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    Sur des bouts de papiers, j’inscris  des mots.

    Mots nouveaux, tintés de poésies,
    voile sacré,
    mélodie du passé,
    simple symphonie oubliée.
    Les mots sont le reflets
    de ce que je suis, un
    petit grain de folie.
    Je laisse libre mon esprit
    alors il capte les mots,
    il les mélange,les arrange
    à son goût,citron ici,
    framboise par-ci, fraise par-là.
    Rien n’a plus de sens,
    et les fragiles phrases se sentent
    à l’étroit dans cette trame là.
    Je jette sur la page des mots
    qui ne sont que des mots,

    bouts de papiers.

    bien étrange folie que celle-là.
    Y.L

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    A l’aube du temps.

    Là ou défilent les vents,
    Les ami(es) d’antan se
    retrouvent en marchant
    face aux brisants de la mer
    qui les emportent bien loin
    de la citée aux énervements.
    Groupés comme des damnés
    Ils ouvrent grand leur bouche
    voulant se parlé, communiqué
    mais, plus rien ne sort,
    les mots d’autrefois sont
    morts.
    A l’aube du temps
    là ou défilent les vents,
    les ami(es) d’antan regardent les
    vagues  qui viennent mourir lentement,
    plus de voix pour dire leur émerveillement,
    plus de plumes pour coucher sur le papier blanc
    ce que leurs yeux  plein de joie… voient
    la lune en son couchant
    semble être le reflet de leurs tourments.
    Y.LA l'aube du temps. dans poesie f280ef0a-300x225

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    Pour calmer ta douleur,
    pour briser les larmes de ton coeur,
    pour vibrer avec ta douceur
    nous ferons briller les étoiles.
    une note de douceur, juste pour faire
    sourire ton coeur.

    Rien que pour toi, laisse nous entrer
    dans ton monde de saveur.
    nous serons avec toi,
    et dans tes bulles de couleur, le rire
    éclatera en un millier de douce torpeur.
    Pour calmer ta douleur,
    Pour briser les larmes de ton coeur,
    laisse nous entrer dans ton monde
    de terreur.
    Y.L

    Pour briser les larmes de ton coeur.

     

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  • La reposait l’Amour, et sur sa joue en fleur,
    D’une pomme brillante éclatait la couleur.
    Je vis, dès que j’entrai sous cet épais bocage,
    Son arc et son carquois suspendus au feuillage.
    Sur des monceaux de rose au calice embaumé
    Il dormait. Un souris sur sa bouche formé
    L’entr’ouvrait mollement, et de jeunes abeilles
    Venaient cueillir le miel de ses lèvres vermeilles.
    André Chénier.L'Amour Endormi. dans poesie dec7d71a

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  • Une fois, assis sur un promontoire,
    j’entendis une sirène, portée sur le dos
    d’un dauphin, proférer un chant si doux
    et si harmonieux. Que la rude mer devint
    docile à sa voix, et que plusieurs étoiles
    s’élancèrent follement de leur sphère
    pour écouter la musique de cette fille
    des mers.
    William Skakespeare ( 1564/1616)

     


    *****************
    Voir un monde dans un grain de sable
    et un ciel dans une fleur sauvage
    tenir l’infini dans la paume de ta main
    et l(éternité dans une heure.
    William Blake ( 1757/1827.)

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  • Elle avait pris ce pli dans son âge enfantin de venir dans ma chambre un peu chaque matin.
    Je l’attendais ainsi qu’un rayon qu’on espère; elle entrait et disait: bonjour, mon petit père!
    Prenait ma plume, ouvrait mes livres, s’asseyait sur mon lit, dérangeait mes papiers,et riait,
    et riait, puis soudain sen allait comme un oiseau qui passe.

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  • Profondes joies du vin,
    qui ne vous a connues?
    Quiconque a un remord à apaiser,
    un souvenir à évoquer, une douleur à noyer,
    un château en Espagne à bâtir,tous enfin,
    vous ont invoqué, dieu mystérieux caché dans
    les fibres de la vigne.
    Qu’ils sont grands les spectacles du vin illuminés
    par le soleil intérieur, qu’elle est vraie et brûlante,
    cette seconde jeunesse que l’homme puise en lui!
    (1821/1867.)
    à boire avec modération…
    emoticone

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