• Il était d'usage autrefois, en France, en Italie et en Espagne,
     de coiffer les statues des saintes et des saints.
     Seules les jeunes filles étaient autorisées à coiffer sainte Catherine. 
    Ce privilège qui faisait la fierté des jeunes demoiselles leur plaisait beaucoup moins lorsque, 
    les années passant,
    elles n'avaient toujours pas trouvé à se marier.
     " Elle a coiffer sainte Catherine" 
    devint une expression ironique 
    pour parler d'une vieille fille. 
    Les modistes parisiennes s'emparèrent de cette 
    tradition, et le 25 novembre,
     jour de la fête de la sainte, 
    les midinettes parisiennes de 25 ans prirent 
    l'habitude de déambuler, rue de la Paix, la tête ornée de coiffes fantaisistes. 
    Cette coutume s'étendit au reste du pays 
    et se poursuit encore de nos jours.
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  • Pantoufle et inquiet, moufle à le nez tout sec, pourtant il a eut à boire et bien installé près de la piscine Pantoufle se souvient de son verre de jus de fruits et des glaçons qui nageaient  dessus...

    Comment se fait-il que moufle soit si abattus! Mamine arrive  pour dire bonjour à ses amis et elle voit que pantoufle est inquiet:

    - Que se passe - t-il pantoufle, je vois bien que tu as un souci, ton front se plisse et ta lèvre est boudeuse.

    -Oh mamine, je ne comprends pas,  moufle n'est pas comme d'habitude.-Comment cela se fait-il pantoufle!
    - Vois comme il est vide, il ne remue presque pas, tu vois nous étions près de la piscine, bien installés tout les deux au soleil, j'avais mon jus de fruits avec moi et je crois bien que j'ai fais un somme.
    Puis un petit vent frais m'a réveillé, je me suis levé tout engourdi d'être resté si longtemps dans ma grande chaise, je suis rentré mais moufle ne m'a pas suivit.

    Je me suis   douché pour me rafraîchir et tout en m'habillant et en fredonnant je me suis aperçus  que moufle n'était toujours pas rentré. La vois tu mamine je suis inquiet pour lui.


    - Comment! Il a dormi au soleil sans avoir bu de tout l'après-midi?


    - Oui, mamine je crois bien que oui, son bol est vide que dois-je faire?

    - Et bien, pour commencé, tu vas le rafraîchir lui aussi.


    -Comment faire, il est lourd tu sais!
    - Viens avec moi pantoufle.-
    _Ou ça? -
    _Dans ta salle de bain balourd que tu es, tu prends un gant de toilette, tu le mouilles bien et tu passes ce gant sur le poil de moufle, moi j'appel le vétérinaire il nous dira comment faire et tout en murmurant dans ses moustache, mamine téléphona au vétérinaire.


    - Elle lui expliqua que moufle était resté longtemps au soleil sans boire et que son nez était très sec. Le vétérinaire lui répondit:


    _" Venez avec moufle,il faut que je le vois et rapidement.

    Mamine cria après Pantoufle et tout les trois partirent rapidement chez le vétérinaire.
    Heureusement pour moufle ce n'était qu'un petit coup de chaud.


    Le vétérinaire expliqua à pantoufle que lorsqu'il faisait très très chaud...il ne fallait pas laisser  moufle sans eau et sans un endroit frais ou il pourrait s'installer pour lutter contre la chaleur.


    Mamine, Pantoufle et Moufle  rentrèrent bien content d'être ensemble.
    Pantoufle trouva un endroit pour moufle bien frais...la salle de bain et moufle dormit tout le reste de l-après-midi jusqu'au lendemain matin ou il s'éveilla tout frétillant.
    Y-L
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  • Par un petit matin frileux, Pantoufle se  plain...Oh , voila de nouveau ce manteau tout blanc; que vais-je faire ce matin! Moufle ravi lui répondit:

    " Oh mon ami, si simplement tu mettais ton nez dehors, je viendrais avec toi et nous pourrions nous amuser!"

    Pantoufle fit les cent pas devant sa fenêtre tout en murmurant des mots sans suite. Moufle, tout heureux de voir au dehors cette belle couche blanche frétillait en attendant.

    Mais, pantoufle ne voulait pas mettre le nez dehors, râlant il prit un journal et s'installa dans son vieux fauteuil. Moufle trépignait, il voulait sortir, il frétilla, prit sa laisse et de son froid museau fit comprendre à pantoufle son désir.

    -Non, dit pantoufle d'un ton sec, nous n'irons pas dehors avant que cette couche blanche ne soit fondue, et avec colère il donna un coup de journal à moufle.


    -Comment! tu oses me frapper, juste par ce que je veux me rouler dans cette masse blanche? Si tu ne veux pas sortir, laisse moi y aller seul...

    Pantoufle regrettait déjà son geste et d'un ton tout doux il dit:" Allons, allons vient-en avec moi mon bon moufle et tout heureux ils filèrent tout les deux tel des  enfants heureux .
    Y-L

    Pantoufle et moufle.

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  •  

    Qui le premier a parlé de la Gaule chevelue?
    C’est Jules César qui a utilisé cette expression imagée de  » Gaule chevelue » ou  » Gaule hirsute » ( traduction française de l’expression latine  » Gallia comata »). Jules César désignait ainsi la Gaule non soumise à Rome avant qu’il ne conquière les terres situées entre les Pyrénées et le Rhin, entre -58 et – 51. Jules César rassemblait trois Gaules sous ce nom amusant:l’Aquitaine, la Belgique et la Celtique. Cette expression pourrait souligné la présence de forêt étendues sur le territoire. A moins qu’elle ne se réfère aux cheveux longs et aux moustaches épaisses qui différenciaient alors les visages gaulois de la mode romaine… Vous en pensez-quoi, vous?
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  • Première partie,

    Cela s'est passer par un matin noyé de brume. Elle s'est levée sur la lande engouffrant tout sur son passage.


    Ma mère devait sortir ce jour là et elle n'avait pas beaucoup de temps à m'accorder. J'ai ouvert la grande porte et j'ai entendu ma mère me dire..." Ne sort pas ma ninia, il y a assez de bois pour ce matin, ton père en rentrera ce soir, il fait froid et regarde ça! cette brume est vraiment épaisse".


    Elle finissait à peine sa phrase que j'étais déjà dehors, on y voyait encore un peu et je me disais qu'au moins aujourd'hui j'aurai fait quelque chose d'utile.
    J'ai entendue la porte se fermé, me disant en moi-même-je passerai par l'arrière cuisine...alors je continuais me dirigeant par habitude, la brume masquait tout mon univers familier donnant à certaines formes d'étranges allures.
    Moitié de peur moitié de froid je m'engouffrais dans la cave me disant...je reviendrais fermée la porte.



    Le bois qui y était entassés étaient bien sec, puis je vis les cageots de pommes-alors j'en emplit mes poches et n'ayant plus de place j'en choisie une belle regardant s'il n'y avait pas d'habitants...puis je croquais à belles dents.


    Je pris trois morceaux de bois en équilibre sur mon torse resserrant comme je le pu mes petits bras autour de ces morceaux et levant haut le menton - je fis avec ma langue quelques aller et retour sur mes dents et sur le morceau de pomme récoltant le jus et essayant de le faire couler dans ma gorge plutôt que le long de mon menton.

    Page Deux.


    Je parvins aller savoir comment à ouvrir la porte de l'arrière cuisine- puis celle de la cuisine. Je tapotais des pieds pour enlever la saleté que j'avais emmenée avec moi, puis dans un rire de tête je me dis que je passerai le balai et la chiffonnette si  c'était nécessaire.


    C'est là...je crois que je sentis sa présence, mon visage levé, mes bras relevés autour des bûches- je me dirigeais vers la cheminée afin d'y déposer mon fardeau. Je cligne des yeux.



    Je sens quelque chose de froid qui glisse, je sens du chaud, le jus de la pomme et ma salive glisse le long de mon menton.



    Je ne peux déglutir, je me sens faible, tout à coup... mes mains se desserrent ... une vague de douleur. Je suis tombée la pomme s'échappe, je vois la marque de mes dents- il manque le morceau ... il est dans ma bouche.


    Ma mâchoire se serre, mais je ne sens rien- je ferme les yeux une fois, deux fois et là... je vois une chaussure, puis une voix que je reconnais murmure... -Ah enfin ma  douce, tu es  là et rien que pour moi! Je sens ses mains sur mon corps, il me trousse, il glousse...il est en moi.

    Je ne peux rien faire, j'entends ses bruits abjectes , il me susurre  qu'il m'aime, qu'il est enfin heureux; que je ne dois plus m'inquiéter- que je lui appartient. Il pousse un gémissement plus fort. Je cligne des yeux, une fois, deux fois, une larme solitaire coule sur ma joue et se perd dans les fentes sombres du parquet

    Page Trois. 

    De nouveau il caresse mon corps, il se plaint que celui-ci se refroidit si vite. Je voudrais crié, mais aucun son ne sort de ma bouche, juste un gargouillis.De nouveau, il me murmure des mots qui pour moi non plus de sens...soudain, il me tourne la tête délicatement, bref moment de douleur ,puis, je le vois ...mes yeux doivent exprimés ma peur, ma douleurs, mon dégoût et mon immense surprise.

    -Ah! fait-il, tu me reconnais enfin, tu vois Ninia, j'ai toujours ce que je veux, ta mère n'aurai pas du me dire non et ton père n'aurai pas du me chasser comme un vulgaire paysan. Maintenant tu es à moi et pour toujours, personne ne te touchera. Une dernière fois et là il m'embrasse et m'enlace tout contre lui.

    Je sens ma tête qui part de côté et des larmes qui coulent...se sont les mienne, les dernières. Il me dépose doucement  face à la cheminée et vaguement je le sens encore. Je ferme les yeux, une fois, deux fois et je le voie.  Il fait un coeur en goutte de sang et il sourit. Il est heureux cela se voit.
    Je ferme les yeux, si fatiguée maintenant, une fois...je suis morte.



    Plusieurs jeunes filles ( femmes) subiront le même sort que Nathalia Fermont dites Ninia. En ces années sombres d'après-guerre, les indices étaient mince. L'homme ou les hommes capables de faire cela...quoi que les enquêteurs  de l'époque ne purent le certifier, mais, pour trois d'entre eux, il était évident que ces atrocités étaient accomplis par un seul et même homme.

    Page quatre.


    La presse ne parla pas longtemps de cette affaire, car la peur des femmes grandissaient et finissaient par être si forte que le travail en subissait les conséquences.

    L'industrie mis un terme aux déclarations fracassantes d'un jeune journaliste, qui de façon plus que persuasive...expliquait dans son petit encart que l'homme qui était recherché pour meurtre et viol était un familier de celles qui finissaient sous sa lame et que quiconque avait des soupçons; devaient les déclarés à la police et pourquoi pas à lui-même.


    Maximilien Henrio journaliste de droit devait ,écrivait-il, dénoncer ce vaurien, cet assassin sanguinaire, qui poussait le vice en laissant derrière lui une morbide déclaration.A la suite de cet article, très mal venu pour les enquêteurs de l'époque, le journaliste fut envoyé avec une prime assez colossale  vers un pays qui lentement; mais sûrement, laisser la mafia faire un peu tout ce qu'elle voulait et on  fit bien comprendre à Maximilien, qu'il serait bien plus utile là-bas qu'ici à faire peur aux femmes et jeunes filles.

    Page cinq


    Pourtant, Maximilien n'était pas loin de la vérité, cela dura sept ans, sept années de calvaire puis les atrocités disparurent. L'assassin se serait-il assagit tirait la presse? Ou bien, était-il trop vieux? Partit à la guerre?  Mort?Toutes ces questions restèrent sans réponse et toutes les victimes sans honneurs finirent pas être oubliés. Jusqu'à maintenant...

    Puisque je peux, grâce à ton aide, clamée la vérité. Dire aux parents des victimes le nom de l'assassin._
    Hé! attends! Tu vas trop vite, comment veux-tu que je fasse? Tu le sais, pour faire partie de moi...mon corps se meurt ,lentement, mais c'est un fait. Je n'ai plus beaucoup de temps devant moi.
    - Ah cher coeur, ne t'inquiète pas pour cela...je t'offre un peu plus de temps, car, si je reste avec toi, tu as mon énergie et celle-ci crois moi est immense.




    Car tu es venue à moi dans le but de nous aider, n'est ce pas? Alors, je dois à mon tour t'aider.
    -Oui, je veux bien te croire,mais, quand tu auras dit ta vérité et si l'homme est retrouvé...que feras-tu alors!

    Page six.


    - Ce que je ferais? pas grand chose, juste lui faire sentir et subir quelques désagréments interne. Nous étions huit, huit amies fidèles, sept sont mortes dans la honte la plus cruelle. Il faut le faire connaître. Je ne peux le tuer, si c'est cela que tu crois, je ne peux le faire voler et se jeter par la fenêtre ou tout autre chose un peu bizarre qui te passe par la tête en ce moment;

    non, ce que je pourrai faire lorsqu'on l'aura retrouvé, c'est  m'introduire en lui et lui faire avoué toutes ces choses qu'il nous a faites avec dates, lieu, le noms de mes amies et le reste, c'est ce que je pourrai faire et c'est cela que je ferai avec ton aide et rapidement car l'homme en question, vit pas loin d'ici...je te l'ai dit . Sept amies sincères, ou est la huitième? un hoquet d'effroi me saisit, pas loin d'ici, j'avais oublié ce détail...quand je pense au nombre de fois ou je n'ai pas fermé à clé ma maison ou j'ai dormi avec la fenêtre ouverte, j'en tremble d'émois.

    y-l.
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  •  

    Genèse

    14) Et Dieu dit encore:  » Que des luminaires paraissent dans l’étendue des cieux pour faire une séparation entre le jour et la nuit; ils devront servir  de signes et pour les époques et pour les jours et pour les années.(15) Ils devront servir de luminaires dans l’étendue des  cieux pour éclairer la terre. Et il en fut ainsi.(16) Et Dieu se mit à faire les deux grands luminaires, le grand luminaire pour la domination du jour et le petit luminaire pour la domination de la nuit, et aussi les étoiles. (17) Ainsi Dieu les mit dans l’étendue des cieux pour éclairer la terre. (18) Et pour dominer de jour et de nuit, et pour faire une séparation entre la lumière et les ténèbres. Alors Dieu vit que c’était bon. (19) Et vint un soir et vint un matin: quatrième jour.  (20) Et Dieu dit encore:  » Que les eaux pullulent d’âmes vivantes et que des créatures volantes volent au-dessus de la terre sur la face de l’étendue des cieux. ( 21) Et Dieu se mit à créer les grands monstres marins et toute âme vivantes qui se meut, dont les eaux pullulèrent selon leurs  espèces, et toute créature volante aillée selon son espèce », et Dieu vit que c’était bon. (22) Là*dessus Dieu les bénit, en disant:  » Soyez féconds, devenez nombreux et remplissez les eaux dans les bassins des mers, et que les créatures volantes deviennent nombreuses sur la terre ».

    Au commencement  » Dieu » créa les cieux et la terre
    2 Or la terre était informe et déserte et il y avait
    des ténèbres sur la surface de l’abîme d’eau; et la
    force agissante de Dieu se mouvait sur la surface des
    eaux.(3) Et  » Dieu » dit alors:  » Que la lumière paraisse. »
    alors la lumière parut.(4) Après cela Dieu vit que la
    lumière était bonne, et Dieu opéra une séparation
    entre la lumière et les ténèbres.(5) Et Dieu appelait
    la lumière Jour, mais les ténèbres, il les appela Nuit.
    Et vint un soir et vint un matin: premier jour.
    (6) Et Dieu dit encore:  » Qu’il y ait une étendue entre
    les eaux et qu’il se fasse une séparation entre les eaux
    et les eaux. » (7) Alors Dieu se mit à faire l’étendue et
    à faire une séparation entre les eaux qui devaient être
    au-dessous de l’étendue et les eaux qui devaient être
    au-dessus de l’étendue. Et Il  en fut ainsi.(8) Et Dieu
    appelait l’étendue Ciel. Et vint un soir et vint un matin:
    deuxième jour. (9) Et Dieu dit encore:  » Que les eaux
    ( qui sont ) au-dessous des cieux se rassemblent en un
    seul lieu et qu’apparaisse la terre ferme. » Et il en fut ainsi. (10)
    Et la terre ferme, Dieu l’appelait Terre, mais le rassemb

     

    lement des eaux, il l’appela Mers. En outre, Dieu vit que
    c’était bon. ( 11) Et Dieu dit encore:  » Que la terre fasse
    pousser de l’herbe , de la végétation portant semence,
    des arbres fruitiers donnant du fruit selon leurs espèces,
    dont la semence est en lui, sur la terre. » Et il en fut ainsi.
    (12) Et la terre produisait de l ‘herbe, de la végétation
    portant semence selon son espèce et des arbres donnant
    du fruit, dont la semence est en lui selon son espèce ».

     

    Alors Dieu vit que c’était bon. (13) Et vint un soir et vint un
    matin: troisième jour.
    Dorcas:
    Gazelle en grec). Chrétienne de la congrégation de Joppé qui était  » riche des bonnes actions et des dons de miséricorde qu’elle faisait, entre autres des vêtements de dessus et des vêtements de dessous pour les veuves dans le besoin ( actes 9:36,39).  » Dorcas » correspond à l’araméen  » Tabitha », les deux noms signifiant  » gazelle ». Il est possible que Dorcas ait été connue sous les deux noms, car il n’était pas rare pour des Juifs de porter à la fois un nom hébreu et un nom grec ou latin, particulièrement ceux qui vivaient dans une ville portuaire comme Joppé, ou la population se composait de Juifs et de Gentils. Ou bien, Luc a pu traduire ce nom pour les lecteurs gentils. Dorcas est la seule femme  » disciple » ( mot employé au féminin) citée dans les écritures. Il ne faut  toutefois pas en déduire qu’elle avait une fonction particulière au sein de la congrégation, car tous les chrétiens étaient en fait des disciples de Jésus-Chrits ( Mat.28:19/20). Bien que sa mort, survenue vers l’an 36 de notre ère, ait beaucoup fait pleurer les veuves qui avaient, semble-t-il, grandement profité de ses bontés, le fait qu’il ne soit pas question d’un mari affligé par la mort de sa femme donne à penser que Dorcas n’était pas marier à l’époque. Une fois morte, les disciples de Joppé la préparèrent en vue de l’inhumation: or, apprenant que Pierre se trouvait à Lydda, à quelques kilomètres au sud-est de Joppé, ils l’envoyèrent chercher. Ils avaient certainement entendu parler de la guérison du paralytique Enée opérée par Pierre à Lydda, et ce miracle a pu leur faire croire que l’apôtre pourrait ressusciter Dorcas. Ou alors, ils ont pu se tourner vers l’apôtre simplement pour être consolés (Actes *9:32-38). A l’exemple de Jésus lorsqu’il rendit la vie à la fille de jaïrus ( Marc 5:38-41). Pierre fit sortir tout le monde de la chambre haute, pria et dit:  » Tabitha » lève-toi! » Dorcas ouvrit les yeux, s’assit et prit la main de Pierre pour se lever. Cette résurrection opérée par un apôtre est la première du genre mentionnée dans les Ecritures et elle fut à l’origine d’un grand nombre de conversions dans tout Joppé ( Actes 9:39-42).

    Drusille:

    Troisième fille, la cadette, d’Hérode Agrippa 1er, née probablement en 38 de notre ère; elle est soeur d’Agrippa II et de Bérénice. Le nom de sa mère était Cypros. Elle n’avait pas encore six ans, qu’elle était fiancèe au prince Epiphane de Commagènes, mais le mariage n’eut pas lieu parce que le futur époux refusa d’embrasser le Judaïsme. A l’âge de 14 ans, elle devint la femme d’Azizus d’Emèse, roi syrien, qui, lui, avait accepté la clause de la circoncision. Exaspérée par la cruauté de son mari et irritée de la jalousie de sa soeur Bérénice, moins belle qu’elle, Drusille se laissa facilement persuader de divorcer avec Azizus, contrairement à la loi juive, et d’épouser le gouverneur Félix, vers l’an 54 de notre ère. Elle était peut être présente quand le prisonnier Paul parla  » de justice, de maîtrise de soi et du jugement à venir », ce qui troubla fortement la tranquillité du gouverneur Félix. Deux ans plus tard, quand Félix céda la place de gouverneur à Festus, il laissa Paul dans les chaînes,  » désirant obtenir faveur auprès des Juifs »; certains pensent qu’en agissant ainsi il cherchait à complaire à sa jeune femme,  » qui était juive ». ( Actes 24:24-27.) Le fils que Drusille eut de Félix, et qui avait aussi pour nom Agrippa, périt, pense-t-on, dans la grande éruption du Vésuve ,en 79 de notre ère.

     

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  •  

    Bandit! Voyou! voleur! Chenapan!
    Au-dessus de l’île on voit des oiseaux


    Tout autour de l’île il y a de l’eau


    Bandit! Voyou! Voleur! Chenapan!




    Qu’est-ce que c’est que ces hurlements


    Bandit! Voyou! Voleur! Chenapan!
    C’est la meute des honnêtes gens


    Qui fait la chasse à l’enfant
    Il avait dit j’en ai assez de la maison


    de redressement
    Et les gardiens à coups de clefs lui avaient


    brisé les dents
    Et puis ils l’avaient laissé étendu sur
    le ciment


    Bandit! Voyou! voleur! Chenapan!
    Maintenant il s’est sauvé

    Et comme une bête traquée
    il galope dans la nuit
    Et tous galopent après lui

    Les gendarmes les touristes les rentiers
    les artistes

    Bandit! Voyou! Voleur! Chenapan!
    C’est la meute des honnêtes gens

    Qui fait la chasse à l’enfant
    Pour chasser l’enfant pas besoin de permis
    Tous les braves gens s’y sont mis


    Qu’est-ce  qui nage dans la nuit
    Quels sont ces éclairs ces bruits

    C’est un enfant qui s’enfuit
    On tire sur lui à coups de fusil

    Bandit! Voyou! Voleur! chenapan!
    Tous ces messieurs sur le rivage

    Sont bredouilles et verts de rage
    Bandit! Voyou! Voleur! Chenapan!

    Rejoindras-tu le continent rejoindras-tu
    le continent!

    Au-dessus de l’île on voit des oiseaux

    Tout autour de l’île il y a de l’eau.
     

    Chasse à l'enfant. dans Fables img_3477-300x225
    photo de josé à Carnac

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