• Je vis depuis longtemps dans ce charmant village ou, le temps s’écoule lentement sauf, les jours ou les vacanciers nous envahissent. Ils prennent d’assaut les pistes, faisant tout et n’importe quoi,ivre de liberté, plus d’interdit pour eux sauf, la vitesse, la joie, l’ivresse compte pour ces gens qui…frôlent parfois la mort. La montagne offre beaucoup mais, elle sait se montrer cruelle, les moniteurs de skis et autres personnels sont là pour mettre en garde ces férus de neige…écoutent ‘ils?

    Non, ce n’est pas eux qui vont tombés dans une crevasse ou encore déclencher une avalanche,non, ça c’est pour les débutants et pourtant…il n’y a pas que les autres qui subissent les écarts de conduites de ces gens imbus d’eux même. Les sauveteurs risquent leur vie, et là…ils laissent derrière eux femmes et enfants. C’est ça la réalité de la montagne, tout comme pour la mer …belle, paisible et d’un coup froide et mortelle. Ma petite station de sports d’hiver en a fait les frais bien trop souvent.

    Je clos mes volets, je ferme ma porte. C’est décidé à trente cinq ans, il est grand temps de partir car, plus rien ne me retiens ici. J’ai perdu mon tendre époux lors d’une de ces explosions que l’on entendait dans le fond de cette vallée incurvée. Mes parents étant à Lyon, je me disais que peut être là-bas, il y aurai de la place pour moi.

    Pourtant en écrivant à ma mère, je sus qu’il y aurait un problème. Je l’entendais déjà: » Ma chérie, les temps sont dur pour nous et nous ne pouvons te prendre avec nous. Ton père crois-le bien le déplore bien plus encore que moi, mais que veux-tu à nos âges! » Bref, je pensais connaître sa raison. J’envoyais quand même mon courrier et j’attendis ardemment la réponse.

    Réponse qui ne vint que deux semaines plus tard. Sous le pli assez épais, il y avait une lettre que je m’empressais d’ouvrir et de lire. Voici en quelques lignes les mots qui ont ouvert mon coeur en deux.
    « Madame, je ne suis que la voisine et si je me permets de vous écrire, c’est parce que votre lettre est arrivée chez moi. Vos parents sont décédés d’un accident de la route. Le chauffard a été appréhendé.

    Ma lettre ne vous apportera certes pas le réconfort que vous souhaitiez et je m’en vois désolée pour vous. Sachez que vos parents vous aimaient d’un grand amour. Le Notaire M. Fostilio de Lyon vous envoie ces documents à signer. Il se fera un plaisir de vous recevoir croyez-le bien. Mes mots vous feront sans doute souffrir, ne m’en veuillez pas. Madame Dubois Lerijeanne, Françoise.

    Comme de fait, cela me fendit le coeur en deux. Mon père passe encore mais…ma mère! L’oeil de mon oeil, la joie de ma triste vie. Elle s’en est aller sans savoir à quel point je l’aimais. Je fondis en larme et ces larmes furent pour moi une délivrance totale car, pour mon cher amour, je n’avais versé aucunes larmes.

    Voir et croire en l’avenir, c’est ce qu’il me reste.

    Malgré ce coup du sort, je partis pour l’étude du sieur Fostilio. Je devais comprendre ce qu’il s’était passé, voir s’il y avait des remboursements à effectués, les obsèques ne sont généralement pas gratuite, je voulais entendre le compte rendu de l’accident, j’en avais besoin.

    Deux jours passées dans un drôle d’établissement au fond d’une impasse, me fit regretter de mettre mise en danger, c’est ce que je ressentais au fond de moi. Heureusement, mon ange gardien veilla sur moi durant ces deux trois jours ou j’attendis M. Fostilio.Quand enfin je fus reçu par le soi-disant Maître Fostilio, Je perçus chez lui l’envie de m’escroquer qui me fit froid dans le dos. Bref, tout alla pourtant très bien. Il n’avait que l’apparence d’un truand.

    Devenais-je trop méfiante au risque de paraître sèche, impolie? Il m’expliqua qu’il n’avait que peu d’information, la police pourrait certainement m’en expliquer plus puisqu’ils avaient ( les policiers) les tenants et aboutissants de cette triste histoire. Lui, il ne pouvait que me donner des explications sur les comptes de mes parents.

    J’appris que les Pompes Funèbres ne me demanderaient rien puisque mes parents avaient un plan obsèques conséquent et que leurs directives en vue d’une inhumation était écrites en noir et blanc et déposé chez Notaire. Notaire qui me fixait et me rendait nerveuse. Le surplus, me serait versé plus tard. Quant aux autres comptes, il fallait attendre que tout soit en ordre pour que je puisse en jouir pleinement. J’appris que les deux comptes réunis, me permettrait de bien vivre sans travailler, J’en restais comme deux ronds de flan.

    Dire que mes parents étaient économes…c’est peu dire. Maître Fostilio m’apprit qu’en fait ils avaient gagner au loto une très grosse somme d’argent, qu’ils ne s’étaient pas emballés et avaient fait fructifié leur pécule si on peu le dire ainsi. Bref, mes parents ne me laissait pas sans le sous, c’était incroyable.

    Après d’autres petites explications et une autre prise de rendez-vous,

     

     

     

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  • Son coq de combat était sa fierté, un superbe gallinacé musclé de la crête aux ergots. Mais voila qu’un matin ce glorieux Gladiateur mua, il ne poussait plus son Cocorico.
    En ce matin de combat Gladiateur devait combattre Wikingum. Il se tortilla, chercha ses poules puis se dressa fier guerrier. Son cou se tendit et couac! Plus de bruit, rien, nada, aphone? Non, un cri strident jaillit un peu comme une craie sur le tableau, qui crispe les nerfs.

     

    Le pauvre Glad se tourna de tout les côtés, se demandant qui avait osé lui faire cette farce stupide. Un rival se cachait-il parmi ses poules? L’un de ses poussins devenu grand se targait-il de mettre au défi son paternel?

     

    Ou était-il se rufiant, qu’il lui montre qu’il ne fallait pas jouer avec ses nerfs, surtout ce matin…après tout Wikingum n’est pas un coq de coeur loin s’en faut! Belliqueux, arrogant, un peu plus lourd que lui, un peu plus vif aussi et ses ergaux sont réputés pour être tranchants comme le couteau qui saigne les vaincus, alors…lui faire ça, à lui…que le drôle se montre!

     

    Les poules et poulettes s’étaient tues, elles le regardaient en attente de sa colère. Puis, elles caquetèrent tout en le fixant. Quoi! C’était moi ça?, ce cri impardonnable entre chouette effraie et chat en furie?

     

    Oh,oh, cela allait être d’un drôle. Il réfléchit puis décida de se taire. Quoi de plus déstabilisant qu’un cri de guerre terrifiant? Le gros Winingum allait en faire une crise et c’était un bon coup à tenter. Oh oui, cela allait le paralyser comme les poules. Il fit gonflés ses plumes, le regard fier, il se tint droit attendant son coach.

     

    Puis le départ,
    _Ben alors Glad tu fanfaronne pas ce matin? Tu me fais quoi là petit? Tu te sent pas bien? manquerait plus que ça! J’ai miser gros sur ce coup là petit,une somme rondelette mon petit vieux! Tu te couche et j’empoche un gros paquet de quoi passer ma retraite en bordure de mer avec bobonne. Ah Glad que de fric tu m’as fait gagner. Je vais te regretter pour sûr.

     

    Mais vois-tu c’est ça la vie…bon allons Winingum t’attends, bats-toi au mieux mon petit, après ta vie sera comment te dire…les mots me manquent tu sais!
    -Eh!Blaise comment va Glad on ne l’entend pas? Wigin, je l’ai bichonné, il a bien bouffé ce matin et t’aurai entendu son cri! ce monstre attend d’ergots ferme ton petit vieux…bon on y va Blaise tu me suit?

     

    Blaise furieux contre lui-même regarda son bon vieux Glad. Un froid immense s’invita dans ses entrailles puis, l’impression d’être un lâche, une misérable canaille, profiteur sans coeur…un sursaut de sa conscience lui fit dévier le chemin laissant son concurrent déblatérer au loin.

     

    Il poussa un soupir, regarda son coq, son Glad puis gémissant, lui dit: »Faut pas m’en vouloir petit, je vais faire marche arrière, j’ai confiance en toi, tu pousse ton cri de guerre, tu lâches rien et je te le promet…tu vieilliras avec tes poules et tes poulettes.

     

    Je vais tout remiser sur toi et même si tu perd mon tout beau, je serai fier de toi à tout jamais. Personne médira de toi. Tu es le Gladiateur et tu le resteras. Le coq se dressa prêt à chanté mais, se retint, son oeil rond, noir et marron le fixèrent et Blaise gonfla sa poitrine.

     

    _Okay petit, okay, dérouille moi ce gros lourd.
    des bruits de pas, une clochette résonna, des voix grondèrent, des pieds frappèrent le sol, de la poussière se souleva créant avec un rayon de soleil une espèce de mirage et dans ce mirage, Gladiateur se dressa.

     

    Ses ergots de quatre centimètres prêt à s’enfoncés dans la chair de son ennemi. Son bec d’un noir presque brillant, crochu et son regard acéré semblaient dire…voila je suis ici, ou est mon adversaire?
    une trappe s’ouvrit…Winingum apparut confiant, roulant des mécaniques..son regard un peu lourd se posa sur Glad . Il dressa sa crête,montra ses ergots fins, limés.

     

    Un gong, un cri, un rire, du sang, des plumes, des hurlement puis des pas qui se précipitent.
    _Pourquoi il s’est pas couché, ton volatile devait se coucher devant Winingum. Regarde ce qu’il en a fait, de la chair à pâté! J’ai perdu mon Winingum;mon gagne pain, j’ai perdu du fric…tous ça à cause de ce drôle de cri. D’où il vient ce cri d’abord?

     

    Et là devant Bastien ahuri et bien que blessé Gladiateur souleva sa carcasse et poussa son drôle de cri à glacer le sang.Blaise était si fier de son petit Glad qu’il ramassa les plumes de son champion après tout…cela lui appartenait. Et depuis me direz-vous?

     

    Eh bien Gladiateur à sa photo en vue ses pattes sur un beau paquet de billet. Dans son poulailler, il vit comme un pacha. Six belles poules et quatre poulettes…de quoi se gonflé d’orgueil chaque matin. Ah oui son cri! Lui aussi possède son petit avantage,il fait fuir les chats,les oiseaux ainsi ses poules sont bien grasses comme il les aime. Un coq en pâte en quelque sorte.

     

    Une belle retraite bien mériter,un coq peut vivre entre cinq et sept ans, voir plus…y.l.
    sur une idée de Pascal Perrat.

     

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  • Un feu orange, rivé à sa routine, en avait marre de clignotait bêtement.Un beau matin, je clignote encore, un coup de soleil trop puissant et me voila t’y pas que je passe au jaune! C’est quoi ce délire là? Bon d’accord j’ai dit que je voulais passé au vert du genre…aller me balader ,voir du pays, me dorer la pilule,voir la mer, les vagues,les embruns,respirer l’air pur…quoi! C’est trop demander? Ben finetoto me voila jaune.

    Je vois d’ici Rouge qui pousse un gros soupir, eh oh ça va toi là-haut joue pas au snobinard hein! Non mais des fois, c’est pas parce que Môssieur se trouve perché là-haut qu’il doit p…. plus haut que son c.. Moi aussi je peux le faire…tas l’un… Bon Vert lui si sensible, si printanier me boude à son tour. En voila des manières, c’est pas ma faute et quand la,la,la,la comme le dit la chanson c’est pas ma faute à moi!

    Okay je suis pas une Lolita…je sens que la journée va être très,très longue. Ceux qui roulent de jour comme de nuit vont se demander si c’est du lard ou du cochon, quant’on sait que c’est du pareil au même hein! Je suis d’humeur taquin et ope un coup je fonctionne, un coup je m’éteins…

    faut voir la tronche de ceux qui sont en bas,je m’éclate tous seul sur ce coup là, les deux autres me battent froid,z-ont plus qu’à prendre un pisse-mémé et le tour et jouer. Moi je veux seulement un peu de détente,c’est pas demander la Lune ça !Si! Eh ben flûte.

    Je campe sur mes positions. Un coup je suis là et ope un coup j’y suis plus. Ah la liberté qu’est ce que c’est cool…j’aime ça, ce petit vent de révolte qui cligne en moi. Oh et puis re-flûte, voila le fouteur de trouble qui arrive avec sa casquette de travers, ses yeux qui vont soit d’un côté, soit de l’autre eh!!!tu fais le milieu de temps en temps?

    Il branche son appareil et voila…Détection d’un disfonctionnement. Il aboie un : » Chef je répare ça dans dix secondes, un fils qui se…-j’en ai rien à faire , répare moi ça, c’est un vrai foutoir ce carrefour , vivement qu’on installe les nouveaux, là il n’y aura plus de problème._Bien chef, je termine.

    Fini ma vie de bohème, retours au train train quotidien, allez les pollueurs roulez donc et faites gaffes à vos petits points. Moi, Nous, vous nous voyez bien n’est ce pas! Ben les prochains vous feront pas de cadeaux. Téléphones en main, ceintures non mises, passage à l’orange et on vous écrase…Gardez-vous bien. y.l.
    Sur une idée de Pascal Perrat.

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  • La cure de jouvence à laquelle il ne croyait pas, dépassa toute ses espérances. Il rajeunit de dix ans. S’il avait été raisonnable, il en serait resté là mais à quarante cinq ans, on n’en faisant à présent que trente cinq à peine…il pensa en lui-même qu’avoir sept ans de moins se serait formidable surtout en ayant en tête tous ses souvenirs…c’était pertinent non!

    Connaître tout, ne pas refaire les mêmes erreurs surtout celles au sujet des femmes, si jolies soient’ elles…Non! Il voulait en sortir avec ce tourbillon de femmes accrochées à ses basques parce qu’il est fortuné. Rien que le fric, c’est ça qui les intéresses . Maintenant, il a compris avec cet âge de vint trois ans, elles ne seront plus comme toutes ces Fourmies à tourner autour de lui afin de l’épinglé comme un vulgaire papillon.

    Oui, oh oui et tans pis pour cette toute petite indication écrite sur la pierre à demie enterrer.
    « A toutes les personnes avides de jeunesse…peu vaut mieux que beaucoup. Six ans de moins, vaut mieux que vingt ans de plus, que votre esprit reste clair pour votre bien. »

    Ben voyons pensa Dorian Remlak, c’est pas à lui qu’on va faire le coup du peu vaut mieux que beaucoup, lui qui ne cesse d’amassé sans rien faire ou presque…hors de question. Il voulait revenir à cet âge de insouciance, ou enfin chez lui sans personne pour lui dire quoi faire, sortir, faire la fête jusqu’à pas d’heure et reprendre les cours sans aucunes fatigues…Oh oui il voulait ça avec tous le reste. Alors sans plus réfléchir, il se pencha et souriant pensa à l’âge qu’il souhaitait avoir.

    Les yeux brillant de ce rêve éveillé, il aspira de longue goulée d’eau. Il se redressa, respira fortement, cligna des yeux. Tout lui semblait un peu flou. Prenant son mouchoir, il s’essuya les yeux. Il pesta et rageur se dirigea vers sa voiture. Il regarda sa main, cligna des yeux puis refoula l’angoisse grandissante.

    Il osa se regarder dans le rétro intérieur. Il poussa un glapissement, sa tête roula, son corps le lâcha…il perdit connaissance. Lorsqu’il revint à lui, il regarda le dessus de sa main, le tremblement revint, sa peur grandissait, ce n’était pas vrai…il rêvait ça, c’était ça oui c’était ça! Il poussa un long soupir, ferma les yeux, se laissa glisser dans le sommeil.

    Un bruit effroyable le ramena dans le monde réel. Il démarra sans un regard en arrière, il prit la poudre d’escampette. riant à gorge déployée, il fila vers l’aéroport le plus proche…monta dans l’avion, s’installa et attendit. Lors du vol qui le ramenait vers la civilisation et son mode de vie, l’hôtesse lui demanda d’une voix douce: » Monsieur désirez-vous une boisson? »

    Quelle belle femme pensa t’il. Il lui demanda le regard neutre._Quel âge avez-vous Mademoiselle?
    Rosissante elle lui répondit: » a vous Monsieur je peux le dire n’est ce pas!
    _Ah bon et pourquoi cela? répliqua t’il vexé.
    _Oh vous me faites penser à mon grand-père…un homme formidable quant à mon âge, je viens d’avoir vingt cinq ans. Monsieur! Monsieur vous allez bien? ébêté, frigorifié, le coeur battant à tous rompre, il suffoqua.L’hôtesse fouilla ses poches , fébrile elle lui demanda: » Ou sont vos médicaments Monsieur? »

    _Je n’ai pas de médicaments, quel âge pensez-vous donc que j’ai?
    _Oh à voir comme ça…soixante ans passé et votre coeur est faible, restez calme, nous avons un médecin dans l’avion il va vous aider.
    _Oh Dorian! Tu te réveil? Eh mec ouvres les yeux allez quoi! Une claque assez forte le fit gronder.
    _Allez vieux, il est l’heure et si tu veux prendre l’avion pour rajeunir…c’est le bon moment.

    Dorian ouvrit les yeux, les posa sur Christ puis éclata de rire. Il saisit son partenaire et toujours riant aux éclats, il dit en s’étouffant presque : » Jamais mon vieux, jamais je ne ferais cela…ma vie me suffit crois-moi c’est une perte de temps…une chimère qu’il vaut mieux ne pas déterrée. je reste ici. Si toi tu le veux encore…fais le donc mais pour moi cela restera un rêve et ça le restera.

    Un rêve à vivre bien allongé dans son lit. Quarante cinq ans c’est un bien bel âge non? Je garderai la forme pour mieux vivre. Ah Crist j’aime ce que je fais et je le fais bien pourquoi, tout perdre sur un coup de poker?

    Dorian utilisa cette devise sur l’une de ses construction.
    « Mieux vaut peu que beaucoup » et ce fut un succès. Comme quoi!
    Sur une idée de Pascal Perrat.

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  • C’est une forêt domaniale, Lulu en a hérité. Chaque arbre porte le nom du membre de la famille qui l’a planté. Aujourd’hui, Lulu a décidé d’éclaircir quelque chose avec Féfé.
    _ah Féfé dis-moi donc. J’ai compté les arbres, il y en a quinze en tout, ils sont immenses du moins certains le sont. Ils sont très serrés les uns contre les autres, ils se murmurent des choses entre eux quand, je suis près d’eux, ils se taisent un peu comme si, je n’étais pas des leur. Le doute devint une évidence quant à la réunion familiale du mois de juillet et si tu te souviens bien de ce moment là; j’avais demander à la famille de se groupés devant les arbres pour une photo.

    Tout se passa bien.En fait de photo, je fis une vidéo, lentement je me suis approchée et là…Je n’eus plus de doute ,même les autres ont perçu ce mal être que quelque chose n’était pas net. Au plus vite, ils se sont empressés de venir vers moi, sous le motif futile que sous les arbres…il faisait froid.

    La belle blague. Trente degré, vingt quatre sous les arbres et il faisait froid! Les rires étaient faux et même Victorine la petite tornade n’était pas dans son élément. Son regard si brillant habituellement, était terne, elle se tenait tranquille, trop tranquille. Pour tout te dire Féfé cela me fit, froid dans le dos.

    Le lendemain, j’ai visionné la vidéo…quelle horreur. Dis-moi Féfé j’ai le droit de faire ce que je veux de la grande parcelle n’est ce pas?
    _Euh…Lucinda dans les grandes lignes …oui mais euh, non, c’est délicat pense à eux enfin! Tu ne peux les éliminés alors qu’ils sont si bien ancrés, qu’ils se plaisent, qu’ils ont trouvés leur place. réfléchis Lulu et puis qu’en ferais-tu?

    _J’ai eu l’idée du siècle Féfé. Des chalets de cent mètres carrés de quoi réjouir toute la famille en été. De la place pour tous, chacun sa chambre, chacun son emplacement, chacun son souvenir…tu trouves pas cette idée pharamineuse?
    _Un chalet pour chaque membre, ce qui veut dire neuf chalets mais…il en manque un!
    _Oh ne t’inquiète pas Féfé, je garde le meilleur pour moi.
    _Ah bon! Et quoi donc Lulu?
    _Je vais me servir du gros chêne et créé un magnifique restaurant avec trois pièces , cuisine, salle de bain pour moi.
    _Okay Lulu et que feras-tu de l’arbre à Dédé?
    _Lui! Oh lui , il va assister à tous cela. Il verra ses frères, cousins finir en belles planches qui, à leur tour deviendront de beaux chalets, qui seront habités par des familles. Des cris, des rires, de la vie. Adieux leur tranquillité.

    _Pourquoi fais-tu cela Lulu?
    _Ben voyons…vois, je n’ai jamais fait partie de la famille. Chaque réunion me laissait de plus en plus écarté par la famille, par leur regard amers. Je voyais leur colère, leur haine, leur envie de me voir morte. Pourquoi, pourquoi, qu’avais-je fais moi l’enfant sans père et sans mère?

    Dis-moi toi qui sais tout dis-moi, j’ai tans besoin de comprendre. Pourquoi cet héritage? Oncle Fran-fran m’a tout légué, j’ai tout les droits, la fortune m’appartient…les autres non rien reçu. Leur haine me poursuit jour et nuit alors dis-moi pourquoi?

    Féfé me regarde, ses yeux brillent de larmes contenues. Il baisse la tête, se tord les mains puis dans un souffle commence à me raconter mon histoire. L’histoire cruelle de ma pauvre vie. a la fin de cette atroce découverte, je compris une chose…et mon coeur devint encore plus froid.

    Féfé ne verra pas la construction, il ne verra pas le bazar complet, les déchets, le feu ou les restes de ses frères finirent enfin leur vie. Mais Féfé verra ma réussite car de son arbre bien que petit,naîtra la mascotte du village vacances. Yvan le charpentier fit un excellent ouvrage.

    Féfé et son courage, Féfé le protecteur de la vilaine graine venue mettre sens-dessus, dessous la vie bien réglée d »une mini communauté d’hommes aimant tout dénigré…et voulant encore surveiller au travers l’esprit nature d’un arbre la vie des survivants. Féfé qui prit si souvent ma défense, féfé restera le protecteur de bien des familles en surveillant de son pied de granit la vie qui continue.

    Il est beau mon Féfé, sa haute silhouette de gardien plaît même aux passant. Un beau Dogue assis tel un sphinx le regard perçant , presque menaçant, gardant l’entrée du domaine. Je pose souvent ma main sur sa tête bien faite et comme lui j’attends. Le domaine sera bientôt envahit par cette bruissance de la vie…aimons-la, elle nous le rend bien.y.l.
    sur une idée de Pascal Perrat.

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  • Sur l’étal d’une fleuriste, une fleur lui sourit. Croyant avoir rêvé, elle revint sur ses pas pour s’en assurer. A son grand étonnement, la fleur avait disparue. Le coeur serré, elle appela la jeune femme qui l’instant d’avant, se tenait tout près de cette beauté.

    Tout sourire, la jeune vendeuse se pressa auprès d’elle afin d’accéder à ses désirs.
    _Mademoiselle, en passant j’ai aperçu une merveille. Je suis revenu sur mes pas mais elle ne se trouve plus à l’étal. Pouvez-vous me donner le nom de cette fleur…j’aimerai tant la voir dans mon intérieur. Elle magnifierait par sa grâce, par son port de reine,par ses douces couleurs la terne vie de mon intérieur.

    Étonnée la jeune femme sembla chercher dans ses souvenirs. Elle sait que son fournisseur lui a livrer hier dans la soirée de belles beautés…de cela elle le sait bien. Son étal ce matin en regorgeait mais une lumineuse au point de redonner vie à un intérieur fané…ça! Elle ne se souvenait pas d’en avoir ne serais-ce une parmi les belles de jours et encore moins des belles de nuit.

    Oh se dit ‘elle, une comme celle-là pour sûr, elle l’aurai bien garder rien que pour sa propre petite vie. Son appartement de cinquante mètre carré, ses meubles désordonnés, le bruit et l’odeur du resto chinois, le miaulement strident des chats se battant pour un peu de poulet frit. Son regard se voila.

    Un sourire prit vie sur sa face rebondie. Un éclat de lumière la rendit telle qu’elle était vraiment…belle comme la ribambelle de fleurs qu’elle aimait, comme la douceur et l’éclat de sa peau au doux soleil. Telle sa joie, la tendresse qu’elle apportait aux petites gens qui venaient rien que pour discuter un tout petit peu avec elle.

    Elle leur donnait pour la journée de quoi respiré, de quoi se souvenir que ce jour sans éclat devenait grâce à sa tendresse, à son sourire un bon moment de vie. Une vision simple dans une très très longue journée. Ébahie, elle remercia la jeune fleuriste lui disant qu’elle reviendrait dès demain dans la matinée.

    Souriant à nouveau, la fleuriste donna pour la fin de sa journée de quoi lui rendre sa gaieté. Dès le lendemain et depuis-lors, Marie-Noëlle et Fleur devinrent les meilleurs amies du monde. Marie-Noëlle reconnut par la suite qu’un rayon de soleil avait éclairé le doux sourire de Fleur alors que celle-ci avait le visage presque enfouie parmi ses belles de jours…que l’éclat de son regard avait donné cette impression qu’une fleur lui souriait.

    Plusieurs jours passèrent. Marie-Noëlle et fleur ne se quittèrent plus. elles ouvrirent un magasin ou l’enseigne donnait à elle seule le sourire.Voulez-vous connaître ce nom? A la fleur qui sourit. Quand le rayon de soleil se fait bien pâle…Le doux sourire de Fleur, le remplace très bien. y.l.
    Sur une idée de Pascal Perrat.

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    Que suis-je pour toi?

    Arthur, Arthur! La voix grondante qui m’appelle n’augure rien de bon. J’en suis la cause mais j’avais des circonstances atténuantes…Les prendrait-il en compte? J’en doutais, il n’était pas du genre à passer à côtés de fautes graves ou non. Alors là, c’était à coup sûr une faute hyper grave.

    Je me tourne vers le son des pas qui arrivent au triple galop, le faire courir lui! Presque deux mètres pour cent trente cinq kilos de muscles…c’est comme de voir un taureau fou sortir de l’enclos ou des tas de gens l’ont hués, frappé, poursuivi de leurs cris dément, il fondit sur moi tel le mastodonte qu’il est.

    _ Ou est Lysie?
    _Ah euh! Elle est là-bas dans ce drôle d’endroit qui ne ressemble à rien si ce n’est, à un hangar ou des tas de motards et d’autres personnes d’un genre douteux, n’arrête pas de s’engouffrés.Elle m’a dit, qu’elle sentait l’endroit. Que c’était là qu’il fallait aller, moi, j’ai répondu que tu nous as envoyé au « Sun May »…ça, c’est genre lounge pas clair.

    J’allais la suivre quand deux mecs un peu bourrés m’ont pris à parti en riant comme des cons. J’ai pas compris un broc de ce qu’ils me disaient puis ma copine et son amie me sont tomber dessus à bouche que veux-tu et l’autre qui me palpait les fesses sans vergogne, j’ai repoussé ma copine et reluquer froidement l’autre qui, me lança un regard gourmand en se passant la langue sur ses lèvres beurkk.

    Ma copine voulait encore des baisers mais je l’ai repoussé en lui expliquant que j’étais en service. Alors, elle a pris le coude de son amie puis me lançant un drôle de regard, elle lui a murmuré  » Allez viens on a fait ce qu’on a pu pour le freiner, viens avec moi…on va bien rire »

    J’ai pas percuté sur le moment. Ne voyant plus Lysie, j’allais la rejoindre quand j’ai entendu ta douce voix.

    -C’est pas possible, t’en rate pas une toi hein! T’es là depuis quand mon vieux hein!
    Oups répétition de Hein de la part du géant c’est pas bon ça sent le roussi pour pépère.
    _Ma faute à moi si Lysie n’écoute rien? M’a faute si cette fille n’a pas une once de peur? Non, pas de ma faute. Quant-elle décide quelque chose, elle fonce et tans pis pour les autres.

    Le géant va me passer un énorme savon. En clair, j’en ai ma claque de cette gonzesse, dix mois qu’elle a embaucher chez nous, huit mois qu’elle me fait grave chier . Elle ne s’entend avec personne, sa rage met tous le monde en danger. Certes elle a de bonnes connaissances dans ce monde tordu, mais faut pas pousser.

    Le regard froid du géant me glace
    _Ecoute Alban elle devait m’attendre, elle devait venir avec moi, on devait discuter de la façon d’approcher notre cible. Cette fille, c’est un électron libre. Elle se fout des autres, il n’y a que sa petite personne qui compte, elle ne pense qu’à sa vengeance. A ton avis pourquoi personne ne veut d’elle? C’est pareil pour moi, j’en veux pas comme coéquipière…

    Elle va me faire tuer sans un remord alors tu vois là…Je m’en tape de ta petite recrue. Vas-y toi dans ce lounge, tu as la carrure pour,pas moi. J’ai trente ans mon vieux. J’ai encore envie de vivre. Si tu veux me jarter, te bile pas, je trouverais un autre boulot moins chiant avec un zéro en plus sur ma fiche de paie.

    Lui!

    _Okay Arthur, Okay j’te jette pas la pierre, c’est pas ma gonzesse, ça aussi je te comprends l’erreur est facile vue comment je la couve. Allez « vieux »! (Il a bien accentuer sur ce mot « vieux ») Tu entre le premier, tu fais ton cirque, j’arrive derrière toi et je vous couvre. On doit la sortir de là et après je lui foutrai une sacrée mandale pour son manque de jugeote, ça roule?

    _Ouais on y va mais pour moi c’est la der de der, j’en veux plus. Pas normale cette meuf. Je grogne,mais, j’exécute les ordres. Le bouge est plein à craquer ça pue les mâles mal lavés. ça claque les verres, ça rugit. Je la voie attabler au bar, elle sirote une boisson bizarre en clignant des yeux sous le regard fourbe du barman qui, lance des œillades à un gros bras qui attend devant un grand escalier.

    Je m’approche en faisant le mec bourré, de loin j’aperçois ma copine lovée dans les bras d’un musclor qui lui titille l’oreille puis le cou. Elle gémit je l’entends de loin pour dire…la classe. Une main m’accroche, un sourire à voir le soleil plus pâle que d’habitude me fiche la peur de ma vie, sans blague! Le mec est hyper canon. Il me reluque de bas en haut vitesse grand V.

    Il m’indique la chaise libre, je fais non de la tête et dans un phrasé plus que débile, je lui dis: » m’en vais lui faire voir moi, pas le temps pour un truc avec toi même si j’en bave d’envie ». Il rit et son rire étire mes tripes, merde, c’est pas le moment pour ça là! D’une façon majestueuse enfin pour moi, je contourne le beau mec. Je m’approche de ma proie, mets la main sur son épaule…une loque, elle glisse le long du bar. Je la rattrape beuglant un  » Géant, arrive vite ».

    Le barman me reluque puis me dit pince sans rire _
     » Géant arrive vite? C’est quoi ta boisson? J ’connais pas. Indiques les ingrédients ça va faire fureur.
    _Ah pour ça mon pote, ça va faire fureur attends ça viens.
    La gonzesse m’écrase les bourses je remonte un peu la nana.

    Le gros balèze de l’escalier s’amène.
    _Besoin d’un coup de main petit?
    _J’t'ai pas sonné mec alors lâche la grappe, ma copine tient pas l’alcool la p’tite conne. Je vais lui faire perdre sa manie de me tenir tête. Son oncle arrive et c’est encore moi qui vais trinqué…merde.

    Mon beau mâle arrive vers moi et Géant aussi je respire, trop de mecs gros bras pour moi, ça craint des masses.Quoi? Oui je suis Bi et alors? Je crache sur rien c’est pas mon style et les mecs le sentent.

    Bon là c’est vraiment pas le moment. Beau mec se fait littéralement bousculé et jeter à terre par Alban furax de voir sa petite dans cet état, une loque humaine. Elle respire mais à peine.

    Quelle daube a t’elle respiré, bu? Trop lourde pour moi. Mes bourses protestent, mon teint doit le faire voir car Alban la saisit vite fait sans rien dire l’oeil étincelant de haine, fixait sur le barman qui n’en mène pas large.

    Une petite bagarre!

    Balèze s’imagine plus fort que prévu et empoigne un Alban sur les nerfs. Les poings lui démangent, relax Alban, tu vas pouvoir te défouler, sans blague, je vois balèze qui marmonne quelque chose et bang, bing, bing, vlan,paf le pif du balèze se tord, saigne à flot, ses dents se retrouvent par terre. Ses mains, forment un drôle d’angle. Okay Alban est en mode destruction.

    Le bar est devenu très calme. Les mecs reluquent ce qui se passe sans moufté puis trois d’entre eux s’invitent à la fête. Alban charge furax, une petite poupée de chiffon sur le dos, calé avec sa ceinture et celle d’Alban Bon, j’ai pigé, j’entre dans la danse et comble de bonheur pour moi, beau mec se joint à nous…oh la chance! Il me plaît.

    _Arthur! Beugle Alban on s’casse fissa la petite a du mal à respirer.
    _Compris boss. Beau mec entre alors dans une fureur égale à celle d’Alban. Je regarde médusé le ballet qu’ils m’offrent, j’en reste baba. Mon ancienne copine braille un : » visez ses couilles, il les a fragile ». Super classe Monica, vraiment classe.

    Elle se prend une baffe monumentale du mec qui un instant auparavant, lui bouffait la glotte sa main fourrée dans sa culotte. Pour un peu j’applaudirai mais c’est pas mon truc, ok j’aime pas qu’on baffe les femmes…mais pour elle….je ferme les yeux.

     

     

    . Deux gonzes l’empoigne avec sa copine reluqueuse puis disparaissent. Le gonze lui arrive en faisant craqués ses doigts le con, s’il s’imagine me faire peur…il va avoir une méga surprise.

    Il fonce sur moi, je le cueille d’un direct au plexus, il reste debout le souffle court. Je lui flanque de nouveau un coup puissant sur la nuque qu’il m’offre comme sur un plateau. Un ouf, un grognement, le mec est encore debout. Je reviens vers lui et je l’achève avec un coup chassé du pied là…y a plus personne. Avachie sur une table, le regard vitreux, je soulève sa gueule et lui assène une mandale digne d’un lutteur.

    _ça je lui crache, c’est pour tout à l’heure, on frappe pas les nanas même si elles le méritent. Tu t’enfonce ça dans le crâne mec! Une main se pose sur mon épaule. Je me tourne prêt à me défendre. Mon poing crispé, beau mec me sourit

    _ »Ton pote s’est tirer, viens avec moi sinon t’es dans une merde totale ». Je fais « ok » de la tête. Il me saisit et vlouff on disparaît.

    Bon là… je sais que beau mec est très différent de moi mais basque je m’en tape. Après une course qui nous a entraînée dehors, je vois une mustang noire qui nous fait de l’oeil.
    _ »Tu montes »? Oh que oui je monte. Nous voila dans cette merveille, il conduit super bien, super vite,ça me grise.


    Je lui jette  un regard d’envie, il me sourit.
    _Çà t'embête si je t'emmène chez moi pour la nuit et peut-être plus, à voir?
    _Bien au contraire, je suis partant pour la nuit sauf, si tu as une grosse faim, ou si tu as certaines envies qui ne sont pas compatible avec ma façon de voir les choses. Tu me captes là?
    Il rit de bon coeur. Son rire le rend encore plus beau.

     

    Merde, je suis dedans ça c'est sûr!
    _Au fait je m'appel Arthur Vram, j'ai trente ans et je suis libre de ma vie. Il me reluque vite fait, sourit à nouveau.
    _Moi, c'est Alian Crolk, j'ai disons ton âge depuis bien longtemps. Je suis libre de ma vie moi aussi. Je travail pour une assemblée d'hommes et de femmes aux service de l'humanité. Je suis un gardien pour que tu comprenne bien/ mes responsabilités sont grandes et ce soir, j'ai compris que le bar ne servait pas que de la mauvaise bière.

    Grâce à vous, j'ai la certitude que le patron et ses acolytes baignent dans un lac noir. Ce soir, je vais prendre soin de toi mais,dès demain, je reprends le travail. Dis bien à ton boss que l'affaire des filles sera réglé dès demain soir.
    _Okay, t'es quoi un...Il me coupe la parole et d'une voix froide m'assène:"un exécuteur" voila ce que je suis, tu veux rentrer chez toi?

    _Ben non pourquoi ça ?
    _Humm t'es bien le premier à pas flippé quand je lui dis ce que je suis réellement en plus de ma nature.
    _Ah! C'est quoi ta nature?
    Mon téléphone sonne

     

     

    _ Sauvé par le gong, hein!
    Beau mec sourit.Je décroche. Alban et furax, il a eu peur et ça c'est pas bon quand Alban à peur.
    _T'es ou bordel de merde?
    _Cool boss, je vais très bien, je suis avec un ami pour la nuit et je rentre dès demain. Au fait dès demain soir, il va y avoir un sacré ménage au Lounge d'après mon ami Alian ce sera très vite ...

     

    Eh merde j'en ai mare qu'on me coupe la parole. Alban braille
    _"T'es pas avec ce taré d'Alian Crolk hein? Tu sais au moins qui il est hein? Tu veux te réveillé avec plus qu'une gueule de bois? Et ton cul, tu y tiens à ton cul Arthur?
    _Ben ouais Alban, tu le sais très bien, c'est mon bien le plus précieux, que je garde pour celui qui sera mon compagnon de vie. Alors, oui Alban, j'y tiens et toi...tu tiens à quoi Alban? Penses ce que tu veux, mais j'ai confiance en beau mec.

     

    _Okay, t'es déjà pincé pour comprendre, sache quand même qu'il n'est pas vraiment humain. Qu'il est l'âme damnée d'une société secrète qui n'ont pas la même vision de l'humanité. Ils ne font rien pour rien. Alors, même s'il est hyper canon ce mec, c'est un assassin de premier ordre. Il n'obéit qu'à eux. Tu ne compteras jamais pour lui comme toi tu le souhaiteras. Son orgueil est plus puissant que l'Amérique Tout genre confondu.

     

    Arthur mon ami, reste prudent et ramènes tes puces dès demain soir. Donnes moi de tes nouvelles tu veux bien? Même un texto tout simple ça m'ira, t'es ok Arthur?
    _Eh bien Alban, si j'avais su ça avant, j'aurai pu te dire un tas de trucs, mais je sais bien que t'es pas comme moi. Bon c'est ok pour ton texto-Attends...bon okay je raccroche.  Salut Alban à demain.

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