• Sur terre, j'étais Célia Blek. Mon âge...vingt et un ans. Après une soirée un peu trop arrosée, j'ai été enlever avec dix autres filles et sept garçons. Ceux qui nous ont enlevés ressemblent à des humains, étranges certes mais ils restent néanmoins humanoïdes; grands, forts, ombrageux, ignorants des lois régis sur terre.


    Ou alors...ils avaient un droit...un peu comme les rois, les princes d'antan. sauf que ceux-là, ben ils nous emmènent vers un autre cercle de vie. Poussés comme du bétails à moitié endormis ou drogués, nous avançons sous les ordres d'un dénommé Corl  Celui-là possède en lui une colère noire qi, se voit dès qu'il pose le regard sur vous.


    Quelques-uns, cherchant à se rebellés en paie les frais...après avoir subit une sorte de lumière orange, diffusée par une "lampe"...finis la rébellion, bonjour les moutons. Je fais celle qi est très sage mais , mon sang boue en moi attisant la flamme vive qui, ne cherche que la lumière, la liberté. Alors que je reste sage, une femelle de ce peuple me touche la main. Dans son dialecte, que nous ne comprenons pas, elle semble expliquer quelque chose.



    Deux des  hommes s'approchent de moi. Je me tends prête à vendre chèrement ma vie. L'un deux m'offre un petit sourire, l'autre touche mes cheveux...puis comme une idiote qui se trouve rassurée par ces marques de curiosités, je ne m'occupe plus de la femelle.
    Un choc, un gémissement, je m'effondre  sur le sol du vaisseau qui s'envole et nous avec. Pourquoi? Pourquoi m'a t'on mise hors d'état de nuire?

    Mon compagnon était'il mon sauf conduit?
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  • Dix longues années...Un bail, et te voila, je te vois assis sur cette souche d'arbre  presque pourrie tes longues jambes semblant chercher le réconfort de ce sol qui fait parti de toi. Je me souviens de ce jour ou ton grand-père fou de douleur, de colère, nous donna l'ordre de mettre à terre ce géant que toi, tu aimais tant. Ta douleur quand en rentrant des cours, tu découvris le massacre. Ton arbre fétiche, ton ami, ta carapace se fendit.

    J'étais là à tes côtés, frêle et pourtant fort. Tu t'éloigna afin de ne pas me montrer ta peine. Pourtant tout ce que moi je perçu de toi ce soir là...tous ce don encore aujourd'hui je me souviens, c'est de ta force, de ta fureur, de ton désir de tout détruire. Les autres  sentirent cela, mais trop habitué, ils crurent que ton grand-père faisait montre de sa force.

    Les pauvres quelle misère de voir ces hommes, ces femmes, se tenirent  devant Caven Leg Fork troisième du nom. Imposant bonhomme, farouche guerrier oui da mais si mauvais que le cercle lui-même se mourait lentement, à petit feu...et personne pour se battre contre cet esclavagiste, ce tirant capricieux. Moi? Oh moi , je n'étais comme toi qu'un tout jeune guerrier bien en dessous de ta condition de futur chef de clan.


    Mais ce jour-là, je sus que je te suivrais jusqu'au bout de ton monde, tu étais le sel de ma vie, la terre nourricière, l'eau limpide qui étanche la soif du corps, de l'esprit. Oui ce jour là, je compris que tu étais mon tout. Je gardais cela bien enfoui en moi. Mes colères, mes fugues, mes désirs  et plus encore resteraient à jamais si bien enfoui en moi que personne, non personne ne pourrai en saisir rien qu'une infime bride.


    Hier pourtant tu te montra, fier, fort, courageux devant celui qui se croyait invincible. Tu te montra tel que moi je te voyais. tu fis comprendre à tous que tu ne jouais  pas. Tu te dressa et d'une voix puissante tu défia ton unique parent. Tu lui présenta tes trois options, à lui de faire son chois. Il ne pouvait refusé, non pas devant ses lieutenants, ses deux chefs représentant les castes. Alors se tenant bravement il gronda.

    _Fils de mon fils, je t'écoute et ce devant le clan, devant les castes. Donne ta parole.
    Fils de mon fils, ta jeunesse t'égare, si tu le désire retourne voir le monde et reviens nous plus fort de ce que ton esprit aura compris de monde.
    Et voila en une phrase, il venait de te faire passer pour un pauvre gamin incapable de se tenir. Tu te montras à nouveau lui rabattant sa bile en clamant devant le cercle.

    Premièrement?
    Accepte de te soumettre devant le cercle, devant le clan.

    Deuxièmement!
    Montre au cercle, au clan que ton heure, ton temps est terminé,
    que tu acceptes de rester afin d'aider celui qui va prendre ta place.

    Troisièmement...
    Montre leur ton honneur, ta foi, ton courage
    bats toi pour eux, pour le clan, pour le cercle, pour
    ton honneur, l'honneur de ton nom que je porte
    aujourd'hui fièrement.
    Ou alors meurt dans le déshonneur, la stupidité, la haine, le désir brûlant en toi de faire tous disparaître, à toi de voir grand- père!


    Tous homme fier qu'il était, ton grand père hurla.
    Jamais fils ingrate, je te haie, je te banni, je vais faire de ta vie un enfer.



    _Sauf que je viens de te lancer Le Défi, acceptes tu cela Chef de Clan?
    _ Oui hurla t'il faisant tremblé le cercle et s'effondré les bords effilés de l'arène.
    Je tremblais pour toi bien que je sois bien trop loin pour te venir en aide.
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  • Euh, je crois que oui, mais j'ai douze ans, je pourrais venir avec vous et, mon frère pourrait rester avec ces gens, je pourrais vous aider, vous ne pensez pas maître?

    _ Non Zian, mais, je vais te faire confiance et, je ne vais pas te faire ce que j'ai fais à ton frère. Tu es l'aîné Zian et, je pense que cette confiance n'est pas déplacé...ne me fais pas regretter cette confiance que je t'accorde Zian. Le regard que le maître posa sur le jeune Zian était emprunt de gravité.

    Il y avait aussi un peu de tristesse dans ses dernières paroles et Zian compris au delà de ce que son esprit de douze ans pouvait comprendre, que le maître s'en remette à lui pour un secret qui ne devait pas être révéler, en cet instant, Zian devint ce qu'il serait plus tard, un guerrier.


    L'image qui se forma dans son esprit ne dura que quelques secondes, mais, lorsqu'elle disparut, il restait dans les yeux de Zian une légère brume...puis, il hocha la tête et prit son jeune frère par l'épaule et lui dit: " viens, nous rentrons chez nous, cela fait plusieurs heures que nous sommes partis pêché et, la pêche n'a pas était bonne, père ne va pas être content de nous.


    Viens, dépêchons nous de rentré avant la nuit, aller viens je te dis.
    _ Mais ou! ou veux tu aller Zian!
    - Mais, chez nos parents tiens. Aller Lizu, allons chez nous.
    - Alors, on va  à la maison Zian! On va mangé et dormir et le vieux maître viendra nous voir plus tard, dans l'année? C'est ça hein?

    -Oui, Lizu c'est ainsi que cela se fera, c'est ma parole de vieux maître, maintenant...retournez sous la tente de vos parents,ils s'inquiètent et, bientôt c'est tous le village qui sera inquiet, nous,nous retrouverons bientôt les garçons, c'est notre secret à nous.- oui, oui maître s'écrièrent les garçons.


    Alors, le maître reprit son chemin. il connaissait sa  route mais, il sentait en lui le réveille de la Sorcière et, à cause de cela, il ne voulait pas brusqué les chose. Il avançait doucement, comme un maître récoltant des informations sur les plantes, prenant des notes afin de pouvoir vérifier plus tard, on ne sait jamais.

    Les remèdes des anciens ne sont pas à prendre à la légère, un sourire...un bol de riz, quelques histoires lui valaient la permission de dormir dans la hutte des invités de passages.Mais, comme la loi le disait:

    il devait être parti le lendemain à l'aube, c'est la loi dans le village des Fleurs de l'Oublis et, là encore il valait mieux obéir; sinon on restait prisonnier à vie dans cette vallée des Fleurs de l'Oublis...c'est triste, de belles choses poussent
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  •  Prologue:
    Elle ne voulait plus de ces longues soirées seule au coin du feu. Elle n’en pouvait plus d’attendre que l’un des amis de son défunt mari vienne la voir, elle avait compris. Elle décida de changer de look de se mettre en valeur. Elle commença par vider ses armoires ne gardant que ce qui pouvait lui servir pour le jardin.

    Elle rangea  Ses placards et fit du trie dans les habit de son mari. Elle donna le plus à Emmaüs. Elle chercha un service à l’enfance afin de faire un don. Elle le trouva et par la même trouva une jeune fille si sensible que le bonheur entra par le biais de son sourire. Et depuis ce jour là, elle ne se quittait plus.

    Deux femmes d’âges différents, mais complémentaire . Une richesse pour elle deux, et là débuta une extraordinaire histoire d’amitié qui irait jusqu’à l’amour. Chapitre un.
    Veuve depuis plus de quatre ans, elle se sentait bien seule dans sa grande maison ou tout lui rappelait les jours heureux et les jours sombres. Ils s’étaient connues grâce à des amis communs.

    Lui c’était sa cousine qui sortait avec son meilleur ami et Jules donc… petit ami de… Tania; ma nièce avait une amie qui sortait souvent avec eux. Jeune femme brune, petite , élégante , farouche aussi. Et c’est le jour de la demande en mariage que Jules avait prévu que je rencontre cette jeune femme dont les deux amoureux me vantés les qualités.


    Dire que cela fut le coup de foudre… là… se serait mentir, mais il y eut un déclic, ça c’est certain. Elle rougit violemment et je crois que moi-même je devais avoir les joues assez rouges, car, je ne me sentais pas à l’aise. Les deux tourtereaux firent comme-ci de rien n’était. Mais leurs yeux brillaient un peu plus. En clair ils jubilais de voir deux ancêtre se regarder les mirettes et de sentir le rouge leur monter au visage.

    Cela pour sûr sera ressortie à la prochaine soirée entre mec .La soirée fut mémorable, demande parfaite, faite dans les règles de l’art. Un genou en terre, tête droite, un petit sourire au coin de ses lèvres, un bouquet de roses blanche nimbée de jaunes, se sont ses fleurs d’amour préféré comme elle aime si bien le dire…

    La future s’approche de lui, rose et éblouissante de beauté, robe style  napoléonienne, petit chapeau posé sur sa tête de façon à mettre en valeur ses yeux de velours marrons caramel.

    Voile léger, juste posé négligemment sur son épaule droite et le sourire éclatant de victoire inscrit sur sa face elle pose un genou près du sien, et elle le dévore. Sa robe blanche piquetés d’étoiles lui fait grâce au soleil un magnifique éclat sans pareil.


    Les petites filles se mettent à papoté dans leurs oreilles. On pourrait presque les entendre. La salle louée pour cet événement retentit de hourras, et de vive les futur mariés. la nuit ne faisait que de commencer. Cette soirée fut vraiment mémorable, les vidéos, les photos sont autant de gage futur sur les uns les autres pour étouffés quelques petits débordements.

      Pour moi la soirée se termina vers 3 heures du matin et c’est tout sourire que Jules légèrement  souriant et un peu saoul vint me demandé de raccompagner l’amie de sa future qui devenait dans ce sens là son amie ( pas si saoul hein!!!) car ceux qui devait l’emmener étaient partis en l’oubliant.

    J’allais protesté une vague excuse  et lâchement partir… quand un regard perdu accrocha le mien! Je vis autour d’elle deux hommes  bien chaud et qui se montraient un peu trop pressant à mon goût. Alors je lui sourie et sans plus rien voir autour de moi je lui tendit la main.


    Elle l’a prit pour ma plus grande joie ( un frisson monta le long de ma colonne vertébrale, j’y repense parfois et j’ai toujours les mêmes suées.) Marjolaine avait un sourire éblouissant, des yeux  qui riaient tous le temps, une fossette à la joue gauche et je le dis:  » elle a eut droit à bien des baisers cette joue là! »

    Je déposais Marjolaine devant chez elle et j’attendis qu’elle soit entrée chez elle pour partir. Je voyais bien qu’elle cherchait un prétexte pour me parlé, mais, je n’eus pas le  courage d’engager la conversation. Alors un peu déçue, elle comme moi d’ailleurs, nous nous quittâmes sur une vague promesse de se revoir bientôt, et avec nos amies peut être!
    Chapitre 2.
    y-l

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  • Je repris le chemin du retour qui s’effectua sans aucun souci majeur. Ma chère grand-mère n’était pas bien et elle me quitta trois jours plus tard. Si j’avais su! Mon courrier fut donc bien triste à recevoir.

    Je rassurais mes hôtes tout en leur apprenant la disparition de leur amie. Ils vinrent pour la mise en bière et ils restèrent une semaine afin de m’aider. Quand ils partirent cela me fit un vide tel que je sombrais dans le désespoir et c’est là que par un beau matin brumeux je la vie.


    Je me rendais chez le médecin elle en sortait. Un petit sourire au coin de ses lèvres rose, le regard baissait. En se croisant elle leva les yeux vers moi et je sus que ce serait elle. Cette jeune fille au sourire doux amère serait ma femme. Et, voila, comment je rencontrais Clarisse Duchois.

     


    Un an plus tard nous étions marier. La sortie de juillet nous convainquit tous les deux que nous étions fait l’un pour l’autre, et, Pierre-Alain fut mon témoin. Il resta notre ami fidèle pendant ces longues années passées auprès de ma chère femme, notre regret fut que nous ne pûmes avoir d’enfants; stérile tous les deux, un accident pour elle, une erreur de la nature pour moi.

    Mais  notre vie fut pleine. Elle mourut d’une pneumonie à l’âge de trente ans et Pierre-Alain resta avec moi de longs mois me surveillant et veillant à mon confort. Puis la vie reprit le dessus, la guerre nous sépara, mais dieu merci elle nous épargna. Les retrouvailles furent grandioses et depuis , il ne se passe pas une année ou notre soif de connaissance ne nous pousse à aller voir là-bas ce qui s’y passe.

    Depuis deux ans Pierre-Alain se passionne comme je vous l’ai dit il me semble pour ce qui est du domaine de l’incroyable. De ces cas ou il n’y a apparemment pas d’explications. Dans deux jours, nous partons pour une excursion qui nous mènera  en Ecosse. Pierre-Alain a entendu dire qu’un certain château serait visité par une belle et étrange dame blanche. 

    Nous nous rapprochons un peu plus tous les deux et je pense que cette année sera une année décisive pour nous. La longue attente de Pierre-Alain touche à sa fin. Sa traversée du désert de solitude prendra bientôt fin et qu’importe ce que l’on pensera de nous.

    La plus grande des victoires sur cette terre de misère reste et restera l’amour que l’on peut se donner et donner aux autres. Je vous conterai notre aventure en Ecosse. J’ai hâte de vivre cette histoire et plus encore de vous la narrez. A bientôt.
    Y-L

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  •  

    -Eh bien, s’ils veulent qu’on les suive; on va le faire, c’est peut être important… Et nous voila partit à suivre deux gosses d’environs 6 et 8 ans; qui avaient l’air d’avancer bien plus vite que nous. Ils se trouvaient toujours là quand ont été larguer. Au bout de vingt minutes, je commençais à trouvé ça plutôt difficile à admettre; car les enfants ne parlaient pas, juste un petit sourire et ce signe de la main.

    Qui se voulait même pressant. J’allais dire à Pierre-Alain qu’il y en avait marre et que ces gosses nous faisais un sale coup; quand, soudain, au détour d’une haie nous vîmes une très ancienne maison. Elle était là… Froide, dominatrice, elle  écrasait de sa présence le près  dans lequel elle était , un  chêne d’une grandeur  et d’une majesté incroyable se tenait droit devant elle.

     

    De chaque côté on voyait l’ancienne muraille de pierre éboulée de ci de là. Une magnifique mais bien étrange demeure. Un puits à l’ancienne était à demi couvert par les vignes et les ronces. Un peu plus loin on voyait une autre bâtisse moins imposante, mais de belle proportion, style maison d’ouvriers, ou de domestiques ou encore de métayer ou on ne sait l’imagination débordante, nous nous entretenions tous les deux de ce que pouvait être cette demeure.

    Elle n’était sur aucune carte, aucun panneau, pas de nom, sauf celui qu’on lui donna pour rire. Le château des enfants perdus. En approchant un peu plus, nous pûmes voir que cette maison était vraiment très ancienne et pas du tout dans le style des maisons ou demeures de Normandie. Pierre-Alain parlant bas on ne sait pourquoi d’ailleurs, me dit:  » tu ne trouves pas qu’elle ressemble à une vieille baraque anglaise? »

    Et je dû en convenir, car c’est vraiment l’impression qu’elle donnait. Nous avancions vers l’arbre tant il était imposant, nous voulions le toucher, en faire le tour; le mesurer bref parlé de sa grandeur. Mais, les enfants me firent de grands signes et leurs regards étaient poignant à voir.

    Alors, je fis signe à mon ami et c’est un Pierre-Alain peu conciliant que je traîné à ma suite. Je me demandais toujours à quoi cela rimer. Que me voulait ces deux petits garçons? Et pourquoi Pierre -Alain ne les voyait pas? Me faisait -il une blague?

    C’était bien dans son genre, mais, quand je me retournais, je sus qu’en fait il n’avait pas vu les enfants. Alors que là! il les voyait bel et bien et son expression en disait long… Il se rapprocha de moi, ce n’est pas un homme peureux et pourtant là, je vous assure que c’est l’impression qu’il me donna.


    Je le fixais un moment et je vis sur son visage de la sueur, mais, pas dû à la chaleur; car il faisait très froid. Il me rendit mon regard et d’un pauvre sourire me fit comprendre qu’il les voyait enfin et qu’il n’était pas rassuré. Aucun mots ne sortit de sa bouche, sauf pour me demander:  » Dis qu’est ce qu’on fait? »


    - Hein! en bien, on les suit il n’y a pas grand-chose d’autre à faire, regarde les! Ils ont besoin de nous qui que ce soient et nous ne pouvons les laisser seuls. Ils sont trop jeunes, allons voir… Et nous comprendrons peut être, toi qui voulais du mystère te voila servit… -Oh! très drôle! oui très drôle… Les enfants nous faisaient des gestes de plus en plus forts et c’est avec crainte que nous  nous mîmes à courir pour les rattrapés. Et là! à suivre?

    Y-L

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  • C’est la nuit noire, froide. Le lieu interdit, car le terrain s’effondre… l’homme pourtant est là, légèrement inquiet, guettant les bruits. Il le sait bien, il n’aurait pas du venir… mais l’appel avait était pressant. Comment ne pas y répondre? Vieille histoire qui remonte si loin que sa mémoire incertaine lutte sur les souvenirs. Il se souvient surtout de ce jour là! Ce jour ou sa vie a basculé dans le noir. Jamais, il n’aurai jamais pensé qu’en un seul jour, son existence serait marqué de façon si définitive. Racontait l’histoire! C’est se revoir tel qu’il était à l’époque… à cette époque insouciante  et béni, jour de liesse, joie et ivresse. Si loin et pourtant si près. Un jour, rien qu’un jour et maintenant, il devait en payer le prix. Avril 1789, la rue gronde, le peuple frémit, la roue tourne et c’est avec faste que les princes s’installent,mangent , boivent et se réjouissent, libertinage, folie de vivre, folie de la vie. Hommes et femmes se trompant pour cacher l’ennui de cette vie morose. Quelques drogues circule, des apothicaires  servile se sont enrichie. Ils vont et ils viennent dans les chambres et les anti-chambres, pour vendre à ces riches le fruit de leur recherche. Savent-ils que cela leur ôtera la vie? Non, ils ne pensent pas au lendemain. Aucun de ceux qui consomment ces drogues là ne pourront dire qui les lui a fourni. Ils dépérissent, s’étiolent, on parle de maladie qui fait des ravages chez ceux de la noblesse. Les grands s’affolent, leurs enfants s’étiolent, une maladie de langueur, leur dit leur médecin… aucun remède et pour cause… Quelques remèdes de bonne-femme- des simples, les emmenés à la campagne…loin de l’agitation de la grande capitale. Il est tellement plus raisonnable de pensé que ce genre de mélancolie ne s’adresse qu’aux faibles jeunes femmes, pourquoi donc ces jeunes gens, si beaux, si fort sont-ils prit eux aussi par cette étrange  et fugace maladie? Après quelques mois au calme, à la campagne, certains retrouvent un semblant de vie après avoir traversé comme une déchirure de soi! Des cris, des hurlements, des vomissements! Ils vont jusqu’à battre leur servant, indigne de ces jeunes aristocrates direz-vous! Homme de lettre qui ne sera pas nommé, sa popularité monte en flèche et certain déjà lui font des courbettes- pendant que le roi insouciant  jette par la fenêtre sont argent; fêtes par ci, fêtes par là. accueil de celui-ci, accueil de celui-la , les plats sur la table s’accumulent, perdreaux, oies bien grasses, lèvres, venaison,légumes  exotiques et fruits le tout servi avec de grand cru. La salade est le plat des dames avec la petite caille point trop faisandée. Puis , il faut danser, rire ,s’amuser presque toute la nuit. Les visages sont bouffies de trop de tout.
    y-l
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