• Et ne se sentait bien qu'au bord de l'eau.
    pElisha Laîné jeune femme de trente deux ans, aime les chats et ceux qu'elle possède en ce moment sont deux jeunes chats géant...un mâle et une femelle.elle ne veut pas en faire un élevage car, elle sait pertinemment que ces chats là ont le coeur très fragile...non, juste une ou deux portées suivant les futurs petits à naître; puis, ses chats seront stérilisés.




    Ils mèneront alors une vie simple et paisible. Son travail  lui prenait beaucoup de temps ( pour preuve elle en emportait  souvent chez elle ...quelques dossiers urgents à finir ). Directrice adjointe dans une galerie d'art à Pékin, elle avait avec elle quatre personnes sous ses ordres. Quatre personnes à la personnalités bien tremper.




    Après une journée bien remplie elle se douche et se blottie dans son vieux fauteuil...pas besoin de lainage, Chooting et Almine sont  à eux deux une super méga couette. Une bonne heure s'écoule souvent sous les caresses et les ronrons flottent alors dans l'appartement de trois pièces.



    Elle s'y sent bien, quoi que certains jours ou ses amis viennent la voir, on peut si sentir à l'étroit, oui...il y a alors un manque flagrant de place surtout que, les Men Koons ne veulent pas rester dans la chambre. D'ailleurs Ken-li et Ming he  lui disent souvent:" Elisha tu as trop de pouvoir sur les chats, tout tes voisins se plaignent...les minets ne veulent qu'une chose, venir te voir et ils poussent des miaulements à fendre l'âme.



    Ta proche voisine à fait faire à sa kitty Li une cure chez un comportementaliste félin avec bain et massage journalier. Mais rien n'y fait Kitty Li à peine rentrée à recommencer à miaulé à la porte. Ta voisine porte des boules  kies toute la journée, elle a hête de te voir déménager.



    Déménager quelle drôle d'idée! Makina Li invente tout et n'importe quoi, elle va même jusqu'à lui lire les ligbes de la main, lui faire son thème astrale,lui tirer les cartes, et autres fadaises sur le ying et le yang de la vie...Elle lui prédit une grande rencontre avec un homme, un vrai pas un petit pékinois, ni un japonais, non un homme de grande taille. Elisha se souvient elle a éclaté de rire ce qui vexa Makina plusieurs semaines. Enfin pensa-t'elle des vacances. Elle en avait assez de ces fichus thèmes, des biscuits et autres gris-gris, des numéros à ne pas prendre ou donner, de changer ou pas le lit suivant ce qu'elle avait fait dans la nuit.



    Quand elle avait raconté ça à sa mère... celle-ci avait rugit de plaisir et pince sans rire lui avait rétorqué:" Appelle moi sitôt que cet homme là fera son apparition et toutes les deux avaient ri de bon coeur. Bientôt Elisha rentrerait en France pour de très longues vacances. Mais, pour aujourd'hui...il était temps d'aller au travail.



    Elle avala son thé et fila vers la salle d'eau après un vigoureux brossage de cheveux, quelques touches de crème et un peu de rimmel, elle ourla sa bouche pulpeuse avec un gloss rouge sang.Une dernière touche de parfum et là voila partie. Quinze minutes plus tard, elle regarde la vitrine de la galerie. Quelque chose cloche, il faut qu'elle en parle avec Reinata.




    Elle a sûrement chamboulée la vitrine...ce n'est pas possible autrement. Regardant sa montre, elle constate qu'il est presque neuf heurs. Elle pousse la lourde porte et d'un bon pas se dirige vers son bureau...au passage elle salue ses collègues. L’harmonie est primordial pour bien oeuvrer ensemble. Un sourire éclatant sur ses lèvres elle distribue qui un bisou , qui une tape sur l'épaule et gagne son antre.





    Elle ôte son vêtement, range sac et manteau et s'installe. Quelques secondes plus tard, la porte s'ouvre sur une Reinata pétillante. Une vraie effrontée de la vie. Elle la croque à pleine dent et  se fiche comme de l'an quarante de ce que ces pékinois pinces sans rire peuvent pensés d'elle. Pourtant elle a une vraie noblesse d'âme et possède un rare talent pour mettre en valeur n'importe quelle mochetés fut-elle d'un grand artiste ou pas.



     
    _ Bonjour Sha! Tu as vue c'est pas possible autrement! Mais le grand patron a appelé à trois heures en demandant expressément que ce navet trouve une place de choix parmi les bien à honorer. tu parles enfin voila! c'est pas à cause d'une de mes lubies chérie...oui, je vois à ton air et à ton sourire que tu y as penser et bien non...pas cette fois.




    Dis on se voit tout à l'heure? Et la dessus elle referme la porte laissant derrière elle le sillage de son doux parfum. Une vraie tornade faite femme.
    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

    2 commentaires
  • Petit liseron rouge, petit liseron blanc, aimait d'un amour ardant le vieux rosier récalcitrant.  Depuis le premier  jour du printemps ou liseron rouge et blanc avait noué sa tige le long du tronc du vieux rosier à l'âme pourpre... celui-ci s'était écrié:"retires tes serres de mon corps ou je t'épine si fort que demain, tu seras mort.  Ne vois-tu pas que tu n'es pas comme moi? Que crois-tu faire avec ta tige autour de moi?
     
     

    Liseron au coeur rouge au coeur blanc éperdu avait lâché un peu de leste mais, voyant le rosier prendre de l'essor, l'avait resserré plus encore. Ne voulant pas le blesser, il le laissa plus libre savourant de loin sa douce proximité.


    Dominant de sa tête, de ses notes florales les douces corolles à peine parfumées le vieux s'était écrié:"sens -moi  cela jeune fat, crois-tu que je puisse t'aimer alors que ton odeur est à peine développer...il m'en faut bien plus crois-moi pour ressentir envers toi le moindre soupir".

     
     
    Liseron tremblant, laissa le vent faire couler de ses corolles à peine parfumées ,les larmes  qui, tombant sur les feuilles du vieux rosier le fire trembler._ Arrêtes cela Liseron, ne me serre pas de si près, je ne me sens plus respirer.
     
     
     
     
     
    Le vent  passant par là, écouta et soudain se fit violent. Liseron  balloté se fit haché par les épines fougueuses du rosier. fini la belle tige pleines de feuilles, fini les corolles épanouies de rouge et de blanc ...que venaient visités tant de bourdonnant.


    Quand enfin le vent se calma, le vieux rosier d'effroi trembla _ ce n'est pas cela que je voulais, de ton amour je peux me passer, mais- ta beauté que le vent de sa folie  t'a ravi...je ne le lui  pardonne pas. Pourquoi s'est-il montrer si violent, la cruauté, je ne la comprend pas. Si d'amour, je ne peux te rendre heureux, mon amitié le peux.



    Liseron redressa sa petite tête abîmée et dans un profond soupir rétorqua:" vieux fou que tu es, ce n'est que d'amitié que mon coeur espérait tant. Aujourd'hui je suis bien abîmé,mais, avec ton aide je peux me redresser...laisse ma tige reprendre des forces et lentement , je redeviendrais celui que j'étais.
     
     


    Laisse le vent à ses violences, que nos deux parfums réunis offrent  aux bourdonnants l'esprit du grand jardin du matin. La cruauté ne doit pas faire oublié que l'amitié   sera le rempart que pas même la haine ne pourra brisée.




    Du jour ou l'incompris fut compris, on vit dans le grand jardin du petit matin...Un vieux rosier à moitié rabougri resplendir de beauté grâce à l'amitié d'un liseron peu parfumé. Ainsi va la vie, qu'un peu d'amour ou d'amitié embellit pour toujours.
    Y-L
    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Mysèri.

    Bonjour Stéph...qui est donc ce petit être qui se cache ainsi derrière toi?
    - En bien Greg, c'est mon cousin Mysèri , qui vient passer quelques jours de vacances à la ferme.


    - qui donc lui a donner ce nom là?
    -Ben, c'est ma tante Hélène , qui a flaché sur ce se prénom disant :" personne d'autre que lui le portera, il sera le seul, j'en suis certaine!"
    -Oumpfff, je crois bien qu'elle a raison sur ce point, il a  quel âge ce bout de chou?


    - hum! Steph n'eut pas le temps d'en dire plus que, le petit répondit d'un ton plutôt froid.
    - j'ai bientôt quatre ans
    affirma Mysèri. Et tante Adda va me faire une belle charlotte poire nougats.Et Steph, ben...il n'en aura pas na!
    -Eh! pourquoi j'en aurai pas moi?


    - Tu as dit à ton copain que je venais passer quelques jours à la ferme et tu as menti, voila pourquoi. Steph ne savait plus quoi faire. C'est vrai, il ne comprenait pas pourquoi il voulait caché à Greg que Mysèri resterait désormais chez lui, pourquoi donc ce mensonge, lui qui ne mentait presque jamais se trouva tout sot devant son meilleur ami qui fronçant ses sourcils épais le regardait avec un je ne sais quoi qui mis Steph mal à l'aise.


    - Tu as honte de ton cousin Steph?- Non! bien sûr que non, c'est juste que je ne voulais pas le mettre mal à l'aise alors qu'il vient juste d'arriver et que plusieurs petites choses se sont passés, comprends que Mystèri est orphelin depuis peu.


    .- Oh! c'est moche ça. Se tournant vers le petit garçon greg voulu lui tapotait la joue,mais, le regard farouche de l'enfant et sa moue frisant la colère lui enleva toute envie de douceur à son encontre.

    Qu'est ce que tu as petit? Tu n'aimes pas ceux qui sont gentils?
    -Non!
    La réponse fusa,clair,nette, arrogance et glaciale.
    - Bien, je suis désormais au courant et riant doucement Greg se tourna vers Steph. Dis moi, t'es toujours d'ac pour ce soir?

    -Et bien je ne pense pas que je puisse venir ce soir.
    -Pourquoi donc?
    -Steph regarda son cousin et la lumière se fit dans l'esprit de Greg. je crois comprendre...tu es de corvée?
    - Ouais, ma mère se'est fait invitée ce soir chez Jeannice et Allan Scromps, elle va ensuite faire un cinoche avec eux, ça fait plus de trois ans qu'elle n'est pas sortie,alors...j'ai pas eu le coeur à le lui refuser quand elle m'a demander de le garder, tu piges?

    - Ouais mec, mais c'est pas joisse , je vais me retrouvé avec les trois donzelles et je vais en bavé.

    Riant de sa déconvenue Mystèri lui dit:" toi! tu as peur de trois petites filles! un grand gars comme toi! non, tu blague là?
    - Dis donc 
    mouflet tu t'exprime bien pour ton âge, tu ferais mieux d'aller joué dans le bac à sable de ta tante Adda, file morveux.
    Steph n'eut le temps de rien que Mystèri  s ' 
    enflamma et Greg devint blême.


    -Eh! que fais tu?

    - Mystèri arrête ça tout de suite hurla Steph...mais, greg était déjà par terre le nez en sang et les yeux presque noir.
    -Stop ça tout de suite Mystèri, je te l'ordonne! se tournant vers son cousin l'enfant eut ce sourire si déplaisant que Steph et toute sa famille détestait. Puis, avec désinvolture...l'enfant s'en alla en chantonnant doucement.


    Steph releva Greg qui suffoquait, qui haletait complètement mort de trouille, il regarda Steph et celui-ci hocha la tête l'air de dire:" ouais mec, ce mioche est un monstre cruel.

    - qui est-il Steph?
    -Mon cousin Greg, juste mon cousin, mais je te donne un conseil d'ami, ne vient pas à la maison et si tu croise son chemin détourne toi et fuis.
    -Oh oh! tu gonfles là,
    -Sans doute,mais crois moi, je l'ai vu à l'oeuvre et je ne l'aime pas du tout, il possède quelque chose qui nous fiche la trouille tu peux pas savoir. ma mère est presque folle de terreur, depuis trois jours qu'il est chez nous, la plupart de nos bêtes sont dingues.


    Gratouille a mordue maman et l'a griffé au sang, le véto l'a scouic, notre gros doberman aussi, bref à la maison c'est l'enfer sur terre. C'est pour ça que j'ai demandé à Jeannice et à Allan de l'invité, elle en peu plus. Je crois que ce soir je vais avoir un petit monstre qui va m'en faire bavé.

    T'inquiète pas Greg, tu n'auras aucunes marques sur ton visage et c'est ça qui fout vraiment la trouille.
    -Steph, je peux venir avec les filles ce soir, là, il n'osera pas faire son cinéma, tu veux?
    - Ecoutes Greg, je dirais bien oui, tellement j'ai la frousse d'être seul avec Mystèri, mais, je ne veux pas qu'il s'en prenne à vous quatre,alors...je sais pas .


    -Ben moi si, on vient ce soir vers 19 heures trente on amène le dessert, alors c'est ok?
    - Oui mon pote, c'est ok,on va s'amusés et lui aussi. Bon alors à ce soir Greg, il faut que je le rattrape avant qu'il ne fasse une autre connerie, salut! Steph fonça pour rattraper Mysèri
      qui avançait avec nonchalance, jetant des regards un peu partout,presque à l’affût et quand son cousin s'approcha, il lui dit


    :" excellente idée Steph, ce soir on va bien s'amuser, tu as eu raison d'inviter tes quatre amies, ce sera d'enfer et là dessus Mysèri se mit à rire. Un rire froid qui glaça Steph qui se promit d'appeler Greg pour annuler, mais, jamais Steph n'annula et la suite vous pouvez la deviner,non!
    Y-L

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Il était une fois.
    Chaque histoire commence souvent par ces mots là...il était une fois.
    Dans le pays des éveillés, vivait un peuple d'une étrange beauté.  Chaque famille avait la même couleur de cheveux, mais les filles elles, elles avaient un petit plus.

    Ils n'étaient pas très grands, juste assez pour faire peur à leur ennemi; les Endormis. Non, non -non. N'ayez pas peur, les Endormis n'avaient que le nom et ils 
    n’endormis-aient pas leur ennemis...non, au contraire.


    C'est un peuple avide de connaissance, d'une grande vivacité. Rien ne vas  assez vite pour eux et chaque saison qui passe, leur apporte de nouvelles connaissance. Ils sont bruyant, peut-être et pour les Eveillés qui n'aspirent eux qu'à une certaine 
    tranquillité- eh bien...ils les trouvent assommant.


    Oui, c'est le terme qu'ils emploient. Moi! Moi eh bien... un jour que j'étais parti à l'aventure dans les très hautes forêts de l'Emzanie, je me suis égaré, oui! cela arrive même au plus... comment dire! au plus grand de tous, enfin.

    J'ai découvert une caverne dans un énorme tronc d'arbre. Oh, il fait au moins trois fois le plus grand, le plus gros de l'arbre le plus grand, le plus gros que vous connaissez.

    Non! je ne ment pas...je regarde à l'intérieur, je m'avance doucement et j'écoute le son étrange qui semble en provenir. J'allais levé la tête, quand...un ploc retentit dans mon crâne et me voila par terre- endormi.

    Ce qui se passa ensuite? Je ne le compris que bien plus tard. Je venais de rencontrer les Endormi et croyez moi ou non, mais ce sont les filles qui m'ont trouvés.


    Deuxième Page.

    D'abord je les pris pour des Fées. Avec leurs ailes dorés, leur long cheveux aux pointes multicolores; c'est du moins ce que je pensais avoir vu. Elles avaient  chacune un arc et des flèches, mais l'une d'elle avait une  espèce de petit marteau qu'elle levait bien haut et encore une fois...ploc.


    Quand plus tard, je dirais à la mi-journée j'ouvris de nouveau les yeux, je me trouvais plus dans l'immense tronc d'arbre, j'étais  étalé de tout mon long, dans une petite maison toute ronde et  ma première impression, fut de me dire:" eh là on dirait...oui, c'est cela.


    ça y ressemble beaucoup. A quoi me direz vous? Eh bien à ces petits 
    dômes  que font les abeilles solitaire  pour y déposer une larve ( ou si cela vous parle plus à une glace à l'italienne)  cela fait pareille à part que ces maisons sont habités par plusieurs membres d'une famille.


    On en trouve souvent au bord d'une fenêtre à la campagne- mais voila, bien que cela paraisse étrange, ces maisons là sont comme je l'ai dit, habitée.


    Un son proche, ( comme celui d'une chouette effraie) sembla se répercuter dans le dôme. Les petites Fées se mirent à projeter vers moi autant de son étrange...puis, soudain... un gros Fée ( euh je sais que cela lui fit beaucoup de peine de savoir que je le baptisé ...


    gros fée, je ne savais pas à l'époque) se posta devant moi puis, il me fit le signe avec ses deux euh...bras, de me lever. Oh fis-je 
    excusez moi, je ne mettais pas aperçu que j'étais allongé par terre? Oh, herbe? Oh, feuilles? je rougis et le gros Fée me fit  me sembla t'il un sourire.


    Cela fait drôle vous savez...quoi! Oh je ne vous ai pas décrit mes hôtes? Bon! Ils faut que je le fasse sinon, vous ne comprendrez  pas mon histoire hein! Attendez  au  moment ou j'allais pour partir, vous savez quand on dit gentiment:" bon  ben, je  ne m'ennui pas mais là... il faut que j'y aille et c'est là que


    ( Troisième page)

    le gros là se planta devant moi et il se mit à gazouillé, oui, c'est ça gazouillé. Et vas-y que je t'explique et que je t'explique...et que les autres, hochent la tête en signe d'assentiment.Et moi bouche bée, je reste allongé, ah oui tiens...je suis allongé.


    Oh ! mais c'est ça, il me demande de me lever-oui, c'est sûrement ça! Mais alors...je vais démolir leur maison si je me lève! Et c'est ce que je dis à mon gros Fée.


    Et là, un espèce de gros bourdonnement se répercuta dans la maison et je crois bien que j'ai hurlé. Bon c'est pas glorieux, mais faut avouer que là...un oeil, un oeil énorme guette par la petite fenêtre et tous, oui, tous se mettent à rire.

    Et ce son là, croyez moi- vous ne l'avez jamais entendu. Une merveille et mon attitude doit être pour eux une curiosité car, ils m'entourent et le gros pointe un doigts. Non, une pince, non, une griffe, non, j'avoue que je ne vois pas à quoi cela ressemble.


    Machinalement, je regarde mes propres mains et là, je hurle. Je hurle à plein poumons, car mes propres  mains- ne sont plus des mains. J'ai les mêmes choses que le gros ( pardon) et je continu de hurler. Alors un ploc retentit encore et je sombre tout en regardant l'oeil géant qui me fixe.


    Une tape, deux tape, j'ouvre à nouveau les yeux alors, mon cauchemar continu. Je fixe les mains de celle qui m'a éveillé. Oh! Des mains... elle a des mains. Je regarde mes griffes-trois à chaque bras et soudain horrifier je me dit:" Ah non! je ressemble au gros Fée, moi qui suis si beau ( oui , oui, je suis beau) mais là, hon hon hon! C'est pas le top.


    Pourquoi as tu des mains toi et pourquoi j'ai comme le gros des griffes? Je lui pose ces questions, mais, je sais qu'elle ne pourra me répondre et comme je le dis, elle ne peut pas...elle fixe le gros Fée qui s'avance vers moi en faisant la 
    lippe-

    Quatrième Page)

    Puis il tend l'une de ses griffes vers ma tempe. Là, je le regarde féroce-puis je recule-mais deux bras vigoureux ( tiens c'est bizarre pour une si belle fille d'avoir autant de force, oups dans les bras) je ne peux bouger de peur de faire du mal à cette gentille fille qui, me tiens si fort contre elle.

    Elle sent bon- une odeur de paille, de miel de fleur fraîche et de soleil un délice...alors je reporte mon regard sur la griffe. Elle se pose  doucement contre  ma tempe. Elle s'éloigne avec le gros Fée qui fait toujours la tête.


    Il me parle j'en suis sûr,  je ne comprends pas-alors hochant sa tête ( ouais ce qui lui tient bien la tête) il s'avance de nouveau vers moi puis, de son autre griffe...il me touche très légèrement l'autre tempe ( un peu comme s'il réglait le son sur une radio, vous voyez ce que je veux dire!)


    j'entendis d'abord un léger très léger bruit, un peu comme lorsque l'on froisse une feuille  très fine. Puis lentement, d'autres sons me parviennent et je perçois le léger 
    gazouillis des filles.

    Il y en a quatre, quatre magnifiques créatures, le gros Fée pousse un énorme soupir ( normal vue sa poitrine, enfin vue sa bref...il me donne l'impression de lire en moi et là, une idée lumineuse se fait pour moi... c'est exactement cela, il lis en moi et là le Fée hoche la tête tout en pinçant des lèvres!!!


    Non, pas des lèvres, nouveau hochement de tête, là je suis foutu- un rire puissant sort de mon hôte qui a six griffes.Il se frappe allègrement les cuisses, bon cela le fait marrer, bien-mais moi! Je suis devenu quoi?

    Page Cinq

    Un gros Fée moche avec six grosses griffes me dit-il pince sans rire.Tu es un mâle et tout les mâles Endormi sont ainsi.

    Quand à nos filles elles, elles sont très différentes comme tu peux le constater-mais, tu ne fais pas parti de nous, alors...soit sage avec nos filles sinon...

    la malédiction de notre race sera sur toi et sur toutes les générations après toi. Respire homme du dehors. Tu as changer juste le temps d'être avec nous.  

    De nous comprendre et peut être, d'être celui qui nous aidera à mieux vivre avec nos ennemis les Eveillés. Eux aussi tu apprendras à les connaître et là aussi tu aura une surprise.

    à suivre, y-l.


    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

    11 commentaires
  • Quand le grand gids hérita de son père, le champ qu’il convoitait depuis au moins cinq ans. Il s’empressa de faire une sorte de muraille qui le délimitait et la plupart de ses voisins le comprirent ainsi. Le grand gids n’était pas commode, il avait le verbe haut, et il ne fléchissait devant personne. Il était aussi le plus grand du village de la Basse-Vallée, ce qui explique aussi le fait que personne ne cherchait  à le contrarié, ce qui fait qu’il s’imagina être une personne importante. Quand sa muraille fut terminée,il alla au village et fit le tour de toutes les habitations, invitant ainsi ses voisins à reconnaitre qu’il possédait  le plus grand champ. Chacun  alla de sa petite parole, faisant grand cas du grand Gids. Celui-ci se sentant encore plus important décida d’aller au château pour y voir et faire connaitre à tous les artisans qui vivaient au château, sa grandeur et sa richesse toute nouvelle.

    *****

    Suant et haletant,il se permit un petit regard en arrière afin de voir ainsi le village. Dans sa tête beaucoup de chose prenait forme, et c’est tout confiant qu’il alla voir le maître des forges. Le maître des forges avait une fille,très belle et surtout très intelligente. Le voyant venir vers la forge elle tenta de lui échappée, comprenant que cela lui était impossible elle fit montre de sagesse et l’attendit tous sourire.

    _Cathanya, comme te voici grande maintenant! de plus ta beauté et encore plus vive.

    _ Grand merci Gids, cherche tu mon père?

    _ Ah oui Cathanya,en effet je suis à sa recherche, vois tu j’ai eu en héritage le champ de mon défunt père.

    _ Oh! oui, c’est vrai ton père est mort, comment te sent tu?

    _ Bien! oui ma foi, bien! mais parlons d’autre chose.

    _Bien sûr Gids,tu trouveras mon père chez le maître cordonnier, le roi lui a demander une nouvelle paire de chaussure,mais la demande est assez difficile à réaliser.

    *****
    _ Bien Cathanya,je vais aller les voir tout les deux, à bientôt charmante Cathanya, il lui fit un sourire qui fit ressortir ses yeux qu’il avait déjà gros. Avec une grimace de dégoût Cathanya se pressa afin de ne pas le revoir, elle se doutait bien qu’il serait ravi de la revoir avant de redescendre au village.

    Pour rien au monde elle ne voulait se retrouver seule avec cet homme au caractère emporté. Misant sur sa chance le grand Gids s’imagina que Cathanya avait eu pour lui  de l’interêt, peut être pourrait-il en parler avec le père de celle-ci. Plus effrayant encore car son imagination lui faisait entrevoir un bonheur intense, il arriva devant l’atelier du cordonnier en grande conversation avec le maître des forges._

    Ah te voici ! maître jean, j’ai vu ta fille qui m’a dit ou tu étais, alors je viens te voir! Fronçant  ses épais sourcils, le maître se demanda ou il voulait en venir et devant le sourire finaud du maître cordonnier son sang ne fit qu’un tour. _

     

    _Tiens! le grand Gids! que fais tu ici? tu ne travaille donc pas ton nouveau champ? Sais tu que le roi en attend beaucoup? Il espère que ta double surface lui permette d’engrangé pour cet hiver,le double de blé.

    _ Mais ce champ est à moi maître Jean! et il n’est pas question que le roi en retire tous le meilleur,je vais y travaillé pour moi.

     

    _ Ah! tu espère que notre roi te laisse tous le grain,s’en rien te demander? Là mon grand Gids tu fais erreur, tu travaille pour le roi,la terre appartient au roi.

    _ Oui,oui! tu as raison,mais la moisson sera bonne et j’aurai plus de grain,alors j’aurai aussi plus de bien, comprend moi maître Jean.
    _ Oh je crois que je te comprends très bien Gids et je te dis non tout de suite, ma fille est déjà promise,le mariage sera pour l’automne, cherche donc une autre femme. Tu voulais voir maître Glen?

    D’un air maussade Gids répondit:  » non ce n’est pas lui que je venais voir, bon il est temps que j’aille au champ ». Sans se retourner et maugréant tous ce qu’il pouvait Gids sentait en lui la colère. Il lui fallait à tout prix Cathanya, depuis deux ans,il l’a regardait grandir,embellir. Qui pouvait…Mais qui avait pu…La colère bouillonnait en lui.

    Jamais! elle serait à lui ou elle ne serait à personne, lui le grand Gids se le promettait.Il descendit  en se parlant à lui même et certains enfants se cachèrent de lui, la peur au ventre. Les enfants filèrent voir maître Jean, car ils avaient entendu le nom de Cathanya,et la peur les faisaient courir plus vite. Hors d’haleine c’est petit Ors qui prit la parole.
    _Maître Jean! le grand Gids il se parle tout seul,et il en veut à Cathanya, son visage était tout rouge et… et… et il disait qu’elle était à lui!

    _ Ah ça! c’est pas possible, vous êtes sûr les gosses? Alors tous ensemble ils crièrent

    _ Oui, oui maître Jean, perplexe celui-ci fixa le maître cordonnier. Qu’en pense tu toi?
    _ Que ta fille doit partir chez sa tante jusqu’au mariage, le grand Gids et têtu et sa rancune est tenace, va voir le roi pour le prévenir, car je crois que Gids prépare un mauvais coup.
    Incertain , fixant les enfants puis le maître cordonnier Jean hocha la tête en signe d’assentiment.

    _ Oui,je vais aller voir sa majesté et voir avec lui ce qu’il faut que je fasse. D’un bon pas, le maître des forges s’en alla. Le maître cordonnier dit aux enfant: »
    Les petits vous allez voir Nana, elle vous donnera un petit biscuit ils sont tous frais de ce matin,dites lui que c’est moi qui vous envoi ».
    Avec des rires et des cris de joies les enfants partirent vers la basse salle du château,là Nana travaillait, les odeurs qui sortaient de ses fours étaient alléchantes à souhait. Heureux ils lui firent le récit et la requête  du maître cordonnier. Un sourire gonfla les joues rouges de Nana, et c’est avec fierté pour ses petits qu’elle leur donna à chacun deux gâteaux fondant dans la bouche,avec en leur coeur des fruits bien juteux, le jus dégoulina le long des bouches trop pressées  pour faire attention.

    Riant aux éclats Nana les renvoya à leur jeux, comme une nuées d’oiseaux ils s’égaillèrent en partant de tous les côtés à la foi. Quand le roi apprit que le grand Gids voulait Cathanya pour épouse il dit au maître des forges.

    _ Bien…tu vas emmener ta fille loin du château, je ferais dire par un garde que s’il cherche après Cathanya, il ira en prison pour le reste de ses jours et que ses biens lui seront confisqués. Va maître Jean, ne perds pas de temps Gids à la tête plus chaude qu’un âne. Ne prends rien de plus que ce que tu as sur toi, emmène Cathanya vite.

    ******
    _ Oui mon roi, je pars sur l’instant.

    Et c’est ainsi que débuta une légende, qui avait pour base l’amour d’un homme pour une jeune et jolie promise.
    Lorsqu’il vit deux jours plus tard arriver chez lui un garde du roi le grand Gids en fut tout heureux.
    Sûr que le roi avait su qu’il aimait Cathanya et que son père la lui refusait, alors le roi venait lui faire dire que c’était arranger avec maître Jean.
    Le sourire aux lèvres Gids vint au devant du garde s’essuyant le front qu’il avait large. Ses gros yeux emprunt d’impatience firent sourire le garde.
    -Eh bien Gids! tu me vois porter d’un message du roi!

    _Oui! je suis impatient de l’entendre, veux tu boire le verre de l’amitié?

    _Ah! ce serai pas de refus Gids, mais la nouvelle n’est pas bonne, alors si tu veux bien! je serai bref.

    _ Rougissant sous le sarcasme qu’il sentait poindre dans la bouche du garde, le grand Gids le regarda avec une fureur sans nom.

    _ Tu me vois ce matin par ordre du roi, fais donc attention Gids, je suis armé et je sais me servir de mon arme.

    Cela calma Gids un petit moment.

     

    _ Bon voila ce que te fais dire le roi…Gids par mon ordre il t’est  de part ma volonté interdit d’approcher Cathanya et de part mon ordre tu te dois de l’oublié, cette enfant est promise et le mariage ne sera pas défait. Si tu passes outre mes ordres,tu te verras emprisonner et tes biens confisqués à vie. Gids était blême. le garde se dit en lui même que le roi aurai pu le faire accompagner. Mais Gids reprit le dessus et c’est avec dédain qu’il répondit au garde. _Bien! j’ai entendu le message du roi, je resterai à l’écart de Cathanya. Dis au roi que Gids son serviteur a comprit. Puis tournant le dos au garde,il partit vers son champ. Il fut impossible à ceux qui le connaissait de savoir ce qu’il  avait dans l’esprit.

    Tout les jours il allait travaillé son champ, creusant,marmonnant des paroles inaudibles. Mais Gids avait découvert un terrier. Aussi incroyable que cela puisse être ce terrier fut la porte de sortis de Gids. Creusant chaque jour un peu plus, il finit par découvrir une caverne. Cette caverne était assez petite, il lui fallait rampé pour voir l’intérieur, pour un homme ordinaire cette caverne aurait été grande et la peur de découvrir ce qu’elle cachait les auraient fait fuir. Mais Gids était grand, très grand.

    Supportant l’étroite et puante caverne, il fouilla à l’intérieure. Il trouva quelques bijoux d’or, ce qui le fit sourire, puis il trouva un oeuf,un très gros oeuf,dur comme de la pierre. Il essaya de le secouer, mais le poids de l’oeuf l’en empêcha, puis comprenant que dans cet endroit il ne pourrait rien faire; il décida   de le sortir et de l’emmener chez lui. Le lendemain,jour de fête au château, il passa comme à son habitude un moment afin de voir tout ce que les artisans avaient fais au cours de l’année.

     

    Un moyen pour lui de voir qui était riche et qui avait les faveurs du roi. Cathanya étant marié à un jeune du village du Nord, elle n’était pas présent,ainsi Gids put se promener librement dans le château. Puis sûr qu’on l’avait vu, il repartit afin de pouvoir sortir son oeuf sans être déranger. Jour de fête au château signifiait un banquet à la fin de la journée et des festivités. Heureux pour une fois de cette fête Gids se hâta. L’oeuf étant devenu pour lui si important que tout le reste lui importait peu. C’est avec fébrilité qu’il sortit enfin l’oeuf de son trou, refermant tant bien que mal l’énorme trou, rebouchant rapidement, avec une impatience grandissante, il donna de grand coups de pelle sur celui-ci

    *******
    . Regardant, ne trouvant pas grand chose de plus à faire, il rentra chez lui avec son oeuf. Bien installé, il le retourna dans tous les sens, comprenant qu’il était plein, il s’imagina avec l’animal quel qu’il soit d’ailleur; retournant au château et terrorisant tous le monde. Avec un rire de dément il se promit que cela se ferait,il prit donc un soin tous particulier de son oeuf, à tel point que ses proches voisins s’inquiétèrent pour lui. Voulant voir ce que le grand Gids pouvait avoir, Tarnin alla frappé à sa porte.

    La porte s’ouvrit en grand devant un Gids méconnaisable, mince, le teint cireux, l’oeil fou,hirsute,pas lavé depuis au moins un mois tant il puait. Tarnin recula médusait .
    Gids! mon gars! mais…que se passe t-il? es tu malade? as tu besoin d’aide?Ecoute ça fait un mois qu’on te voit pas,alors j’suis venu te voir gars! Dis quelque chose!Gids!

    _Rugissant Gids s’adressa à Tarnin…Dans dix jours,oui, dans dix jours vous verrez tous que moi Gids je suis le plus fort et il claqua la porte. Tarnin s’enfuit se disant en lui même qu’il n’était pas prêt de retourné voir Gids ça non alors! Mais le lendemain tout le monde du château au Basse-Terre et au Haute-Terre, tous surent que le grand Gids était fou et qu’il ne fallait pas se trouver sur son chemin.

    De grand bruits se firent entendre chez Gids, mais personnes n’osa se déplacer. Les jours avançaient et Tarnin se demandait ce que Gids préparait. A la lueur du petit matin Tarnin sortit de sa maison et ouvrant grand les yeux essaya de voir chez Gids. Rien ne bougeait chez lui,alors un peu perplexe et inquiet Tarnin dit à sa femme Ella:
    « écoute je vais y aller et voir ce qu’il lui est arriver. »
    -Non Tarnin n’y va pas,tu l’as dit toi même il est fou et dangereux. Le roi enverra ses soldats si Gids ne se manifeste pas à l’assemblé des homme de la terre. Tu sais à quel point Gids tient à ces réunions là,alors ne te fais pas de soucis pour lui, reviens te coucher,la journée sera dur.

    -Oui tu as raison Ella,mais avoue que tu es inquiète toi aussi!-Bon si tu y tiens! oui, je m’inquiète car il n’a jamais manqué une fête et celle là était vraiment belle.-Tu vois bien!On doit en avertir le roi, Gids n’est jamais rester ainsi sans rien faire. Un mois presque Ella,tu te rends compte! ses champs  ne sont pas nettoyés, ses haies pas taillées, c’est pas Gids ça!Ecoute demain si Gids ne se montre pas, j’irai voir le roi.

    -Et bien…si tu penses que cela est bon…Bien que Gids t’ai dit de ne pas l’embêter, je comprends ton avis et je viendrais avec toi.-Ben voyons femme! dis plutôt que tu veux rendre visite à ta soeur?

    Tarnin rentra chez lui et la discussion continua. Quand à Gids, si le fait d’entendre ses voisins s’inquiéter pour lui le fit sourire, il n’empêche qu’il en fut quand même surpris. Avec ses proches voisins il n’avait pas vraiment de contact et même il préférait en fait quand ceux-ci étaient absents.Mais là la surprise de les savoir inquiet pour lui, lui fit du bien. L’oeuf l’obsédait de plus en plus et comme il n’était pas patient,plus d’une fois il l’avait soulever pour voir s’il se fissuré ou pas.

    Peine perdu, il restait dur,trop dur même,impossible de le casser,il avait essayé. L’oeuf, obsession de jour comme de nuit, le rendait de plus en plus agressif. La torture qu’il ressentait devant cet oeuf délibérément clos, fit chanceler sa raison. Il se mit à parler tous seul, rageant de plus en plus. Vers le neuvième heures, l’oeuf oscilla , tremblant Gids s’approcha, l’oeuf se fendit en deux. Rien! De rage il hurla comme une bête blessé à mort, il cassa tout dans sa maison. La haine embrasait ses traits et si Tarnin l’avait vu ainsi, il serrait partis en hurlant au fou. Gids était au bord du gouffre.

    Alors il s’évanouit, lorsqu’il se réveilla il faisait nuit noire, une femme était là. Elle le regarda avec tendresse et lui dit: Gids quel était donc ta folie de vouloir faire d’une chimère un être du mal! Ne sais tu pas qu’il est impossible à une chimère de faire souffrir les humains? -Mais qui êtes vous, vous?-Gids tu me connais! regarde moi bien!-Mais non, c’est impossible! vous ne pouvez pas être réelle?-Bien sûr que si Gids et elle le frappa  sur la joue de sa petite main. La force de cette gifle le força à reprendre pieds et il comprit que la personne qui était debout devant lui,était bien réelle.

    Alors Gids! Me crois-tu?

    -Oui, oui, mais comment!

    - Mayhril m’a appelé lorsque tu l’as sortie de son terrier. Elle avait très peur car tes paroles la faisait souffrir, tu voulais faire du mal au peuple et devenir le dirigeant du château. Tu sais Gids que je peux de ce fait te punir bien plus que ne le ferait le roi? Devant les yeux hagards de Gids, la femme sourit , oui je vois que tu as compris, bien! je ne te ferais rien.

    Et même je vais te faire un immense plaisir, bien que pour beaucoup de tes actes tu ne le mérite vraiment pas. Mais durant ce mois et demi tu as beaucoup souffert et tu as faillit perdre la raison, pour cela je vais te dire un secret. Dans deux ans tu rencontrera une jeune fille,et elle deviendra ta femme,tu seras heureux et ton coeur sera apaiser.

    Oui je vois bien que ta raison n’est pas loin de s’enfuir de toi,alors tu vas dire mon nom, là maintenant Gids,dis mon nom! Ambdraniel!Ambdraniel… Alors la chimère se  montra à Gids. Devant cette vision de beauté et de perfection Gids comprit sa folie, comment un être aussi pur,aussi beau aurait pu lui obéir! Elle serait morte plutôt que de lui obéir,il le comprit, et fermant les yeux il laissa couler les larmes de honte.

    _Oh Mayhril! pardon, pardonne moi ma folie,je n’ai pas compris,j’ai fermé mon coeur, j’ai laissé la haine emplir mon coeur. Me pardonneras tu un jour Mayhril?

    - Oui,un jour, homme! je te pardonnerai c’est promis .

     

    ******
    Gids sentis la caresse des mots de Mayhril et son coeur s’ouvrit à la joie, Mayhril le caressa de ses ailes diaphanes et Gids sentit la chaleur revenir en lui.

    -Ambdraniel que vais-je faire?
    - Tu vas reprendre ta vie; tu feras tout pour te faire pardonner, tu seras juste envers tes amis, tu oublieras Mayhril…Jamais tu ne parleras d’elle.
    Je veux ta promesse Gids.

    -Oui…oui tu l’as Ambdraniel, j’en fais ici le serment, l’oeuf était vide.
    Ainsi Gids reprit-il sa vie et si certains furent étonnés de le voir souriant et de bonne humeur, ils  en étaient avant tout très heureux. Gids vécut longtemps, très longtemps pour un homme de son espèce, et il fut très heureux, il s’éteignit à l’âge de cent ans ayant vu ses petits et arrières arrières petits enfants formaient une belle est grande famille.

    Jamais Gids ne parla de Mayrhil ni d’Ambdraniel, mais son coeur d’homme fut heureux de connaître pareil légende.
    ainsi se termine la découverte de Mayhril,mais son histoire ne fait que commencer.à suivre
    Y-L

     

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Frylia et la quête du chat de la Reine.

    Je suis pour le moment dans l'incapacité de retrouver le début...

    Le chat de la Reine ou l'histoire extraordinaire d'une petite Chatte appelée Frylia.


    -Frylia, il n'y a que toi qui puisse retrouver la reine.
    _ Comment mon Roi! Comment pourrais-je retrouver la Reine! Je n'ai pas la force que possède mon Roi.
    - Ecoutes moi Frylia, la corde d'or c'est rompue, la guerre va éclater et ce sera terrible; ou tu trouves les vierges tisseuses de fils d'or, ou, tu trouves le Chat de la Reine...car lui seul possède le flair pour les trouvées.

    -Mais, mon Roi, dans le monde d'en-bas, je ne serais qu'une simple chatte.

    _ Oui Frylia, une toute petite chatte, mais qui a en elle la puissance de mille guerriers et n'oublis pas Frylia que tu as aussi la magie du Roi. Avant cela, je veux que tu te souvienne ...que s'est-il passer lorsque la Reine a disparue? Cherche en ta  longue  mémoire, remonte aussi loin  que possible, remonte dans le passé.

    - Mais mon Roi, le monde s'écroule...si je dois remonter aussi loin, la fissure continuera et tout prendra fin.
    - Non frylia, j'ai la force pour soutenir la voûte et le monde vacillera peut-être, mais je le soutiendrai longtemps...mais, il faut que tu te hâte, retrouve tes souvenirs et cherche le Chat de la Reine.

    - Si je trouve le Chat de la Reine, je trouve aussi la Reine!
    - Non, pas la reine, mais sa descendance ,oui.
    - Alors, je trouve la descendance du Chat?
    _ Non mon enfant, non, ce sera vraiment le Chat de la Reine que tu retrouveras, remontes tes souvenirs Frylia, remonte.

    La voix du Roi se fit très douce, si douce que Frylia commença à se balancer de droite à gauche et lentement, ses souvenirs revinrent à sa mémoire. Elle se sent dans le ventre de sa mère.

    Désolée mon Roi, ce sont mes souvenirs, tels que je les aient vécus. La vieille grange que ma mère avait choisit appartenait à un vieil homme au coeur brisé que la colère faisait battre chaque jour.

    Quand les soldats arrivèrent chez lui, il leur ordonna de quittés sa demeure, mais les soldats se divisèrent et finirent par nous trouvés. Le vieil homme s'empara alors de mon frère aux poils aussi sombre que la nuit et disparu dans une faille.

    Ebahis, les soldats s'empressèrent de rentrer au château. La Reine reporta tous son amour sur Chatte et sur nous ses petits. Le Roi me nomma Frylia et la Reine donna le nom à mon autre frère.

    Il s'appellera Göchen, en grandissant, son corps deviendra aussi éclatant que l'or au soleil. Quand à moi, mon poil est un mélange d'or et d'argent et le Roi m'aima d'un farouche amour.

    Nous étions si jeune mon frère et moi, la Reine tout à sa peine gardée le lit et elle voulait nous avoir avec elle et chaque jour une suivante nous disposés mon frère et moi sur un coussin brodé d'or et d'argent elle nous disposés ensuite sur le lit de la Reine.

    Quand enfin, un peu plus grand, tressaillant sur nos jeunes pattes; je pu partir à l'aventure, le visage de la Reine était pour moi quelque chose que je me devais d'explorer...alors, frémissante et tortillant sur mes  petites pattes, je parvins après bien des efforts devant celui-ci.

    La Reine se mit à rire, un si joli son. Elle me fit tressauté en riant. Hérissant mes poils, elle s'exclama

    :"Dieu, regarde comme elle est belle,or et argent, tu as bien choisit, regarde là voyons ce qu'elle va faire. Une voix plus forte retentit ( mon maître ne venait pas souvent voir la Reine) alors

    - Regarde ma Reine, le petit tente vaillamment de la suivre, voyons un peu s'il fait preuve d'un aussi grand courage que celui de sa petite soeur. Regardes ma Reine s'exclama la grosse voix...regardes son poil n'est qu'or au soleil levant.

    Beau spécimen que celui-là, comment le nommes tu déjà?
    -Göchen mon époux, Göchen.
    - Oh! Vaste nom que voila pour un si petit animal, ne crains tu pas ma Reine pour ce petit être?
    - Il doit porter ce nom, c'est sa destiné et la mienne. Ma reine murmura doucement le Roi.

    Moi, j'étais toute proche du visage, je voyais le fin duvet du menton, les fines lignes de ses lèvres, le petits sillons le long de sa bouche et au coin de celle-ci, une perle translucide, me donna envie de la goûtée.

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Chaque jour, je m'éloigne de toi. Les battements de ton coeur deviennent mes pires ennemis. ô âmes de ma vie, je t'ai longtemps suivi, respirant par à coup ta propre vie.
    Tu me saignes, tu m'étouffes, tu m'endors par tes mots forts et lentement tu creuse ma tombe. Tu m'as surpris il y a peu à vouloir respirer tes cheveux et c'est dans un grand éclat de rire, que tu me laissa, désarmé, désemparé.

    Amour, je m'éloigne de toi le coeur si lourd, le froid m'envahit, il brise ma force; je ne suis plus celui qui savait presque d'avance ce que ton coeur de femme désirait le plus... si facile de le faire.

    Amour, mon corps est si lourd, Amour, rends moi ma force, Amour, rends moi ma vie, celle d'avant, oui, celle d'avant toi; afin que moi, moi... je vive de nouveau.
    Amour, tu me laisses là contre ce banc de pierre placé dans ce vieux cimetière, même le jeune lierre ne peut s'enrouler autour, regarde, regarde amour, la vie veut reprendre son court, lui donneras tu une nouvelle chance!


    Une nouvelle vie! L'envie de l'amour, des caresses, de ces moments de velours, Amour... guideras-tu ses pas  vers le ciel du matin, vers la pluie si fine qui tombe tels des gouttes de rosés parsemées d'étoiles argentés?

    Laisseras-tu coulé sur ses joues le doux ruisseau de ses eaux? Amour, tu m'oublis, le banc de pierre et le lierre ont fait ami-ami. Aujourd'hui, je le vois, je m'invite chez eux et je partage un bon moment.

    Connais-tu cela Amour? Juste un endroit ou te posé un court moment de 
    répit, le silence pour ami! La beauté des mots offerts par le voisin ou par la voisine...ou par la petite fille qui tout en chantant et en jouant fredonne ses comptines et  s'approchant de moi,pas à pas les yeux grands ouverts; placé loin derrière le banc, me fixant sans me voir, découvrant ses petites dents puis riant comme une folle, elle s’oublie et se jette dans mes bras.

    Sa mère ne me voit pas elle, mais, l'enfant en fait me voit, je la repousse mais elle résiste. Elle veut jouer avec nous, avec moi. L'enfant sourit beaucoup, elle est si belle... mes mains tremblent, je sais que je devrais partir et très vite.

    J'ai si follement envie de la garder avec moi. Cette sensation de connaître cette petite fille devient de plus en plus forte. Amour, reviens... reviens , car j'ai besoin de ton courage, de ta force.
    Ma bataille commence et tu m'as laisser seul... j'ai si peur... elle est si jeune, fais la s'enfuir, aide là à partir; je ne veux pas lui faire de mal, je m'arrache les cheveux, ils sont gris maintenant.

    Ils étaient blond, si beaux, j'ai envie de crier, de frapper tous ces imbéciles, ceux qui nous regardent de haut, de loin sans vouloir nous aider. Que faire Amour? Que faire!

    l'écho de ta voix, je ne possède plus que cela... l'écho de ta voix et là... elle est dure, tu me menace, tu m'ordonne, tu crie, tu veux me frapper, que! quoi! que veux-tu? Que dois-je faire?

    Tu veux me comprendre, tu me cherches de nouveau? Oui, oui j'ai besoin de toi Amour, viens, viens viens, accours vers moi?
    Elle tiédit, elle s'épuise, elle réclame :"Maman!Maman viens, tu viens j'ai besoin de toi, je veux te voir j'ai mal!Je lui ai donné de l'eau, du lait, du pain, des fruits... elle  a tout refuser.

    Elle a garder l'eau. Elle a froid maintenant, le soir tombe et enfin sa mère s'inquiète de ne pas voir sa fille près d'elle. Elle l'appelle Eva, Eva, ou es tu. Eva ne peux répondre.

    J'ai gardé Eva pendant dix jours et j'en ai pris soin, je ne lui ai pas fait de mal. Ma soif était forte;mais, j'ai tenu bon. Amour, tu seras fière de moi. Eva veut voir sa maman, alors, je l'emmène dans le bois et je la laisse partir petit feu follet riant sous la couche étoilé.

    J'ai prévenu les hommes et les femmes , ils viennent pour la prendre et j'ai mal. amour, elle te ressemble tant. Reviens amour, reviens.
    Je suis seul de nouveau assis sur le banc et le lierre s'enroule autour de moi, je meurs. Amour... je te rejoins.

    Amour. ( lettre posthume)

    Y-L
    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

    1 commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique