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Par osebo-moaka le 29 Mars 2015 à 10:33
B et son bébé. B est très fier aujourd'hui...il va avec papa voir son petit frère.
b sait qu'il doit faire attention car les petits frères et petites soeurs n'aiment pas le bruit et là ou va b, il y a beaucoup de bébés.
Habillé tout en bleu avec ses beaux yeux bleus il a fier allure.
B aimerait bien faire du toboggan il y en a un juste en bas de la rue, mais, il sait que barbule le chien du voisin va aboyé alors, il reste sage.
Au boulevard de Berlin, papa tourne à droite et s'arrête devant la boutique ou Bertille vend des fleurs.
Papa dit qu'un beau bouquet de fleurs fera sourire maman. Bertille compose le beau bouquet, elle met des bleuets, de la bruyère, des bégonias,et d'autres fleurs qui font une belle composition et un énorme bouquet.
B a emmener son bâton de colle, il fera pour être bien sage, un bateau en papier collé. Maman est habillée, elle a mis sa robe avec des motifs bleus comme ceux de B.
Enfin, elle lui montre son bébé, il est tout petit, B veut lui donner ses billes bleus,mais papa lui dit qu'il est trop petit pour jouer avec des billes;mais, qu'il pourra lui donner son biberon et aider maman pour lui donner son bain...et plus tard, ils barboteront ensemble dans la grande baignoire.
Ils joueront à la balançoire et au ballon.
Mais pour aujourd'hui bébé veut boire son biberon et B et très heureux.
Cherche avec maman tout les B et mets les en couleur.
Amuses toi bien.
y-l
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Par osebo-moaka le 29 Mars 2015 à 10:00
A va à l'école.
A est très heureux ce matin,
maman lui a dit qu'il irait à l'école voir tous ses amis et qu'il pourrait jouer avec eux toute la matinée.
Maman lui a préparer ses bonnes tartines faites avec des céréales, un peu de beurre et de la confiture de fraises, A se régale.
Puis, maman lui met son pantalon marron , sa chemise blanche ,son pull à manche longue ,son beau manteau et ils partent tous les deux en laissant le chat à la maison.
Maman a mis du pain avec un peu de chocolat pour que A le mange à dix heures avec ses camarades de classe.
Maman lui dit que c'est mamie Mathilde qui viendra le chercher à midi . A est content, de loin il voit son ami Bastien qui l'attend devant la grande porte.
Il cri après A et A a envie de courir mais maman lui dit de faire attention aux automobiles.Elle lui tient la main et ensemble ils traversent la rue.
A retrouve Bastien qui emmène très vite A pour aller joué aux billes, maman, le regarde avec tendresse et lui fait un petit signe de la main.Maman discute avec la maîtresse et lui dit que c'est mamie Mathilde qui viendra chercher A à midi.
Maman repart et la maîtresse ferme la porte, la matinée passera très vite et A se dit qu'elle sera belle.
Retrouve avec maman tout les A,à,a et mets les en couleur.
Amuses toi bien.y-l
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Par osebo-moaka le 23 Mars 2015 à 15:27
Les Araignées bébés se cachent dans les placards.
Les Araignées bébés Se cachent dans les placards, se fondent dans les ombres et sortent pour nous regarder dormir. Elles sont si nombreuse que personne ne saura jamais leur nombre exacte.
Dans mon placard, j'ai de nombreuse araignées bébés, ce sont mes amies et la nuit venue, quand mes parents s'endorment...j'ouvre enfin mon placard; je retourne très vite dans mon lit et je glisse ma tête sous mes couvertures et j'attends...
Alors, j'entends les grattements, les frottements, les bruissements, tous ces sons que mes parents refusent d'entendre. J'allume alors ma torche et je respire très fort. Puis, je prends mon harmonica et je laisse le son envahir ma chambre.
Alors, le chant doucement accompagne le son de l'harmonica. Cette musique glorieuse, je la joue pour mes petits enfants. Car, par amour, les araignées bébés m'offrent chaque nuit un chant nouveau.
Croyez-moi, ces chants là, ne sont pas près d'être oubliés. Demandez donc à tous ces extraordinaires compositeurs...tous vous dirons la même chose.
Un soir après le coucher du soleil, quand tout enfin est noir...que la lune se cache sous les gros nuages;
des sons se font entendre et ceux qui ont en eux la passion pour la musique, entende ces sons glorieux que plus tard, ils transforment en harmonique vibrantes que l'homme peut enfin entendre et savourer.
Alors, si un soir un de vos enfants vous dit qu'il entend des sons dans son placard...
écoutez quand tombe le soir, les bébés araignées vous offrent avec amour, le plus beau des cadeaux.
Le son de la vie.
Y-L
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Par osebo-moaka le 15 Mars 2015 à 13:34
Un envoyé du grand seigneur
Préférait, dit l'histoire, un jour chez l'empereur
Les forces de son maître à celles de l'Empire.
Un Allemand se mit à dire:
Notre prince a des dépendantsQui, de leur chef, sont si puissants,
Que chacun d'eux pourrait soudoyer une armée.
Le chiaoux, homme de sens,
Lui dit: Je sais par renommée
Ce que chaque électeur peut de monde fournir;
Et cela me fait souvenir
D'une aventure étrange, et qui pourtant est vraie:J'étais en un lieu sûr, lorsque je vis passer
Les cents têtes d'une hydre au travers d'une haie.
Mon sang commence à se glacer;
Et je crois qu'à moins on s'effraie.
Je n'en eus toutefois que la peur sans le mal:
Jamais le corps de l'animal
Ne put venir vers moi ni trouver d'ouverture.
Je rêvais à cette aventure
Quand un autre dragon, qui n'avait qu'un seul chef
Et bien plus d'une queue, à passer se présente.
Me voila saisi derechef
D'étonnement et d'épouvante.
Ce chef passe, et le corps et chaque queue aussi:
Rien ne les empêcha: l'un fit chemin à l'autre.
Je soutiens qu'il en est ainsi
De votre empereur et du nôtre.
Jean de la Fontaine.
( ce récit n'est pas une fable, mais une petite histoire allégorique.)
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Par osebo-moaka le 11 Mars 2015 à 13:52
Les aventuriers de l'âme sont peut être plus près de la légende que du grand mythe. Pourtant le récit de leurs aventures est d'une dimension symbolique et littéraire telle qu'ils peuvent sans rougir se joindre au cortège des grands personnages mythiques classiques.
Perceval est l'un des plus jeunes chevaliers de la cour du roi Arthur, mais aussi l'un des plus célèbres. Son père et ses frères sont morts au combat, et sa mère l'élève dans l'ignorance de la chevalerie, au plus profond d'une forêt. Malgré toutes ces précautions, Perceval se trouve un jour en présence de deux chevaliers magnifiques.
Aussitôt enthousiasmé, il quitte sa mère en pleurs et part se faire adouber par le roi Arthur. Cet épisode n'est pas sans une grande signification symbolique. Très souvent, le héros, avant de pouvoir devenir un homme, doit laisser, voire abandonner sa mère derrière lui. Image de l'enfance, de l'attachement au passé, aux anciennes valeurs, il doit la quitter pour s'avancer seul vers son destin et son avenir.
a la cour du roi Arthur, Perceval apprend le métier des armes et découvre l'amour. Plusieurs tournois et batailles vont lui donner l'occasion de montrer son courage et sa vaillance. Les années passent et Perceval se souvient avec nostalgie de sa mère qu'il n'a pas encore revue.
Aussi se met-il en chemin pour revenir au pays de son enfance. Sur sa route, il rencontre un homme étrange. Le roi Pêcheur est un vieil homme malade qui règne sur un pays rendu stérile. Perceval est invité à passer la nuit au château et à participer au banquet du soir. Au milieu du repas, une impressionnante procession s'avance dans le plus grand silence.
de splendides jeunes gens portent une lance au bout de laquelle perlent des gouttes de sang, suivis par une jeune vierge qui tient entre ses mains un vase étincelant. Perceval est dévoré de curiosité, mais il vient juste d'apprendre qu'un jeune chevalier, invité de surcroît, ne doit pas poser de question.
Sa jeunesse et son inexpérience lui font manquer la grande découverte de sa vie. Il reprend sa route et apprend en chemin que sa mère est déjà morte, épuisée par le chagrin de son absence. Cinq années durant, Perceval tente de percer le secret du Graal. Un ermite lui fait prendre conscience de la nuit spirituelle dans laquelle il est encore plongé, et du chemin intérieur qu'il lui reste à parcourir.
C'est Galaad, le chevalier prédestiné à cette oeuvre de toute éternité, qui va reconnaître dans le Graal le calice qui a recueilli le sang du Christ au Calvaire, et dans la lance qui saigne celle qui avait percé son côté. Galaad peut alors, grâce à sa pureté, guérir le roi et redonner fertilité à sa terre et prospérité à son royaume. Chrétien de Troyes Le Conte du Graal.
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Par osebo-moaka le 16 Février 2015 à 11:36
Mère lionne avait perdu son faon:
Un chasseur l'avait pris.La pauvre infortunée
Poussait un tel rugissement,Que toute la forêt était importunée.
La nuit ni son obscurité,
Son silence et ses autres charmes,
De la reine des bois n'arrêtaient les vacarmes:
Nul animal n'était du sommeil visité.
L'ourse enfin lui dit:
ma commère,
Un mot sans plus:
Tous les enfants
Qui sont passés entre vos dents
N'avaient-ils ni père ni mère?Ils en avaient.
S'il est ainsi,Et qu'aucun de leur mort n'ait nos têtes rompus,
Si tant de mères se sont tues,
Que vous taisez-vous aussi?
Moi, me taire! moi, malheureuse! A
h! j'ai perdu mon fils! Il me faudra traîner
Une vieillesse douloureuse!
Dites-moi, qui vous force à vous y condamner?
Hélas! C'est le Destin qui me hait.
Ces paroles
Ont été de tout temps en la bouche de tous.
( Misérables humains, ceci s'adresse à vous! Je n'entends résonner que des plaintes frivoles. Quiconque, en pareil cas, se croit haï des cieux, Qu'il considère Hécube, il rendra grâce aux dieux.).
4 commentaires -
Par osebo-moaka le 16 Février 2015 à 11:24
Un pince-maille avait tant amassé
Qu'il ne savait ou loger sa finance.
L'Avarice, compagne et soeur de l'ignorance,
Le rendait fort embarrassé
Dans le choix d'un dépositaire;
Car il en voulait un, et voici sa raison:
L'objet tente;
il faudra que ce morceau s'altère
Si je le laisse à la maison:
Moi-même de mon bien je serai le larron.
Le larron?
Quoi! Jouir, c'est se voler soi-même?
Mon ami, j'ai pitié de ton erreur extrême.
Apprends de moi cette leçon:
le bien n'est bien qu'en tant que l'on s'en peut défaire; Sans cela c'est un mal.
Veux tu le réserver Pour un âge et des temps qui n'en ont plus que faire?
La peine d'acquérir, le soin de conserver otent le prix à l'or, qu'on croit si nécessaire.
Pour se décharger d'un tel soin,
Notre homme eût pu trouver des gens sûrs au besoin.
Il aima mieux la terre; et prenant son compère,
Celui-ci l'aide.
Il vont enfouir le trésor.
Au bout de quelque temps l'homme va voir son or;Il ne retrouva que le gîte.
Soupçonnant à bon droit le compère,
il va vite lui dire:
Apprêtez-vous; car il me reste encor
Quelques deniers:
je veux les joindre à l'autre masse.
Le compère aussitôt va remettre en sa place
L'argent volé;
prétendant bien tout reprendre à la fois, sans qu'il y manquât rien.
Mais ,pour ce coup, l'autre fut sage:
Il retint tout chez lui, résolu de jouir,
Plus n'entasser, plus n'enfouir;
Et le pauvre voleur,
ne trouvant plus son gage,
Pensa tomber de sa hauteur.
( Il n'est pas malaisé de tromper un trompeur).
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