• Le Baron et la Baronne de Maudiere.
    En ce 23 décembre 1865, invite en leur château :
    Les paysans et leurs enfants à venir y chercher :
    un pain, de la farine, du sel et une pièce de lard.
    La Baronne offre à ses paysans une belle part de
    légumes et quelques fruits secs.
    - Voyons ma mie! Vos pauvres paysans ne savent pas lire. Comment voulez-vous donc qu’ils viennent ici nous voir !
    - Ah mon ami !
    A cela, je vous l’avoue, la pensée ne m’en étais venue…Comment faire ?
    -Oh…oui…oui, je sais, je vais faire un dessin et à la place du château, je vais dessinée l’église; ils auront moins peur,
    ils viendront plus facilement à l’église et le Père Brazallac leur expliquera le cadeau que nous offrons.
    -Oh Albert mon époux!
    Ne voyez vous pas en ce cadeau le don de notre Seigneur Jésus ?
    - Que non ma mie! j’y vois plutôt le trou dans nos greniers à grains.
    Pains et farine pour 100 personnes, avez-vous quelque peu compter à la dépense?
    A votre air; je vois bien que non...
    mais diantre,
    dites moi donc d'ou vous est venue cette idée quelque peu saugrenue!
    -Ah votre regard vous a trahi mon époux,
    vous vouliez dire Stupide!
    Sotte! ou que sais-je encore.
    -oui là! vous vous devez de comprendre.
    -Non...je ne veux pas comprendre,et puisque vous voulez savoir
    pourquoi, je vais vous raconté une histoire.
    Non, non Albert mon cher, vous n'y couperez pas.
    Prenez donc vos aise, un petit cognac, un cigare et vous voila prèt
    à entendre mon récit.
    Il y a trois ans de cela,
    j'allais comme tous les ans voir ma mère
    ( ne faites pas cette tête)...Hum!
    Il faisait froid et j'avais hâte
    d'arriver.
    Le cocher fit donc galoper les chevaux, une
    ornière mal prise et nous voila avec l'essieu cassé.
    un paysan pauvrement vêtu, s'arrêta et avec beaucoup de douceur,
    expliqua au cocher ou il pourrait trouvé à loger la dame,
    pendant que ses amis et lui-même répareraient l'essieu.
    un peu sur la défensive, Gustave notre cocher... lui parla
    avec dureté de ton.:" Ou donc voulez-vous que ma Maîtresse
    aille se mettre à l'abri! ici il n'y a que pauvre masure.
    Ma Maîtresse aura froid paysan, tu ne réfléchis pas...
    Toujours avec douceur, le simple paysan reprit... sur l'honneur de
    notre village messire, à la Chapelle,
    votre Dame aura bien chaud.
    Les sources d'eaux chaudes qui passent
    sous  les pieds de la Chapelle réchauffe avec ardeur.
    -Bien, alors allons voir cela!
    Plus de dix minutes passèrent et oui, j'avais froid, de plus en plus même.
    Gustave revint le sourire aux lèvres.
    -Madame, venez, venez, je vous accompagne, vous verrez que
    dans cette petite Chapelle, il y fait très bon.
    Deux femmes du village vous apporterons de quoi vous restauré.
    Un bol de  bouillon et un peu de pain.
    - Quel délice vraiment! J'allais donc avec Gustave et
    chemin faisant, cinq hommes vêtus plus que pauvrement,
    nous croisèrent, ils s'inclinèrent devant moi
    et soulevèrent leur béret- puis, sans plus de façon
    allèrent aider l'autre paysan.
    La petite Chapelle était toute ensevelie par la neige
    et un nuage blanc l'environnée. Elle était belle malgré la marque
    du temps, j'entrais à l'intérieur et Gustave repartit pour
    surveiller les hommes, surtout les bagages.
    Deux femmes étaient là, elles attendaient, elles s'inclinèrent
    et avec chaleur me tendirent une écuelle fumante et un gros morceau
    de pain, je pris place sur la chaise bancal et je voulus
    partagé ce repas avec elle, mais  j'eus à peine le temps de me
    retourner que déjà...elles étaient partis me laissant seule à mon repas.
    Je ne sais pourquoi, mais, cela me chagrina.
    Je goûtais au bouillon et fit la grimace,
    plutôt fade, je pris un morceau de pain et le mis dans ma bouche;
    j'allais le recracher tant il était apre,
    puis me dit que ce cadeau ne devait pas être jeter.
    Alors, je bu et je mangeais le pain et je remerciais
    du fond de mon  coeur ces hommes et ces femmes de ce


    petit village ( hameau) pour le cadeau offert.
    Je savais que ces parts étaient celles d'une femme, d'un homme et d'un enfant
    et me promis qu'au retour, ils auraient eux aussi un cadeau.

    à suivre.
    y-l

     

     

     

     

     


    (à suivre).

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  •   

    Piaulé Lyorette, et Chanichat.

    Piaulé Lyorette est une petite fille de six et demi et sa bravoure et très connue dans le monde des animaux.


    Piaulé Lyorette à grandit avec les chiens, les chats, les cochons, les vaches, les moutons, les boeufs, les veaux, les agneaux qu'elle  a toujours aimé ( et qu'elle aime toujours),

    les ânes, les oies, les poules et les coqs, les lapins, les canards, bref, beaucoup d'animaux de ferme, mais aussi, les oiseaux et là...il y en a beaucoup.


    Piaulé Lyorette ne vivait pas dans une grande maison, non... là ou elle vivait, il n'y avait que trois pièces, deux petites et une grande.


    Dans la grande, il y a le grand lit de ses parents et son petit lit à elle, plus son gros chat Chanichat .Dans une autre pièce il y a la cheminée, une grande table et des chaises,

    un vieux fauteuil à bascule avec un châle gris cendre dessus, un petit tabouret à trois pieds, une porte qui s'ouvre de moitié et une fenêtre avec un rideau que le vent fait volé...

    un buffet bas ou sa maman range la vaisselle  et les casseroles et poêles.


    Une horloge très très vieille et Piaulé Lyorette l'aime beaucoup cette étrange horloge ( et un jour vous saurez pourquoi.).


    Dans la troisième pièce il y a un grand bac en bois, un

    vieux poêle à bois qui ouvre grand sa gueule  toute

    rouge pour que sa maman y jette de gros morceaux de bois puis il y a le puits; maman y puise de l'eau claire et froide.

    Il y a les outils aussi car le papa de Piaulé Lyorette est jardinier. Alors me direz-vous...pourquoi tous ces animaux? et d'ou viennent-ils?


    Eh bien parce que Piaulé Lyorette vit à côté de deux ferme. L'une grande avec une belle maison, une grange immense, deux gros chevaux aux grosses pattes et au long poils,

    haut, tellement haut que Lyorette doit se tenir sur la troisième pierre pour bien les voir. Ce sont des chevaux de trait, on les appel ainsi car ils servent à faire les gros travaux dans la ferme;

    ils vont même labourer la terre, même débarder ( mais là Lyorette ne sait pas ce que cela veut dire, elle nose pas demander aux garçons)



      ça c'est l'un des  jeunes qui soigne les chevaux qui  l'a dit à Lyorette et Lyorette hoche la tête, elle écoute le jeune garçon et elle l'aime bien car il est gentil avec elle.



    Il lui explique tous ce qu'elle veut savoir. Yonas, il s'appelle... mais l'autre garçon là...

    Lyorette ne l'aime pas car il cherche à faire du mal à Chanichat et elle voit bien dans ses yeux que ( Chanichat) doit faire attention à lui... mais Chanichat sait bien cela.


    Il l'a expliqué à Lyorettte, pourtant Pierto se montre si gentil avec ses chevaux, ils le brossent longtemps, il regarde sous leurs sabots, il met du foin de la paille fraîche,


    il leur donne à boire chaque jour et du grains en plus et dès fois des pommes ou des carottes, de si belles carottes,

    qui iraient bien dans la soupe que maman fait pour le soir... mais Pierto ne veut pas en donner à Lyorette, il a même essayer une fois de la faire tombée,


    mais Yonas était là et il l'a rattrapa à temps comme il dit.

    Monsieur Courdoeil lui a donner une grosse claque et Pierto depuis regarde Lyorette d'un mauvais oeil.

    Son papa lui a dit de ne pas aller à la grande ferme quand Yonas n'était pas là.



    Oui mais...Yonas est malade depuis longtemps et Lyorette ne le voit pas car Pierto reste près de lui.

    Il lui donne à boire de drôle de choses qui sentent pas bon. Des médecines plantes qu'il a dit à Lyorette.



    Lyorette l'a répété  à maman et maman a été voir. Depuis Pierto n'a plus le droit de soigné Yonas.



    Monsieur Courdoeil a été très en colère et il ne veut plus que Lyorette vienne à la grande ferme.


    Alors, depuis ce jour  Lyorette va rendre visite à Hypoline. Elle est gentille Hypoline.

    Elle a toujours le sourire et des tartes qui refroidissent sur sa fenêtre.

    Des oiseaux trouvent à manger et ils crient, ils crient, c'est un cris moineaux très fort.


    Les oies les poules, les coqs, les dindes et dindons sont amusant, les canards, les faisans très gracieux, les porcelets tous rose,

    le deux vaches et le petit veau, les trois moutons et les deux ânes tous cela se promènent comme ils en ont envie dans les champs autour de la petite ferme d'Hypoline .



    N'a pas d'enfant Hypoline, alors Lyorette et comme sa petite fille.
    D'ailleurs maman demande souvent à Hypoline de garder avec elle Lyorette, car maman a beaucoup de travail et Hypoline fait un grand sourire et répond:


    " Bien sûr mon petit, je vais te garder Lyorette, viens la chercher quand tu veux". Le temps passa ainsi.


    Mais un jour maman n'est pas venue. Alors avec Hypoline elles ont fait le chemin à pieds et quand elles sont arrivées à la maison, c'est papa qui a ouvert la porte.


    Hypoline était très en colère contre papa et maman et les grandes personnes ont parlés longtemps.

    Piaulé Lyorette était fatiguée et elle ne faisait pas attention aux paroles des grandes personnes,

    quand tout à coup le nom de Chanichat lui chatouilla les oreilles.

    Alors elle écouta et voici l'histoire.

    Chanichat à disparu.( à suivre).
    .


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  • C'est la nuit
    l'heure ou les rêves apparaissent
    ces instant ou nos doutes nous
    titilles l'esprit. ou encore
    l'instant ou muse se décline
    voulant que j'écrive quelques mots...
    Je ne sais si ce soir,
    je vais lui accordé ce qu'elle désir!
    J'ai besoin de repos,
    Je veux dormir.
    Muse...ce soir tu m'ennuie,
    alors juste pour te complaire un peu
    j'ai laissé mes doigts voleté sur le clavier.

    Raconté une histoire, là, maintenant!!!
    Muse tu devient exaspérante....
    Une histoire quelle idée!
    Il était une fois dans un tout petit village,
    une famille qui s'aimait beaucoup.
    Tout le monde avait ses corvées du matin;
    puis, chacun devait faire le travail de la journée.
    Cela était une habitude que cette famille avait,
    et tout ce passait bien.
    Un jour pourtant, un jeune garçon du peuple
    du haut tomba d'une des branches sacrées,
    tout le petit peuple fut outré de voir
    un grand pied s'amuser comme d'un rien, d'une branche sacrée,
    il fallait le punir, pour sûr les anciens le feraient.
    tout le monde se retira pour le repas du soir,
    les ablution et le coucher.
    Personne ne doutait de la force des anciens.
    Mais alors que la nuit était bien avancée,

    à l'heure, ou certains disent que les ombres sortent.
    On entendit plusieurs cris.
    les hommes partirent et lorsqu'ils revinrent,
    leur visage était si triste que tout le monde pleura.
    à suivre.

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  • Après avoir traverser l'immense forêt, après avoir combattu aux côtés de Lomolo pour conserver sa royauté et avoir vaincu en combat singulier Narvala, l'immonde araignée du Monde souterrain...
    Petit Takeu, fut inviter à passer plusieurs jours dans la clairière du " Matin aux mille reflets" par Lomolo.
    Petit Takeu accepta avec joie car il savait que dans cette immense forêt, il ne pourrait trouvé la dague du roi des Elfes Trasan.


    Cette dague, il devait la ramené en signe de victoire, Sur sa propre peur. En plus , elle possédait un pouvoir qui devait aidé Petit Takeu pour la suite de ses aventures.Les jours passèrent comme neige au soleil et vint le matin ou il fallut demander à Lomolo son aide pour retrouver la dague de Trasan.


    Lomolo était de méchante humeur ce matin là, alors Petit Takeu préféra attendre que Lomolo ait  fini de petit déjeuner. Après se disait-il, il serait de  bien meilleur humeur.

     


    Mais non, Lomolo avait du chagrin, car, il savait que son jeune ami devait partir et il ne savait pas comment lui prouvé son amitié. Il tournait en rond pendant que Petit Takeu finissait de mangé son fruit du matin et de boire son jus de légumes frais.


    Fait par les petits lutins de la Clairière, ce jus de légumes Petit Takeu l'aimait beaucoup car il lui donnait des forces pour toutes la journée.


    Les Lutins prenaient les légumes frais, puis, ils les lavaient dans l'eau de la rivière; ils les faisaient cuire doucement et après cela, ils récupéraient le jus.


    Avec les légumes qui restaient, ils en faisaient du Grosnos et même de la epuos épaisse pour le soir...un régal.
    Mais les Lutins ne voulaient pas donné à Petit Takeu la recette, car elle était sacrée. Le Roi Lomolo, lui dit que sa maman devait connaître cette vieille recette et qu'il lui faudrait le lui demander.


    Petit Takeu eut un grand sourire car il se souvenait que Pépé Takeu râlait le soir, car  il disait:" Non! encore de la soupe!"
    Oui, répondit Lomolo, les Takeu appellent cela de la soupe, nous ici on appelle cela ah! je ne peux  te le dire petit ami.


    Et ce matin encore Petit Takeu ce dit en lui-même que Lomolo ne voudrait sûrement pas l'aider, alors tout en buvant lentement son jus, il fixait Lomolo de son clair regard.
    lomolo le regarda aussi, puis ni tenant plus il cria presque:" Je ne veux pas que tu me quitte...mais je sais que tu dois le faire.


    Dis-moi petit ami ce que je peux faire pour t'aider dans ta quête, dans ton aventure." Lomolo souffla tellement fort que les pétales sur la table s'envolèrent dans un beau tourbillon, pour retombés sur la tête  de Petit Takeu qui ria tellement que du jus de légumes coula de ses lèvres.

     


    Le roi Lomolo ria aussi de voir que son petit compagnon n'était pas fâché contre lui.
    Alors Petit Takeu expliqua à Lomolo
    à suivre)
    y-l

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  •  Ah! Enfin…
    Il est là ce magique et féérique couché de soleil.
    Enfin, je vais pouvoir m’étendre et regarder ces magnifiques constellations, ces étoiles si lointaines.

    Tout cela me fait rêver, j’ai alors l’impression de vivre une étrange et irréelle histoire.
    Tous les soirs, j’attends, je lève mon long museau , je hume l’air y cherchant les douces odeurs de mon amie.
    Je guette, je suis aussi sur mes gardes, car ici je ne suis à l’abri de rien. Aucun endroit pour me réfugier en cas de rencontre.
    Il y a deux lunes de cela, mon amie était ici
    elle aussi aime lever son museau et regarder  ces points qui brillent dans ce ciel immense.

    Puis un jour entre la nuit et le nouveau jour, elle n’est pas revenue.
    L’ancien alors a dit:
    -Nous pleurons notre soeur, notre amie, notre future épouse. et la meute a pleuré.
    Moi aussi, j’ai levé mon cou pour chanté la chanson de l’adieu.
    Pourtant mon coeur de loup me dit qu’elle est vivante,
    un peu comme ces étranges points lumineux dans l’immensité.

    Je regarde, je hume, j’écoute.
    Un son, ténu, léger comme un vent d’été.
    Un son, un être qui respire, qui se cache, qui a peur.
    je la sens cette peur,
    je sens aussi la faim, je sens l’odeur d’un être blesser.


    Je scrute, j’écoute, de nouveau ce son ténu, je le laisse me guider.
    Je respire, enfin, je la sens.
    enfin je la trouve.
    Blessée elle git au fond d’une ravine, une patte cassée?
    Une patte rongée? une patte qui ne sent pas bon.
    Je la rejoint, je la respire.


    Heureuse de me voir elle respire mieux, frétille des oreilles,
    seule et blessée elle a crus que j’allais l’oublier.

    Mais comment oublier celle que l’on aime?

    Je lève ma tête, je pointe mon museau et je chante de toute mes forces le chant de vie.
    Ils sont tous là, ils sont venus, pour elle, pour moi.
    Ils regardent, ils sentent, ils réagissent, et l’ancien parle. :
    -" Soeur de la meute, ta blessure n’est pas si grave, il
    te faut manger et après nous t’aiderons à revenir là ou nous vivons ».

    De joie mon coeur explose.
    nous chassons pour elle, le gibier et heureusement  présent dans cet endroit.
    nous évitons de chassés là, mais c’est une question de survie.
    Notre soeur mange et enfin son poil se hérisse, elle se sent mieux.
    Dans  une lune elle sera guérie.
    Si belle dans la lueur rouge de la nouvelle lune,

    elle lève son beau et long museau,
    puis elle chante et tous nous l’accompagnons.
    Ce chant est dédier à une amie

    , j’espère qu’elle l'entendra.
    Y-L

     

    Au couché du soleil.

     

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  •  Manilou est une petite chenille de 4 centimètres environ, elle sera d’une grande beauté quand enfin l’heure sera venue pour elle de devenir papillon.
    Pour l’instant Manilou se goinfre de tendre feuille, à tel point que Jilanou son complice et ami se moque d’elle:-
    tu vas finir pas être tellement grasse que ton cocon ne tiendra pas, lui dit-il… De colère Manilou lui tourne le dos et se presse de chercher un autre endroit afin de pouvoir mangé à sa faim.
    Mais coquin Janilou la suit de loin. Heureuse de trouver un chèvrefeuille bien tendre, elle ne pense qu’à grignotée.
    Poison! Poison lui cri  Jalinou. Arrête de manger cela, tu vas avoir le ventre douloureux et tu perdras tellement de force que tu n’arriveras pas à faire ton cocon.
    Oh! Toi ,tu es jaloux lui rétorque la petite chenille d’un ton mordant.- Non! Je t’assure que non Manilou, père m’a bien expliquer que le chèvrefeuille était pour nous un danger.
    - Oh! Ecoutes toi donc, à croire que toujours tu écoutes ton papa? Moi il ne m’a rien dit du tout…
    -Et pour cause, il a mangé des feuilles de chèvrefeuilles, mon papa l’a vu faire, et il lui a dit de ne pas en manger. 
    -Balourd que tu es, comment suis-je venue au monde si mon papa a mangé du poison?
    - Euhhhh, là j’en sais rien, c’est pourtant vraie ce que tu dis là! Pourquoi donc papa m’a t-il interdit de manger les feuilles dodues et tendre du chèvrefeuille?

    - Hum! peut être que son père en a eut peur et qu’il  lui a interdit d’en manger rétorqua Manilou.
    -Oui, peut être bien! Mais alors, si j’en mange moi, je ne serais pas malade?
    – Là, j’en sais rien moi, tu sais j’en ai déjà mangé et je n’est pas été malade, mais je ne suis pas comme toi, moi!
    – Comment cela?
    - Regarde moi Jalinou, je suis beaucoup plus grande que toi, non!
    - Oui, tu as raison sur ce point.

    – J’appartiens aux papillons de nuit moi, toi, tu es un papillon de jour, c’est peut être là, la différence; alors si j’étais à ta place je ne mangerai pas de ces feuilles là.

    – Oh, je crois que tu as raison, je vais retourner dans mon coin et manger les feuilles du chou c’est bien meilleur pour moi.

    Partant de là Jalinou devint par la suite un très joli papillon d’une douce couleur citron.

    Quand à notre petite goinfre elle devint un joli sphinx, beau papillon de nuit, et  plus jamais on ne les vit ensemble.

    Mais si on regarde bien, dans les jardins ou poussent les choux, on voit voler de bien jolis papillons jaune citron.

    Et  à la tombée du jour, un beau sphinx vient pour de sa longue trompe boire le nectar de vos fleurs. A vous de regardez,
    Photo de José
    (ce n'est pas la bonne chenille)
    y-l

    Photo de joséla nature est si belle. dsc0005.jpg
     

    Photo de José
    ce n'est pas la chenille que je voulais,
    tant pis!

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  • Quand John avait dit à Pascal qu’il avait réussit à trouvé un endroit superbe pour leur vacance, Pascal avait été très heureux. Mais quand, John lui annonça l’endroit ou il comptait l’emmené en vacance, là, ce fut une crise de larme qui explosa d’un seul coup.

    John fut au petit soin pour son amour, cherchant le pourquoi de cette crise. Il l’emmena  dans leur chambre…grand lit, chevet,immense dreesing, tapis persan, quelques objets d’arts placés ici et là, le tout dans un ton chaud cannelle et cerise.

    Un édredon double blanc cassé lie de vin venait complété l’ensemble douillet de leur chambre. John, laissa son ami pleurer jusqu’à ce que l’épuisement le gagne. Là, il le recouvrit d’une petite courtepointe beige et le laissa dormir. Quand à John, il chercha ce qui avait pu mettre Pascal si heureux de vivre d’habitude, dans cet état,lui, il ne voyait vraiment pas.

    Pour plus de précaution, il téléphona à Marie-Catherine pour lui annoncer la bonne nouvelle; mais c’est le manque de réponse qui alerta John et le froid qui sembla sortir du combiné, le refroidit, il se sentait frigorifié.

    Marie-Catherine avait toujours accepté John du jour ou Pascal l’avait présenté à ses parents, ce fut une seconde famille pour John, mais là! Il devait y avoir un souci très difficile à exprimer, car Marie-Catherine ne disait pas un mot.

    John lui demanda en riant si cela posait un problème…et la réponse le glaça, enfin, il comprit enfin pourquoi Pascal avait si mal réagit à son annonce de voyage en Corse. Que faire? Les billets étaient payés d’avance. John ne pouvait se faire remboursé et c’était le choix de son doux ami qui était important. Que fallait-il faire? Ayant raccrocher, l’esprit en déroute, les paroles de Marie-Catherine en tête, John arpenta le salon de plus en plus fébrile.
    Pascal sortit de leur chambre, la mine défaite,les yeux gonflés, voyant l’air de John, il se jeta dans ses bras; les larmes coulants de nouveaux, dans des sanglots déchirants,il réussit à expliqué le cruel dilemme que cela imposait.

    John le caressant lui murmura tous bas: » ne t’inquiète pas,mon amour. je te laisse faire ton voyage, va voir ta famille et voir comment elle t’accepte, si tout va bien reste avec eux, apprend de ta famille ce que tu peux apprendre,mais, si cela ne va pas…reviens vers moi. Je serai là, pour toi ».

    L’amour de John était sincère et c’est un  Pascal heureux de nouveau qui embrassa son amour. Quelques temps plus tard et après de bien sombre journée pour John, c’est un Pascal plein de vitalité et d’empressement qui prit place dans un taxi chargé à bloc qui allait l’emmené vers Paris et de là il prendrait un petit avion. Car Pascal  n’aimait pas le bateau.

    Il était heureux et si pressé de partir qu’il ne vit pas le regard plein de tristesse de son ami,pas d’embrassade, pas de petit geste tendre,non, rien. Il ne se retourna même pas,pour faire à John un petit signe de la main.

    Voila…Pascal était parti avec la moitié de son coeur. Il laissait derrière lui un grand vide. John rentra dans l’appartement silencieux,le parfum de Pascal flottait encore dans l’air, du Cartier, son parfum préféré,sensuel et fort. Dans la salle de bain régnait le cahot, du Pascal tout craché. La sonnette retentit, John lâcha la grande serviette parme couleur de Pascal et lentement il se dirigea vers la porte.

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