• Le vent murmure, mais personne
    ne  le comprend.
    Il s'engouffre partout et continu
    à murmurer doucement,
    mais personne ne l'entend.
    Dans les feuilles,dans les branches,
    il laisse un message.
    Que l'arbre lui-même fait entendre,
    mais aucune oreilles ne l'entend.
    Le vent pousse son murmure un peu plus fort,
    mais là encore, personne ne l'entend.
    Il s'en va vers la mer,
    elle l'écoute, mais ne sait comment faire
    pour que le message du vent soit compris de tous.
    Alors, elle pleure et mèle au vent sa douce
    et langoureuse mélodie,
    la force des deux n'accomplit pas de miracle-
    on écoute l'harmonie, mais on ne comprend pas
    le message.
    Alors le vent s'enfuit, laissant derrière son sillage
    quelque goutte de pluie.
    Etincelles de vie,
    petits diamants éphémères.
    Le vent pousse son soupir,
    mais personne
    ne l'entend.

    Le vent et pour tous et toutes
    il n'a pas de couleur
    il partage ce qu'il a à offrir
    Le vent souffle sa douce mélodie,
    écoute, comprend qui
    veut.Le Vent.
    Le vent pleure.

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  • Un peu de musique
    ce serai bien, non!

     

     

    La fée de la forêt s'est endormie.
    A ses rêves oubliés, viendra se joindre la belle fable de l'été.
    Dors douce fée de ton rêve s'ouvrira à la vie, forêts et futaies, jardins et parcs,
    là ou l'homme a plantés bulbes, rosiers, arbustes,
    tu feras des merveilles en leur permettant de fleurir pour une nouvelle saison.
    Dors douce fée, laisse nous
     en ce  printemps retrouvé la joie
    de revivre et d'aimer.
    y-l.
    www.auboutdufil.com

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  • Au loin, un vieil arbre.
    J'irai un jour près de lui, cet arbre mort.
    Celui que
    j'admire, depuis notre arrivée.
    J'aurais aimé le voir couvert de
    feuilles d'or
    Puis, soudain, à la première tempête
    les voir s'envoler.
    Cet arbre est certainement plus que trentenaire.
    Son tronc doit avoir de nombreuses empreintes.
    Il est vrai qu'il est tout
    proche de la mer.
    C'est elle qui lui donne de jolies teintes.
    J'applatirai mes bras contre lui
    très fort.
    Il m'inondera de bonheur,

    à foison
    afin de fusionner avec lui
    et sa force
    me fera trouver le chemin du retour
    moins long.
    Avant de te quitter,
    photo je prendrai
    Ciel! je t'avais pris pour un arbre
    foudroyé!
    C'était une erreur, au revoir,
    je reviendrai
    En espérant ne jamais te voir à terre
    tomber.Poème de Monique Briere.

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  • 80 g de perles de tapioca
    1 l de lait entier
    4 oeufs
    1/2 c à café de sel fin
    150 g de sucre semoule
    60 g de cassonade
    1 gousse de vanille
    6 petites bananes ou deux grosses
    le jus de 2 citron verts
    90 g de beuure
    6 moules en aluminium.
    Préparation: 15 minutes, cuisson 40 à 50 mn.
    Portez le lait à ébulition avec le sucre, le sel et la gousse de vanille fendue et grattée- ajoutez les perles de tapioca et poursuivez la cuisson à feu modéré, en remuant régulièrement pendant 7 minutes, jusqu'à ce que les perles soient translucides et tendres. Laissez refroidir- préchauffez le four th 6/7-190°. Beurrez et sucrez de cassonade les moules-pelez, coupez les bananes en rondelles en les arrosant au fur et à mesure de jus de citron. Ensuite, répartissez les bananes dans le fond des moules. Enfournez et faites cuire le pudding 25-à-30 minutes jusqu'à ce qu'ils soient gonflés et dorés. Dégustez les tièdes dans leur moule ou démoulez-les et servez-les avec un coulis de fraises.
    ( Parfumez le tapioca avec 1 c à café de rhum après cuisson et les bananes avec de la cannelle. Pour un dessert encore plus onctueux, faites cuire les perles de tapioca dans 50 cl de lait entier et ajoutez en fin de cuisson 50 cl de crème fleurette. Bon la première recette est bien.) Miam.

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  • Page 8
    huit.
    La traversée fut de courte durée et c'était aussi bien. Car à peine étions nous sortis que l'eau se mit à tomber à très grosses gouttes.
    Nous étions frigorifiés.
    Les enfants claquaient des dents, quinze enfants vinrent se massés près des bêtes et des hommes afin d'avoir un peu de chaleur.
    Le grand voyage.
    Les aiglons endormirent les soldats,  et dès que ceux-ci avancèrent sans marmonnés, les aiglons se changèrent et ils déployèrent leurs ailes afin de protéger les enfants.


    Dans ce froid et cette humidité glaciale du début d'automne la Montagne pourrait être mortelle pour les enfants. Etonnant d'ailleurs pour la saison. Qui? Qui était derrière cela?


    Le temps ne se calmant pas, il fut décider d'entrée dans la grotte Sacrée de la première Montagne.
    Pour les enfants pas de problème, leur coeur était ailleurs.

    Ils  vivaient déjà ici et tout leur paraissaient simple.
    Mais pour les soldats... là encore ce ne fut pas facile et le Chef vint nous voir pour nous informer que ses

    soldats préféraient resté dehors sous la tente, plutôt que d'entrée dans un endroit interdit de part la loi des peuples.

    - Fais comme tu le peux, ta situation n'est pas facile Chef, mais nous, nous avons besoin de nous changer, de manger et d'un peu de chaleur aussi.

    Tu le sais...  cet été des femmes, des hommes d'âges mûrs, des enfants ont installer des marmites, de l'eau, des aliments, des vêtements et des paillasses d'herbes fines...afin que l'on fasse une bonne nuit au chaud.


    Tout est prévu pour, mais si eux ne veulent pas se joindre à nous, qu'il soit fait comme il leur semble bon, Chef. On ne va pas les incitez à désobéir à un ordre donné.
    - Princesse, ce sont les hommes qui me soufflent ça, que dois-je faire d'après vous?


    - Tu fais en ce moment ce qu'ils t-ont demander de faire...d'expliquer à la femme qu'ils n'iront pas dans la grotte... écarte tes bras en signe d'incompréhension, boude un peu, traîne les jambes et bougonne, couvre aussi tes oreilles
    .


    -Tu sais que si la beauté du paysage n'arrive pas à calmé ces brutes, alors que de voir une forêt épaisse, un lac immense et par-delà ce lac une Montagne bleue grise et à son sommet comme de la neige déjà si basse en cette saison, cela veut dire pour eux que c'est l'année de la découverte et que celle-ci serait rapide.  Rien ne pourra les calmés, prends garde à toi, fais ce qu'un chef doit faire et tiens les en ta main.


    Ils obéissent à des ordres, si tu fais le contraire, ils deviendront plus méfiant encore.


    Retourne auprès d'eux, observe les bien.Tape dans tes mains en signe d'agacement.
    -Bon j'y retourne, je crois que la nuit risque d'être longue. Je ne refuserai pas quelques nourritures, si eux n'en veulent pas, moi j'ai faim, j'ai deux corps à nourrir.


    - Oui, attends, je vais te chercher un panier, fais mine d'être impatient, avec de grands coups de pied dans la boue et des gestes avec les bras, murmurent dans tes moustaches. Tu donneras l'impression à tes hommes d'être obliger d'attendre les ordres de la femme, qu'ils commencent à détester


    .Ils observèrent leur Chef de loin, puis ils virent revenir la femme avec un grand panier, ils se demandèrent quel tour elle voulait encore leur joué.

    Voyant leur chef prendre celui-ci de mauvaise grâce, ils attendirent son retour. Ils n'avaient rien fait, pas de tente de monter, pas d'eau recueillit, rien, ils attendaient point.
    La femme entra dans la grotte et une espèce de voile tomba sur l'entrée.Ils se retrouvèrent seul.


    Leur chef arriva et ses noirs sourcils froncés leur  donna le sourire, mais le chef Barwi ( allias Hetnor)  n'avait pas le coeur à rire.
    - Qui devait monté le camp pour cette nuit? Ou sont les tentes, qui devait allumer le feu? Il hurla des ordres et ses hommes filèrent monter qui les tentes, qui faire le feu, bref s'occuper rapidement du camp. Intérieurement Hetnor jubilait, mais une part de son esprit bouillonnait de rage. pas grave, il le tenait.


    Puis il  s'installa devant la grande tente et avec les hommes regarda ce que contenait le panier. Il y avait un gros morceau de pain, du fromage , des fruits et de l'eau, juste assez pour tous.
    Leur première réaction fut de rejeter cette nourriture, mais leurs ventres affamés leur firent entendre raison.
    Page Dix.


    La surveillance continue.

    Le Chef donna ensuite les ordres pour la nuit. La pluie continuait de tombée, noyant presque le campement. encore un idiot qui a établit le camp grommela Hetnor.
    -Bon... on a manger, mais il faut des gardes pour la nuit... autour du camp et de la grotte.
    - Pourquoi de la grotte? demanda Yilo .


    - Eh bien, parce que nous sommes obligés de les surveillés, vous n'avez pas oublier quand même!
    - Non, Capitaine...
    - Stop ylo, pas de Capitaine ici, Chef suffit...
    -Oh! bon si vous voulez, bon on n'a pas oublié, mais ils ne peuvent pas franchir la Montagne, ils ne peuvent pas traversés les murs hein! Alors ça sert à quoi de rester planté là devant le trou de la Grotte?


    -Oui! je vois-bon, on va faire une chose... ceux qui sont pour surveiller la grotte, vous levez la main.
    Personne ne bougea.
    -Bien je vois. Alors nous surveillons juste le campement et au moindre signe vous venez me prévenir.
    - Ben vous allez ou Chef?
    - Pas loin Stoz, pas loin, je vais monté la garde devant la grotte. Deux hommes toutes les deux heures ...Allez.
    Deux se levèrent et avec une mauvaise grâce évidente partirent pour monter la garde.


    -" J'aimerais savoir pourquoi Aymart et Truakin se sont portés volontaire? Les hommes rigolèrent et Dragtar répondit.
    - Voila Chef, depuis le début, ils n'arrêtent pas de se pâmé devant la femme et nous on leur a dit que cette femme là elle était pas comme les autres, qu'elle était une espèce d'enseignante et que personne ne pourrai... ben, vous voyez quoi!
    - Oui, je crois que je vois bien. ( le ton était dur et les hommes le sentirent).
    - savez Chef continua Dragtar, c'est pas méchant, mais ces deux-là...ils avaient besoin d'une punition parce qu'ils avaient de drôle d'idée dans leur tête et tous les autres hochèrent la tête ( l'air d'approuver Dragtar).
    -Comme quoi-demanda Hetnor.

     

    - Ben...ils disaient que dès qu'ils le pourraient, ils iraient la voir pour lui proposait d'être ses gardes du corps personnels-et que dès qu'elle serait habituée à eux, ils en profiteraient, vous voyez hein!
    - Oui! Le mot était glacial, vous me les surveillez d'accord...


    Ecoutez, ici nous sommes dans les Haute-Terres- ici, ils ne rigolent pas avec ce genre de crime, ici, si ont fait le moindre faux pas...on ne reverra jamais notre famille. Ils nous reste une chose à faire- découvrir le camp de base et avertir nos mages. On se tiens à distance...on respects les ordres...et on fait ce qu'on nous demande même si ce sont les aiglons qui nous donnent des ordres, on obéit, c'est clair?


    C'est notre peau qui est en jeu.
    - Ouais Chef- vous avez raison... ces deux-là, ils ont pas réfléchit, moi Talbar des îles, je vais vous les surveillés Chef et dès qu'ils font un geste de trop, j'm'en ocupe.

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  • Muse parfumée, aux délices de ce mois de mai
    ou le printemps tant attendu
    est enfin venu.
    Muse câline
    muse coquine,
    se délecte de voir que
    tout enfin s'éveille.
    Elle a couru un peu partout laissant
    dans son sillage
    ce parfum si doux.
    Le printemps enfin
    est venu

    Y-LMuse du printemps.

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  • George Sand et Alfred de Musset.
    En 1833 et 1834,
    les deux écrivains eurent une aventure amoureuse qui donna lieu à un échange de correspondance.
    plusieurs lettres coquines sont arrivées jusqu'à nous
    sans que l'on ait la certitude de leur
    authenticité.
    Canular ou non, ces textes ne manquent pas de piquant
    et témoignent de la virtuosité
    de leurs auteurs, à la fois pour l'amour
    et pour la littérature.
    Ils font d'eux des amants modernes , et de
    George Sand une femme très
    en avance sur son temps.
    Lettre d'Alfred de Musset adressée à George Sand:
    Comme l'auteur l'indique lui-même,
    il s'agit ici de ne lire que le premier
    mot de chaque phrase.
    Quand je mets à vos pieds un éternel hommage
    Voulez-vous qu'un instant je change de visage?
    Vous avez capturé les sentiments d'un coeur
    Que pour vous adorer forma le Créateur.
    Je vous chéris, amour, et ma plume en délire
    Couche sur le papier ce que je n'ose dire.
    Avec soin, de mes vers lisez les premiers mots
    Vous saurez quel remède apporter à mes maux.

    (bien à vous, Eric Jarrigeon).
    Voici la réponse de George Sand:
    Cette insigne faveur que votre coeur réclame
    Nuit à ma renommée et répugne mon âme.

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