• Cette révolutionnaire française est diplômée institutrice en 1850 à vingt ans. Elle ouvre alors deux écoles libres en Haute-Marne puis à Paris.
    Elle s'intéresse à la misère populaire, professe des idées révolutionnaires et fréquente naturellement des républicains comme Jules Favre .

    La part active qu'elle prend à la Commune de Paris (1871) lui vaut d'être déportée en Nouvelle-Calédonie. Amnistiée en 1880, elle reste fidèle à son idéal anarchiste et social.

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Mes pas m’entraînent vers cette lande si belle, comme une rose que le soleil éveille. Je sens ces senteurs qui chaque fois m’émerveille.
    Douce brise au parfum sucré, mon âme se délecte de ces tendres beautés.


    La lande est si belle quand le petit jour noyé par la rosé, me fait penser que la grâce du lui en vaut à chaque fois le détour.
    Sur le petit tertre herbeux, je me dresse t’elle la druidesse d’un temps ancien et je laisse glissés mes yeux à la recherche de ce grand cerf blanc aperçu un jour de printemps.


    La lande est si belle par ce petit matin noyé de la douce rosée éclatante sous ce pale soleil, que l’on dirait autant de joyaux posés à même le sol.Les toiles d’araignées avec leurs perles d’eau,tremblent doucement sous mes pas, je m’offre un cliché.


    Puis ceux-ci m’entraînes et je cherche les empreintes de sabots. Les traces me mène vers le petit ruisseau et là nimbé d’or, le grand cerf aux longs cors me scrute de son étrange et pourtant si doux regard.


    Il prend la pose, je lève lentement mon appareil, son regard devient furieux. Quoi, semble t-il me dire, je m’offre à toi, rien qu’à toi et tu voudrais me saisir pour la vie!
    Un peu d’eau, d’herbe et de boue et me voila propre, mon appareil tout boueux. J’ai perdue, mon égoïsme ma semble t-il fait perdre ce doux moment de quiétude que  recherche chaque être vivant à un moment de sa vie.


    J’ai mis six années avant de revenir dans ce petit coin que mon coeur aime tant. La lande est toujours très belle, mais je sais bien que ce coin de vie est perdu.
    Mes pas m’entraînent vers le petit ruisseau…qui n’est plus qu’un ru intrépide et sot.


    J’avance lentement et je le voie, il a perdu de sa superbe- quelques bois sont cassés, ses yeux se sont fermés, mais il m’a reconnu à l’odeur je suppose.
    Il me regarde et ses doux yeux voilés par l’âge semble me dire: »Alors!


    Pas de souvenir aujourd’hui… » Je hoche la tête et mon regard se perd dans le sein.
    Je le sais il se meurt, mais grâce au cliché manqué; il a passé ici de bien belles années et c’est là tout mon secret.


    Ma véritable réussite n’est pas la photo que j’aurai pu prendre ce jour là; non, ma réussite c’est d’être revenue à temps et d’avoir eu cet échange là. Un moment de paix, un moment de quiétude.
    Y-L
    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Petite histoire de K.Un Kangourou s'exclame ravie Katyn, avec sa maman elle est au zoo. La visite devient un jeu ou la petite fille doit trouver le nom des animaux.Il pèse combien en kilogramme demande Katyn à sa maman?

    Et bien, on demandera plus tard au gardien au képi rouge, d'accord! Un coup de klaxonne et le gardien au képi rouge dit d'une voix forte:

    "Faites attention, les kangourous font de la boxe,mais aussi du kung-fu ,pour eux c'est kif-kif...mettez donc vos K-way,nous allons passer devant les éléphants, ils prennent leur douche aujourd'hui.

    Puis, nous irons voir les koala vous pourrez leur donner un kumquat, ils adorent ça. Katyn rêve depuis un bon moment de voir les koala, ils ressemblent à des petits oursons, ils sont plus mignons que les Kangourous.

    Un petit garçon pleure car il a mis du Ketchup sur son pull kaki.

    Cherche avec ta maman tous les K,k et mets les en couleurs.
    Amuses toi bien.
    y-l.

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Petite histoire de J.Jojo, hurle maman, Jojo, tu as mis ou le jupon de julie?, Jojo, rit sous cape, car le jupon de julie à servit de chiffon pour nettoyer son vélo. Julie est furieuse elle tape des pieds et crie apès Jojo. Jojo, si je t'attrape, je vais te tordre le cou.


    jojo, hurle de joie, car Julie sa grande soeur et très jolie quand elle est en colère. J'avoue dit maman que Jojo en ce mois de juillet avec son vélo jaune nous tape un peu sur les nefs.

    Quel idée à eut Jason son père de lui offrir ce vélo jaune! il m'a déjà prit une jatte de valeur et tout salie ma jardinière, même le jars se cache dans le jasmin. Le chien du voisin jappe, cela fait jaser. Moi, s'il continu ainsi dit Julie je vais le jeter son vélo jaune.


    Ah, murmure maman, quelle jeunesse! Ce n'est qu'un jeu ma petite Julie et Jojo en joue comme pour ton vieux jeton, tu te souviens? Oui, ben, ce jeunot m'a pris mon jupon...là, il jongle avec mes nefs. jojo a compris et tout penaud  jete à sa soeur Julie un petit regard contrit.


    Julie viens de comprendre et lui dit, petit joufflu là franchement tu abuses, ma journée est fichu. Tout joviel Jojo cours vers son vélo jaune, pour lui la journée viens juste de commencer.

    Cherche avec ta maman tout les J, j, et mets les en couleurs,
    amuses toi bien .
    y-l.

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Quelle importance vraiment! Un soir il m'a dit :" A partir de maintenant c'est fini pour nous deux." A l'évidence il avait fait le choix de me quitter. Pourquoi? Avant de lui poser la question, j'ai fais une recherche  rapide dans ma mémoire...Deux jours plus tôt, je l'avais fait poireauté pendant presque deux heures, bon, j'avais un rendez vous chez le gynéco...Il n'était pas au courant, quoi!


    Lui dire attends Jef, je file chez le gynéco, il me donne son accord pour la pilule et c'est tout bon! Non! je ne m'y voyais pas du tout. Au lieu de lui sortir un truc du genre:" excuse moi Jef, ma mère m'a tannée pour que je lui fasse ses vitres! Oui, ou encore, mon frère ce crétin n'a pas voulu me laisser la salle de bain, tu t'imagines ça toi! Euh là non plus je ne m'y voyais pas, bref, je lui ai souris l'air de rien. Ps content du tout le Jef en plus pas de bisous bisous...un affreux boutons était juste sur ses lèvres...beurkkk.

    Le lendemain, un autre imprévu me tombe dessus, ma mère et cette fois c'est vrai, m'a demandé de l'emmener voir son père à l'hôpital, bref, une bonne heure à patienté pour la ramener ensuite à la maison. Là encore,le vrai piège, Jef déteste tout ce qui touche de près ou de loin à l'hôpital... Alors rebelote,un sourire niais cette fois, pas d'excuse à lui donner et mon Jef est très suspicieux de nature.

    Il paraît que ma meilleure amie, m'a vue...avec Jérôme bras dessus bras dessous la veille au soir...c'est quoi ce délire! Qui, qu'elle amie? Javotine! Non, tu plaisante là! Eh bien non, Jef, ne plaisante jamais sur ça. Bref, me voici ce soir à cogitais  devant un Jef, mi figue mi raisin. Que dire? Lui dire la vérité? Pourquoi devrais-je le faire? Ne doit-il pas me faire confiance, comme moi je lui fais confiance quand il sort tard le soir avec sa bande de pote?

    Pourquoi est ce que ça fonctionnerais que d'un sens! Qu'on m'explique! Ma mère, ma souvent parler des problèmes qu'elle même avait rencontré lorsqu'elle était jeune ( quoi! une mère a été jeune avant, là, j'en doute!) comme quoi les garçons avaient une tendance grave à demander à leurs petites amies de rester sage le soir quand eux mêmes sortaient en bande...Pourquoi?

    Oui, pourquoi devrais-je rester tranquillement chez moi, si mon petit copain a lui le droit de sortir avec ses copains? Après tout, j'ai le droit de sortir moi aussi avec mes copines et de faire la fête,il n'y a pas de mal à ça! Mais, pour Jef, ce n'est pas compatible avec sa façon de penser, il croit que je vais m'amuser et ne pas respecter sa personne en jouant avec d'autres mecs... comme quoi la confiance!!!Et puis ses potes pourraient avoir à redire! Et bien! quelle joie, ce sont ses copains qui me donne la permission ou pas de sortir,là, j'hallucine!

    Ou est le monde là!!! Maman!!!!!!!! Bon je délire, mais je vois bien que pour Jef, le chemin se sépare ici, plus de place pour nous! Il a envie d'aller voir ailleurs...l'herbe y sera sans doute plus douce...Javotine sera là pour me donner les mouchoirs et moi pour l'écouté me dire:" Tu vois, je te l'avais bien dit, ce Jef, il n'était pas pour toi, c'est un coureur,il n'est pas stable et su-sotte bien ma Javotine. .

    Après tout, j'ai du chagrin, si -si, mais toi tu es là, alors, c'est ce qui importe le plus,oui, après tout...quelle importance! J'ai à mes côté la meilleurs des amies, donc quand ma peine sera partie, elle elle sera toujours là. Oui! Quelle importance. ( petite fiction). y-l
    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

    votre commentaire
  • L’étendue de la banquise d’été arctique a atteint le 8 septembre dernier son niveau le plus bas depuis le début des observations satellitaires, en 1972.

    Et sans doute depuis le dernier optimum climatique, il y a 8000 ans. Selon les chercheurs de l’université de Brême ( Allemagne), la glace de mer ne couvrirait plus que 4,24 millions de km2, soit deux fois moins qu’en 1972.

    Les estimations les plus pessimistes annoncent la fin de la banquise d’été au cours de cette décennie. PL.

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Ils ont un appétits d’ogre, oui, c’est vrai. Cette voracité attire sur eux les foudres des agriculteurs, qui voient en eux un fléau, parce qu’ils détruisent leurs récoltes. Parlons Sauterelle… Nous avons, nous autres sauterelles de quoi étonner par notre façon de sauter, voler, de grimper et de faire de la musique.

    Saviez-vous, par exemple, que nous possédons cinq yeux? Au lieu de devoir porter des lunettes à double foyer comme beaucoup d’humain, nous avons sur le devant de la tête trois petits yeux pour voir de près. Les deux autres, plus gros et situés plus en retrait, nous permettent de voir tout ce qui se passe autour de nous.


    De quoi garder un saut d’avance sur vous. Que dire de nos prouesses athlétiques? Nous pouvons faire des bonds de dix fois notre hauteur et retomber environ 90 centimètres plus loin. Pour nous égaler, l’homme devrait sauter par-dessus un immeuble de cinq étages. Un secret? 


    Les muscles puissant dont sont dotées nos pattes de derrière. Si vous voulez nous attraper, vous devrez aussi compter sur les deux paires d’ailes que toutes nous possédons. Nos ailes antérieures, rigides, remplissent les fonctions des ailes d’un avion, tandis que nos ailes postérieures plus fragiles, constituent un moyen supplémentaire de propulsion.


    Ainsi, nous combinons, sauts et vol, et nous pouvons généralement nous enfuir assez loin pour vous découragez. Vous ne pouvez grimper sur un poteau recouvert de graisse, n’est ce pas? Et bien nous, nous pouvons le faire. Chacun de nos pieds est doté de minuscules coussinets recouverts de poils qui libèrent un liquide adhésif et nous permettent une bonne préhension.


    Ils sont aussi équipé de deux solides ergots qui nous empêchent de glisser en arrière sur les fortes pentes. Chez nous, les mâles sont des musiciens. Il fait doucement crisser sa patte postérieure sur les veines saillantes d’une de ses ailes à la manière d’un musicien qui promène l’archet sur les cordes de son violon.

    Un vrai délice, en plein été, il suffit de s’allonger dans un pré et de se laisser bercer par cette symphonie que des millier de sauterelles et de criquets jouent pour nous.

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

    votre commentaire