• Plus on plaît généralement,
    moins on plaît profondément.

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  • Ce que la chenille appelle la mort,
    le papillon l'appelle renaissance.

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  • Cette histoire remonte aussi loin que mes souvenirs d'enfant. Je vous la conte telle que je m'en souvienne.

    Par un petit matin de fin juin, alors que la veille encore le soleil avait dardés ses rayons fougueux sur la terre presque sèche, une petite fille d'à peins six ans; cheminait aux côtés d'un vieil homme bien fatigué.

    Elle papotait en zézayant, la faute à ses deux dents de devant, l'une en haut...l'autre en bas bien absentes de sa bouche en forme de coeur. La faute à qui! La faute à Justin elle le clamait haut et fort. Son vieux Papé l'écoutait avec ce doux sourire aux lèvres.

    _Pourquoi t'être battue contre Justin petiote? _Papé, c'est lui qui a chercher. Il voulait encore me prendre le visage dans ses mains sales...de la bave de grosses limaces rouge étalée dessus. J'ai pas peur de ces bestioles là, mais de la bave sur mon visage tout propre non! Je ne voulais pas. Il m'a bousculé, je suis tombé sur le derrière et ça m'a fait mal.

    Alors, il m'a sauter dessus, j'ai dressé mes poings, il a fait de même et vlan! Deux dents en moins pour moi...un nez et un oeil pour lui...ben c'est lui qui a chialé le premier. Maman était pas contente, papa a rit très fort. Moi! J'ai eue deux pièces, quand maman m'a conduite au bus pour que je vienne te voir Mamé et toi...elle pestait encore car les gens, me regardaient bizarrement.


    _C'est normal Ysa, ta bouche est bleue, ce petit garnement t'a cassés deux dents mais en plus, il t'a laisser un beau hématome.C'est pour ça que les gens te regardent. Mais crois-moi petiote, tu es toujours aussi belle. En fait, je crois que Justin t'aime bien.

     
    _Beh pourquoi il me donne pas une fleur ou autre chose, je comprendrais bien mieux. Moi aussi je l'aime bien Justin mais, pas ses vilaines façons ça non! Le Papé ria. _Alors tu devras le lui dire Ysa...il comprendra d'ailleurs, il sera ici dès demain, sa mère l'envoie pour quelques semaines chez sa tante qui...tu dois t'en douter n'est pas contente du tout.
     
    Pauvre Justin, il n'a pas de chance, moi je t'ai et j'ai Mamé pour m’aimai mais lui le pauvre, il n'a plus personne.
    _oui tu as raison Papé, je serais plus gentille avec lui, je lui dirai mais s'il recommence...gare à lui. Là le Papé éclata de rire...elle changerai pas comme ça sa petiote...un vrai rayon de soleil à elle seule, aussi brûlant, aussi hardant que lui. Bref quelques jours de franche agitation à venir.

    Mamé allait s'en faire toute une montagne. Il souffrit en silence, ne voulant pas faire de mal à sa petiote.  A la maison, Mamé insista pour qu'il se pose l temps d'installer la petiote. Docile mais inquiète celle-ci attaqua:"Papé est malade"? _ Ah petiote le docteur l'a dit qu'il passerait pas, alors, il faut qu'il se repose pour rester avec nous...tu comprends petiote?


    _Oui Mamé, mais en fait non Ysa ne comprenait pas ce langage là. Elle se promit quand même de faire attention à son Papé. S'il devait passé, elle allait l'aider au mieux et ce qui se mettrait sur son chemin, aurai droit à ses poings non mais.

    Quelques jours plus tard, Justin arriva avec dans ses mains deux beaux fruits bien juteux. Il en donna un à Ysa puis lui fit signe...elle comprit. Lança un tonitruant "à tout à l'heure Mamé -Papé" Les deux vieux sourirent en voyant les petiots courir vers le vieux tilleul. Ses branches allaient encore devenir un nombre incalculable de monstres à combattre mais...pas ce matin la.

    La petiote raconta à Justin que le Papé allait passé. Le fruit juteux fut recraché et Justin lança un regard de chien battu vers Ysa.
    _Tu es sûre de toi Ysa? _Oui c'est Mamé qui me l'a dit même que moi je vais battre tous ceux qui vont l'empêcher de passé. Tu vas voir comme je serais féroce._Oh Ysa, tu as mal compris, tu ne pourras rien contre elle, elle prendra ton Papé comme elle a prit mon père et mon Papé et ma Mamé. Tu comprends ce que je veux dire Ysa?


     Le noyau qu'Ysa mâchouillait fut prestement recraché, les yeux embués elle cria. Ramassa le noyau et courut tout en criant, non ,non, non! Pas mon Papé,pas mon Papé. Las, lorsqu'elle entra dans la vieille demeure, elle entendit les pleurs de sa Mamé. Hurlant qu'elle voulait voir son Papé, celle-ci l'accompagna dans le salon ou pour la dernière fois elle l'avait vue vivant.


    Pâle certes mais avec un sourire aux lèvres. La petiote s'effondra contre son Papé. Il semblait dormir, les traits sereins. Papé dormait de ce long sommeil dont personne ne revenait. Serant fort son noyau contre elle, elle fixa sa Mamé puis d'une voix chevrotante, elle lui demanda:" Mamé! Je voudrais que Papé emmène avec lui mon noyau...tu veux bien lui laisser entre les doigts, dis tu veux bien?


    La Mamé ne refusa pas cette étrange demande l'enfant avait ce besoin de donner ce petit souvenir, alors, elle accepta.
    . Quand Papé fut enterrer, un deuxième trou avait été creusé, l'un pour Papé, l'autre pour le noyau d'Ysa. Les larmes furent abondante, la douleur finit par s’estomper Quant  Ysa eut dix ans, elle revint avec Mamé qui avait déménagé, ne pouvant rester seule dans la grande maison. Toutes deux trouvèrent l'emplacement ou Papé se reposait. Un petit arbrisseau vivotait faisant un peu d'ombre sur la tombe.

    Il avait soif cela se voyait. Il avait été dit que Papé devait déménager à son tour, car Mamé ne pouvait plus faire le long voyage. Alors Papé déménagea, l'arbrisseau le suivit, ses racines étant fortement attachées au cercueil.Ce n'était pas possible de le détacher sans causer de gros dégât au cercueil.
     
    Papé repose non loin de Mamé ainsi, elle peut le voir chaque jour. Ysa y va tous les samedis...elle arrose en abondance son noyau qui devient un beau petit arbre nain car, un jardinier lui a couper la tête et quelques branches. Aujourd'hui l'arbre à sept ans, quelques fruits se balancent au grès du vent. Mamé repose avec Papé, tous les deux réunis,ils veille sur l'arbre de l'enfance heureuse d'Ysa.
     
    A chaque saison Ysa et Justin viennent et récupèrent les fruits de l'amour. En ce matin de juin, une petite fille d'à peine trois ans, gazouille des mots sans suite assise ou repose ses arrières grands-parents un doux sourire aux lèvres. Elle lève sa menotte vers sa mère et clame d'une voix clair...noyau maman pour Papé et Mamé, noyau maman!  Ysa les larmes aux yeux  éclate de rire. Avec douceur elle dit :" Oui mon trésor, noyau pour Papé et Mamé.
     
    Le petit arbre aura ainsi un compagnon. Il se fait vieux;il est temps pour lui de dormir. _Dodo abisseau, noyau Maelle devnir grand pour amour encore pus gand. L'éclat de rire de l'enfant, sa blondeur , ses joues rouges cerise, sa peau délicate légèrement ambrée, respire le soleil, la vie, l'amour.

    Un tout petit noyau devint celui qui attacha pour longtemps, le souvenir de ceux qui étaient endormis depuis plusieurs décénis. Aujourd'hui, je suis ici avec ma propre fille âgée de cinq ans, elle mange son fruit, laissant coulé le jus sur la terre creusée il y a peu.

    Grand-mère Ysa repose ici avec grand-père Justin, Papé et Mamé. Mon petit rayon de soleil s'exclame alors..."Mam noyau pour amour." Avec la délicatesse de l'enfance, elle lance le noyau dans le trou, frappe de ses petites mains toute poisseuses puis pas fière, replace la terre sur le noyau. De ses belles sandales neuves, elle tasse la terre avec vigueur, soulève le petit arrosoir puis verse le tout éclaboussant ses pieds et sa robe blanche qui ne l'est plus.


    Qu'importe, le rire cristalin, éclatant de jeunesse, de joie de vivre résonne dans le calme du cimetière. Quelques oiseaux se mettent à chantés, le soleil alors darde l'un de ses rayons et éclabousse
    les cheveux noir de mon petit amour qui les mains tendues, se rue vers moi en riant comme seul le font les enfants.

    Le troisième arbrisseau grandira peut-être que ma fille perpétuera cette façon d’honoré nos dormants. Qu'importe si l'arbrisseau ne donne pas de fruits, sa présence apaise notre coeur et nous lie à la vie.y.l.
    sur une idée de Pascal Perrat.
     
     
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  • le jour ou enfin libre, elle regarda derrière elle et poussant un long soupir, se fendit d'un grand sourire.  Pour elle c'était fini les imbécilités répétés journellement, les erreurs à corrigés, les inspirations stupides des profs pour soit disant leur ouvrir au mieux l'esprit. comme si cela pouvait se faire avec des gens comme eux trop embrigadés dans leurs monde d'erreur et n'en voulant sortir pour rien au monde, foutus préhistoire... Ne sommes nous pas à l'air moderne et ceci dans le vrai sens du terme? ne sommes nous pas en trois mille neuf cent quatre vingt dix neuf? et quoi! les neurones en vrac, le coeur à l'envers ainsi que l'estomac!!!


    Me voila enfin libre de tout cela quelle belle chose de faite! plus personne pour me dictés ma vie, plus de remontrance, de moquerie et surtout, surtout la liberté de vivre enfin toute seule.  en bas de mon bloc, je trouve mon gros sac et ma petite servante toute tremblante de froid...pas ma servante car celle-ci n'est pas vivante non, mais mon petit ami à poil qui grelotte de froid...s'il ne trépasse pas, j'aurai beaucoup de chance,il n'est pas évident de trouver un animé de compagnie, c'est mon premier.
     Mon oncle Swen me l'a bien dit:" Massiane si tu lui fais du mal c'est toute la famille qui en subira les conséquences alors fillette tu dois en prendre soin, il est vrai que jamais je n'autoriserai ce genre de chose dans notre triples cubes mais, les voisins pourraient trouver à redire!!! donc fillette fais attention à notre réputation...à la mienne surtout!


    Mon cher oncle Swen, ma très chère tante Isadore et leur fils Lendik m'ont fait vivre un petit enfer avec leurs coutumes, leurs règles, leurs définitions de ce qui est bien ou pas?
     Quand j'ai voulue faire des études, ou-là c'était tout un cirque? J'ai gagné parce que mes parents ont appuyés ma demande de plus ce sont eux qui ont payés pour tout,ils n'avaient quant à eux juste le droit de me surveillé et ça croyez moi, ils m'ont surveillé quelle galère!  Duromna est très belle, les plages sont splendides et les trois soleil lune n'ont rien à envier à ce que d'autres ont vue. Certes Novimca Deux reste la planète à voir à tout prix si on veut être reconnue comme étant le plus à la mode mais moi, je veux rester sur ce petit lopin de terre que mes parents m'ont légués avant de repartir sur  Pologmana .


    J'ai pas tout compris quant ils m'ont recommandé de rester sur mes gardes, c'est un vieux terme ça pour dire de me méfier,oui bon d'accord j'ai appris cette drôle de langue ancienne celle de la terre d'avant mais quand même quoi! je dois comprendre entre les lignes?
     Mon moral en à pris un gros coup mes deux soeurs sont reparties elles aussi ... la navette interstellaire à décollé il y a six bonnes heures déjà et je n'ai aucun holomessage j'angoisse un max. je prends mes affaires et d'un bon pas je me dirige vers les quatre blocs que mes parents m'ont laissés en garde; mon petit animal de compagnie bien au chaud dans mon sblonq,là ou rien ne peu lui arriver...je sent qu'il se réchauffe enfin,il grattouille mon ventre de ses petites griffes acérées,le petit drôle il va s'en prendre une s'il continu ainsi! 

     

     Je souffle, les blocs ne sont plus très loin. Je vais enfin pouvoir prendre un repos bien mérité je vous assure. J'ouvre en grand la première porte, j'y dépose mes effets et je referme très vite derrière moi. J'ouvre la deuxième et j'inspire, bien l'odeur est agréable, je referme derrière moi et j'ouvre la dernière porte celle qui me donne accès à toutes les pièces de vies et de nuits le calvaire touche à sa fin.
    J'inspire à grand coup tout en souriant je laisse mon petit drôle sortir de sa cachette. Il souffle, gronde, crache et feule de façon féroce, j'ai envie de rire mais je sais que s'il fait cela c'est parce qu'il y a un gros problème et là je crains le gros ennui. 




    Qui peut se cacher ici chez moi sans y être invité? le doute ne doit pas me faire perdre de vue que cela reste une intrusion de classe trois. j'actionne le mode violence habitat. je nous couche par terre mon petit drôle et moi je nous entoure d'une bulle de survie,je mets le diviseur en fonction. la stridulation retentit. celui ou celle ou ceux qui ont violés mon habitat n'ont plus que quelques secondes pour se faire connaître avant de subir une mort atroce. un froid liquide qui se déverse sur vous ne fait pas de cadeau, une toute petite chance de survivre???? oui à eux de se magné le fondement comme le disait les terriens à une certaine époque.



    Un vacarme indescriptible retentit soudain et j'entends un:" lUCIA?lUCIA  c'est nous, arrête l'alarme ou nous allons mourir! Bon là il y a un sacré problème, je coupe l'alarme, j'attends  que mon cocon se dégonfle et mon petit drôle sort le premier en soufflant et en crachant comme un fou. oui bon je me souviens soudain qu'il ne connaît pas ceux qui sont là devant moi. Chutt Mignon, ce sont les parents,les miens en l’occurrence et je n'y comprends strictement plus rien. Vous n'êtes pas partis avec Lounia et Lombia?

    _Non, un attentat était programmé contre nous, les filles se sont déguiser en jeune Duromien et elles se sont envolées. Nous avons reçu un holocom nous donnant de leurs nouvelles, :"bien arrivé à la maison, carnage sur notre passage, brigade en formation, restez caché". C'est le message qu'elles nous ont envoyés il y a plus d'une heure de ça...tu penses bien que nous sommes sur les nerfs et toi...tu arrive ici comme un torrent enflammé,tu nous bombarde, tu nous menace, c'est un monde ça ma fille!

    _Oui eh bien comment savoir que c'était vous? Je n'ai eu aucune nouvelles moi! De plus mon petit Mignon n'était que colère alors que devais-je faire dites-moi? J'ai appliqué les ordres,vos ordres en cas de violence habitat ne venez pas me crier dessus ce temps là est fini. D'ailleurs qui vous veut du tors? Qui donc père as -tu mis en colère pour que vos vies soient menacés? Savez-vous que tante Isadore me force à épouser un vulgaire inconnu? Etes_vous d'accord avec son jugement? Effarés mes parents font non de la tête. La colère nimbe le visage pâle de mon père d'une teinte vermeil, ceci n'est pas bon, ma tante ne connaît pas les colères violentes de mon père...elle ne va pas être déçue! Je savoure d'avance.

    _Il n'en est pas question mon petit, on te la déjà dis, ton avenir t'appartient, hors de question de venir mettre notre fumé dans ta vie. Quant à savoir qui nous veut morts...on en a une très bonne idée. Et d'après ce que tu viens de nous annoncer, cela nous conforte dans notre vision. Ton oncle Swen et ta tante Isadore sont ceux qui cherchent à nous prendre nos biens. Te marier à un pantin à leurs soldes les conforte dans la main mise sur ton héritage. Nous avons hâte de te savoir au loin, quand pars -tu mon petit?


    Ben dis comme ça, ça me fait mal au ventre,même si je conçois que l'heure est grave et que je risque gros, de savoir ma famille en grand danger à cause de moi...me mets dans une rage folle.


    y.l.à suivre 1244 mots,décembre 2019.
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  • Je me souviens très bien de mon enfance. Reconnue comme étant une enfant ..."fragile" j'étais souvent mise à l'écart des autres. Il n'était d'ailleurs pas rare, d'être la souffre douleur de mes camarades. Oh certains diront que ... ce n'était que petits jeux d'enfants turbulents...Pour moi, ce n'était vraiment mais alors vraiment pas ça!


     Oh que non! Qu'avais-je pour être mise de côté, pas de sports, pas de jeux en groupe pas de bagarre, bref rien qui ne soit facile pour un enfant lors des récréations. Un jour pourtant, j'osais bravé l'interdit.

     
    Le ciel nuageux,menaçant, se mit soudainement à grondé, qu'importe, le jeu était plus important qu'une petite pluie fut-elle forte. J'étais ce jour là l'élue du groupe d'Elanie, Coraline, Framboise, Magalie,Martine et Elénor, le groupe qu'il fallait à tout pris intégré.


    Je me trouvais au centre du groupe et Elanie me disait de sa voix forte:"Allez,plus vite, tu n'y arriveras pas si tu flemmarde comme ça, encore trois tours, vas y donne -toi à fond!" Les autres restaient muettes mais attentive, j'y arrivais quand soudain... Le ciel explosa.


    La foudre venait de me frappé alors que je bougeais en force, mon houlahoupe virevoltait autour de mon corps, j'étais heureuse, encore un demi-tour et je gagnais le droit d'intégré le club des filles les plus extra du lycée.


    Mon souvenir? Un choc, brutal, une frappe mordante, une envie de hurlée poignante, j'urinais et hurlais de douleurs, pourtant, j'étais vivante. Les filles étaient resté sur place tétanisée, pleurant à grosses larmes, réconfortées par les profs venues en toute hate dès les hurlements. Moi! Moi j'étais seule positionnée contre le mur Est le visage sanguinolent, les yeux hors de leurs orbites, les cheveux tout électrique.


    Je poussais de petits cris plaintifs, personne ne vint me voir de plus près sauf le prof de math Guillaume Franc, mon prof préféré. Il s'approcha de moi doucement. Il me parla mais, je n'entendais rien, des larmes coulées sur ses joues havre ... Un petit sourire essayait de prendre forme mais ses lèvres et son menton tremblaient de trop.


     Il finit par me prendre dans ses bras. Le choc reçu alors nous éloigna l'un de l'autre. Je gémis de plus belle et lui cria quelque chose que je n'entendis pas. Il resta avec moi jusqu'à ce qu'un médecin et deux infirmiers plus les pompiers me prennent en charge.


    Je reçue de bons soins pour mes diverses brûlures , pour mes maux de têtes, il n'y avait que le temps qui dirait s'il fallait prendre cela en compte ou si cela finirait par disparaître. Un mois d’hospitalisation plus tard, je repris mes cours. Devinez...Le groupe n'existait plus, trois des six filles étaient partis et les trois autres se détestaient...quelle chose étrange!


    J'aimais les maths, je passais donc mon temps libre avec Monsieur Franc, il n'aimait pas vraiment les filles  mais mon amour des maths lui fit voir que les filles n'étaient pas que des dindonnes gloussantes pour un oui ou un non. Grâce à lui, j'eus mon bac avec félicitation . De fil en aiguille et malgré mes petits soucis, je parvins à être admise à la fac pour le plus grand plaisir de mes grands-parents.


    Après bien des indécisions, je finis par m'inscrire au cours pour être infirmière, je voulais rendre ce que l'on m'avais offert le jour ou la foudre fit de ma vie d'enfant, de jeune adulte un petit enfer? Mes rêves n'étaient pas des plus jolis,jolis oh que non, un secret! Un souvenir! Un défi! Bref quelque chose d'on vous ne vouliez pas que sa ce sache et moi,moi j'en rêvais et ainsi je connaissais les pires ou meilleures choses de tout un chacun une belle "merde".


    Après quatre années bien difficiles, j’eus mes diplômes, je pouvais postulé . Le premier hôpital me renvoya vers d'autres études en bref pas de place. Le deuxième me fit poireauté un petit mois. Le troisième m’orienta vers une clinique et là...on m'envoya vers les "Médecins sans frontière" qui eux, m'accueillir à bras ouvert.


    Trois ans à bosser avec une équipe du tonnerre. On se plaint, ben que ceux qui se plaignent aillent faire un tour en Afrique et là,on en reparle ok! Ce fut sur le chemin du retour que mes rêves tordus commencèrent, j'en eus sur place mais pas comme ceux qui me hantés maintenant et ce n'était que le commencement. A bord de l'avion qui me ramenait en France, un rêve poignant envahi mon sommeil.



    Mes cris finirent par alertés les autres voyageurs. Les hôtesses m'empêchèrent de dormir le reste du voyage, ce qui soit dit en passant, me donna à la descente de l'avion une mine de papier fortement mâché. Mon aspect maladif en inquiéta plus d'un. Ce que je retins de ce voyage, c'est qu'encore un peu et j'étais persona non gratta sur les vols. Quelle chienlit! 

    Deux...

    Après quatre semaines passés à me remettre de tous ce que j'avais pu vivre en Afrique, l’installation de mon petit trois pièces, les visites et dépos de CV auprès des personnes compétentes...Je décidais de mettre une annonce afin de trouver une colocataire. Deux jours plus tard et six personnes éconduites apparue celle qui deviendrais ma meilleure amie et confidente. 


    Une brunette pimpante, souriante, mâchouillant un chewing-gum avec vigueur me donna un chèque correspondant à six mois de loyers. Alors là, je dis oui aussitôt. Elle emménagea trois jours plus tard toujours aussi souriante. La vivacité faite femme. Une tornade était entrée chez moi.


     
    Elle m'apporta son amour de la vie, je lui expliquais mes soucis, il rigola tant et tant qu elle ne me prit pas au sérieux, sauf que...je lui narrais mon dernier rêve et là, elle me zieuta avec une drôle d'expression, la peur dans ses yeux marron clair en disait long sur ce qu'elle pensait de moi à cet instant. 


    _Tu veux que je te rende ton chèque?
    _Et puis quoi encore! T'es zarbie pour sûre, t'en fais pas commerce hein! Tu vends pas non plus ce que tu apprends des autres? 


    _Tu me diras tout, du moins ce qui me concerne même si je pousse ma gueulante hein!
    _Si c'est ce que tu veux Moniqua, je te dirais tout c'est ok pour moi.



    Nôtre vie commença ainsi, j’eus un poste et Monia aussi, ah oui Moniqua n'aime pas son prénom,elle préfère qu'on l'appelle Monia, moi ça me gène pas du tout chacun son truc!
     

    Il nous restait quelques jours avant de prendre notre poste, Monia rentra chez elle pour trois jours afin de voir ses parents. J'en fis autant, un retour dans l'Orne me ferait le plus grand bien, faire un peu d'équitation chez mes grands-parents, un retour à la ferme quoi, le bien boire et manger en prime.


    Ils furent heureux de me voir en aussi bonne forme, leurs questions étaient un peu crus sur certains points mais bon...Mes trois jours furent extrêmement bien remplis, je rentrais sur Paris dopé à bloc, des vivres pleins le coffre, du cidre, du pommeaux, quelques bouteilles de pétillant de sureaux un vrai délice l'été.
     


    Monia et moi nous passâmes la soirée à bien mangé et à goûter à presque tout, bon au petit matin, ce n'était pas l'osmose parfaite, me grattant la tête avec force tant j'avais des kangourous boxeur à l'intérieure de celle-ci, Monia éclata de rire et ce rire strident déclencha une telle migraine que je perdis connaissance mettant ainsi une Monia au pied du mur...


    Lorsque j'ouvris les yeux, Monia me fusilla de son regard.
    _Pourquoi tu m'as pas dit que l'alcool te faisait cet effet là?
    _Euuu j'ai pas eut le temps mmmm! J'ai juste besoin de calme et ça ira mieux promis.
    _Promis t'en mettrais moi des "promis moi"!
     


    Le sommeil me prit et l'horreur commença...mais je dois vous narrez ce qui m'arriva,ok!
    Le jour vint enfin ou Monia et moi,nous,nous présentâmes à Broussais la Charité et là, une femme revêche se présenta comme l'infirmière en chef. Elle nous entraîna dans un dédale de couloirs...puis enfin au poste des infirmières qui pour l'heure était vide.


    L'infirmière en chef "Madame Faliche" me prit en grippe,pas zen ça! J'eus droit au chambres 11o à 115. Monia se vit en charge des chambres 116 à 12O. Bref nous avions toutes les deux cinq chambres à charge, fastoche oui mais... Monia avait des enfants en passe de sortir dans la semaine à venir, des petits pétillants de joie. J'étais heureuse pour elle.


    Vint mon tour et là, je déchantais rapidement, des personnes âgées acariâtres, veule, râleuse,puante à souhait. Pourquoi moi! Farliche souriait béatement, quoi! pourquoi? Elle jubilait réellement pourtant je ne la connaissais pas.


    Trois....
     

    Elle m'expliqua d'une voix grinçante que ces personnes avaient au sein de l'hôpital des appuis très à cheval sur le bien-être de ces personnes, ben voyons! Les traitements étaient assez explicatif, ils étaient très très malades. Bon pour autant je n'étais pas une bonne hein faut pas trop poussais,des grands malades, j'en ai connues plusieurs en Afrique alors!
     

    Voila en gros mon nouveau travail, bien entendu, il y avait autre chose à faire en plus...


    Le train train se fit sentir rapidement et les rêves revinrent avec plus de férocités et douleurs, mes jours étaient fait de plat bassin, de fesses sales , de lits souillés, de bavants,  de récalcitrants et j'en passe, Monia elle allait très bien elle avait même eut le temps de tomber amoureuse et d'avoir trois amis, pas moi, le vide sidéral s’installa confortablement pour moi....


    Et voila le petit matin qui fit explosait Monia.y.l. à suivre. 1575 mots, juillet 2019.
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    Cinq années déjà, cinq années ou le temps  m'a sembler s'éfiloché tel un vieux pull en laine. Tu as tirer sur un bout...J'en ai fait autant et le meilleur? Il n'y en a pas eu. Quoi! Le travail? Non pas possible. Toi tu bosses dans une succursale...Moi dans l’évènementiel. Deux univers contraire mais qui d'un point de vu salaire ce regroupe.

    Les ami(es)? Possible, je dis pas que tout est de leur faute, je dis simplement qu'à être trop présent cela use au bout d'un certain temps et moi...ça m'a usée de les voir tous les samedis et dimanches...Des profiteurs à plein temps de la fin de semaine et qui...qui se tape le sale travail sans avoir le réconfort de son amour pour tous ce que je fais pour le bien être de ses ami(es)?

    Ben pas moi. J'ai même pris une sacrée claque ouais.

    Quand un dimanche après midi j'ai ouvert enfin les yeux sur le bordel qui me restait sur les bras...Quand d'un sourire je t'ai demandé ton aide et celles des deux filles restantes...Que m'as tu répondu!


     _Oh c'est pas a moi de ranger cette merde, j'ai rien demandé, je subis tes folies de fin de semaine et là, je vais avec Irène et Sonia faire un match de....Bon j'avoue, j'ai vue rouge, je t'ai regardé comme on regarde un gros cafard puant.

     _Toi, toi tu subis ...Ben merde alors elle est bonne celle_là! Tu me lâche là toute seule,tu t'en vas avec deux de tes amies qui soit dit en passant me rit à la gueule et je dois faire quoi moi?
    _Le ménage Clara, tu fais si bien le ménage alors...fais le et lorsque je rentrerais disons vers 18 heures trente eh bien j'aurai des choses à te dire...Ok! Ah et arrêtes de gueuler tu me déglingue les tympans.

    J'en reste coite. L'envie de tout bazardée se fait de plus en plus sentir. Et puis non, je suis chez moi, je paie le loyer,le téléphone,l'eau,l'électricité,la nourriture, l'assurance de ma voiture, mes impôts locaux et foncier...Alors qu'est ce qui m'empêche de lui rendre sa liberté puisque c'est ce qu'il veut...être libre avec les filles,pouvoir vivre sa vie de jeune cadre bien foutu...

    Je laisse la place à ces deux pétasses qu'elle le prennent, elles verront sur le long terme. Je tarie la source,la conne de service rend son tablier, Monsieur peut aller se rhabiller.

    Je fais un saut dans notre chambre, son placard je le vide illico presto, le tout dans son sac de voyage. Sa trousse de toilette, ses blings blings, ses eaux de toilettes et parfums...ah oui ses crèmes aussi.
    J'emballe le tout dans un carton qui traîne , anciennement bouteilles de champs...


    Je vérifie et c'est là que je m'aperçois que des vêtements ont disparue...

    Que c'est 'il donc passé qu'est ce que  je n'ai pas vue,pas compris? Ma colère ne fait qu'un tour et je comprends sa petite phrase et moi comme une gourde, j'allais le laisser faire et bien non pas cette fois. J'appel son meilleur pote Maxime Fradel.



    _Ouais c'est qui?
    Hum le petit n'est pas remis de sa soirée. J'entends gloussé ouais il est pas seul.J'entends Max qui dit façon douce "lâche mon zob merde Irène, va retrouvé  L'autre pot de colle et Xavier".
    _Je peux pas ils se font du bien eux...


    _Bon c'est qui au téléphone j'ai pas toute la journée moi!
    _C'est moi Clara.
    _Bordel, Clara qu'est ce que tu veux? Un dégage de là Irène se fait entendre, Elle braille un :"m'en fou,je vais voir xav lui il me fera tout un tas de choses et hummm Clara,il n'est plus à toi.

    Un rire idiot résonne, Irène glapit un :"Oh comme c'était bon...Clara, Clara si tu savais le bon coup de...Oh,oh ,oh arrêtes toi Max je dis la vérité, elle doit savoir, comprendre que son mari ne l'est plus depuis deux ans maintenant...Un cri, un bruit de chute, Max raccroche brutalement.


    Je fixe mon téléphone, éberlué,je raccroche puis tel un zombi, je me dirige vers ma porte d'entrée et là c'est de la haine à l'état brute que je ressent...elle fonce en moi, se blottit en moi, elle attend et moi aussi.Le texto arrive alors que mon sang bout dans mes veines.


     Je lis ce que Maxime m'écrit et je reste comme deux ronds de flan. Le texte:" je t'avais prévenu,tu savais qu'il se comportait comme un con vis à vis de toi, tu as fermés les yeux, sans vouloir te vexée plus ,c'est de ta faute ma belle...quoi que  maintenant tu es devant le fait accomplie.


    Ah oui,il arrive Irène lui a tout balancé, il n'a pas apprécier que tu soit mis devant le fait accomplie, ses mots:" J'ai pas finis avec elle, j'ai besoin de deux ans pour mettre du fric de côté, elle possède un bon bas de laine que je vais lui sucré, alors pas un mot, je vais lui faire mon petit numéro...elle va plonger comme d'habitude ." Je te dis pas ce qui a suivie t'es pas si nulle que ça hein ma belle! Je suis navré si tu as besoin,je ne serais pas loin, cris et j'arrive.


    J'avale ma salive de travers, je prends peur aussi car ce gros débile est balèze, il m'a déjà foutue une rouste et j'ai eu deux côtes fêlées, Maxime m'a braillé dessus rouge comme un coq dans sa basse-cour un matin de grand froid.C'est vrai qu'il m'a plus d'une fois prévenue et moi, j'ai jouer à l'autruche qui se met la tête dans un trou pour ne rien voir, ne rien entendre,presque comme les trois petits singes.

    J'entends le vrombissement de sa bagnole, elle prend chère là!Les pneus crissent sur les petits cailloux dans l'allée. Le moteur s'éteint, une portière claque, un bruit de pas rapide se fait entendre.



    Il clenche la porte, elle est fermée à double tour la clef dans la serrure. Il braille un:" Chéri qu'est ce que tu fous? Chérie tu dors? Aller viens m'ouvrir bordel, je vais pas passer ma soirée à te demander d'ouvrir cette purée de porte! Viens et ouvre et tu fais fissa compris?


    Je me poste devant l'entrée et derrière la vitre de la porte, je le regarde froidement._Que veux-tu et que viens-tu faire ici? Tu n'es plus le bienvenu,t'es affaires sont dans les deux sacs à tes pieds prends-les et dégages de là compris!

    _Tu crois quoi! Que je vais docilement t’écouter alors que tu fais la gueule pour un truc qui ne s'est pas passer entre Irène et moi? Aller quoi! T'as plus dix ans, je suis pas responsable de ça, cette bêtasse d'Irène se croit irrésistible mais c'est toi que j'aime ma belle,ouvres cette fichue porte qu'on se parle comme deux êtres civilisés.



    à suivre.y.l.1122 mots.octobre 2019.












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  • En ce début d'automne, après bien des soucis, nous fêtons Iriam, Naq'el , Fralt et moi-même notre fin de parcours. Vingt deux ans, ma vie commence, je suis reconnu comme étant majeur.  Naq'el mon presque jumeau à vraiment bien travailler, je suis ébahie par sa capacité intellectuelle, par son abnégation et son amour pour moi. Mon frère est tout pour moi.

    La soirée se poursuit gentiment quand tout à coup, un frisson me traverse de part en part. Je n'aime pas ce sentiment. Qui peut bien provoquer en moi ce besoin de fuir? Mon malaise s'intensifie au point ou l'envie de vomir m'étreint.

    Je pousse un soupir, blanche et vacillante,je parviens à attraper Iriam.
    _Iriam, il faut que je sorte,aide-moi s’ils te plaît!
    _Oh tu es pâle comme si tu allais tombé dans les vapes. Que t'arrive t'il?
    _Un sentiment d'angoisse, une peur irrationnelle, un besoin viscérale de fuir, aides_moi Iriam.

    _Ok, on y va, t'as prévenue ton frère?
    _Non, laisses-le il a besoin de sa soirée et la fille en jaune lui plaît, je préfère qu'il ....
    _n'importe quoi, ton frère va me tuer si on ne le prévient pas!
    _S'il te plaît Iriam,je dois sortir , je ne me sent pas bien du tout.

    Comme de fait, la bile acide remonte dangereusement le long de mon  larynx, je vais gerber.
    _Merde Malinka, tu peux attendre?
    _Mmmm, 
    On y va, viens.
    Me portant plus que moi le suivant, il m'entraîne rapidement vers la sortie du bar. A peine arriver derrière les conteneurs, ma bile remonte et je gerbe en poussant de petits couinements tellement ça me brûle le fond de la gorge.
     
     
    Iriam monte la garde, il attend.
    _C'est quoi ou qui le problème?
    _j'en sais rien Iriam, j'ai ressentie un mal être dès que ce mec est entré dans le bar, je ne le connais pas. Il m'a épinglé de suite et ne m'a plus lâché de ses yeux noir.


    te dire qu'il m'a en quelque sorte attirée serait mentir, pourtant, je ressens envers lui comme une forte, très forte attraction et c'est parce que je l'ai combattue que j'ai ressentit l'envie de vomir.

    _Écoutes moi Malinka, je vais voir qui il est, je reviens de suite,ne t'éloigne pas tu s bien compris?
    _Bien sûr Iriam, je t'obéis pour cette fois car j'ai besoin de ta force.
     
    Le regard farouche, les épaules droites, il retourne au bar. Comme je lui ai dit...je l'attend. Je me sent mal, la honte d'avoir vomie alors que je n'ai bu qu'une bière rousse légère, et le fait de contrarier cette soirée me mets aussi en pétard. 

    Iriam revient vers moi, ses joues sont rosées, okay... c'est qui?
    _Hummm, écoutes Malinka, le gars en question est une figure connue de nous, de moi en particulier, un ancien "ami" si tu vois ce que je veux dire...
    _Waouh! Pourquoi m'a t'il épinglée? A quoi joue t'il et comment a t'il fait pour me mettre dans cet état, surtout s'il est plutôt homme que femme, tu peux me le dire?
     

    _Alors la ma belle j'en sais rien, je n'y comprends rien moi-même. Quant il m'a vue, il s'est approché de moi sans souci, m'a embrassé comme si de rien n'était puis...il m'a demandé qui tu étais et là...j'ai rien compris car ton nom est sortie de ma bouche sans que je le veuille.


     
    Si tu veux mon avis chérie, il a un pouvoir et il s'en sert pour son propre intérêt, je lui ai mis un pain, ton frère est venu me prêter main forte. La soirée est terminée nous rentrons à la maison, tiens voila le van...viens.


    Le retour est silencieux, j'en veux terriblement à ce mec pour ce qu'il vient de nous faire. Je comprends toujours pas ce qu'il nous,me veut.
    La grande maison se voit de la grand route. Mon coeur se sert car dans six mois, je vais quitter le nid douillet pour volée de mes propres ailes, la vraie liberté commencera pour moi.  


    Présage.
     
    y.l.661 mots. août 2019.

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