• Mes pas m’entraînent vers cette lande si belle, comme une rose que le soleil éveille. Je sens ces senteurs qui chaque fois m’émerveille.
    Douce brise au parfum sucré, mon âme se délecte de ces tendres beautés.


    La lande est si belle quand le petit jour noyé par la rosé, me fait penser que la grâce du lui en vaut à chaque fois le détour.
    Sur le petit tertre herbeux, je me dresse t’elle la druidesse d’un temps ancien et je laisse glissés mes yeux à la recherche de ce grand cerf blanc aperçu un jour de printemps.


    La lande est si belle par ce petit matin noyé de la douce rosée éclatante sous ce pale soleil, que l’on dirait autant de joyaux posés à même le sol.Les toiles d’araignées avec leurs perles d’eau,tremblent doucement sous mes pas, je m’offre un cliché.


    Puis ceux-ci m’entraînes et je cherche les empreintes de sabots. Les traces me mène vers le petit ruisseau et là nimbé d’or, le grand cerf aux longs cors me scrute de son étrange et pourtant si doux regard.


    Il prend la pose, je lève lentement mon appareil, son regard devient furieux. Quoi, semble t-il me dire, je m’offre à toi, rien qu’à toi et tu voudrais me saisir pour la vie!
    Un peu d’eau, d’herbe et de boue et me voila propre, mon appareil tout boueux. J’ai perdue, mon égoïsme ma semble t-il fait perdre ce doux moment de quiétude que  recherche chaque être vivant à un moment de sa vie.


    J’ai mis six années avant de revenir dans ce petit coin que mon coeur aime tant. La lande est toujours très belle, mais je sais bien que ce coin de vie est perdu.
    Mes pas m’entraînent vers le petit ruisseau…qui n’est plus qu’un ru intrépide et sot.


    J’avance lentement et je le voie, il a perdu de sa superbe- quelques bois sont cassés, ses yeux se sont fermés, mais il m’a reconnu à l’odeur je suppose.
    Il me regarde et ses doux yeux voilés par l’âge semble me dire: »Alors!


    Pas de souvenir aujourd’hui… » Je hoche la tête et mon regard se perd dans le sein.
    Je le sais il se meurt, mais grâce au cliché manqué; il a passé ici de bien belles années et c’est là tout mon secret.


    Ma véritable réussite n’est pas la photo que j’aurai pu prendre ce jour là; non, ma réussite c’est d’être revenue à temps et d’avoir eu cet échange là. Un moment de paix, un moment de quiétude.
    Y-L
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  • Petite histoire de K.Un Kangourou s'exclame ravie Katyn, avec sa maman elle est au zoo. La visite devient un jeu ou la petite fille doit trouver le nom des animaux.Il pèse combien en kilogramme demande Katyn à sa maman?

    Et bien, on demandera plus tard au gardien au képi rouge, d'accord! Un coup de klaxonne et le gardien au képi rouge dit d'une voix forte:

    "Faites attention, les kangourous font de la boxe,mais aussi du kung-fu ,pour eux c'est kif-kif...mettez donc vos K-way,nous allons passer devant les éléphants, ils prennent leur douche aujourd'hui.

    Puis, nous irons voir les koala vous pourrez leur donner un kumquat, ils adorent ça. Katyn rêve depuis un bon moment de voir les koala, ils ressemblent à des petits oursons, ils sont plus mignons que les Kangourous.

    Un petit garçon pleure car il a mis du Ketchup sur son pull kaki.

    Cherche avec ta maman tous les K,k et mets les en couleurs.
    Amuses toi bien.
    y-l.

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  • Petite histoire de J.Jojo, hurle maman, Jojo, tu as mis ou le jupon de julie?, Jojo, rit sous cape, car le jupon de julie à servit de chiffon pour nettoyer son vélo. Julie est furieuse elle tape des pieds et crie apès Jojo. Jojo, si je t'attrape, je vais te tordre le cou.


    jojo, hurle de joie, car Julie sa grande soeur et très jolie quand elle est en colère. J'avoue dit maman que Jojo en ce mois de juillet avec son vélo jaune nous tape un peu sur les nefs.

    Quel idée à eut Jason son père de lui offrir ce vélo jaune! il m'a déjà prit une jatte de valeur et tout salie ma jardinière, même le jars se cache dans le jasmin. Le chien du voisin jappe, cela fait jaser. Moi, s'il continu ainsi dit Julie je vais le jeter son vélo jaune.


    Ah, murmure maman, quelle jeunesse! Ce n'est qu'un jeu ma petite Julie et Jojo en joue comme pour ton vieux jeton, tu te souviens? Oui, ben, ce jeunot m'a pris mon jupon...là, il jongle avec mes nefs. jojo a compris et tout penaud  jete à sa soeur Julie un petit regard contrit.


    Julie viens de comprendre et lui dit, petit joufflu là franchement tu abuses, ma journée est fichu. Tout joviel Jojo cours vers son vélo jaune, pour lui la journée viens juste de commencer.

    Cherche avec ta maman tout les J, j, et mets les en couleurs,
    amuses toi bien .
    y-l.

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  • Quelle importance vraiment! Un soir il m'a dit :" A partir de maintenant c'est fini pour nous deux." A l'évidence il avait fait le choix de me quitter. Pourquoi? Avant de lui poser la question, j'ai fais une recherche  rapide dans ma mémoire...Deux jours plus tôt, je l'avais fait poireauté pendant presque deux heures, bon, j'avais un rendez vous chez le gynéco...Il n'était pas au courant, quoi!


    Lui dire attends Jef, je file chez le gynéco, il me donne son accord pour la pilule et c'est tout bon! Non! je ne m'y voyais pas du tout. Au lieu de lui sortir un truc du genre:" excuse moi Jef, ma mère m'a tannée pour que je lui fasse ses vitres! Oui, ou encore, mon frère ce crétin n'a pas voulu me laisser la salle de bain, tu t'imagines ça toi! Euh là non plus je ne m'y voyais pas, bref, je lui ai souris l'air de rien. Ps content du tout le Jef en plus pas de bisous bisous...un affreux boutons était juste sur ses lèvres...beurkkk.

    Le lendemain, un autre imprévu me tombe dessus, ma mère et cette fois c'est vrai, m'a demandé de l'emmener voir son père à l'hôpital, bref, une bonne heure à patienté pour la ramener ensuite à la maison. Là encore,le vrai piège, Jef déteste tout ce qui touche de près ou de loin à l'hôpital... Alors rebelote,un sourire niais cette fois, pas d'excuse à lui donner et mon Jef est très suspicieux de nature.

    Il paraît que ma meilleure amie, m'a vue...avec Jérôme bras dessus bras dessous la veille au soir...c'est quoi ce délire! Qui, qu'elle amie? Javotine! Non, tu plaisante là! Eh bien non, Jef, ne plaisante jamais sur ça. Bref, me voici ce soir à cogitais  devant un Jef, mi figue mi raisin. Que dire? Lui dire la vérité? Pourquoi devrais-je le faire? Ne doit-il pas me faire confiance, comme moi je lui fais confiance quand il sort tard le soir avec sa bande de pote?

    Pourquoi est ce que ça fonctionnerais que d'un sens! Qu'on m'explique! Ma mère, ma souvent parler des problèmes qu'elle même avait rencontré lorsqu'elle était jeune ( quoi! une mère a été jeune avant, là, j'en doute!) comme quoi les garçons avaient une tendance grave à demander à leurs petites amies de rester sage le soir quand eux mêmes sortaient en bande...Pourquoi?

    Oui, pourquoi devrais-je rester tranquillement chez moi, si mon petit copain a lui le droit de sortir avec ses copains? Après tout, j'ai le droit de sortir moi aussi avec mes copines et de faire la fête,il n'y a pas de mal à ça! Mais, pour Jef, ce n'est pas compatible avec sa façon de penser, il croit que je vais m'amuser et ne pas respecter sa personne en jouant avec d'autres mecs... comme quoi la confiance!!!Et puis ses potes pourraient avoir à redire! Et bien! quelle joie, ce sont ses copains qui me donne la permission ou pas de sortir,là, j'hallucine!

    Ou est le monde là!!! Maman!!!!!!!! Bon je délire, mais je vois bien que pour Jef, le chemin se sépare ici, plus de place pour nous! Il a envie d'aller voir ailleurs...l'herbe y sera sans doute plus douce...Javotine sera là pour me donner les mouchoirs et moi pour l'écouté me dire:" Tu vois, je te l'avais bien dit, ce Jef, il n'était pas pour toi, c'est un coureur,il n'est pas stable et su-sotte bien ma Javotine. .

    Après tout, j'ai du chagrin, si -si, mais toi tu es là, alors, c'est ce qui importe le plus,oui, après tout...quelle importance! J'ai à mes côté la meilleurs des amies, donc quand ma peine sera partie, elle elle sera toujours là. Oui! Quelle importance. ( petite fiction). y-l
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  • Flash spécial! Un auteur, dont le manuscrit a été refusé par un éditeur, s’est retranché dans les locaux de celui-ci. Le forcené, cagoulé et porteur d’une ceinture bourrée d’adjectifs menace de tout faire péter.


    Le haut bâtiment de verre brillait sous le clair soleil du mois de mai. L’illustrissime Maison d’Edition du Val-de-Robert, se targuait de faire chaque saison brillait un auteur en l’amenant jusqu’au Best sceller.

    Qui n’en rêvait pas! Voir son roman éditer par cette illustre entreprise, haussé jusqu’au plus haut sommet qui soit! Ah, Justin en avait rêvé jusqu’à la nausée.

    Roman après roman, il avait tenu bon. Inlassablement, il avait remanier son dernier texte en passant par le titre, par l’argot,, les phrases ampoulées et ce jusqu’à la fin de page …chassant tous les superlatifs, les excès de ponctuations, d’adjectifs qualificatifs…bref; il en était arrivé à ne plus voir ses amis car trop agressif, trop susceptible, rancunier et passablement parano.
    Croyant que Kevin et Clotilde ses bons amis , voulaient lui volé son livre, ce livre de six cent pages, son bébé, afin de le faire éditer.
    Ils eurent beau lui affirmer que non, il n’en démorda pas. Remonter à bloc, il prit rendez-vous avec Monsieur J.F Régis, co-fondateur de la fameuse maison du Val-de-Robert.
    D’un pas décider, il s’engouffre dans l’immense bâtiment sentant son coeur battre de travers, lui martelant les côtes

    . A l’avant dernier étage, il trouva l’homme, assis droit dans  un fauteuil bleu roi , les jambes allongées sur un petit banc rembourré.
    Il semblait lire et la perplexité faisait froncés ses épais sourcils. Au coup frappait contre le montant de porte, il haussa ses épaules l’air contrarier puis, lentement, il se leva.

    Il posa le  livre ou plutôt le manuscrit sur le petit banc. Défroissa son pantalon d’une main preste et invita enfin son visiteur à entrer.
    Agacé par tant de désinvolture à son encontre, Justin fulminait de colère et d’un sentiment de peu d’importance au regard de cet homme là.
    -Ah! C’est vous! Monsieur Cedem si je ne m’abuse? Oui, oui, oui, entrez-donc, prenez place.
    Bien, bien, bien ,alors… votre manuscrit bien que bien écrit, oui parfaitement écrit même ,me laisse comment dire! oui, oui, oui c’est cela, ce roman…il est inachevé.

    Mon sentiment Monsieur est celui-là,  et cela me navre profondément car, il est excellent.
    Je ne peux pour ce motif l’éditer. Voila Monsieur Cedem, avec nos remerciements pour avoir choisi notre illustre maison. Alors J-F Régis alla prendre le manuscrit laissé sur le petit banc et le remis en main propre à Julien dont le coeur, rata plusieurs battements.

    Frustré, terriblement agacé, la force brute de sa colère bouillonna en lui pourtant, il resta stoïque. Sans un mot, il sortit du bureau du co-fondateur, et il  choisit un bureau vide…plaça son manuscrit sur une vaste table ou plusieurs autres manuscrits étaient en attente de lecture.

    Il se permit d’en feuilleté quelques-uns puis, il enleva sa veste.
    Il remonta son pantalon et d’un geste sûr, enclencha la minuterie qui formait sur sa ceinture une forme étrange. Mettant sur son visage une cagoule de motard ou rien que les yeux étaient visibles…ajoutant une paire de lunette teintée, il fonça dans le bureau de J-F Régis et là; il hurla, laissant sa colère  fondre tel un ouragan sur J-F qui, bondit de son fauteuil l’oeil hagard, les sourcils de travers et sa griffe du lion bien près d’être là  à jamais.

    Il appuya fortement sur un bouton dissimuler sous son bureau et blanc de peur, balbutia un »

    -Que voulez-vous? Il n’y a pas d’argent ici. Ce n’est qu’un bureau des pleurs et des grincements de dents, un pis-aller pour romancier sur le déclin.

     

    Alors, que voulez-vous? Vous aurez-je malmené d’une quelconque façon Monsieur? Se connait’on?
    La rage envahit le coeur de Justin.

    Quoi! C’est tout! Il venait juste de sortir de ce même bureau… et cet homme, cet homme l’avait déjà oublier! Pourquoi? D’après lui son roman était bon. Fulminant, il essaya de parler mais la colère le fit bégayé ce qui agaça J-F Régis qui d’un haussement d’épaule, se rassit et ne sembla plus prêter attention à l’homme cagoulé qui tripotait sa ceinture.



    Puis, une voix rugit: » Vous êtes cerné, rendez-vous sur le champ, ou nous aurons  recours à la force! Rendez-vous, ou nous ouvrons le feu! 
    Julien ricana et appuya sur le symbole de sa ceinture. Une flopée de mots sans suite se mit soudain à écorchées les oreilles de J-F qui réalisa que ces mots, étaient en fait des adjectifs que l’homme, avait enregistré et qu’il se plaisait à les lui faire entendre.
    -pas trop, de peu, de peu de, ou plutôt, du, d’un, dès, que, la, que si, corriger, colère,  filandreux, encore, fort heureusement » et j’en passe.


    L’homme cagoulé stoppa le flot d’adjectifs et d’un mouvement sec de la main, intima l’ordre à J-F de s’asseoir, ce qu’il fit ,ses jambes ne le portant plus.
    La voix dans le méga-phone retentit de nouveau: » Nous ne ferons pas dans la dentelle, vous êtes cerné, rendez-vous. Le processus est enclencher, soyez honnête avec vous même! Un auteur n’est pas un lâche! Montrez vous! »
    Vaincu, Julien se laissa choir lentement sur le sol et d’un geste rageur,  ôta sa cagoule sous l’oeil ébahit de J-F qui frémissant lui dit:
    « - Ecrivez ça Julien et je vous le dis tout de go, je vous édite, écrivez ça mon jeune ami. »

    La porte s’ouvrit avec fracas et un gendarme muni d’un méga-phone à l’air hilare dit: » alors! on se rend? C’est bon ça, on fait quoi J-F? »
    -Rien, on ne fait rien Alban, j’ai devant moi un futur auteur à succès, je ne vais pas le livrer à la marré- chaussée. Il va écrire le meilleur Best sceller de l’année, c’est comme ça qu’il va payer sa dette.
    Toujours hilare, le faux gendarme retourna à ses pénates, c’est à dire qu’il reprit le chemin de son propre bureau.
    Fernand-Iréné Robert fondateur de la dite maison d’édition venait de faire sa pitrerie du jour. Il murmura cependant… » entre les points d’exclamations de la vie et le point d’interrogation de la mort, tout n’est que ponctuation.
    Merci à vous M.Maya Tristan.

    Et, J-F Régis de finir…
    : » Il n’y a pas de leçon plus fructueuse que celle prise en jouant. »
    Erasme.

    -Mon jeune ami, cela restera dans ce bureau et en aucun-cas, vous ne ferez allusion à ce qui vient de se passer!
    Julien le promit et moins de six mois plus tard, son roman »Peur chez les Anges » Reçu de la part d’un jeune public une ovation des plus originale. Julien fut hisser là ou il le souhaitait…Ses romans pour un jeune public continuent à bien se vendre et son dernier
    « Prisonnier dans une tour de Verre » promet un franc succès à son auteur.

    « On a le droit de vivre ses rêves les plus fous, à condition  de respecter le choix de chacun. »
    y-l
    ( Sur une idée de Pascal Perrat).

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  • Contempler, depuis l’espace, la Terre nimbée de son légendaire halo bleu… Cette ultime aventure humaine ‘ réservée toutefois aux très fortunés..) devrait être réalisable dès la fin de l’année 2013. Pour la vivre, il faudra se rendre en Californie, à Mojave, à l’extrémité ouest de désert du même nom ou le premier port des étoiles est déjà opérationnel. C’est la base choisie par la société Xcor, pionnière dans le développement du tourisme spatial et membre du fameux X Prize qui récompense les avances dans ce domaine. Fondée en 1999,  cette entreprise Higt-tech qui fournit la Nasa  finalise actuellement la mise au point du Lynx, un véhicule propulsé par fusée réutilisable…au fuel  liquide bio! a peine plus grand qu’un business jet, cet engin révolutionnaire décolle et atterrit comme un avion.Il peut, en outre, rallumer ses moteurs à tout moments, assurant une sécurité maximale à l’unique passager qui prendra place à bord, au pote de copilote à côté du colonel Rick Searfoss, véritable légende de l’espace! Pilote des navettes Columbia et Atlantis, il détient le record de durée de vol dans l’espace, avec 939 heures au total.Il faudra quand même se préparer, pendant au moins cinq jours, tests médicaux, entraînements à la résistance aux G et briefings vont s’enchaîner.Comment y aller? Avec Tématis( 03/28/36/48/71) ou www.tematis.com
    prix du rêve! 100 000e. A vous le rêve….

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  • Bonjour, je vous souhaite une belle semaine,
    que le temps qui en ce moment reste
    doux, vous permette de faire les dernières
    préparations en vu de l'hiver.
    Que cette semaine vous donne
    toute satisfaction, en attendant,
    très belle journée.
    Amitié... y.

    Bonjour et , bonne semaine.

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