• Je grattouille sur la feuille blanche, le bruit furtif de mes errances. Mots après mots, j'ordonne au crayon de noircir la page blanche.

    J'affabule, mes doigts s'enroulent autour de lui, le tiennent, le maintiennent et gribouillent farouchement.

     

    Je regrette parfois le fait que mes pauvres errances, utilisent des feuilles blanches et je pense aux arbres verts perdus pour l'inutilité  de ces mots grattouillés sur ce doux papier.

    Pourtant, j'aime mes errances, je les trouve à ma taille et consciente de ma décadence, pauvre esprit vide de sens, je grattouille sur la feuille blanche.

    Je Grattouille.

    Y -L

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  • Pauvre petit poète, ou donc se trouve ta muse!  Celle qui chaque jour ou nuit, t'apporte sur un plateau les mots qui te feront vivre!
    Ceux que tu écrits d'une main fébrile, avant que de les oubliés pour d'autres plus parfait!
    Ou donc est-elle passer celle qui avec amour, te donne cette impression d'exister!
    A force de croire en ta propre pensées tu as sous estimé celle qui avec allégresse te permettait de chanté tes prouesses.

    Pauvre petit poète, comme tu aimais lui avoué ta propre cruauté, tes incertitudes, tes platitudes la laisseront de marbre.  

    Donne lui ce qu'elle veut à partir de tes propres mots. Sublime tes aveux, muse céleste te redonnera alors la joie qui est en toi et sur le papier, de nouveau jaillira la flamme limpide des mots, ceux qui offrent à l'âme la douceur.

    Alors, petit poète ne sera plus pauvre, ni avare de mots.

    Pauvre petit poète.

    Y-L

    image prise chez mamititine, dont le blog est inscrit parmi mes ami(es).

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  • Je ne connais rien d'aussi beau que ce bruit qui lentement laisse sur la page blanche tant de mots qui pour certains ne diront rien, mais pour d'autres comme moi, ressentiront ce bonheur et feront leur ces mots griffonnés sur le cahier.

    Le crayon court et le bruit qui l'accompagne offre à mon esprit cette douce musique, cette danse filante qui permet à mon être de s'envoler.

    Crayon magique! Papier fantastique!, Que non pas, simple musique que j'écoute tous bas. A mes pieds, mon chat fait sa toilette, il écoute lui aussi ce son qui un instant le perturbe;puis, satisfait de la danse sur le cahier, il retourne à sa toilette.

    Ces quelques mots écrits pour moi, souvenir d'un soir qui s'écoule lentement, il est temps à présent de laisser la page blanche rester en l'état... juste ce qu'elle est, une page de cahier.

    Je ne connais presque rien d'aussi beau que le son d'un crayon qui griffonne la nuit, étrange cette mélodie. Mon chat s'est couché là à mes pieds, je vais le laisser à ses douces pensées.

    Je ne connais...

    Y-L

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  • Je puisais surtout l'âme de ma mère, je lisais à travers ses yeux, je sentais à travers ses impressions, j'aimais à travers son amour, elle me traduisait tout: nature, sentiment, sensation, pensées.

    Sans elle, je n'aurais rien su épeler de la création que j'avais sous les yeux; mais elle me mettait le doigt sur toute chose. son âme étais si lumineuse, si colorée et si chaude, qu'elle ne laissait de ténèbres et de froid sur rien.

    En me faisant peu à peu tout comprendre, elle me faisait en même temps tout aimer. En un mot, l'instruction sensible que je recevais n'était point une leçon;

    c'était l'action même de vivre, de penser et de sentir que j'accomplissais sous se yeux, avec elle, comme elle et par elle.

    C'est ainsi que mon coeur se formait en moi sur un modèle que je n'avais même pas la peine de regarder tant il était confondu avec mon propre coeur.
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  • Plaise au ciel que le plafond au-dessus de notre tête ne tombe jamais sur nous et que nous restions tous groupés à l'intérieur de ce bâtiment.


    Puissiez-vous vivre cent ans et une année de plus pour vous repentir de vos péchés.


    Plaise au ciel que vous ayez de quoi vous rassasiez, ainsi qu'un doux oreiller ou poser votre tête. Que vous séjourniez quarante ans au paradis, avant que satan n'apprenne que vous êtes mort.
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  • Derrière les mots.
    Je cache ma peine,
    Je lance des défis à l'univers,
    Je cherche la terre ,
    Terre de mes ancêtres,
    Terre de liberté.
    Je frôle la folie.
    mais qu'importe ...
    ce que je trouve
    Vaut toute les peines
    du monde.
    Derrière les mots,
    Se cachent tant de bonnes choses,
    A chacun (e) de trouvé la clé
    Qui les mènera vers le lieux
    de leurs espoirs,
    Vers le lieu de la vie,
    Car derrière les mots ...
    s'en cache un seul,
    Un vrai...
    Il a pour non...
    Liberté.

    Derrière les mots.

    Y-L
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  • Bienvenue en Afrique.
    C'est un peu comme se découvrir

    une nouvelle âme,
    car tout est si calme et si naturel...
    En Afrique,
    on peut être la personne
    que l'on veux être,
    yessans être jugé par les autres.

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