• Petite histoire de G.G, frappe des pieds. Il sait qu'il est Grand et il grandira encore. Dans le Grand champ de son papie Gérard, G, fait la moisson. Il faut mettre le foin dans la Grange.

    Papie Gérard, garde avec lui la clé du tracteur, car G, aime bien se tenir comme un grand et faire gronder le moteur.

    Gardien des ficelles G, se sent comme les géants et féroce il garde dans ses petites mains...ces bouts de fils de papie Gérard.

    G, voit de loin la moissonneuse-batteuse arriver lourdement chargée de grains. G, le sait bien, le grains servira à nourrir les gros cochons, écrasés et mélangé, ce grain servira de nourriture aux gallinacés .

    il ira avec son papie Gérard et les garçons se goinfrer de  raisins, les grappes sont mûres à point. Grand-mère Germaine fera aux garçons de la ferme de la grande pâtisserie et gros  Germain viendra avec son petit chien Gaspard.

    Comme il fait bon à la ferme de papie Gérard et de Grand-mère Germaine. Tout y est si grand que même les géants pourraient venir manger.

    G, se sent bien, son petit coeur se gonfle de joie.

    Ce soir blottis dans ses draps, il comptera sur ses petits doigts tout ce qu'il a fait pour son papie Gérard, et grande sera son histoire.

    trouves avec maman ou papa, les G,g, mets les en couleur.
    Amuses toi bien.
    y-l

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  • Petite histoire de E. E, à tellement grandit que sa maman doit de nouveau lui acheter des vêtements. E, n'aime pas faire avec sa maman les magasins, il y a tellement de bruit que E, a peur de tout oublier, de partir avec quelqu'un qu'il ne connaît pas.

    Maman lui a bien expliquer que dans les magasins, D, doit rester à ses côtés...mais, D, aime partir à l'aventure...il regarde partout et lorsqu'il a trouver son endroit préféré...

    il y va s'en se retourner. Cela ce n'est pas bien gronde maman, comment faire! j'ai des courses à faire D... Et bien laisse moi ici maman répond D avec un grand sourire.

    Ici, je serais bien, il y a tout plein de livre et c'est mon univers préféré.

    Maman ri de bon coeur et lui dit:

    " Je te fais confiance D, mais, tu restes là, tu m'attends sagement! "

    - Oui maman, je reste ici avec les livres.


    Maman regarde D et fronçant ses sourcils elle hoche lentement la tête.

    D, c'est déjà plongé dans son livre et il vit les aventures de ses héros.

    Maman part faire ses courses et elle se dit qu'ici, il n'y a pas de danger.
    Le vigil lui fait un signe et là Maman et sûre, D, sera bien garder.

    Trouve avec maman les D,d, et mets les en couleurs.
    Amuse toi bien.
    y-l.

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  • Il est un endroit de légende ou le monde aime à s’y arrêter. La belle forêt qui enjambe le lac des curiosités est a elle seule une vraie légende. Les animaux qui y vivent vous le diront sûrement, si vous les voyez.
    Un jour , oui, un jour sans se méfier, un jeune garçon à l’âge tendre passa sans le vouloir, ou alors le fit-il exprès allez savoir! Passa donc sans le vouloir par le chemin qu’un animal m’a foi de bonne taille laissa entre apercevoir.

    L’animal en question n’étant plus dans le sillon qu’il traça, le jeune étourdit s’y engouffra. A peine eut-il mis le pied de l’autre côté que le sillon se referma. Bien en peine de rebrousser chemin et voyant la nuit lentement tombée, le jeune garnement sentit monter en lui la peur du soir.
    - » Me voila bien se dit-il en lui même. Pourquoi donc laisser mon imagination en faire qu’à sa tête? Ou vais-je dormir ce soir? Et surtout comment revenir vers les miens? A peine cette phrase eut-elle franchit sa conscience qu’une voix étonnante,vibrante, affolante, le fit sursauter.

    *****
    Transit de peur, ne sachant que faire, il s’allongea dans l’herbe haute ou la rosée du soir trempa ses vêtements. Les larmes jaillir et le souffle rauque, il se mit doucement à gémir. De nouveau la voix se fit entendre, elle se voulu douce, elle se fit tendre, se fit murmure, et doucement le coeur du jeune garçon se calma. Il écouta le son, dirigea son oreille afin de mieux percevoir les notes si fines qu’il avait bien du mal à les percevoir.
    -Qui êtes-vous?
    - Que me voulez-vous?
    - Ah! Je ne suis que l’arbre de la forêt, je ne te veux aucun mal, j’ai attendu si longtemps que toi enfant tu viennes me voir.
    - Moi? Et pourquoi donc?

    *****
    Un endroit de légende.

    - Pourquoi! tonna la voix. Mais parce qu’il le faut! j’ai besoin de ton aide…
    - De mon aide, en êtes vous si sûr? La voix de l’enfant chevrota sur les dernier mot.
    - Oui, j’en suis sûr, très sûr même, il m’a fallut une bonne dizaine de ta vie et plus pour apprendre tes mots…
    à suivre.y.l.

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  • Les furoncles alliés au impétigo, repoussèrent toutes les attaques des antibios. Décimés mais invaincus, ils se retranchèrent sur les bords de l'Aine, c'est la que les bubons Yersin de leur nom, mirent la pagaille.
    Maman fièvre fut la première. Frisson l'aîné se manifesta à son tour rageant et arrogant comme à l'accoutumé. Douleur se fit un plaisir de suivre son aîné, toujours partant pour faire le pitre celui-la.

    Septicémie la petite soeur, se mélangea à ce groupe de tordu. Pneumopathie ferma la marche...il en faut bien une, quoi qu'il restait encore un agent dormant...viendrait 'il se fondre dans la masse?


    Les joies de la famille en quelque sorte avaient 'ils une chance de mettre au pied du mur ceux et celles qui se moquaient de plus en plus de ce monde dans lequel ils avaient la main mise depuis si longtemps? Étais ce depuis trop longtemps? Ou étais ce un revirement de la situation première? Revenions nous au 18 ème siècle?


    Un éclatement perça Maman Bubon, L'Aîne était infectée, qui commanderait ce vaisseau presque trop fourbu pour commander à ce grand corps malade? Ou était celui qui dirigeait de cette main de maître ce peuple indiscipliné qui, se riait de tout,ou donc était 'il se grand stratège hum!!! Malade à son tour? Quel galère...!

    Le port fut fermé, les bars et les Musée aussi, la grande dispersion était sur le déclin...ne restait qu'un maigre foyer qu'il fallait détruire à tout pris?

    Les fumigations nettoyèrent ce dernier foyer mais l'alerte avait été si terrible et ébranlé la nation qu'un comité fut mis en place  pour citons nous ici...chercher la moindre infection et la décimé,plus jamais cela criait la foule hors d'elle. Cette mise en garde porterait 'elle ses fruits? Seule l'avenir nous le dira.
     Ici Mariane de la République qui vous informe.y.l.
    sur une idée de Pascal Perrat?
    305 mots.
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  • Une jolie langoustine en pinçait pour un vieux crabe. Chaque fois qu’elle le croisait, son coeur était à marée haute. Mais le papi, connaissant tous les secrets de l’océan, ne s’en laissait pas conter.


    La belle eut alors une idée… Lui, il avait bien compris, c’est pas à un vieux crabe qu’on apprend à faire le pitre n’est ce pas! Bon ses petits bruits l’émoustillaient ça c’est sûr mais…pardi l’âge , pardi l’âge était un frein.


    Il ne pouvait oublié cela d’ailleurs…ses frères et soeurs le lui feraient bien remarqués et de la plus vivace des façons.
    ça, il le voyait d’ici. Il bulota cherchant comment se défaire de cette amourette.Il eut une inspiration…Il alla voir la belle Murèse, elle, elle pouvait il en était sûr lui donnait les bons tuyaux.

    Certes, il lui fallait pour cela y aller avec les pinces chargeaient de ces beaux cailloux chamarrés qu’elle aimait tant. Il poussa un profond soupir. La bulle qui s’en échappa le fit sourire.


    Ah! pensa t’il que n’ai-je pas trois cent rond de moins…la question ne se poserai même pas et je pousserai cette belle demoiselle au fin fond de mon repaire et là oh ma jolie…le grand bal des bulles et des bruits serait donné.
    Ah! La jeunesse pourquoi n’est-elle pas éternelle?Pensée profonde s’il en est…Il traîna son butin sans regarder derrière lui. Pourtant, il aurai dû. Le brûlant regard qui l’accompagna jusqu’au bout lui aurai fait froid dans la carapace.


    Il frappa, attendit. La porte s’ouvrit. Une belle et pimpante frimousse lui sourit. Elle l’invita à entrer et ce faisant aperçu le regard acérés de la belle langoustine.Elle ourla ses fins cils et claqua la porte.

    _Que me vaut cet honneur mon très cher Crabeur?
    _Ah mon amie…il y a bien longtemps n’est ce pas!
    _Oui très longtemps. Le temps passe si vite. J’ai le souvenir de ta dernière visite et le plaisir qu’elle m’occasionne sera t’elle de même ce jour?

    _ Je le crois très chère, je n’ai pas oublié ta petite folie et j’amène avec ma personne de quoi te ravir si, tu le souhaite! Il claqua de ses mandibules ce qui émoustilla la belle Murèse…cliquetant à son tour, elle le regarda hardiment mais presque aussitôt elle se ferma.


    Ce n’est pas l’envie qui m’en manque et tu le sais très bien…mais, j’ai promis à Murètre que plus jamais je ne regarderai un autre que lui tant qu’il sera vivant et, bien que très mal en point, il vit encore.
    Un soupir fendit l’âme de Murèse et lui, il s’en ressentit aussitôt.
    _Ecoutes-moi Murèse, je viens non pas pour te faire souffrir mais pour te demander ton aide.
    _Oh, je vois! Donc serais ce à cause d’une brunette, d’une rouquinette, d’une blondinette à multiples pincettes?


    Ou à cause d’une petite chose toute rose et malade de jalousie qui, t’aurai suivit jusqu’ici vieux crabe que tu es?_Quoi! Elle m’a suivit? Mais que va t’elle s’imaginait là…



    Oh la pauvre choupinette qui doit claqueter de tous son petit coeur oh Murèse que dois-je faire…elle est bien trop jeune pour le vieux crabotin que je suis!
    _Laisses moi faire mon p’tit et puis tu sais l’âge!!! Dis toi bien que si elle t’a suivit c’est parce qu’elle en pince pour tes beaux yeux…Laisses-là faire, je suis sûre qu’elle a un plan.
     
     

    Bien, tu rentre chez toi et tu la laisses venir et puis prends mon conseil comme il vient…l’âge est peu important, notre vie est si vite passer, tu as échapper aux filins, tu es veinard,alors…prends ce qu’il te reste de temps et viva la vie!


    Fort de cela le vieux crabe ressortit la tête basse afin de faire croire à la p’tite langoustine qu’il n’avait pas fait affaire avec la belle Murèse.
    Cette fois il prit garde de regarder par dessous ses pinces et une très grosse bulle lui échappa. Ahhh oui, elle est là.Il se faufila tel le crabe qu’il était pensant la débusquer un peu plus loin mais, ce fut le contraire qui se passa…
     

    elle le coinça entre deux rochers et son regard envoyé des flamme.
    _Bonsoir mon crabotin tu fais quoi si tard loin de chez toi? _Oula…je pense que c’est ma réplique ça non!
    _Hum mon crabotin, tu es pris et bien pris, si tu veux vivre vieux tu feras ce que je te dis tu m’entends bien?


    _Oui certes, vieux je suis mais pas tout à fait décati mignonne!
    _ Hum crabotin des mots et des mots encore et toujours des mots!
    _ Fasse que ce ne soit que des mots petite.
    _Oui bien moi je veux des actes et pas qu’un peu mon crabotin, je t’ai et je te tiens bien, tu es à moi.



    Elle le tins si bien, qu’ils finirent sans s’en apercevoir dans un grand filin qui traînait dans le fond de l’océan. Ils furent rejeter car l’un des homme les prirent pour un gros caillou ce qui disons le…leur sauva les pincettes.


    Au fond de l’océan par un temps peu venteux, on peut apercevoir à l’école de Mistress Muraséne un étrange mélange…des petits crabes qui n’en sont pas réellement et des petites langoustines qui elles non plus n’en sont pas réellement…Heureusement qu’à l’écrit tout est permis non?y-l
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  • Petite histoire de F. F, se sent patraque, fatigué, il faut que F, dise à maman qu'il a de la fièvre.

    F, appel très fort:" mamannnn! Maman arrive et regardant F elle lui dit:" Tu es fiévreux mon petit filou!" Oui, répond F, j'ai froid, et la fenêtre est rester ouverte toute la nuit.

    Fibule le chat est venu me tenir compagnie, mais, Filandre à gronder après lui, alors je l'ai fait fuir par la fenêtre et il faisait froid.

    Je vais te faire un bon jus de fruits bien frais, tu pourras le boire avec une paille. Je vais enlever les fleurs, elles sentent bon,mais des fleurs dans une chambre ce n'ai pas bon.

    Papa arrive, il voit F, frissonner dans son petit lit, il faut que tu gardes la chambre F. ding-dong, c'est le facteur...il dira à la famille que F et fiévreux.

    Ce bon facteur qui connaît tout le monde, fier,courageux, froid ou chaud, il apporte le courrier.

    Fit donc dit papa, mon fils et souffrant, la fièvre le fait frissonner, le médecin va venir et fera baisser la fièvre. J'ai mis des fraises , des figues, des framboises et un peu de miel que Fanette nous a offert. Bois F, tu iras un peu mieux après.


    F, boit son jus et se sent mieux. F, sait que les fruits c'est bon pour la fièvre, alors, il boit tout. Soufflant et toussant F, se dit que le lit par ce froid c'est drôlement bien.

    Fanette vient voir ce qui se passe:" Alors mon petit F, comment te sens tu?J'ai froid, je frissonne, j'ai de la fièvre. -Oh pauvre F, c'est un refroidissement que tu as, ce n'est pas grave.


    Maman ordonne à tous le monde de sortir de la chambre. F, doit  faire un somme,  ne faites pas trop de bruit. F, en effet sent bien que la fièvre le fait doucement dodeliner de la tête.

    Finalement F, après trois jours de fièvre fait de nouveau des bêtises, il va bien mieux. F est très heureux, fibule est revenu le voir et câlinant le chat F, sait que la fièvre n'est plus là.

    Trouves avec maman les F, f, et mets les en couleurs.
    Amuses toi bien.
    y-l

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  • Compère Lapin apparaît souvent dans les récits afro-américain, notamment en Caroline du Sud.
    Chaque matin, en se rendant aux champs, Compère Lapin passait devant le bon vieux coq, perché au sommet de la grange et occupé à s’époumoner. En fin de journée, quand notre ami rentrait de son travail, il trouvait la volaille fidèle à son poste… mais sans tête et sur une seule patte.  » Ohé, monsieur le coq! cria t-il un soir. Pourquoi vous débarrassez-vous tous les jours de votre tête et de l’une de vos pattes pour les récupérer au matin?- C’est ma façon de me reposer » répondit l’oiseau en ouvrant un oeil las.  » Pas mal, comme idée! songea le lapin sans beaucoup réfléchir. Je vais en faire autant. » Parvenu chez lui, il pria son épouse de le décapiter et de lui trancher trois pattes sur quatre, afin qu’il bénéficie d’un sommeil répCompère Lapin ou l'Imitation Stupide et Cuisante. dans Fables image002222-291x300arateur. Sans se poser de question, elle incisa l’une des pattes avant du Compère, lui arrachant un hurlement de douleur… qui réveilla le coq. Le volatile sortit de dessous son aile sa tête, qu’il avait voulu abriter des rayons de lune. Puis il déplia sa deuxième patte, qu’il tenait au chaud sous son ventre.  » Un peu de silence, s’il vous plaît! » fit-il avant de se rendormir. Comprenant sa méprise, Compère Lapin soigna sa blessure et se promit de raisonner davantage la prochaine fois: son manque de recul lui avait joué un vilain tour qui aurait pu lui être fatal.

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