• La giroflée est devenue le symbole de la fidélité depuis qu'une jeune fille, voulant s'enfuir du donjon ou l'avait enfermé son père, tomba morte aux pieds de son amant. La jeune amoureuse se transforma en giroflée.
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  • Petit vieux chargée par le poids des ans, cheminant dans la forêt sa hotte de toile pleine de bois pour la cheminée. Après un très long moment, il se dirigea vers sa demeure faite de rondins de vieux bois, de mousse et de chaume.

    Marchant d’un bon pas,malgré son âge, il portait sa charge sans se plaindre.
    Un vieux loup tout maigre le regarda les yeux pleins d’espoirs. Oh! Te voila donc mon vieil ami, encore un hiver qui s’annonce bien dur pour ta meute non? Le loup semblait comprendre les paroles du vieil homme, il le suivit tout en bougeant ses oreilles au son de la voix du veux bonhomme.

    Soudain, l’homme s’arrêta et tendit son bras vers le loup; celui ci ce tapi dans les ronces . Une ombre froide s’approcha.Oh-là! Qui vient en cette nuit d’hiver pour effrayer les enfants de coeur?- Moi vieux père, ce n’est que moi et mon gros manteau de lierre…

    Voyons! Pourquoi donc t’affubler de la sorte? Tu effraie nos pauvres amis de la forêt… – Ce n’était pas pour faire peur aux animaux, mais pour les grands dadais qui t’attende au détour de la trouée.

    Oh, oh, oh! que voila une douce et belle façon de me prévenir de ce coup fourré.
    Merci homme des bois, tu peux de nouveau t’endormir, c’est à mon tour de livré les coups de bois à ceux qui se montrent méchants. Dès demain je serais prêt pour livrer aux autres les nombreuses fabrications que tes doigts noueux ont façonnés, ils raviront le petits coeur des enfants de nos contrés.

    Dors amis, dors,pour toi il est temps du repos, pour moi vient le temps des cadeaux.
    – Bien, vieux bonhommes de noel, je pars le coeur en liesse, ravi que tu prennes la relève.

    Ainsi,le vieux bonhomme des bois retrouva sa vieille hotte toute faite de bois et de nombreuses choses se trouvaient à l’intérieur… prêtent à débordées tant elle était pleine.

    Ohlà! tu m’as bien eue …Oh Oh Oh rit-il de bon coeur. Voila ma charge bien légère, mais qui m’aidera à tout emmener? A peine ces mots franchissaient-il sa bouche, qu’un éclair bleu traversa le ciel, la neige tomba à gros flocons et devant les yeux ébahi du vieil homme,
    un immense traîneaux étincelant se posa devant lui.

    Sa hotte alla aussitôt se plaçait dans le traîneaux et les beaux yeux bleu du vieux père se mirent à briller.
    Oh Oh Oh! Que voila un bon traîneau, il monta à son bord et d’un mouvement fluide il s’envola dans le ciel, la neige blanche continua à tombé, le large sillon du traîneau fit dans le ciel un magnifique arc-en-ciel.

    Et c’est ainsi que la nuit de noel débuta par ce cri venant du ciel…Oh Oh Oh! Le vieux loup rapporta ce soir là un bon gros bout de viande et la meute chanta accompagnant le rire du père de noel.
    YL

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  • L'histoire se passe il y a déjà bien longtemps, au bord de la Manche, ou vivaient un prince et sa cour. Il vit un jour arriver une barque tirée par un cygne et de laquelle descendit un beau jeune homme tout de blanc vêtu.
    Malgré l'étonnement suscité par cette apparition, le prince accueillit aimablement le jeune homme et lui demanda son aide pour chasser les pilleurs, fléau de la région à cette époque.

     L'homme en blanc accepta à la seule condition qu'on ne lui pose pas de question sur ses origines.
    Quelque temps plus tard, après avoir vaillamment aidé le prince, il épousa la princesse Béatrice.
    Le chevalier blanc se décida alors à raconter son histoire à sa jeune épouse.
    Il raconta qu'un jour, un seigneur avait rencontré une fée qui se baignait, une chaîne d'or à la main.
    Pour l'obliger à devenir son épouse, le seigneur s'était emparé du bijou.
    Après leur mariage, la fée avait donné naissance à 4 enfants d'un coup, 3 garçon et 1 fille, portant chacun une chaîne en or autour du cou.
    Sa belle-mère qui détestait la belle fée avait fait remplacer les enfants par des chiots et envoyer un serviteur tuer les enfants dans la forêt.
    Le seigneur avait cru que sa femme lui avait donné des chiots comme héritiers et pour la punir, il l'avait fait enterrer à demi dans la salle d'honneur du château, l'obligeant ainsi à manger comme les chiens.
    Sept ans plus tard, en se promenant loin de ses terres, le seigneur avait remarqué 5 enfants portant des chaînes d'or au cou.
    Etonné, il en avait parlé à sa mère. Celle-ci avait alors compris que le serviteur n'avait pas tué les enfants et elle avait envoyé un autre de ses servants récupérer les chaînes d'or.
    Le serviteur avait alors découvert que les enfants se transformaient en cygnes dans l'eau, laissant leur chaîne d'or à la garde de leur soeur.
    Le serviteur s'était emparé des bijoux et avait couru au château, suivi par la fillette suppliant de lui rendre les précieux objets qui permettaient à ses frères de reprendre forme humaine.
    La belle-mère avait tenté de faire fondre les colliers par un orfèvre, mais celui-ci n'avait réussi qu'à abîmer l'un deux.
    Pendant ce temps, la fillette errait dans le château avait rencontré sa mère à demi enterrée et le seigneur avait fini par comprendre toute l'histoire.
    il avait donc libéré son épouse, rendu les colliers aux garçons qui étaient redevenus humains, à l'exception de celui dont le collier avait été abîmé par l'orfèvre.
    Ainsi s'acheva l'histoire du Chevalier Blanc qui révéla à son épouse que le cygne qui l'avait conduit jusque là, était son frère et que maintenant qu'il avait libéré le pays des pillards, il devait repartir avec le cygne...et, il disparût.
    Son épouse donna quelques mois plus tard naissance à un garçon qui mena de nombreuses batailles, avec son armée qu'il faisait précéder de cygnes blancs.


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  • " Les hommes créeront des choses nouvelles et merveilleuses; mais aucune sagesse n'habitera cet esprit...Les institutions de ce Temps seront faites en inimitié des Héros et des Sages...Les faux sages endormiront la misère des peuples par des paroles trompeuses...Les poètes de la famille qui n'a point de signe  accorderont leurs lyres pour chanter leurs propres louanges et les turpitudes du monde...Les peuples subiront l'esclavage au nom de la liberté...Les guerres se feront au nom de la Paix."

    Le Temps des Frelons.

     

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  • " Nous sommes entrés dans l'arène d'un combat impitoyable. Les hommes qui s'y affrontent sont de deux types, formant des ennemis mortels. A un niveau plus élevé, la guerre livrée ici  est véritablement la mère de toute chose. Son dénouement décidera du monde futur qui doit en ressortir transformé par l'ardeur de ce combat.  Les marques de haine et de barbarie satanique qui n'ont plus leur place dans le monde nouveau doivent disparaître. L'épée de lumière est seule décisive dans ce combat."

    Petit texte de l'Edda.

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  • Je déteste cette fête, je déteste cette fête, ainsi s'exprimait Marilou. Encore une fois celle-ci tempêta contre cette fichue fête d'Halloween.
    Georges son époux s'amusait comme un petit fou, il décorait la maison, cachait un tas de bonbons et avec une joie enfantine, il faisait des petits paquets tout enrubannés.

    Georges il faut que tu m'aides cette année, je ne veux pas que les petits aillent chez les Allowin...sinon il y aura un malheur, souvient toi. Marilou ma chérie, tu le sais bien , on ne peut rien faire, les petits iront chez les Allowin comme chaque année, ce qui s'est passer ces deux dernières années n'y changera rien.


    Ce sont les parents des enfants qu'il faut convaincre, ce sont eux qui déguisent ces petits, ce sont eux qui leurs donnent la permission de minuit, tu ne pourras rien faire et surtout ma chérie laisse ce pauvre Vlad tranquille...il a assez à faire comme ça. Oui, Oui, je sais Georges, je sais.


    Mais, rien que de savoir que ces petits passeront chez ces gens là, ça me flanque la frousse, tu ne peux pas savoir. Que tu crois ma chérie répondit Georges tout triste soudain, que tu crois. J'ai bien connu les petits Williams et Granfields. Ils étaient adorables et le faites qu'ils aient disparues lors d'Halloween me glace encore les tripes.


    Oh Georges que faire?, Vlad m'a dit que le dispositif  serait plus grand que l'année dernière, un gars sera planqué derrière chaque ruelle et il suivra des yeux les petits et les grands. Les parents et amis feront de même.

    Tu vois, Vlad prends tes avis au sérieux. Oui eh bien il est temps, s'il m'avait écouté...Oh Marilou, s'il t'avait écouté c'est toute la famille Allowin qui se serait retrouver à la rue, on ne sait pas s'il sont responsable de ce qui s'est passer, arrête avec ça Marilou.


    Tiens écoute ça. Une sirène bien reconnaissable se fit entendre et Georges et Marilou sortirent sur le pas de leur porte pour voir arriver Vlad le Shérif. Il s'était habillé ( pour une fois il était propre et ressemblait vraiment à un shérif et non pas au fermier qu'il était aussi).

    Marilou souriait et c'est d'un grand geste d'invite qu'elle accueillit Vlad. Il était inquiet cela se voyait sur son visage rouge comme un coquelicot. Ses yeux bleu azur étaient inexpressifs et les plis qui barraient son front n'auguraient rien de bon.


    Il regarda ses deux vieux amis qui épaules contre épaules l'attendait avec dans le regard un soupçon de peur. -Georges , Marilou ça va vous deux ( banalités se dirent les deux vieux amis, s'il fait ça, c'est qu'on risque d'être épiés) alors Georges se força à sourire et avec amabilité invita Vlad à entrer.)


    _ Salut Vlad, tu es de passage et tu t'amuse avec ta sirène en plus! tu viens boire un café? On t'invite Marilou et moi, aller viens donc Molly t'attendra bien un peu plus hein! Tiens Marilou va l'appeler et lui dire que tu prends un café avec nous, ok?


    _Ah! Georges tu sais t'y prendre toi avec tes amis, aller un café et je rentre, mais, un seul d'ac! Bien sûr, un seul et ils rentrèrent tous les trois . A peine entrer Vlad s'exclama :


    " J'ai besoin de vous deux les amis, j'ai fait passé le message à tous le monde, mais trois des familles sont contre et veulent faire la fête comme ils l'entendent, de vrais cabochards ...C'est pas permis d'être aussi bête que ça...et singeant les parents Vlad se mit à gesticulé comme un fou.


    _ Mais ça va pas shérif...pourquoi devrait-on vous croire, ce n'est que supposition nous habitons dans un quartier très calme...qui vous dit que ce ne sont pas les grands-parents des gamins qui les ont emmenés ailleurs...


    C'est une vieille histoire shérif, pourquoi faire peur aux enfants! Ah que j'ai répondu fou de colère...parce que c'est vrai non d'un chien. Deux enfants ont disparus, un il y a deux ans et l'autre  l'année dernière.


    _ Oui  et alors en quoi  est ce que cela nous concerne! -Ecoutez je les aurai bouffer tous les quatre si ...enfin bref, ils ne veulent rien entendre. Les autres feront la fête la veille et resteront auprès de leurs enfants.

    Je ne veux plus entendre cette histoire de fantôme qui emmène les enfants faire la fête de l'autre côté...plus jamais, tant que je vivrais, je n'en peux plus... vivement que ce mois finisse.


    -Oh Vlad murmura Marilou. On fera ce que l'on peut tu peux y compter, attend j'appelle ta femme et Marilou se rendit à la cuisine et c'est là que Georges se sentant un peu coupable s'exclama_"Dis Vlad tu crois pas qu'on y va un peu fort?


    _Hein! Tu rigoles Georges, regarde comme elle fonce, cette idée de lui faire peur me fait tellement de bien l'année dernière j'ai bien cru qu'elle avait deviné, mais l'histoire du petit partit avec ses grands parents à la grande foire aux bestiaux m'a rendu  service.

    Dis voir Georges ta femme n'a pas reconnu le petit quand il est revenu? _ Lequel Vlad._ comment ça  lequel! tu te fiches de moi Georges?- Non Vlad, je t'assure que non. Marilou revint  alors avec la cafetière brûlante, trois tasses et quelques douceurs.


    Souriante elle regarda les deux hommes qui avaient la mine soucieuse. _ Que se passe t-il? Georges prit la parole et son ton était inquiet. _ tu te souviens du petit...

    Soudain on frappa à la porte, Marilou sursauta  Georges et Vlad eurent un moment d'angoisse puis se souriant l'un l'autre Georges se leva et se dirigea vers l'entrée.

    Deux enfants se tenaient devant la porte, habillés l'un d'un squelette et l'autre portait sur sa petite tête une citrouille au regard furieux et aux lèvres fendues d'un drôle  de rictus.
     
    "-Des bonbons ou un sort!" la voix était rocailleuse et froide, un vent glaciale et Georges frissona. Ce n'est pas encore le jour pour cela les petits! Georges appela Marilou,mais elle refusa et fit signe à Vlad.

    Celui-ci la regardant se mit à sourire, mais, en découvrant Georges plus blanc que la mort,il regarda plus attentivement les enfants et son coeur fit un grand bond dans sa poitrine...qui a osé?
    y-l
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