!

    Invendus, voila ce que nous sommes, des invendus et des non réclamés faute de connaissance sur objet. Comment osent 'ils dirent cela? On est ce qu'on est et avant eux, on étaient bien plus frais, plus brillant, plus fringant pas de cette région certes mais...on a pas demander à venir  ici nous. 

    Dans mon village avec mes compatriotes on vivaient bien au chaud. Ici! Il fait froid, on nous pulvérise plusieurs fois par jour une brume désagréable qui nous fait nous flétrir bien trop vite...Et l'autre là qui ajoute son grain de sel avec son changement de forme et puis quoi encore! elle pouvait pas se tenir comme tout un chacun?


    Bon je lui jette pas la pierre, elle est belle,plus coloré qu'avant et si ronde. Son odeur est presque pétillante mais... a t'elle toujours aussi bon goût? Les invendus , les non réclamés finissent tous en jus ou en compote,ou encore en petits morceaux genre salade de fruits. Lavés " encore" épluchés, coupés,pour le citron c'est pas la joie...il est pressé jusqu'à être sec, son jus sera mélanger avec notre propre jus et morceaux, ainsi on restera bien colorés.

    Manqueraient plus qu'on noircisse,les clients nous rejetteraient illico-presto. Ah voila le tour de Clémentine, la vaniteuse. Sa belle peau tombe, son voile blanc est enlevé, elle frisonne sous sa robe orangé. Elle est belle ça faut le dire... on lui écarte la peau fine faisant jaillir sa renaissance puis, sa peau disparaît ne reste que sa chair...tendre, juteuse,en petits morceaux on la jette sans vergogne avec nous.

    C'est à notre tour de nous coller à elle...mais bien vite, son amertume nous rebute." Bon à rien". Ces mots tombent tel le couperet de la mort. Trop de chimique, quelque chose à gâté le tout. Analysons le bol. Clémentine n'en mène pas large. Elle se crispe, avoue que celui qui la repulpée ,lui a injecter un produit illégal . Elle pensait qu'on la garderait tel un bijou précieux au fond d'un coffre réfrigéré, qu'elle servirait d'exemple et tel le modèle parfait se ferait photographié par les plus grand, qu'on la respecterait.

    Ben la descente allait enfin lui clouait le bec. Le bol fut renversé dans la poubelle verte, on finira à la décharge et peut être que les rats et les oiseaux se régaleraient en nous mangeant! Même les fruits on une courte vie. Un bon mélange fera salivé petits et grands...un mélange douteux fera perdre du temps et de l'argent.


    Goûtons  avant de faire des mélanges, les meilleurs salades sont celles qui sont faites avec le coeur. Quand c'est nouveau...c'est pas pour autant tous bon! Ben oui quoi! Bon ce n'est que mon opinion, une mangue sèche contre une clémentine nouvelle version...ou est ma chance? y.l.

    sur une idée de Pascal Perrat.
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  • Des petits pas, des traces longues et nettes, de larges bandes blanches...Qui pouvait donc se promener ainsi dans la forêt en laissant ces drôles de traces?


    Bondissant de branches en branches l'écureuil volant cria de plaisir. Il voyait tant de merveilles,percevait tout autour de lui ces choses que beaucoup ne voyaient plus.

    La terre, le ciel, l'eau miroitante, et là...ce drôle de petit bonhomme qui s'avançait vers le grand chêne séculaire tout en pestant contre la neige.

    _Qui , que, donc m'a fait ça?  Qui, que, donc a voulu ça? Qui, que, donc par la barbe de grand-père a laisser ça se faire hein? L'écureuil ria de plus belle tout en lâchant un cri perçant qui ne chamboula aucunement le petit drôle.
    Pourtant le petit drôle avait bien entendu ce cri et il se tenait sur ses gardes car...étant très,très petit, il se savait en danger. Juste une main qui se faufile sous son manteau de fibre verte et or,un poignard d'argent en main, il se sentit plus fort.
    Il reprit sa litanie tout en changeant quand même quelques phrases.
    _Qui, que,donc l'a entendu? Qui,que, donc l'a cru?, Qui, que, donc se croit fort? Qui, que, donc verra que non!


    L'écureuil se posta sur une branche basse et attendit que le petit drôle arrive jusqu'à lui. Dans un accès de joie,il voulut faire une farce au petit drôle. Il se tint droit comme un I puis, d'un geste rapide, il s'envola en direction de l'épaule du petit drôle.

    Le bras du prince de la forêt se détendit, son arme brilla, un choc,une traînée rouge,un cri. Le prince de la forêt se figea.
    _Qui, que ,quoi donc que ça? Qui, que, donc l'a pas voulu ça!


    Avec délicatesse,le prince ramassa l'écureuil qui faisait le mort. Il fit un pas vers l'étrange chose qui laissait derrière lui cette longue traînée blanche. Sa main souleva une belle et épaisse couverture blanche et déposa le petit corps dessus. Chaud, l'écureuil avait bien chaud.

    Curieux, il regarda autour de lui et ses yeux s'illuminaires. Puis la voix du petit drôle retentit rieuse.
    _Qui, que ,quoi croit donc que je sais pas? Qui, que,quoi faire le mort pour un trait laissé, pas même vraiment blessé! Qui, que, quoi ne me connaît donc pas?


    L'écureuil sortit son petit museau de dessous la couverture nuageuse et se posta sur elle dans l'attente.
    _Qui, que, quoi, veut connaître moi?
    _Scrouicccc,
    _Qui, que, quoi me donne de la joie. Ainsi dura ce monologue tout le long du chemin que fit l'étrange prince de la forêt. Quand au bout de ce long voyage ils arrivèrent enfin devant le chêne séculaire, l'écureuil comprit et frissonnant scrouiqua de chagrin.
    _

    Qui, que, quoi pas chagrin, moi redonner à arbre vitalité. Qui, que, quoi verra...Qui, que ,quoi docteu de l'arbre de vérité et qui, que, quoi va dormir longtemps dans le creux de ses bras. L'écureuil regarda l'étrange petit drôle et son coeur  éclata de joie. L'arbre, l'arbre séculaire était guérit...Mais ou était donc ce Qui, que, quoi?


    Il n'y avait plus trace du petit drôle. L'écureuil resta dans l'arbre il en devint le gardien... Les petits enfants du village voisin venaient souvent le voir...En vieillissant l'écureuil comprit que...Qui, que, quoi n'était autre que l'esprit de la forêt, un grand calme se fit en lui...il savait qu'il pouvait enfin rentrer chez lui.


    Une légende perdure depuis, l'avez-vous entendue?
    y-l.
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