• Alain Fournier à Pauline Casimir-Perier.

     Le 8 juin 1913.
    « Ou bien vous allez me répondre, dites,
    ma tendre amie, ma belle jeune femme aimée,
    mon tendre amour, mon amour,
    et moi qui ne vous ai jamais baisé la main,
    je prendrais entre mes mains cette têtes que j’aime,
    cette tête aux doux cheveux séparés
    et plaqués par la fatigue du jeu,
    cette tête si belle_et je l’embrasserai.
    101105070151822982.jpg

    « La Giroflée.Ode. de Valery Larbaud. »
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