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Par osebo-moaka le 7 Janvier 2024 à 20:27
C’est la réflexion des rayons du soleil dans l’atmosphère qui confère au ciel sa jolie teinte bleue. Quand l’astre du jour descend vers l’horizon, ses rayons doivent traverser l’atmosphère sur une plus grande distance.
Ce phénomène donne lieu à une débauche de couleurs flamboyantes que les citadins n’observeront peut-être jamais. Les couchers de soleil au-dessus des centres industriel sont généralement sans éclat, se réduisant à un camaïeu de rouges.
Dans une atmosphère non polluée, les couleurs des couchers de soleil sont particulièrement vives. Le soleil est d’un jaune lumineux, et le ciel alentour se teinte de nuances d’orange et de jaune. A mesure que le soleil disparaît sous l’horizon, les couleurs passent progressivement de l’orange au bleu.
Les nuages bas continuent à réfléchir la lumière du soleil après sa disparition.
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Par osebo-moaka le 7 Janvier 2024 à 20:26
» La clé d’une énigme peut se trouver juste sous vos yeux et pourtant vous pourrez passer à côté d’elle pendant des décennies. » Marian Diamond sait de quoi elle parle, elle qui fut le premier médecin autorisé à autopsier le cerveau d’Albert Einstein dans les années 1980. Quel était son secret?
En fait, le nombre et la physionomie des neurones du célèbre prix Nobel ne différaient en rien de ceux du vulgum pecum
. Toutefois, certaines zones de son cerveau, réservées aux tâches les plus hautes, possédaient une proportion de cellules gliales incroyablement élevée. Un constat qui à l’époque, avait laisser perplexe la communauté scientifique, qui n’avait vu là qu’une simple curiosité.
On sait désormais à quoi s’en tenir! » Tout indique que les cellules gliales occupent une place déterminante dans le développement de l’intelligence d’Einstein et plus largement de l’espèce humaine, qui possède la plus forte proportion de cellules gliales du règne animal ». Affirme Mirian Diamond. Bref, plus l’esprit est vif, plus il est riche en cellules gliales.
Science et Vie
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Par osebo-moaka le 7 Janvier 2024 à 20:24
» Des scientifiques ont découvert que des fourmis cultivaient des champignonnières pour nourrir leur progéniture et qu’elles utilisaient même des antibiotiques, une sorte de pesticide », pour les protéger. Ces fourmis défoliantes, comme on les appelle, repiquent, élaguent et désherbes tels des cultivateurs.
Pour protéger leurs cultures d’une moisissure infectieuse, elles emploient un antibiotique qui provient d’une bactérie de la famille des streptomycètes et vit sur la peau des fourmis. Selon Ted Schultz, entomologiste au Musée d’histoire naturelle de Washington,
alors que les humains doivent sans cesse inventer de nouveaux antibiotiques pour faire face aux germes résistants, les fourmis défoliantes utilisent le même depuis des lustres. La découverte du secret de ces fourmis » pourrait servir directement à la survie de l’humanité ». Du Miami Herald.
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Par osebo-moaka le 21 Octobre 2013 à 11:21
Même au microscope, il paraît minuscule et insignifiant. On l’a pourtant comparé à un puissant moteur hors-bord. Il existe différents types de flagelles ( du latin flagellum, » fouet »), mais celui de la bactérie est probablement le plus étudié. implanté dans la paroi cellulaire du micro-organisme, il lui permet, en se mettant en rotation, d’avancer, de s’arrêter, de reculer ou de changer de direction. Les chercheurs pensent que la moitié des bactéries connues sont pourvues de flagelles, qui peuvent être de types divers. L’ADN de la bactérie contient le » schéma de construction » du flagelle et de son unité de propulsion. Le tout est assemblé à partir de 40 protéines, telles les différents composants d’un moteur. Fait surprenant, l’ensemble s’autoconstruit en seulement 20 minutes. La publication Evolution et controverses, déclare: » Le flagelle bactérien comprend un moteur rotatif, qui fonctionne à une vitesse de 6000 à 17000 tours-minutes. Plus remarquable encore, il peut changer de sens de rotation en in clin d’oeil et repartir à 17000 tours-minutes ». La revue New Scientist en parle comme d’ »un excellent exemple de système moléculaire complexe, une nanomachine’ très élaborée surpassant tout ce qu’un ingénieur humain est capable de concevoir ».
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