• Le Guerrier Noir ( suite).

    Myaelle me dit: "" Bois ton liquide, sinon tu vas le perdre et tes poissons sont prêt; nos soeurs sont au terrier agressives,ils nous faudra de la nourriture  pour les calmées .

    Ne pouvant faire autrement, je me hâtais de boire et d'avalé mes poissons. Je nettoyais l'endroit qui pour Myaelle et moi avait été un endroit calme et reposant. Faisant rapidement le tour de l'îlot du regard, je soupirais et en moi-même je pensais :


    " adieu le calme, bonjour le combat, myaelle rit) aller tu viens, nous allons pouvoir traverser maintenant, la mer s'est assez retirer... c'est le bon moment pour rentrer au terrier le devoir t'appel et nos soeur doivent nous parlée.

    La traversée se passa très bien et la crique nous apparut au détour d'un rocher. J'étais heureux de constater qu'il  y avait une grande profusion de poissons et de fruits. Je tapotais dans l'eau et je vis arriver un gros dauphin ( marrant) à la face réjouit, docilement il me présenta son flanc et je le reconnus.

    Il était vivant, je n'en revenais pas, je vérifiais ses points et je pu constater que la blessure s'était refermée. Il ne me restait plus qu'à enlever les fils, ce que je fis avec prudence. Il se mit sur le ventre et clapota , de l'eau dans sa gueule, j'en reçu une bonne part et se dressant sur sa queue il partit en émettant des clics et des squiics fracassant.

     

    Là, j'étais heureux, très heureux. Myaelle me fit redescendre sur terre d'un grognement. La regardant, car elle n'était pas jalouse, elle me dit:" Il va bien, alors emmenons les poissons cela devient urgent pour tous ceux qui vivent près de notre terrier, comprenant...je fis rapidement un sac avec les algues que la mer venait de déposée et j'emmenais tous les poissons.

     

    Les fruits, je les mis dans ma chemise les Ertgard ne mangent pas de ce fruit...euhhh, sauf myaelle bien sûr. Elles durent sentir le poisson car, nous étions à deux cent mètres environ du terrier et contre le vent qu'elles arrivèrent au galop, poil hérissé et babines bavantes, le regard déman.



    Myaelle se mit devant moi, me protégeant de son corps, brave coeur elle savait bien que je pouvais détruire ses soeurs, mais cela, elle ne le voulait pas...alors, avec son amour de soeur elle se mit devant et j'eu l'impression qu'elle grandit, masse blanche, contre masse grise.

    Un ciel tout noir et en fureur au lointain, un orage de mer arriverait bientôt. L'effet des filles fut immédiat, elle s'arrêtèrent à trois pas de Myaelle, grondantes, ronronnantes, feulant et dents découvertes.


    Puis, la plus petite Mankari hurla de joie et sautant par dessus sa soeur qui ne s'y attendait pas...elle bondit sur moi, me jeta à terre et j'eus alors le droit à la bonne grosse léchouille et aux petites démonstrations de joie, c'est à dire, morsures,cris de joie,puis sortant de sa gorge...-


    -fere,frere,frère...tu as là avec Myaelle, vous êtes là tous les deux- on vous a chercher, mère à besoin de vous, l'homme méchant fait mal à l'homme bon frère.Les hommes bons du camp te cherchent eux aussi, depuis plusieurs lune,temps de repos.Il faut que tu rentres, le danger est à la porte du camp. Les hommes gris ne respectent pas le marcher, ils ont été chercher l'Elperding .


    - Un Elperding? c'est quoi, un Elperding?

    -Ah! Je voulais t'en parler plus tard, mais la bouche de notre jeune soeur est plus rapide que tous le reste à ce que je vois. bien...allons au terrier, nous mangerons et après nous pourrons parlé. Là, elles ne se privèrent pas, pas trop d'enthousiasme pour le poisson, quand elles me virent mangé les fruits, elles se mirent à baver...là, j'avais compris.


    adieu mes beaux fruits, dégoûté je leur laisser le repas complet et je retournais à la crique afin d'être en paix. Je reçu deux autres noix et trois poissons, des algues et des pierres-  plus une lance fine aiguisée comme un couteau avec un manche, un véritable trésor.

    Elle était sale mais après quelque rudiment de soins elle deviendrait  une merveille j'en étais sûr. Des couics se firent entendre et heureux de les voir, je m'enfonçais dans l'eau afin d'aller nager avec eux.


    Ce fut un moment délicieux, ils m'emmenèrent vers une petite crique et là...il y avait une grosse barge sûrement l'une de nos ennemis, échouée là sur le sable, je me hissais à l'intérieur et là...une véritable trouvaille, des pierres de feux de quoi aiguisait nos propre couteaux , des couteaux, des lances, des arcs, de la toile, du fil, des casques, des sandales, un manteau fait de peau de bête ,fourrure de poils fins et longs, d'une grande douceur et noir.

    Ce qui pour chasser de nuit serait vraiment bien. Heureux de ma découverte, je m'aperçu que je voguais sur l'eau et que mes amies me poussaient vers ma crique. De joie, je poussais un long cri, qui se répercuta contre les rochers.
    à suivre?

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