• Mon seul ami.

    Souvenirs.
    Savez-vous ce qu'est un ami? Moi, je l'ai su, bien sûr j'ai eu des copains,potes, mecs de bibines, camarades de coups tordus, mais un ami...j'en ai eu qu'un seul. Son nom? Ah oui je m'en souviens car, comment peut on oublié son seul ami? Je vous pose la question. 

    Ivan- Connord-Gralmer m'a en quelque sorte abandonner un beau soir après une méga teuf, bon je sais, aujourd'hui on ne dis plus ce  ça qu'importe, à mon époque et oui encore un truc naze mais, bon,  on disais cela et plus encore bref.

     
     La nuit fut dingue, les filles sympas, les mecs aussi, la boisson à flot...mon ami riait à s'en décroché la mâchoire, ce qui m'électrisa. J'étais fier de le voir rire ainsi, vingt ans ça se fête et là, je crois que c'était réussi.
     

    Alors! Que c'était 'il passer, pourquoi Ivan n'était pas revenu le mardi suivant? Les cours n'était pas terminés,il nous restait encore deux semaines avant d'avoir les résultats de nos examens merde! On l'a chercher mes potes et moi, on n'a rien trouvé, ses parents n'ont rien compris, ils ont finis par partir trop de souvenirs, trop de visages connaissant leur fils, trop de mine désolés, difficile de rester dans ces conditions.



    J'ai vécu ça comme  rejet, je me suis refermer sur moi-même. Tout ce que l'on devait faire devint pour moi l'horreur suprême. Mes parents m'envoyèrent faire une remise en forme dans un établissement réputé pour ce genre de souci ( la déprime monstrueuse qui s'ensuivit faillit me tuer) Dire qu'ils eurent peur...c'est un pléonasme!


     Après un bon mois, je repris mes esprits. Par contre, mon coeur était glacé. j'étais devenu le mec le plus froid du village. Mon diplôme en poche, je décidais de partir plus loin. Mes économies furent nécessaires pour m'établir. Un pied à terre de soixante mètres carré. De quoi sortir sans voiture bref presque le nirvana!


    Je dénichais un poste en soirée dans un bar ou certaines personnes pouvaient chantés, faire le comique, etc...Mon salaire me permit de suivre des cours afin de décrocher le....... de détective privé. Voulant faire plus, je devins celui qui telle une puce resta accrocher à un inspecteur de police sympa, si ça existe du moins de mon temps nia,nia, nia! 



     Il fut d'une aide précieuse car tout ce que  j'avais appris par correspondance ne m'aurai servi à rien si ce collègue, ne m'avait prit sous son aile. Son aide fut précieuse à tout les points.  Je prenais des nouvelles de mes parents tous les quinze jours, afin, de ne pas rompre avec eux, ils avaient besoin de ces petits moments et moi! Moi, de fait j'en avais besoin aussi,même si...je me voilé la face à cette époque.


    Les années quatre vingt trois à quatre vingt cinq furent un enfer. Après l'octroi d'un bâtiment à peu de frais, frais qui devinrent exponentiel au vue des ....... qui suivirent me fit grincer des dents plus d'une fois. Ma première affaire me donna l'impression d'être un voyeur.


    Une femme d'un âge certain, vint me voir. Son visage changea du tout au tout lorsque ses yeux noir se posèrent sur moi. Elle chercha afin de voir s'il n'y avait personne d'autre et moi, je commençais franchement à trouver cela lourd. Mon manque  flagrant d' empathie, ma face froide lui mit enfin la puce à l'oreille.


    Elle se dandina et c'est pas beau à voir à cet âge là c'est comme de voir une jeune fille se faire plus vieille et y croire, un bide monumental si vous voyez ce que je veux dire. Je vins à son secours. _Vous cherchez quelqu'un Madame?


    _Oui, bonsoir, j'aimerai rencontré le détective Iléan Benoît, est ce possible?
    _C'est moi-même que puis-je pour vous?
    _Eh bien peut être qu'il serait bon de passer à votre bureau non?
    _Oui bien entendu.


    Je lui montre la porte et l'invite à entrer, je la suis, je sent bien que ce boulot va être déplaisant et pas qu'un peu. Elle entre, renifle, regarde autour d'elle, semble apprécier,puis, me fixe.

     
    _Monsieur Benoît ce que je vais vous dire va vous sembler étrange, agaçant, stupide, hilarant peut-être, débile certainement mais pourtant cela est bien réel, et pour faire court, il me fut des photos et plus si possible genre des paroles ce serait le summum. Mon époux Monsieur Delarue Vincent quarante cinq ans depuis deux mois, me fait tourner en bourrique. Affirme qu'une femme le suit , lui montre ses atouts, lui demande de la satisfaire et lui, il me dit qu'il ne peut y résister car cette femme, est une succube.



    _J'en ai assez de son baratin, je détiens soixante pour cent de nos affects et je veux tout récupéré,me faire plumées par une grelure... très peu pour moi!  Vos frais seront pris en charge, trouver moi ce qu'il faut pour que je puisse divorcer sans perdre trop de plume. J'ai été patiente, lui ai laisser assez d'espace quant il en a eu besoin mais là, là c'est la grosse goutte de trop. Je connais vos tarifs, je les acceptes et si vous commencer dès ce soir, la journée vous sera payé, êtes-vous d'accord Monsieur Benoît?
     


    Une étrange affaire.


    J'accepte cette drôle d'affaire. Elle me paie sans broncher deux semaines cache.Puis, elle laisse glisser une enveloppe assez volumineuse. Je devine qu'elle contient les renseignements sur Monsieur. Je la raccompagne à son véhicule, je regarde sa bugati qui s'éloigne lentement. Bien j'ai une personne à suivre!
     y.l.



    906 mots.
    « Le temps du pardon.Ennemi, ou, Ami? »
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