-
Par osebo-moaka le 14 Mai 2013 à 14:31
J'écris.
Je peux écrire autant que je le veux,
même si, de mon propre aveux,
certains de mes écris ne valent pas
les pages blanches que
je noircis,
avant que de les publiés sur mon blog.
Si, j'écris sur papier...
c'est que cela me permet de garder une trace.
Je fatigue de plus en plus,
ma mémoire, petite chose défaille.
Je peux écrire, même si parfois,
les mots s'envolent,
se perdent.
Si je ne trancris pas aussi rapidement
que les mots me viennent...
alors...
ils sont perdus.
Un jour peut-être existera-t-il
un médicament,
une potion,
voir, une purge...
pourquoi pas...
qui fera que d'un coup, je retrouve
mes mots perdus!
Si j'y crois?
Oui... dur comme fer.
Que sera-ce? Là je l'ignore encore.
J'espère seulement que ce sera quelque chose
qui se prend facilement.
Je déteste les médicaments, les prises de sang.
A quand l'unique!Je survole, je griffonne
page blanche devenue noir
par le crayonement incessant,
par la folie de mon cerveau
en ébullition.
Je dois écrire, encore et encore.
Vider ces cases, celles qui me restent
et qui sont plaine, Plaine de quoi?
De fureur? De terreur? De douleur?
Ecrire,
écrire encore pour me convaincre que
j'existe, que je ne suis pas une enveloppe
vide.
Ecrire, pour dire...
Une façon de parler...
Pour satisfaire ma douce folie?
Quand la parole est difficile,
Quand les mots me font défauts,
Sur la page blanche,
je laisse une traceJe comble ce vide, ce sentiment
d'être seule.
L'envie d'être écouté,
Oui, c'est cela, l'envie
d'être écouté.Et ma foi, tant que je le peux,
j'écrirais.
Je ne suis pas la seule,
N'est-ce-pas?
Et vous qu'aimeriez-vous!
Y-L
3 commentaires -
Par osebo-moaka le 14 Mai 2013 à 13:49
Hommes,
Donnez-nous donc autant d'amour
de cet amour que nous...
nous vous donnons.
Nous
nous vous regardons, voyez dans nos yeux,
La douceur et la ferveur de nos coeurs.
Laissez vos yeux révélaient
la vraie histoire qui se cache
au fin fond de vos coeurs.
Ouvrez-vous à la vie,
à l'amour.
Ne le brimez pas,
Ne le fermez pas.
Hommes-
nous sommes vos mères,
Vos soeurs, vos amours.
Gardez-nous contre la fureur,
Contre ceux qui veulent notre malheur.
Gardez-nous du déshonneur.
Hommes redevenaient nos
Défenseurs.
1 commentaire -
Par osebo-moaka le 13 Mai 2013 à 20:47
"Ajouter un point,
Si petit soit-il,
à la magnifique broderie
de la Vie;
Discerner l'immense qui
se fait et qui nous attire
au coeur et au therme
de nos activités infimes;
Le discerner et y adhérer:
Tel est au bout du compte
Le grand secret du bonheur."
2 commentaires -
Par osebo-moaka le 13 Mai 2013 à 17:45
Il y a en moi une douce folie
Qui s'écoule et je n'ai
Pas de parapluie
Pour Tout recueillir .
Je laisse donc cette
Douce folie prendre vie,
Je la contemple
Etant en harmonie avec ma vie.
Douce folie, folie douce,
Tiens j'ai retrouvé
Mon parapluie.
Qu'importe,
Je m'aime comme je suis.
1 commentaire -
Par osebo-moaka le 13 Mai 2013 à 17:38
Je respire l'air que tu respires,
Je bois, l'eau que tu bois,
Je mange, ce que tu manges,
Je ris de ce que tu me dis.
Je frissonne, lorsque ton regard
Plonge dans mon regard.
Ce qui nous lie, ce sont tout
Ces petits à côtés qui nous réunissent.
un jour ton regard à croisé le mien
Et depuis, nous vivons côte à côte...
La vie n'est pas si simple,
Nos caractères sont bien différents;
Mais quelle joie, quel bonheur lorsque
Enfin libre et serein nous pouvons
Nous tenir par la main
Et ne pas craindre le lendemain.
Tu respire l'air que je respire.
Tu bois, l'eau que je bois.
Tu manges, ce que je mange.
Et, ton coeur et le mien
Restent serein.Y-L
votre commentaire -
Par osebo-moaka le 13 Mai 2013 à 15:27
Etoile du Soir,
Vibrante poésie de la nuit,
Promesses à venir, tu brilles,
Scintilles dans l'infini
Firmament éblouissant,
harmonie dans l'écrin noir de la nuit.
Tu accompagne de ta douce brillance,
Les amours qui s'offrent à ton éclat.
Tu partages les joies et les doutes
De ces coeurs qui battent,
de ces bouches tendre
Qui se joignent,
de ces murmures, qui son autant de caresses,
Autant de promesses.
Etoile du Soir,
Toi qui es là depuis la nuit des temps,
Tu restes à jamais le
Témoin muet
De ces amours partagés.
Y-L
votre commentaire -
Par osebo-moaka le 13 Mai 2013 à 10:48
Dans le champ de mon coeur,
J'ai déposé le masque de mes erreurs,
Parsemés de mille fleurs...
J'ai laissé une perle de douleur.
Dans le champ de mon coeur,
Là ou règne la terreur,
une flamme
y brille d'une vive lueur...
Là tu y vis protéger de la noirceur.
Dans le champ de mon coeur,
Je te visite au gré de mes humeurs,
Oasis de bonheur on y chemine
Tout en douceurLibre de penser sous les ombrelles
Du saule-pleureur.
Dans le champ de mon coeur,
Il y a un banc de toute les couleurs
Ou il fait bon s'y arrêter.
Viens un jour t'y reposer...
On y parlera alors de l'amitié,
Dans le champ de mon coeur,
Avec toi, je vivrais.
Y-L
2 commentaires
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique