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Par osebo-moaka le 10 Avril 2013 à 11:43
Après avoir traversé la grande plaine et le désert du Mont Pamblathar, les derniers pamblathiens libre se retrouvèrent prisonnier.
Face à la furie du mur du vent salé, ultime protection des Lambayeurs de la citée perdue.
Hommes, femmes et bêtes, se retrouvent coincés devant un immense mur.Un mur hurlant de vent à l'odeur acre et au goût salé sur la peau. Peu de peau pourtant reste à découvert, hommes, femmes et même les bêtes sont recouverts d'épaisses fourrures,
les yeux et un peu le nez sont à découvert et cela suffit pour que tous ressentent ce goût désagréable.
Ils savent qu'ils doivent s'en protéger, mais,il faut bien voir aussi! Avec prudence,ils s'approchent pour mieux fuir devant la violence du vent.
Un millier d'essains de guêpes,voila à quoi cela fait penser, ils ont peur, comment faire? Ils ne pourront rester ici cette nuit, ils faut trouver un endroit libre protégé de ce vent de folie. Ils avaient quitté leur vallée, faute de place,et surtout à cause du néant.
Le chef du village avait dit aux jeunes capable d'entreprendre ce long voyage que c'était leur seul moyen de survie. Oh, bien sûr, il avait mis tout ce petit monde en garde. car ce genre de voyage ne s'improvise pas.
-"Choisissez un chef, un chef digne de prendre les bonnes décisions, qui comprend ses erreurs et qui ne savous jamais vaincu.
Un chef, qui saura dirigé dans le bon comme dans le mauvais, pas de préférence.
Un chef qui aura à coeur de dire oui, ou, non, un tel, ou une telle, pourra faire le grand voyage.
un chef qui saura aussi, faire preuve de sagesse,qui aidera à remplir les sacs pour le grand voyage.
Désignez-le devant le peuple, qui partira? qui dirigera? qui soignera? qui prendra soin des bêtes,nourriture comprise?
Qui sera le second?
Vous devez devant le clan faire le voeux et rendre gloire devant votre dieu... de votre choix."
Ainsi avait parlé le vieux chef. A l'heure ou enfin ils parviennent devant la faille, les doutes et les peurs sont toujours présents dans leur esprit. Mais fidèle à leur voeux, ils se tiennent aussi droit que possible.
Le clan.
Dans la vallée , le vieux chef est assis sur son rocher. Celui-ci domine une bonne partie de cette riche vallée. Le vieux chef a peur, son coeur est sombre ainsi que ses pensées.
Il a compris, depuis la pluie qui ronge la peau, que l'heure du néant approche. Oui...il sait, mais le dire à son peuple qui attend la venue d'un être hors du temps, ne sera pas facile.
Celui-ci ne viendra pas cette année, mais, pour le bien de la vallée, pour laisser à cet être hors du temps, le temps justement d'arriver. Il faudra de nouveau envoyer les jeunes vers la faille.
Tamta est fatigué, ses vieux os sont fatigués, son coeur est lourd, sa nuque plie sous le joug de cette lourde tâche.
Qui, oui qui?
Pourrait pour un court instant, juste le temps d'un long repos,prendre sa place, faire les choses à sa place.
Plus personne,non, dans le clan de vieillards il n'y a plus personne, les jeunes ne doivent pas rester. Le long voyage doit avoir lieu et très vite. AHHHH soupir t-il, ou est le temps de sa jeunesse, ce temps ou fort de ses rêves de conquêtes, il avait mis à terre l'ancien du clan.
Un doute reste dans son esprit, car, il se souvient qu'Amtar était d'une grande force. sa mère avait ri lorsqu'il était rentré le soir dans la caverne familiale.
Elle avit ri encore lorsque Tamta avait narré son combat, comment il avait d'un coup mis le chef à terre et ce devant le vieux clan.
Manté avait ri de plus belle et vexé Tamta était parti, il se souvient bien de ce soir là; ou Amtar assis sur le même roche l'attendait un sourire narquois sur ses lèvres noirs.
Debout devant l'immense roc, Tamta s'était senti tout petit, mais fier et orgueilleux comme il l'était, il n'avait pas saisie l'ampleur de sa futur tâche.
-"Oh! Amtar! Ce rocher m'appartient désormais, tu dois t'incliner , je t'ai battu devant le vieux clan, donne moi ma place."
_ Bien Amtar, bien, mais as-tu fais le voeux devant ton dieu?Je n'ai pas entendu les tambours , leurs sons est pourtant très fort... As-tu oublié jeune frère?
Rouge de colère Tamta avait grondé comme un fauve.
- Ne me manque pas de respect Amtar, tu dois descendre de ce rocher, sinon je ne pourrais faire de voeux, ni honoré mon dieu.
Je connais nos lois Amtar.
D'un regard de haine farouche, Amtar descendit lentement du rocher tout en continuant à fixer de ses yeux noirs le jeune Tamta.
Et c'est alors que le drame arriva.
Y-L
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Par osebo-moaka le 4 Avril 2013 à 10:59Madame De N..... est de passage à Paris. N'écoutant son bon coeur, elle a promis à sa petite Eliane de chercher le petit livre introuvable. Ne s'étant poser aucune question sur-le-dit livre, elle a donc fait ses petites valises direction Paris. Le vol s'était passé avec cette lenteur qu'elle détestait plus que tout. a peine parti ,elle aurai voulu être arriver.Madame de N. n'est pas abituée aux petits soucis que rencontrent les gens, comme elle dit. Il est évident pour elle que quelqu'un soit venu l'attendre. ou qu'un taxi se tient prêt à l'emmener vers sa suite habituelle... Mais,elle a beau scruté les environ, pas de taxi, pas de Max, non plus. Fébrile, elle prend son portable- oh flute! je n'ai pas pris le bon grommèle t-elle.elle a beau regarder dans l'agenda pas de numéro concernant Max. Normale murmure t-elle, pourquoi Max serait-il sur celui-ci... Ah jubile t-elle, enfin quelqu'un à appeler, quelqu'un de discret en plus. Le téléphone égrenne lentement la mélodie et soudain, brutal, un allo !rageur . Bon! c'est qui là, j'ai pas que ça à faire aujourd'hui,non d'une carcasse puante...- euh! je suis bien chez Max? -Max? Max! mais Max est mort il a plusieurs semaines... c'est qui au téléphone, raccrochez pas! - Oh mon dieu, oh mon dieu! larmoie madame de N. Comment vais-je faire? Non, non,non,non... Madène, j'appelle Madène, elle pourra m'aider elle. Regardant autour d'elle, Madame de N, se sent épié, eh oui en effet...un petit homme tout sec la fixe de ses petits yeux de rats. Que me veut cet énergumène pense Madame de M. Il me fixe comme si j'étais sa proie. Oh,non, il s'approche, répondez Madène, répondez s'il vous plaît . L'homme s'approche avec nonchalance et finit par baragouiner, oh! la p'tite dame, elle veut un taxi? Ouf! pense Madame, ce n'est qu'un rabateur, ouf! quelle peur j'ai eu j'en tremble encore. -Oui,je...je...j'appelle mon amie justement ( mensonge évidemment) le sourire du bonhomme en dit long, il a bien compris que la petite dame a eu les foix. -faites donc, je retiens Micos. -Oui, merci Monsieur. Elle n'avait pas vraiment le choix et Madène qui ne déccrochait pas, Madame joua le jeu et fit semblant de parler. _ Ah! Madène, (un petit temps de pause comme si Madame écoutait une réponse) Oui, oui le voyage s'est bien passer, qui vient ce soir me chercher? ( un temps plus long) Ah bon! pourquoi! ( le ton est sec), écoute) Oh! dans ce cas Madène, je prends un taxi , oui, un taxi, je serais là d'ici vingt minutes ( écoute,marmonements,puis doucement, madène je crains, oui, vraiment) Madame raccroche et se tourne vers le bonhomme qui la regarde avec au coin du visage un sourire torve qui en dit long, mais, le vieux comprend,il hoche sa petite tête de rat et lui fait signe de le suivre.ce n'est pas vraiment une invitation, mais, plus un ordre tactite. Somme toute , Madame arrive entière à son hôtel place de..... l'acueuil y est plus que chaleureux, et, une surprise de taille attend Madame de N. Madène se tiens tranquillement devant un verre offert par l'hôtel. Le visage des sombres jours, Madame part à la charge et se trouve soudain devant un tout petit bout de chou, sa propre fille,se tient devant elle. -"Maman hurle t-elle, pourquoi se visage ? N'es-tu pas heureuse de la surprise? J'ai fait le même voyage que toi, et c'est Madène qui est venue me chercher à l'avion, c'est cool non! " _ Oui, mon trésor dit alors Madame de N, comprenant d'un coup le pourquoi de ses tracas, Max en prime.
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