• Sera de la partie.
    Un peu de douce chaleur,
    cela semblera bien bon pour tout le monde.
    Courage à ceux qui sont innondés,patience.
    Juste vous le souhaiter très bon ce W-E.

    C'est la fin de semaine: on respire, le soleil...

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  • Le Métèque s'est éteint ce jour.
    Il avait 79 ans.
    En 2011 il avait confié que
    sa maladie respiratoire,
    l'empêchait de chanté.
    Guiseppe Mustacchi est né le 3 mai 1934
    à Alexandrie.
    Installé à Paris en 1951, c'est là
    qu'il rencontra Georges Brassens...
    qui l'aida et lui fit découvrir les nuits à
    Saint-Germain-des-prè; et c'est en
    hommage qu'il choisit le prénom de Georges.
    Ses plus belles chansons chantés par
    des hommes et femmes célèbres sont,
    "Milord" ' écrite pour Piaf en 1958)
    traduite dans le monde entier.
    puis...
    Gréco, Barbara, Montand, Reggiani,
    pour ne citer qu'eux.
    Il écrivit presque 300 chansons
    Ma Liberté, Le Métèque, Sarah,
    Ma Solitude, Votre Fille à vingt-ans,
    mais aussi La Dame Brune,
    ou Joseph, et encore,
    La Marche De Sacco et Vanzetti.
    Artiste peintre
    il vivait depuis plus de 40 ans
    à L'île saint-Louis à Paris.
    Le Métèque à fermer ses yeux.Le Métèque s'est éteint.

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    3 commentaires
  •  

    Dans la générosité de ton amour.

    Il me semble que j'écris mal, tu vas lire ça froidement, je ne dis rien de ce que je veux dire. C'est que mes phrases se heurtent comme des soupirs, pour les comprendre il faut combler ce qui sépare l'une de l'autre, tu le feras n'est-ce pas? Rêveras-tu à chaque lettre, à chaque signe de l'écriture, comme moi en regardant tes petites pantoufles brunes je songe aux mouvements de ton pied quand il les emplissait et qu'elles en étaient chaudes.Allons, un baiser, vite, tu sais comment, de ceux que dit l'Aristotes, et encore un, oh encore, encore et puis ensuite sous ton menton, à cette place que j'aime sur ta peau si douce, sur ta poitrine ou je place mon coeur.
    Adieu, adieu.
    Tout ce que tu voudras de tendresses.
    Gustave Flaubert A Louise Colet, mardi soir, minuit, le 4 août 1846.

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