• Pour ne plus me sentir vide…

     Prologue:
    Elle ne voulait plus de ces longues soirées seule au coin du feu. Elle n’en pouvait plus d’attendre que l’un des amis de son défunt mari vienne la voir, elle avait compris. Elle décida de changer de look de se mettre en valeur. Elle commença par vider ses armoires ne gardant que ce qui pouvait lui servir pour le jardin.

    Elle rangea  Ses placards et fit du trie dans les habit de son mari. Elle donna le plus à Emmaüs. Elle chercha un service à l’enfance afin de faire un don. Elle le trouva et par la même trouva une jeune fille si sensible que le bonheur entra par le biais de son sourire. Et depuis ce jour là, elle ne se quittait plus.

    Deux femmes d’âges différents, mais complémentaire . Une richesse pour elle deux, et là débuta une extraordinaire histoire d’amitié qui irait jusqu’à l’amour. Chapitre un.
    Veuve depuis plus de quatre ans, elle se sentait bien seule dans sa grande maison ou tout lui rappelait les jours heureux et les jours sombres. Ils s’étaient connues grâce à des amis communs.

    Lui c’était sa cousine qui sortait avec son meilleur ami et Jules donc… petit ami de… Tania; ma nièce avait une amie qui sortait souvent avec eux. Jeune femme brune, petite , élégante , farouche aussi. Et c’est le jour de la demande en mariage que Jules avait prévu que je rencontre cette jeune femme dont les deux amoureux me vantés les qualités.


    Dire que cela fut le coup de foudre… là… se serait mentir, mais il y eut un déclic, ça c’est certain. Elle rougit violemment et je crois que moi-même je devais avoir les joues assez rouges, car, je ne me sentais pas à l’aise. Les deux tourtereaux firent comme-ci de rien n’était. Mais leurs yeux brillaient un peu plus. En clair ils jubilais de voir deux ancêtre se regarder les mirettes et de sentir le rouge leur monter au visage.

    Cela pour sûr sera ressortie à la prochaine soirée entre mec .La soirée fut mémorable, demande parfaite, faite dans les règles de l’art. Un genou en terre, tête droite, un petit sourire au coin de ses lèvres, un bouquet de roses blanche nimbée de jaunes, se sont ses fleurs d’amour préféré comme elle aime si bien le dire…

    La future s’approche de lui, rose et éblouissante de beauté, robe style  napoléonienne, petit chapeau posé sur sa tête de façon à mettre en valeur ses yeux de velours marrons caramel.

    Voile léger, juste posé négligemment sur son épaule droite et le sourire éclatant de victoire inscrit sur sa face elle pose un genou près du sien, et elle le dévore. Sa robe blanche piquetés d’étoiles lui fait grâce au soleil un magnifique éclat sans pareil.


    Les petites filles se mettent à papoté dans leurs oreilles. On pourrait presque les entendre. La salle louée pour cet événement retentit de hourras, et de vive les futur mariés. la nuit ne faisait que de commencer. Cette soirée fut vraiment mémorable, les vidéos, les photos sont autant de gage futur sur les uns les autres pour étouffés quelques petits débordements.

      Pour moi la soirée se termina vers 3 heures du matin et c’est tout sourire que Jules légèrement  souriant et un peu saoul vint me demandé de raccompagner l’amie de sa future qui devenait dans ce sens là son amie ( pas si saoul hein!!!) car ceux qui devait l’emmener étaient partis en l’oubliant.

    J’allais protesté une vague excuse  et lâchement partir… quand un regard perdu accrocha le mien! Je vis autour d’elle deux hommes  bien chaud et qui se montraient un peu trop pressant à mon goût. Alors je lui sourie et sans plus rien voir autour de moi je lui tendit la main.


    Elle l’a prit pour ma plus grande joie ( un frisson monta le long de ma colonne vertébrale, j’y repense parfois et j’ai toujours les mêmes suées.) Marjolaine avait un sourire éblouissant, des yeux  qui riaient tous le temps, une fossette à la joue gauche et je le dis:  » elle a eut droit à bien des baisers cette joue là! »

    Je déposais Marjolaine devant chez elle et j’attendis qu’elle soit entrée chez elle pour partir. Je voyais bien qu’elle cherchait un prétexte pour me parlé, mais, je n’eus pas le  courage d’engager la conversation. Alors un peu déçue, elle comme moi d’ailleurs, nous nous quittâmes sur une vague promesse de se revoir bientôt, et avec nos amies peut être!
    Chapitre 2.
    y-l

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