•  

    Un seul pouvait faire fondre le coeur de l’effroyable et sanguinaire Lirg. Pour cela, il lui fallait apprendre l’art des mille et une façon de comblé son coeur de glace. Comment ce petit être des humains pourrait-il s’y prendre?

    Et ou trouverait-il la force qui unit tous les êtres douées de vie? Qui pourrait lui apprendre les arts? Qui pourrait lui donné l’envie de créées  des images si belles que le coeur si froid de Lirg fondrait? A l’intérieur de la maisonnée  le temps semblait incroyablement long. Les parents du petits garçon étaient fier de sa façon de pensée, de la force vive de son esprit… de son indépendance et surtout de l’amour qu’il portait à celle qui lui ouvrirait les portes des merveilles.


    Celle qui allait comblée ses lacunes, ouvrir son esprit à la beauté et surtout de lui permettre de créée l’image incroyablement belle qui ravirait le coeur de Lirg. Pourtant il fut un temps ou Lirg n’était pas ainsi. Pas ce monstre dont les enfants avaient si peur… Non ! Avant Lirg était doux, il aimait dormir tous près de ces enfants qu’il protégeait de la folie des mages sans vie et sans coeur. 

    Avec sa  belle compagne  Ambre et son  petit Trof, Ils  parcouraient la terre. Ensemble ils oubliaient qu’ils étaient les derniers dragons du monde des hommes; et, qu’un jour… ils seraient obligés de quitter la terre afin de perpétuer leur espèce. Mais la folie n’a pas de limite…

    Un homme oublia que la paix du coeur des enfants , que cette paix du coeur…dépendait de la valeur de ces derniers représentant de la race des dragons sur terre. Il tendit un piège et tua Ambre et s’imagina qu’il avait tué le petit Trof.

    Mais Trof fut sauvé par un courageux petit garçon de huit ans à peine. Voyant le jeune dragon blessé et sa mère sans vie; il saisit Trof par sa queue et avec force et courage, réussit à le trainé vers l’entrée d’une immense grotte que lui seul connaissait. Trof à bout de force gémissant de douleur, voulu l’attraper.

     

    Mais le petit garçon lui fit comprendre que ce n’était pas lui son ennemi…mais un seul homme de la tribu des humains. Trof fixa de ses yeux d’opales le fin visage de l’enfant Et le reconnaissant, il gémit: ma mère! L’enfant baissa la tête et des larmes amères coulèrent de ses joues. Trof comprit alors que son père Lirg allait être fou de douleur et que la haine allait remplacé l’amour qu’il avait pour les hommes.

    Il demanda à l’enfant d’aller expliqué à son père ce qui venait de se passé et de lui faire comprendre que lui, Trof, était vivant. Mais l’enfant ne  pu le faire, car la grotte se ferma. Impossible de sortir. Une lueur merveilleuse emplit la grotte. Une voix douce murmura:  » entendez moi tous les deux,

    ce qui vient de se passer va bouleversé la vie de beaucoup de personnes. Beaucoup vont souffrir, pour évité cela… je dois vous donner le temps pour Trof de guérir; et pour toi petit de grandir afin de trouver l’image qui fera fondre le coeur de glace de Lirg.

     

    Pendant cinq années, vous serez ici, l’un et l’autre vous grandirez  et quand de nouveau j’ouvrirais la grotte, tout redeviendra comme avant. Les deux derniers dragons de la terre partiront pour retrouvés ceux de leur race Et les humains pourront continuer à vivre sur la terre.

    Comme ils ne pouvaient faire autrement l’enfant et le dragon acceptèrent. Le temps passa, de jeune dragon Trof devient dragon, sa force était si grande que l’enfant ( adolescent maintenant) ne pouvait que s’émerveiller de le voir si resplendissant de santé.

    Sa peau si douce, son parfum si agréable de cuir souple, ses yeux d’opales qui changeaient selon son humeur restait pour le jeune garçon un mystère. Voila l’image qu’il devait montré à Lirg! Ainsi le jeune garçon venait de trouvé…

    *****
    il lui fallait à tout prix faire cette image aussi belle que la réalité. Et, soudain, il sut que sa mamie pourrait lui apprendre les merveilles de l’art de l’image.
    - » Ainsi, tu as compris enfant! ( de nouveau la lueur et la voix si douce était là) ».- » Oui, j’ai compris, mais comment faire comprendre à Trof que je ne veux pas l’abandonner ici, seul dans cette grotte! » –  »-
    Ô ne t’inquiète pas enfant, Trof sera à tes côtés sous forme de collier que tu porteras jour et nuit.
    Jusqu’à ce que Lirg soit en état de comprendre, qui se trouve sur l’image que tu vas crée. est ce que tu comprends cela enfant de la terre? »-

    -Oui! Je comprends et je vois que Trof aussi à compris. En un instant ,un magnifique collier apparut, il était  fait d’une multitudes de petits coquillages de presque toutes les couleurs…  est il encercla son cou. Il passa ses doigts dessus, se mirant dans la petite cuvette d’eau douce.

    Et là, il vit deux petites pierres d’opales qui ressemblaient aux yeux de Trof. Poussant un profond soupir il se retourna et chercha la voix. De nouveau il l’entendit:  »-


    Voila enfant, tu retournes à ta vie, mais ce collier t’aidera à ne pas oublier ta mission. Et, celle qui t’aidera apportera la joie dans le coeur de beaucoup de gens, ceux qui aiment les belles images.

    Là-dessus la grotte s’ouvrit et l’enfant se sentit happé. De nouveau, il était chez lui, de nouveau ses parents se tenaient à ses côtés, de nouveau sa mamie était là prête à lui montrer toutes les astuces pour parfaire une image qui serait à elle seule, le plus beau des cadeaux.


    Lirg errait comme une âme en peine et sa fureur ne pouvait s’éteindre. Un jour ou il errait sur la terre sous la forme immense d’un gros nuage de tempête, il entendit prononcer un nom par une petite voix humaine.  »-

    ******
    Trof »! Son ouïe extra forte le dirigea aussitôt vers cette voix. Il plana longtemps au-dessus de la maison, et, la nuit était comme le jour, tellement ce nuage était noir.

    Alors, il entendit de nouveau la voix de l’enfant dire:  » Non! Non, non, il n’est pas comme cela! Son corps est long, sa queue n’est pas si longue,
    sa gueule ou son museau mamie si tu préfères… est plus large et ses yeux, ô mamie, si tu pouvais voir ses yeux d’opales si changeantes selon son humeur,

    alors tu comprendrais. Il ne nous reste pas beaucoup de temps tu sais!  » -
    Oui mon petit amour, je le sais. Et c’est pour cela que je t’enseigne tous ce que je sais, le reste viendra de toi. Alors, laisse ton coeur te guider, laisse l’amour te guider « .

    Et là, l’enfant cria de joie, il venait enfin de comprendre. Il déposa son collier sur la plus belle des images de dragon qu’ils avaient fait, lui et sa mamie… et là,

    stupeur pour elle est pour lui. Trof fut là en miniature, beau, majestueux, plein de vie et libre.


    Il poussa un grondement puissant et au dehors retentit un formidable coup de tonnerre qui s’entendit jusqu’au fin fond de la terre.
    Dans un immense éclair, nimbé d’une douce lumière Lirg fut là, lui aussi en miniature; et leur joie fit fondre le coeur de glace de Lirg, qui, enfin, respira un grand coup, mais sans enflammé la terre, ni la maisonnée.

    Léo et sa mamie avaient réussit leur mission. Faire d’une image qu’elle soit la plus belle de toute et rendre vie à tout l’imaginaire de ceux qui aiment les belles images et laissent libre court à leurs imaginations.

    Les enfants restent le gage de la fééries, du beau, de l’imaginaire, Léo et sa mamie, nous font vivre de très belles histoires, à travers les images qu’ils composent.Merci à vous créateur de belles images et que vivent les contes aussi longtemps que quelqu’un sera là pour les lires.

     

    *****
      Pour Léo futur créateur et pour mon amie, mamietitine, qui me permet d’écrire grâce à ses images que je trouve chez elle.
    Ensemble, nous sommes forts, seul, nous sommes triste. Que brille la douce lumière de l’amour, dans le coeur de tous les enfants de la terre,
    et,
    que le coeur des mamies viennent éclairés leur soirée par la lecture de contes enchantés.

    dragon07.jpg
    Y-L

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  •  

    Une incroyable rencontre.

    Les deux enfants se tenaient là devant nous. Ils nous souriaient et nous faisaient de grands signes de la main. Intrigués nous leur rendîmes leurs saluts, puis nous continuâmes notre ballade. Au détour d'un chemin de terre particulièrement pentu, nous tenant chacun les côtes tant le souffle se faisait court, souriant de notre intrépidités...je me mis à penser à cette journée.Un ami du Nord était venu me voir pour passé quelques jours en Normandie. Je me renseignais après d'autres amis et voisins, afin de lui faire connaître les vieilles légendes et bâtissent du coin. Visite du château, de Haras et de site tous très beau, mais bien souvent fermés. Pierre-Alain fut sensible à ces belles demeures anciennes, au cadre, à la verdure et surtout aux parterres si bien ordonnés. Là, nous nous dirigeons vers une très vieille demeure, qui soit disant était connue pour receler un mystère. Pierre-Alain aime tous ce qui a trait avec ce qu'il appel...le signe de vie extérieur. Nous passions des soirées à rechercher toutes les légendes et les on dit, qui pouvaient le faire vibrer. Et, quand Pierre-Alain avait une idée, il fallait par tout les moyens qui soient que cette canaille parvienne à visiter ces lieux. Et- c'est ainsi que nous étions là  en ce beau dimanche d'octobre 1935 à chercher une très vieille bâtisse , qui soit disant était hantée. Pierre-Alain avait frémi d'impatience.
    Il s'était levé à six heures. du matin et préparé le café ,le pain-beurre, puis il avait fait le casse-croute et le thermos...mit le tout dans son sac de voyage léger et était venu me réveiller. Là, j'avoue que ma première réaction fut de grogné et de désapprouvé cette intrusion si matinale pour moi...
    Mais Pierre-Alain n'en tint pas compte...il ouvrit mon double-rideaux, la fenêtre puis les volets, le chant des moineaux et la fraîcheur de la matinée me fit frissonner. En grognant de plus belle, je marmonnais des paroles peux amène.Pierre-Alain éclata de rire.
    Il revint avec un plateau, le café fort sentant bon, le pain beurré et la confiture me firent salivé. Des noms d'oiseaux se formèrent dans ma tête, mais c'est d'un sourire que je l'accueillis. Alors Henri, comment vas-tu ce matin? me demanda t-il...pas réveillé et plutôt envi de me rendormir si tu veux le savoir.
    Allez...arrête de grogner, tu vas voir cette journée sera très belle et tu m'as tellement parler de la maison que j'en ai rêver, alors, c'est un peu, beaucoup de ta faute; si ce matin je tiens à lui rendre visite. Humpff! et tu ne pouvais pas attendre huit heures?
    Ah non! la dernière fois tu m'as fait le coup et on a loupé la visite à un quart d'heure près. Cette fois tu ne m'auras pas, j'ai tout prévu, le repas et prêt...je suis prêt ne manque plus que toi, alors, tu manges et tu viens on a pas de temps à perdre aujourd'hui.
    Euh! j'ai le droit à la douche,oui!
    Oui, mais vite faite, on part à 8 heures trente, il est presque 8 heures mon ami, active. Et sur ces paroles, il me laissa mangé.
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  •  

    Hello! Lutin3... l'aide au Père que Noël fait...et ses drôles de gâteaux.

    Hello!
    Vous me reconnaissez!
    Oui?
    -C'est ça, je suis lutin3, l'aide du Père que Noël fait.

    Quoi?

    Si je suis grand!
    Oh oui je suis grand, très grand,

    il le faut pour aider le vieux Monsieur.
    Comment je suis grand?
    Eh bien, comment te dire...
    Euh, euh-grand quoi...
    Moufff,moufff, mon petit frère se moque de moi,
    Attends Lutin4, attends.
    Je suis grand comme trois  manches de cuillères,
    alors tu vois que je suis grand.
    Oh! tu m'embêtes toi! Tu sais...
    -oui, oui, oui je vais le dire...
    nos cuillères ne sont pas si grandes que ça.
    -bon...je ne suis pas ici pour parler de ma taille,
    car il faut quand même être grand pour apporter de l'aide au Père que Noël fait.
    -Si Lutin4, si...
    Je vais te raconté l'histoire des drôles de gâteaux du vieil Homme.
    Il y a très longtemps, le vieil homme vivait
    dans un endroit ou tout les arbres étaient morts les uns après les autres.
    Il devint si triste qu'un soir...
    alors qu'il était assis sur sa chaise faite de vieilles branches d'arbres,

    il crût entendre dans le murmure du dernier chêne vivant,
    une petite chanson qui lui ordonnait de faire des gâteaux en forme d'étoile.
    Etonner, il écouta mieux et le murmure devint une mélodie.
    Puis, elle devint triste,
    si triste que le coeur du vieil  Homme se fendit en deux.
    Alors il entendit le Chêne qui d'une voix très douce,

    mais triste, lui dire:" Vieil Homme,
    je t'ai chanté toutes les chansons que je connaissais...
    mais tu n'as pas bougé,
    tu n'as pas planté ce que je t'ai demandé de planter,

    ni fait les gâteaux que je t'ai demandé.
    Ma dernière plainte , tu semble l'avoir entendu, puisque ton coeur s'est fendu en deux.
    Quand tu auras planté, quand tu auras réalisé mes gâteaux, alors... ton coeur sera de nouveau un. Je reste-là, près de toi et je te regarderai faire.
    Quand enfin, je sentirais de nouveau l'air frémir aux chants des oiseaux, je te ferais un cadeau qui fera de toi l'Homme le plus heureux de la Terre d'en-bas.
    Le vieil Homme hocha la tête et dès le lendemain se mit à faire des gâteaux. Mais, ceux-ci n'avaient jamais la forme qu'il voulait. Alors il les jetait au fur et à mesure à l'endroit ou avant il y avait une très grande forêt.
    Les années passèrent... de jour il faisait ses gâteaux qu'il jetait ensuite jamais satisfait de lui et, de nuit il réalisait les rêves des petits...( mais là, il ne le savait pas, il ne comprenait pas ce qu'il faisait la nuit). Il ne dormait presque pas, mais il n'était jamais fatigué.
    Pourtant il en faisait des pas et des pas. Car l'ancienne forêt était loin de chez lui.
    Le vieux chêne lui chantait toujours la même chanson.

    Pique, pique, pique, jette,jette,jette.
    Fais,fais,fais, ô joie, ô joie, ô joie,
    Pique,pique,pique,cuit,cuit,cuit,
    Plante,plante,plante, merveille,merveille,merveille.
    Ne regarde pas,
    n'écoute pas,repart chez toi.Le vieil Homme fredonnait doucement cette chanson et au fils des années, il la connaissait par coeur.Puis, un soir, il s'endormit, et il rêva longtemps, longtemps.
    Quand enfin, il s'éveilla. Il entendit un joli bruit. Il faisait beau ce jour-là. Le soleil dardait ses rayons de miel sur sa petite maison et le joli bruit était toujours là. Alors, le vieil Homme sortit de chez lui et suivit le bruit.
    Il marchait comme quand il allait jette ses gâteaux. Il regardait autour de lui et soudain, son coeur se gonfla dans sa poitrine.
    Il était heureux.
    Au détour du chemin, il lui sembla voir beaucoup de vert et de gris. Alors, il se dépêcha, il marcha plus vite, plus vite...puis il s'arrêta stupéfait. Là , ou avant il n'y avait plus rien... se trouvait une magnifique forêt et chose plus stupéfiante encore, de petits arbres vert mais sans feuilles.; ils sentaient bon...alors il sentit en lui son coeur battra à grand coups. Son coeur était de nouveau un.
    Le vieux chêne l'appel et le vieil Homme rapidement vint à ses pieds.
    - " alors mon vieil ami! que dis-tu de ton oeuvre?"
    -Mon oeuvre vieil arbre?
    -" Oui, tes gâteaux, si mauvais que tu venais jetés ici...pique,pique,pique,jette,jette,jette,fais,fais,fais,merveille,merveille,merveille.
    T n'avais pas compris?
    Chaque graine que tu faisais doucement cuire, mais, qui ne cuisait pas... chaque gâteaux avait en son coeur la vie d'un arbre. En les jetant encore chaud dans un sol humide de rosée, tu as fais une merveille.

    - Oh! je comprends tout mais , dis-moi, vieil ami, à quoi peuvent bien servir ces petits arbres rabougris et sans feuilles?
    - C'est ma surprise pour les hommes, ces petits arbres sont des Sapins. Ils ne possèdent pas de feuilles, mais des aiguilles, pour se souvenir que ceux-ci sont d'une famille différente et qu'au plus froid de l'hiver, quand tout les autres dorment du sommeil réparateur...il reste au coeur de la forêt le cadeau de vie pour les petits hommes.
    Et comme tu le vois...de petits arbres ont poussés, là ou hier encore la terre était seule, aujourd'hui, un grand nombre de futur chêne, hêtre,bouleau,fresne et de nombreux arbrisseaux,poussent,poussent et la forêt redevient ce qu'elle était il y a de cela bien longtemps.
    De petits animaux sont revenus, signe certain de l'amour à venir. Mon coeur de vieux chêne cogne à nouveau et j'ai entendu...oui,oui, j'ai entendu le chant de celui qui vit en forêt le plus clair de son temps. Le rouge gorge ah! Vieil Homme ton travail ici est terminer, reste le plus beau... celui de faire sourire les  enfants au coeur de l'hiver.
    Tu vas reprendre ta vie en main et poursuivre ton beau travail. Des aides viendront à toi, lutins,fées et les animaux. Tu ne seras plus jamais seul. Tu deviendras le Père que Noël fait et aux fils des années ton nom changera. Tu seras alors pour les touts petits enfants...
    Le Père Noël.
    Et ils t'attendront avec beaucoup d'impatience.
    Va, je te libère.
    Et c'est ainsi que le vieil Homme reprit sa vie en main Et n'est ce pas les enfants que chaque hiver vous l'attendez ce Père que Noël fait?
    Moi Lutin3 je le sais bien, puisque que j'aide maintenant ce bon vieux Bonhomme.
    Soyez sage et faites de beaux rêves, ce sont vos rêves qui nous font vivre.
    OhOhOh!
    créa de creacyra-centerblog.net
    (merci).

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  • TéhéHavé était enceinte et cela personne ne pouvait en douter. La plus jeune fille du chef Natazaré avait le ventre si rond que, si elle se penchait en avant, celui-ci l'emporterait.
    Les enfants riaient de voir ce ventre si gros, dans le corps d'une si petite personne. TéhéHavé était vraiment petite pour son âge, à peine 1mètre 30 pour 16 printemps 1/2.
    Il est vrai que sa mère à son âge ne mesurait qu'un mètre 10, mais elle n'avait jamais été aussi grosse.TéhéHavé est née après de longs mois de souffrances...
    dans la vallée il n'y avait que malheur. Beaucoup d'enfants avaient attrapés une vilaine maladie et ils n étaient morts; puis un vent glacial était apparu.
    La pluie avait noyée presque tout les champs. Le bétails était maigre,plus de lait, plus d'herbe. Les fruits avaient pourris, il fallait pataugé dans l'eau jusqu'aux cuisses pour aller chasser au-delà de nos propre terre, sans se faire voir des autres clans plus nombreux, plus fort.
    Voyant le désastre notre Père ( sorcier) nous réunis et nous ordonna de préparer le grand départ.
    Pour lui, il était temps de quitter ces terres qui ne nous aimaient pas, qui ne voulaient plus de nous, qui ne voulaient plus nous nourrir. Pour lui, le temps pressait, notre vie même en dépendait.Les lamentations se firent entendre.
    Alors: Père, claqua son morceau de bois fétiche sur le rocher...celui-ci se cassa en trois morceaux. Père en donna un à chaque chef de clan.Natazaré regarda Père avec un soupçon d'angoisse dans ses yeux clairs, puis il osa posé la question qui lui mangeait la bouche...
    "-Père, ou veux-tu que nous allions et pourquoi nous séparés?
    -Deux questions Natazaré!
    Depuis que tu es chef de clan tu n'as jamais demandé quoi que se soit; alors... je vais te répondre: et que les autres écoute, car je ne répèterai pas mes paroles.Je vais vous parler par les mots que vous vous racontez, le soir au coin du feu.
    Alors, venez près de moi vous les chefs de clan et vous les femmes de chefs, je vais aussi vous donnez à chacun un homme rêveur, quand je dis: homme, cela peut-être aussi un enfant, ou une femme.
    Quand cela arrivera, vous pourrez le ou la reconnaître...car, il ou elle parlera de ses ou de son rêve et  ce rêve  ou ses rêves seront toujours pour aider le clan.
    Alors, quand cela arrivera, ne fermer pas votre coeur, ne soyez pas jaloux de celui ou de celle qui rêvera pour vous; car, ce sera dur pour lui ou pour elle. Mais si vous ne l'écoutez pas, vous ne pourrez rien contre lui ou contre elle, il ou elle sera sous ma protection.
    Un autre signe: un dragon, ou un loup, un énorme animal sera ou deviendra son compagnon.
    Chaque clans sera amis, même, si vous choisissez des endroits éloignés les uns des autres. Ce ne sera que mieux d'ailleurs qu'un clan parte vers le Nord-Ouest.
    Qu'un autre parte à l'Est, faites sur vos terres fructifier ce qui se mangent, sans oublier le nécessaire pour ceux qui ne vivent pas avec vous, mais parmi vous.
    Je vois que vous cherchez ce qui vit parmi vous! les oiseaux, les ours, les loups, les renards, les insectes, oui,oui, les insectes aussi. Protégez vous des prédateurs, ne cherchez pas à devenir trop grand, je ne pourrais pas vous protéger.
    - Père demanda Yatézak l'autre chef de clan- "tu ne viens pas avec nous?Comment pourrons nous faire, si tu n'es pas là pour nous indiquer le chemin ?
    - Ah! Mon fils... je ne peux être avec vous. Quel clan dois-je suivre? Vers qui me tourné sans faire de mal à l'autre? Tu peux répondre à cette question , toi!"
    Yatézak devint tous rouge et chercha à caché son visage, mais Père lui dit:
    -" Ne te cache pas, il n'y a pas de honte à cela. Approche toi mon fils. Yatézak s'approcha lentement, le nez dans son menton, toujours rouge; mais là, c'était plutôt de colère et Père le sentit, il eut un petit geste de recul et tous le clan le vit. Yatézak rugit et d'un mouvement brusque, bouscula Père, fonçant comme un ours en colère...
    Il se rua sur TéhéHavé.
    Voyant cela le bâton de Père se solidifia et Père le lança dans les jambes de Yatézak. Le bâton  fit tomber lourdement Yatézak qui resta par terre.Les femmes éloignèrent TéhéHavé et Père s'approcha de Yatézak...
    -"Pourquoi fils cette réaction? Es-tu le père de l'enfant de TéhéHavé? As-tu souillé la couche de cette enfant, toi, un homme marié! Dans un grand cri de haine Yatézak répondit:" Non! et ce non résonna dans la tête de tous ceux qui étaient présent. Non, je n'ai pas touché à cet enfant, personne du clan n'a touché à cet enfant Père, elle est revenue il y a peu de la cueillette .

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  • Naïaly s'éveilla, son gros nuage venait de virer au gris bleuté signe flagrant d'un danger imminent ou presque.


    Venant de vivre par rêve interposé une magnifique histoire, ou l'amour( presque toujours) y avait une grande place, elle s'étira et jeta un sombre regard vers son nuage, qui tout penaud se déversa en onde mauve.

    Puis elle regarda en direction de son fidèle ami; celui qui d'une plume soufflée pouvait faire naître les plus beaux des rêves.
    Elle haussa ses épaules et se mit à rire doucement.


    Son nuage frétilla. Naïaly vivait en cet endroit depuis presque  soixante ans et chaque nuage, chaque Ange  connaissait son histoire.
    La blondeur de ses cheveux contrastaient avec ses prunelles d'un ocre incroyable.
    De son vivant, elle avait su charmé plus d'un homme et mis à ses pieds celui qui durant quarante cinq ans fut son époux.

    C'est la fin tragique de Naïaly qui mit un terme à cette romanesque histoire d'amour. Longtemps Naïaly avait guetté son époux et lorsque celui-ci ferma les yeux elle espéra très fort.
    Mais Lyandro ne vint jamais la rejoindre.


    Oh! elle le savait pourtant, quand l'homme faisait de sa vie un cloaque, son espérance en était amoindris.
    Lyandro n'était pas un homme mauvais, mais son commerce d'arme n'en faisait pas un homme bon.
    Il fallait avoir une âme sombre pour vendre des armes de guerres à des peuples qui bien que soumis à d'autres se massacraient les uns et les autres en rejetant la faute sur le plus puissant ou le plus faible.

      Vaste problème et Lyandro avec son commerce avait permis ces massacres.
    Oui, c'est vrai, si ce n'était lui, c'en serai un autre.

    Fable pour mieux gagner de l'argent, poudre d'escampette,pirouette, tous cela ne servirait à rien devant la Grande Porte de la vie.
    Naïaly était déçu, c'est peu de le dire.

    Ses amis lui avait  confier ( pour lui faire oublier Lyandro) plusieurs missions.
    Pas folle, elle avait bien comprit, mais accepta ces missions avec joie. Elle parcourue ainsi divers régions, puis elle rejoignit grâce à son nuage, la Porte Blanche.

    Après plusieurs années d'errance, elle revint vers son point d'attache. Sa plus difficile mission fut de ramener vers le Fondateur un être d'une grande importance.


    Elle ne pouvait en parler et bien qu'elle soit une grande bavarde, elle sut tenir sa langue et aucuns de ses amis ne chercha à connaître le fin mot de l'histoire.
    Mais, ils se dirent que puisque Naïaly était de retour c'est que tout c'était passé au mieux pour celui qui serait un jour un pion d'importance dans le grand jeu du fondateur.


    Son nuage continuait pour l'heure d'être gris et soudain Naïaly ressentit une violente douleur dans la poitrine ( oui les anges ont une poitrine, du moins dans mon histoire).

    Se sentant affaiblit et reconnaissant le signe, Naïaly pleura doucement. La douleur devint atroce.
    Se courbant sous l'intensité de celle-ci et ne pouvant rien y faire, Naïly se tourna vers les Tour des Mondes; là, elle vrilla ses prunelles sur la plus haute des Tours et ses lèvres bougèrent lentement .
     

    Une mélopée que les Anges connaissaient bien sembla flottée dans l'air. Tous oui, tous se levèrent et fixèrent qui de leur prunelles bleues,noirs,marrons ou vertes la vision de Naïaly.


    Un frisson de frayeur plongea dans le coeur tendre de Naïaly.
    L'être des sombres présages, celui ou celle qui un jour viendrais par la Porte des Mondes, cet être là venait de recevoir un pouvoir immense; plus grand que celui des Anges.

    Naïaly  versa des larmes amers car le pouvoir de cet être-la, venait de la plus haute des Tours.

    Ils frissonnèrent tous et tous murmurèrent, mais une voix tonna
    " Silence"

    et tous se replièrent dans leur nuage, tous,non, Naïaly resta debout.
    Alors, comme un doux murmure, la voix vint caresser  l'esprit de l'enfant que redevint Naïaly.

    "-Petite, mon doux ange, fais moi confiance, je sais,tu crains pour ceux que tu aime, mais je suis là, laisse ce problème suivre son cour.
    Tu savais Petite, qu'un jour elle viendrait.


    Oui, j'ai sauvé son âme, mais toi, Naïaly, toi, tu sauveras sa vie.
    Pas aujourd'hui mon Ange, pas demain non plus... garde pour moi ton coeur, ton âme j'en prends soin."


    Les anges alors entonnèrent le chant de victoire et la Petite se redressa fière d'être ce jour celle qui  un autre jour un autre temps ferait  pesé la balance.


    De quel côté?
    Pour ce jour, pour cette heure,
    Naïaly ne le savait pas.
    Son coeur d'Ange palpita tel un oiseau
    dans une grande cage, puis soudain,
    un éclair de lumière
    rendit au nuage sa belle couleur blanche.
    La bataille commencera demain.L'Ange Blanc.

    y-l
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  • L'Ange Noir...
    D'une grande beauté, se mirant à longueur de jour et de temps. Fascinante créature venue d'un espace plus grand que l'imaginaire ne peut imaginer.

    Elle se refuse à la soumission.
    Trop forte, voulant gravir l'échelle du temps, son mentor l'a mise en garde plus d'une fois, et toujours elle l'a regarder avec cet air si beau qu'il ne peut  lui en vouloir.

    Et de nouveau son coeur épris de cet Ange Noir , il ne peut s'empêcher de recommencer.
    "Stransia si tu persiste...


    L'ange noir.notre Maître aura vent de ton incapacité à obéir, il fera venir sa garde et ils t'emmèneront.


    Ne gâche pas tant d'années de vies fertiles.

    Tu as tellement  transformée ce monde, que sans toi, il ne sera plus pareil.

    N'oublie pas, que tu porte en toi la possibilité
    , je dis bien... la possibilité de détruire le monde d'en-bas.


    Obéis Stransia."

     Incapable de rester en place Stransia s'éleva et sa noire silhouette
    se découpa dans le rouge vibrant de la montagne de feu.
    Elle fulminait,

    sa rage semblait faire autour d'elle des minis volutes de flammes.
    Elle qui ne pensait qu'à devenir plus forte, plus grande,
    à garder sa rage au fond de son coeur noir,elle ne pu dominer sa colère, un peu de sa puissance s'échappa, faisant haussé les noirs sourcils de Filieil  en cet instant elle s'embrassa.
     


    -Obéir!
    Tu n'as que ce mot à la bouche.
    J'ai ouvert la porte des mondes, j'ai facilité le retour de ceux qui s'étaient égarés.

    J'ai chevauché  avec le vent de tempête le fleuve de vie des hommes. J'ai fait trébucher plus d'un vivant.


    Et là encore, tu me demande d'obéir?
    Quand pourrais-je emprunter le couloir des morts?
    Quand pourrais-je recueillir le sang de celle qui m'ouvrira la porte du néant?

    J'attends avec patience depuis bien longtemps Filieil, depuis si longtemps que mes pensées s'entrechoquent les unes les autres dans un bruit de tonnerre.


    Encore attendre  Filieil?
    Quoi!

    Sa colère la rendait si belle, si étrange , que fasciné son mentor  fit preuve d'indulgence  pour qu'elle se calme , il adoucit ses mots d'un soupçons d'ironie .



    -" Tu en demande encore de trop Stransia.
    Le couloir des morts! C'est cela que tu désire obstinément?
    Ma Stransia...
    Ton obstination frise le ridicule.
    Sauf les êtres sortis de l'antre du maître ont le droit de passer par là.
    Toi tu viens d'un monde de couleurs.



    Eux, viennent du Monde des Terreurs sans nom."
    Il se dit en lui même en dardant ses prunelles froides sur son aimée que bientôt il lui ferait voir qui était le maître dans cette grotte. Pourtant,au fond de lui un doute cruel trouva sa place dans le peu de coeur qu'il lui restait.



    Cette puissance qu'il avait sentit un instant plus tôt lui chatouilla les sens. La regardant de nouveau, dardant sur elle ses yeux de glace, il attendit, mais rien ne se passa, d'ou lui était venu cette force.


    Qui donc était sa protégé? Il devrait la tenir à l'oeil.
     Fragile malgré sa puissance Stransia se calma, son être tout entier palpitait de frustration, de hâte, elle voulait  que les choses bougent.
    Elle savait aussi que son éclat avait éveillé les ombres ...


    Ces êtres  noirs venus du néant et cherchant toujours plus d'âmes à emporter dans leur antre.
    Mais elle comprit aussi que Filieil avait perçu quelque chose, son regard avait un cours instant changer.
    Elle se devait de faire attention, elle s'obligea au calme, à ne montrer que sa douceur d'Ange Noir.


    C'est dans un grand soupir qu'elle demanda.

    -Quand alors serais-je admise dans le passage des morts?
    Dis moi maître si tu le sais.
    Dis-moi maître .


    ( là, elle su qu'elle avait marqué un point, la vanité de Filieil était touché, son regard devint plus doux, l'orgueil pointa son nez, il se dressa de toute sa haute taille et la toisa, lui montrant ainsi qu'il avait bien saisit le sens de ses mots, qu'elle le reconnaissait enfin comme maître lui  plaisait).
     

    Il y a combien d'années d'hommes que je hère  ici?
    Combien d'autres année me faudra t-il passer ici dans ce trou immonde? Là elle y était aller fort, mais les mots étaient sortis si vite.
    Filieil devint écarlate, ( ce qui ne le changeait pas trop)
    - "Immonde!

    Tu dis, Immonde!



    Mon enfant, regarde autour de toi et dis moi ce que tu vois."

    Stransia savait très bien de quoi ce monde était fait, elle y avait mis une part d'elle même, ce projet fou avait pu être concrétiser grâce à l'amour que semblait lui porter  Filieil.


    Un amour qu'elle ne pouvait apprécier.
    Un amour venu du fond de sa noire nature.
    Avec grâce, elle lui avait démontrer que son antre n'était pas digne de celui qui se disait le second du Maître.

    Elle lui affirma qu'une montagne de feu pouvait être détourner, si on le voulait.
    Que chaque âmes qui vivaient ici avaient le droit à un peu de lumière. Lumière...

    le mot proscrit s'il en est.
    De nouveau c'est grâce à sa beauté que Stransia parvint à améliorer l'endroit lugubre de Filieil. Sa grotte immense devenait au fil du temps, presque aussi belle qu'un petit oasis.

    Des arbustes chétifs s'accrochèrent à la vie,
    des Grysiels vinrent éclairés de leur immense plumage de feu les ombres sales de la grotte.Un filet de lave trouva sa place  au milieu de la grotte et quelques fumerolles mirent un soupsçon de blancheur tout autour. Bref, cela devenait vivable, si l'on peut dire.


    Quand Stransia était apparue  le Maître venait de punir Filieil. Il l'avait regardé avec haine.

    Elle avait soigné ses blessures les plus profonde, écoeuré de voir qu'ici aussi on pouvait souffrir. C'est à partir de ce moment que Filieil ouvrit ce qui lui restait de coeur, et le peu s'enflamma pour Stransia.
    Lui laissait-il tout les pouvoirs?


    Non, le Maître ne l'aurait pas accepter et Stransia aurait disparue instantanément. Mais, il lui offrait un reste de liberté, juste assez pour qu'elle devienne ce qu'il voulait qu'elle soit. Un Ange Noir, aussi noir que lui, voir plus encore.

    De savoir que l'être  au - dessus de son propre Maître avait joué avec l'âme de Stransia cela lui apportait  une satisfaction extrême. Et stransia qui  croyait que...


    Il la laisserait croire encore un peu, puis il lui dirait cette vérité, celle qu'il croyait détenir.

    Oh! Certes, elle n'était pas blanche au point de croire que sa noirceur l'emmènerait   vers le palier des deux mondes. Non, elle avait su dès le départ de sa petite vie qu'elle serait condamnée au pouvoir du mal. Rien, non, rien n'avait pu détourner sa destinée.
     

    Alors, lorsque à  la fin de sa vie, elle avait inconsciemment demander pardon.

    Lui!
    Lui!
    Il avait fait en sorte que Stransia passe par le portail de la seconde vie.Et lorsque cela se produisit, une chaleur intense, insoutenable embrassa tous son corps.


     A son éveil sa peur était grande, mais son tourment ne dura pas longtemps.
    Elle sentit la puissance dans son corps comme une flamme vive, mais, elle sut la tenir cacher bien au fond d'elle même. Filieil avait besoin d'aide et l'étrange créature sembla croire en son pouvoir.


    La porte se referma, Stransia était arrivé.L'ange noir.

    Y-L
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    3 commentaires
  • Mama, Mama,Mama,Mama...
    La demande plaintive avait repris sa litanie. Forte au début, plus faible au fur et à mesure que l'enfant, prenait conscience d'être seul.Mama, Mama,mama,mama.
    Pas de grand cri, pas de bruit, non, juste ce mot qui en dit long. Mama, Mama, mama,mama. Un grand soupir sort de la bouche de mama. Elle est fatiguée, sa journée a été si longue, il faut aller si loin maintenant pour trouver à manger. elle songe à changer d'endroit, à s'aproché du Lac Sacré. Elle le sait bien...elle n'en a pas le droit. Ce droit lui a été retirer lorsqu'elle fit ce dont aucun être magique ne doit faire dans un lieu sacré. Son histoire? Oh! Elle est si triste et si longue aussi. Cela remonte au temps des hommes sages. Au temps ou les fées, Lutins, Elfes, magiciens et magiciennes vivaient en harmonies, ne cherchant jamais à prendre la Terre des autres, la nourriture des autres,l'or et l'argent des autres. Au contraire, s'il y avait la maladie, les êtres magique venaient pour aidé les hommes et leurs petits.Ils manquaient de nourriture...là encore, ils étaient présents .Les Hommes sont gourmands et peu soigneux. Ils font comme les jeunes qui ne savent pas , vient une tempête, une vague de froid et ils sont démunis. Les êtres magique eux aiment au contraire prévoir. A chaque saison sa récolte, ayant pour devise :" Aujourd'hui plus de grain ventre plein, mais demain  moins de grains ventre vide." A cet époque là, la vie était simple et paisible, puis au fil des années...les hommes ont voulus plus. Ils ont bâtti des abris de bois et cultivés au pied de leur abri,  l'eau, ils voulaient que l'eau coule à côté de leur culture...puis ils ont commencer  à dire que si les êtres magique avaient tant à manger- c'est parce qu'ils avaient plus de Terre que les hommes, plus de rivières, plus de forêts, plus d'espace que les hommes. Que cela n'était pas bien. Parce que les hommes eux étaient plus grands, plus nombreux aussi. Alors, les hommes chassèrent les êtres magique. Mama se souvenait de tous cela. Au même moment, elle était tombé amoureuse d'un beau jeune homme, mais, ils n'étaient pas fait pour vivre ensemble. Lui homme, elle ogresse, deux nature très différente. Pourtant, en secret, ils se marièrent- avec prudence ils parvenaient à se voir et à s'aimer. Deux années passèrent ainsi et ils étaient très heureux. Jusqu'au jour ou l'homme le plus fort vint trouver le jeune couple et en ces mots brisa leur amour:" Homme tu as trahi les tiens,
    Ogresse tu as fait de même.
    Homme tu es pardonné, tu as été envoûté.
    Ogresse, pour te faire pardonner, tu vas nous aider.
    Vide tous les greniers de vivre que tu pourras, tu sais
    ou ils sont cachés et à la nuit tombée, tu viendras
    nous retrouver.
    - Homme dit l'ogresse,
    ou veux tu que je porte cette nourriture?
    -là ou le chêne ploit sous sa ramure répondit l'homme.
    Ogresse regarda son époux et une si grande tristesse se lisait dans ses yeux que son époux se détourna d'elle. alors, elle comprit. Homme son époux ne voulait plus d'elle. Il ne l'aimait plus. Mais, par amour pour lui elle ferait ce que l'homme fort demandait.Homme fort et homme son époux s'en allèrent dans leur abri...heureux du tour qu'ils venaient de faire à Ogresse. Celle-ci s'en retourna dans la vallée des êtres magique, puis elle attendit. Tous devaient aller au Lac Sacré, car à cette époque ils ne vivaient pas encore à l'abri de ses montagnes. Comme à chaque fois, Elfe père demanda à Ogresse si elle voulait faire le chemin avec lui; mais ogresse hocha sa tête en disant non. Elfe père fut inquiet de voir tant de tristesse dans le regard d'ogresse, mais il prit la route se retournant deux fois. Fée des fleurs voleta au-dessus de la tête d'ogresse... et lui dit:" Ogresse, Ogresse jolie, viens-tu avec moi cette année, marcheras-tu de ton grand pas à mes côtés?" Ogresse rougit et fit non de la tête, une grosse larme glissa le long de sa joue  et tomba au pied d'un jeune arbuste sans fleur. Lorsque la goutte s'écrasa sur lui, une multitude de fleurs virent le jour et fée poussa un grand cri de joie. Mais ogresse lui fit un signe et fée s'en alla avec ces cousines, elle se retourna trois fois, mais ogresse ne bougea pas. Lutin malin vint la regarder et ses deux petits bras le long du corps, il lui dit:" Ni l'Elfe père, ni la Fée des fleurs n'a cette année le droit de marcher à tes côtés. Que dirais-tu de la famille des Lutins malin, nous sommes fort et nombreux et à tes côtés nous serions heureux, viens, tu aimes les arbre!" Ogresse se laissa tomber sur le sol de pierre, une pluie fine de terre s'éleva dans les airs et avec le soleil du matin, Lutin pensa voir tomber une pluie d'étincelles. Le coeur gros, il quitta ogresse et il se retourna quatre fois. Le plus sage des sorcier s'approcha à petits pas d'ogresse et marmottant doucement dans sa longue barbe, il finit par lui dire:" Je te regarde Ogresse jolie, tu es triste depuis quelques temps. On ne voit plus ton époux, s'en est-il aller?" il tourne autour d'Ogresse et celle-ci commence à être ennuyer de voir que tous se montrent  gentils envers elle. elle a de plus en plus de mal à cacher sa honte.:" Ogresse, tu es notre amie et tu le sais, si quelqu'un t'a fait du mal, tu nous le dirais n'est-ce pas?"- Oui vieux sage, je suis un peu fatiguée aujourd'hui et je n'ai pas beaucoup de courage.Va mon ami, va le long du chemin qui vous emmènent chaque année vers le Lac Sacré et bientôt, je serai à vos côtés.-"Tu ne veux pas venir avec moi Ogresse...mes pas se feront aux tiens!" Ogresse se mit à rire d'un rire sans joie . Le vieux magicien fut très étonné, car de ce rire naquit une grande nappe de brume qui entoura lentement la vallée.- Va vite mon ami, suis le chemin, va...Le vieux magicien s'en alla, mais, il ne se retourna pas cinq fois, car, il savait que la brume lui cacherait son amie . Quand enfin tout le monde fut parti; ogresse se releva et un cri puissant dortit de sa bouche.AAARRRHHHGGGGGG. elle tapa de son pied et le sol trembla. Tout les oiseaux s'enfuirent en piaillant d'effroi. Ogresse se voulait seule pour ce qu'elle s'appretait à faire, elle n'avait pas besoin de compagnons. Quand elle fut sûre d'être seule,  elle s'en alla vers les greniers et elle les vida un par un. Puis elle emmena le tout vers le chêne aux feuilles dorées. L'homme fort et celui qui était son époux se tenaient là, ils attendaient. Dès qu'Ogresse eut déposer son fardeau, elle  comprit, les autres hommes sortirent de leur cachette et s'emparèrent de toute la nourriture et en riant, ils s'enfuyaient. Ogresse pendant ce temps regardait de ses beaux yeux de ciel, celui qui lui avait dit je t'Aime. Mais son époux sembla ne pas la voir. Elle tendit sa main vers lui, mais l'homme fort avec un long bâton, lui frappa la main. Ogresse eut mal et un petit cri s'échappa de sa bouche. Mais, homme son époux se détourna et partit vers la région des hommes avec homme fort.Et, lui non plus, il ne se retourna pas.Ogresse était seule et elle était si triste...elle ne savait plus que faire, alors, elle entendit une petite chanson dans le vent. Elle prêta  l'oreille. -Ogresse, Ogresse jolie, tu as trahie tes amis pour un amour qui ne sera plus. ogresse, Ogresse jolie, as-tu compris cette leçon de vie? Ogresse, Ogresse jolie, homme et ogre ne seront plus jamais amis  et moins encore maris et femmes. Ogresse, Ogresse jolie, va, va vers la Montagne D'holëne, là, tu trouveras la grotte et tu en feras un abri, chasse, mange, mets de côté car ton ventre va s'arrondir. Pour cette vie, je te laisse ton petit. Garde-le de la haine du prochain. Ogresse, Ogresse jolie, moi le vieux magicien je reste ton ami, mais va maintenant, fuis, car ceux qui avant étaient tes amis reviennent de leur visite au  Lac Sacré. Ogresse, Ogresse jolie à partir de ce jour ta race sera bannie, mais fille ou garçon de ton ventre rond, sera reçu comme ami si tu lui donne pour nom...Holëne. la chanson se tû dans le vent violent et Ogresse courut vers la Montagne aux légendes anciennes. Elle s'intala  faisant de la Montagne sa maison. Et quand dans la grande tourmente de l'hiver son enfant vint au monde; la légende de la Montagne était plus forte que jamais. Les hommes racontent cette histoire à leurs enfants les soirs d'hivers si froid que même un ogre ne sort pas de sa tanière. La Montagne, fume, elle cri, elle hurle, elle craque, elle gémit, puis elle se calme. Mais certains soirs, on entend dans le vent la complainte d'un enfant. Mama, Mama, mama,mama. Ogresse alors se lève et de son pas lourd, elle va et berce dans ses bras son enfant de l'amour.Holëne  grandi lentement. Le vieux magicien veille sur lui du haut de la Montagne aux Légendes.
     
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