• Et Là, derrière la vieille bâtisse complètement écroulée, nous suivîmes un passage étroit et nos regards se portèrent sur une petite maisonnette que nous n’avions pas vue. La porte était ouverte, le feu semblait allumé, car de la fumée sortait de la cheminée. Nous avancions certain de découvrir quelque vieille femme; habitant là depuis des lustres. Quand nous franchîmes le seuil, une lueur vive nous éblouis, puis seul le feu de la cheminée donna de la luminosité. Assise dans un vieux fauteuil, une femme sans âge nous fixait de ses yeux verts fanées. Elle nous invita à entrer et nous fit asseoir sur un très vieux banc près de la cheminée. Elle nous fixait toujours et nous étions vraiment mal à l’aise. Enfin, elle nous parla, le son de sa voix était rugueux les mots anciens, mais on la comprenais  très bien. Elle nous conta sa vie, femme de service dans la haute demeure de riches anglais venus vivre en Normandie et ayant connu beaucoup de malheurs dans leur vie. Le père fondateur d’une grande entreprise de bière était mort de la tuberculose. Deux de ses fils trouvèrent la mort dans un grave accident de chemin de fer. Son dernier fils, perdit sa femme alors qu’elle venait d’accouchée d’une petite fille prénommée  Elisabeth. Quand à vingt ans celle-ci se maria avec un propriétaire terrien de la vieille Angleterre: Madame Legros se trouva sans situation, mais elle resta à la maison pour s’occuper du vieux lord qui vécu jusqu’à l’âge de 90 ans. Entretemps Elisabeth revint avec un petit garçon de trois ans et enceinte d’un autre, elle le mit au monde trois mois plus tard. Le vieux lord connu ses petits fils. Puis il ferma les yeux. Quand les enfants eurent six ans et huit ans et-demi un drame atroce se produisit. Les enfants disparurent et plus jamais on ne les retrouva. Madame Legros promit à Elisabeth qu’elle retrouverai ses enfants avant de s’endormir pour le long voyage. Elisabeth mourut à l’âge de quarante huit ans sans avoir revu ses fils et ce malgré la somme colossale  pour l’époque qui fut promise à tous ceux qui pourraient donnés des informations. Petit à petit on oublia la grande famille, la grande maison passa à l’oublie comme si un voile la recouvrer. De temps en temps des gens viennent voir Madame Legros, mais personne n’a de nouvelles à lui donnait. Alors elle nous posa la question, celle qu’elle posait à tous ceux qui venaient la voir.-  Messieurs! avez-vous vus les petits de ma maitresse? A notre réponse elle tomba à genoux devant nous, mais elle ne nous toucha pas. Des larmes d’émeraudes, un sourire éclatant, la fit paraître bien plus jeune que nous ne le pensions Pierre-Alain et moi. Puis d’un bond souple elle se releva et nous questionna à vive allure comme si le temps  soudain était devenu rare. - » Ou les avez-vous vu et quand les avez-vous vu? Que vous ont-ils dit, ou sont-ils? Je levais les bras pour la faire taire, chose qu’elle n’apprécia pas, son visage se durcit et Pierre-Alain se mit a trembler. Je n’en menais pas large moi non plus je vous le dis.-  » Madame, deux enfants nous ont conduit ici même, c’est en les suivant que nous vous avons trouvé. Ce sont deux jeunes garçons de l’âge que vous nous avez donner, l’un est blond et l’autre est brun, l’un porte une écharpe jaune et l’autre une écharpe bleue. A ces mots Madame Legros poussa un énorme soupir, « ce sont mes deux petits si longtemps cherchés! Ou sont-Ils maintenant? – Devant le puits madame, c’est là qu’ils sont. – Ah malheur de malheur! Je l’avais dit à Madame que ce puits devait être fermé ou bouché; mais elle ne l’a jamais voulue. Quelle tristesse, mes deux petits sont tombés dans le puits, merci à vous messieurs pour ce que vous venez d’accomplir, mon rêve et mon attente s’achève avec le retour de mes petits, nous allons pouvoir partir d’ici, et pour vous messieurs il est temps de partir.  Juste une dernière chose messieurs, allez sous le vieux chêne il y a en son pied une cachette, vous y trouverez  un coffret. Prenez-le et soyez remercier pour votre courage  soudain, elle blanchie,    elle nous montra la porte. Nous fuyames Pierre-Alain et moi aussi vite que nous le pûmes et la maison disparue, nous retournant notre stupeur fut grande Madame Legros et les deux enfants Charles et Henri Dequerre étaient réunis et leurs visages étaient baignés d’une lumière si douce que c’était plaisir à voir. Et puis, plus rien… Il ne restait plus que le gros et vieux chêne. Sans nous presser et surtout sans rien dire; nous avançâmes vers l’arbre ,et en effet, on y découvrit un coffret, très vieux et en piteux états. A l’intérieur? ce qu’il y avait à l’intérieur? Vous êtes bien curieux! Notre aventure nous nous la racontons souvent Pierre-Alain et moi. Nous avons au fil du temps compulsés plusieurs ouvrages et écrit quelque livre, mais cette aventure là!  Elle fut  sans doute la plus belle de toute nos aventures.  Mais notre rencontre avec un fantôme écossais vaut le détour. Pierre-Alain et Henri . Une autre de nos aventures? une prochaine fois… Si vous le voulez…
    Y-L

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  • Je ne  vous ai pas dit; mais ma rencontre avec Pierre-Alain remonte à plusieurs années. La toute première fois ou mon regard se posa sur lui, mon esprit se mit à bourdonner. Oui! C’est vrai. Comme s’il reconnaissait un frère, une âme soeur, un bon complément. Je vivais à l’époque avec ma grand-mère dans le bas de la France. Dans un tout petit village ou il faisait bon vivre. Pour me faire plaisir, ma grand-mère m’avait acheté un billet pour un spectacle sur Paris. Charles Aznavour a toujours été un de mes chanteurs préférés. Et, quand je reçu des mains ridées de ma grand-mère ce passe port pour aller voir le grand chanteur; j’étais aux anges comme on dit. Je fis mes bagages, j’embrassais ma grand-mère et je sortis pour prendre le car qui m’emmenerait à la gare. Grand signe de la main vers ma grand-mère fragile silhouette, petite femme seule debout le sourire aux lèvres, fière du cadeau qu’elle me faisait. Ah! si j’avais su! Mon voyage se passa très bien. Quand enfin j’arrivais à la capitale, mon premier souhait fut de voir l’endroit ou le soir même je serais assis et ou j’écouterai cet homme de talent. J’avançai d’un bon pas, bien décider à trouver l’endroit le plus vite possible; car je devais encore trouver une chambre pour la nuit. Avec beaucoup de chance je dois dire et l’aide de deux personnes fort aimable; je trouvais enfin le lieu magique. Et, mon coeur se gonfla de joie. Un jeune homme était là! Lui aussi regardait le bâtiment d’un oeil émerveillé sautillant doucement sur place, j’entendis le fredonnement de sa chanson et ne pu m’empêcher de sourire car c’était une de mes préférées. J’allais l’abordé lorsqu’il se tourna vers moi. Il me regarda et un fard monstrueux empourpra ses joues. Mal à l’aise il se détourna de moi sachant que le soir même nous serions assis dans cette salle et que nous écouterions les chansons de notre artiste. Seront alors oubliés les fards, oubliés les moments de doute, oubliés jusqu’à nos propres noms. Je fis demi-tour et reprenant mon allure, je filais vite fait à l’endroit indiquer sur ma lettre. Un couple amis de ma grand-mère m’avait invité à dormir et à manger pendant les trois jours que je passerais sur Paris. J’allais frappé à la porte quand dans mon dos, je sentis une présence. Je me retournai et stupéfait; je vois le jeune homme qui lui aussi semble se posé les mêmes questions que moi… La porte s’ouvre, une dame la bonne soixantaine nous sourie et nous fait le geste simple mais efficace qui veut dire: entrez, venez, ne restez pas dehors. Alors je m’invite et j’entre à l’intérieur de la petite maison. Petite! pas si petite que ça, un long couloir, porte manteau, tapis pour déposés les chaussures, puis enfilade et petit salon. La porte s’ouvre de nouveau et là c’est un homme sans âge, bon vivant, bedonnant , le sourire aux lèvres et un affreux accents qui me dit:  » Tiens vous avez rencontré notre Pierre-Alain! C’est très bien comme ça, on avait peur qu’il aille tous seul là-bas dans ce bastringue; avec ce nouveau bonhomme et ses chansons. à suivre?Eh là, la  petite dame de rétorquait: » Albert! chacun ses goûts, tu fumes, tu bois, tu rotes et tu pètes pour l’instant eux, ils ne le font pas; en plus tu ronfles. Laisse les vieillir et vivre à leur façon. Entrez, venez donc vous assoir, nous allons faire connaissance. Et c’est de là que débuta notre amitié. Pierre-Alain est un être joyeux, mais très timide, un rien l’effraie. Il joue du piano, de la flute traversière et du violon. Un délice à écouté le soir près d’un bon feu de bois après un très bon repas. Enfin ! Revenons en arrière. Le repas se déroula parfaitement bien, ce couple et leur petit fils firent tout pour que je sois vraiment à l’aise et c’est ce qui se passa. D’ailleurs, au moment de monté pour la nuit, je pensais sincèrement que la soirée avait été trop courte; tans ces gens avaient d’anecdotes à nous contés. Pierre-Alain et moi-même étions comme deux jeunes qui écoute sagement l’histoire du soir en espérant entendre une autre; et nos regards firent plaisir à nos  deux conteurs. La nuit se passa bien, le lit était un peu dur et comme la pièce d’eau était au fond du couloir; je faillis par deux fois me trompé de porte. M’entendant râler Pierre-Alain ouvrit sa porte et me tendit une bougie dans son bougeoir. Un peu vieillot pensais-je. A la lumière pale de la bougie le rose de ses joues me fit sourire et je le remerciais cherchant un trait d’humour qui ne vint pas. Il referma sa porte et je me sentis bête, seul là dans le couloir avec cette petite étincelle de vie.C’est  cette petite lumière tremblotante qui  me fit me presser d’aller au petit coin et retourner bien vite sous mes couvertures, je ne voulais pas qu’elle s’éteigne. Mon séjour se passa si bien et notre entente fut si forte que nous nous donnâmes rendez-vous pour une escapade en juillet. Après des aux-revoir toujours larmoyants et la promesse d’écrire pour dire que j’étais  bien rentré. à suivre.
    Y-L

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  • Quand Héléna quitta l’amie de sa mère et qu’elle prit le chemin du zoo; elle ne savait pas qu’elle allait… faire là ,une rencontre extraordinaire. Pour commencer, il faut savoir qu’héléna est fille unique et partout ou ses parents se rendaient, partout, l’enfant allait. Grâce à cela Héléna a voyagé à travers le monde, et plus particulièrement dans les endroits en développements. Ses parents Jenny et Alan Deckter sont deux jeunes humanitaires, l’un dans le social et l’autre est infirmière diplômée. Jusqu’à l’âge de huit ans, les parents pouvaient emmenés la petite avec eux. Héléna avait tellement l’habitude, une vraie sauvage comme le disait son père. Mais à la dernière expédition, il y eut un gros soucis… trop familiarisée avec le mode de vie de ceux qu’ils venaient aidés, ils n’ont pas vu le danger et quand un chef de la tribu vint leur présenté des cadeaux pour Héléna;ils se trouvèrent dans un cas de force majeur et ils prirent la fuite en prétextant que la sécurité venait les cherchés pour aider un autre village …plus loin ou la maladie frappait les enfants. Le chef voulait gardé Héléna, mais Alan parvint à faire comprendre au chef que la petite leur était utile pour approché les enfants.
    Chapitre :2
    Que le chef soit déçu, eh bien, c’est en fait un bien petit mot, et l’air farouche du prétendant n’augurait rien de bon pour la dernière nuit. Ils dormirent tous les trois dans la tente et l’arme au poing. Héléna dormit comme le font tous les enfants du monde. Quand au matin la jeep de secours vint pour les ravitaillés, Alan expliqua au médecin à bord de la jeep que le chef voulait marié sa fille à un jeune homme de leur caste; qu’il fallait  à tout prix qu’ils partent et rapidement. Alan expliqua en phrase simple qu’ils devaient partir pour aider des enfants malades dans un autre village et qu’ils devaient partir immédiatement. Sans prendre leur valise, ils montèrent dans la jeep avec leur petite valise de médicaments. Le chef leur fit des signes d’au revoir… et bientôt, il ne fut plus qu’un point dans le sable blanc.- Eh bien!, mes amies, vous l’avez échappé belle!On ne savait pas si le ravitaillement était près, sinon, on serait venu demain dans la soirée et là… la petite aurait été marier. Vous ne devez plus l’emmener avec vous. Elle sera pour vous une source d’ennui avec la mentalité des hommes d’ici. Votre fille est blonde, elle a des yeux bleu très clair, un teint de velours et le soleil lui donne une peau dorée. Vous savez Jenny, j’ai eu des soucis avec vous au début…
    Chapitre:3
    Heureusement qu’Alan est venu vous retrouver. Puis ,ils ont compris que vous vouliez vraiment les aider. Au fur et à mesure, ils ont pris conscience de votre bonté. Puis vous avez eu Héléna, un prénom très doux dans la bouche. Les garçons de chaque village  le prononçait avec avidité. Mais il n’y eut pas d’incident. L’année dernière avec Piek ça a été à deux doigts de dégénéré, car il n’avait pas compris que les jeunes connaissaient Héléna. Si blonde, si belle, si douce et si pleine d’amour. Là, vous voyez ce que l’on voulait vous dire à la dernière réunions?- Oui, dirent-ils d’un ton las, nous avons compris notre leçon. D’ailleurs on va prendre des vacances, quelques semaines, reprendre notre souffle. Inscrire Héléna dans une école et voir avec notre amie pour qu’elle la garde avec elle, au cas ou ma mère ne le souhaiterais pas…elle est très fragile des bronches; alors elle risque d’avoir peur qu’Héléna ne lui ramène de l’école une de ces petites maladies infantiles, elle aura oublié l’âge de notre fille. Héléna va avoir 11 ans dans trois mois. quelle bêtise ce dernier voyage, on aurai dû la confier cette année à sa mamie, ou à sa tante.
    Y-L
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  • Roche Percée ».
    J’étais las , à la fin, d’entendre mes parents me bassiner tous les jours:
    -Toi qui aimes tant visiter les sites anciens du pays, tu n’es pas encore allé voir celui d’ar Roc’h Toull. quel dommage!
    Et moi , je baissais la tête dehonte, car il me fallait bien l’admettre: depuis le temps que je sillonnais la région,je n’avais pas encore visité le Roc’h Toull.
    - Il me faudra, me dis-je à moi-même, aller voir cette grotte extraordinaire, la huitième merveille du monde, ne serait-ce que pour faire taire mon entourage qui continue de me harceler ainsi. Hélas! Le soleil se levait tous les jours au-dessus de la  montagne et se couchait tous les jours en mer; chaque jour également, quelque occupation m’emmenait sur un chemin qui n’était pas celui d’ar Roc’h Toull. Les quelques jours que je devais passer à la maison se termineraient dans une huitaine.Je craignais de faire mes adieux à ma paroisse sans avoir eu le bonheur de voir de mes yeux ce lieu enchanté qui suggérait aux diseuses de mon hameau tellement d’histoire merveilleuse. Pourtant, cet étrange rendez-vous ne se concrétisa point. Un dimanche d’automne, après les vêpres, je pris la direction de Landivisiau, avec la ferme envie d’explorer le site d’Ar Roc’h Toull. Jean, mon frère, qui m’accompagnait, s’il avait aperçut, la Roche de loin, n’en avait pas visité l’intérieur et il voulait l’observer au moins une fois dans sa vie. Au lieu-dit Menharz, le bien nommé, apparemment, parce qu’il marque la limite entre les paroisses de Saint-Thégonnec et de Guimiliau, nous prenons la petite route qui nous mènera jusqu’à Luzec, tout près de la Roche. La route grimpe doucement à flanc de colline. A notre droite parmi les chênes, on trouve des plants de myrtilles en quantité et c’est de là que vient le nom de Luzec ( lieu à myrtilles). Le paysage est vraiment superbe: il est dominé par des bois et délimité en contrebas par des près qu’arrose une petite rivière.

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  •  

    Un seul pouvait faire fondre le coeur de l’effroyable et sanguinaire Lirg. Pour cela, il lui fallait apprendre l’art des mille et une façon de comblé son coeur de glace. Comment ce petit être des humains pourrait-il s’y prendre?

    Et ou trouverait-il la force qui unit tous les êtres douées de vie? Qui pourrait lui apprendre les arts? Qui pourrait lui donné l’envie de créées  des images si belles que le coeur si froid de Lirg fondrait? A l’intérieur de la maisonnée  le temps semblait incroyablement long. Les parents du petits garçon étaient fier de sa façon de pensée, de la force vive de son esprit… de son indépendance et surtout de l’amour qu’il portait à celle qui lui ouvrirait les portes des merveilles.


    Celle qui allait comblée ses lacunes, ouvrir son esprit à la beauté et surtout de lui permettre de créée l’image incroyablement belle qui ravirait le coeur de Lirg. Pourtant il fut un temps ou Lirg n’était pas ainsi. Pas ce monstre dont les enfants avaient si peur… Non ! Avant Lirg était doux, il aimait dormir tous près de ces enfants qu’il protégeait de la folie des mages sans vie et sans coeur. 

    Avec sa  belle compagne  Ambre et son  petit Trof, Ils  parcouraient la terre. Ensemble ils oubliaient qu’ils étaient les derniers dragons du monde des hommes; et, qu’un jour… ils seraient obligés de quitter la terre afin de perpétuer leur espèce. Mais la folie n’a pas de limite…

    Un homme oublia que la paix du coeur des enfants , que cette paix du coeur…dépendait de la valeur de ces derniers représentant de la race des dragons sur terre. Il tendit un piège et tua Ambre et s’imagina qu’il avait tué le petit Trof.

    Mais Trof fut sauvé par un courageux petit garçon de huit ans à peine. Voyant le jeune dragon blessé et sa mère sans vie; il saisit Trof par sa queue et avec force et courage, réussit à le trainé vers l’entrée d’une immense grotte que lui seul connaissait. Trof à bout de force gémissant de douleur, voulu l’attraper.

     

    Mais le petit garçon lui fit comprendre que ce n’était pas lui son ennemi…mais un seul homme de la tribu des humains. Trof fixa de ses yeux d’opales le fin visage de l’enfant Et le reconnaissant, il gémit: ma mère! L’enfant baissa la tête et des larmes amères coulèrent de ses joues. Trof comprit alors que son père Lirg allait être fou de douleur et que la haine allait remplacé l’amour qu’il avait pour les hommes.

    Il demanda à l’enfant d’aller expliqué à son père ce qui venait de se passé et de lui faire comprendre que lui, Trof, était vivant. Mais l’enfant ne  pu le faire, car la grotte se ferma. Impossible de sortir. Une lueur merveilleuse emplit la grotte. Une voix douce murmura:  » entendez moi tous les deux,

    ce qui vient de se passer va bouleversé la vie de beaucoup de personnes. Beaucoup vont souffrir, pour évité cela… je dois vous donner le temps pour Trof de guérir; et pour toi petit de grandir afin de trouver l’image qui fera fondre le coeur de glace de Lirg.

     

    Pendant cinq années, vous serez ici, l’un et l’autre vous grandirez  et quand de nouveau j’ouvrirais la grotte, tout redeviendra comme avant. Les deux derniers dragons de la terre partiront pour retrouvés ceux de leur race Et les humains pourront continuer à vivre sur la terre.

    Comme ils ne pouvaient faire autrement l’enfant et le dragon acceptèrent. Le temps passa, de jeune dragon Trof devient dragon, sa force était si grande que l’enfant ( adolescent maintenant) ne pouvait que s’émerveiller de le voir si resplendissant de santé.

    Sa peau si douce, son parfum si agréable de cuir souple, ses yeux d’opales qui changeaient selon son humeur restait pour le jeune garçon un mystère. Voila l’image qu’il devait montré à Lirg! Ainsi le jeune garçon venait de trouvé…

    *****
    il lui fallait à tout prix faire cette image aussi belle que la réalité. Et, soudain, il sut que sa mamie pourrait lui apprendre les merveilles de l’art de l’image.
    - » Ainsi, tu as compris enfant! ( de nouveau la lueur et la voix si douce était là) ».- » Oui, j’ai compris, mais comment faire comprendre à Trof que je ne veux pas l’abandonner ici, seul dans cette grotte! » –  »-
    Ô ne t’inquiète pas enfant, Trof sera à tes côtés sous forme de collier que tu porteras jour et nuit.
    Jusqu’à ce que Lirg soit en état de comprendre, qui se trouve sur l’image que tu vas crée. est ce que tu comprends cela enfant de la terre? »-

    -Oui! Je comprends et je vois que Trof aussi à compris. En un instant ,un magnifique collier apparut, il était  fait d’une multitudes de petits coquillages de presque toutes les couleurs…  est il encercla son cou. Il passa ses doigts dessus, se mirant dans la petite cuvette d’eau douce.

    Et là, il vit deux petites pierres d’opales qui ressemblaient aux yeux de Trof. Poussant un profond soupir il se retourna et chercha la voix. De nouveau il l’entendit:  »-


    Voila enfant, tu retournes à ta vie, mais ce collier t’aidera à ne pas oublier ta mission. Et, celle qui t’aidera apportera la joie dans le coeur de beaucoup de gens, ceux qui aiment les belles images.

    Là-dessus la grotte s’ouvrit et l’enfant se sentit happé. De nouveau, il était chez lui, de nouveau ses parents se tenaient à ses côtés, de nouveau sa mamie était là prête à lui montrer toutes les astuces pour parfaire une image qui serait à elle seule, le plus beau des cadeaux.


    Lirg errait comme une âme en peine et sa fureur ne pouvait s’éteindre. Un jour ou il errait sur la terre sous la forme immense d’un gros nuage de tempête, il entendit prononcer un nom par une petite voix humaine.  »-

    ******
    Trof »! Son ouïe extra forte le dirigea aussitôt vers cette voix. Il plana longtemps au-dessus de la maison, et, la nuit était comme le jour, tellement ce nuage était noir.

    Alors, il entendit de nouveau la voix de l’enfant dire:  » Non! Non, non, il n’est pas comme cela! Son corps est long, sa queue n’est pas si longue,
    sa gueule ou son museau mamie si tu préfères… est plus large et ses yeux, ô mamie, si tu pouvais voir ses yeux d’opales si changeantes selon son humeur,

    alors tu comprendrais. Il ne nous reste pas beaucoup de temps tu sais!  » -
    Oui mon petit amour, je le sais. Et c’est pour cela que je t’enseigne tous ce que je sais, le reste viendra de toi. Alors, laisse ton coeur te guider, laisse l’amour te guider « .

    Et là, l’enfant cria de joie, il venait enfin de comprendre. Il déposa son collier sur la plus belle des images de dragon qu’ils avaient fait, lui et sa mamie… et là,

    stupeur pour elle est pour lui. Trof fut là en miniature, beau, majestueux, plein de vie et libre.


    Il poussa un grondement puissant et au dehors retentit un formidable coup de tonnerre qui s’entendit jusqu’au fin fond de la terre.
    Dans un immense éclair, nimbé d’une douce lumière Lirg fut là, lui aussi en miniature; et leur joie fit fondre le coeur de glace de Lirg, qui, enfin, respira un grand coup, mais sans enflammé la terre, ni la maisonnée.

    Léo et sa mamie avaient réussit leur mission. Faire d’une image qu’elle soit la plus belle de toute et rendre vie à tout l’imaginaire de ceux qui aiment les belles images et laissent libre court à leurs imaginations.

    Les enfants restent le gage de la fééries, du beau, de l’imaginaire, Léo et sa mamie, nous font vivre de très belles histoires, à travers les images qu’ils composent.Merci à vous créateur de belles images et que vivent les contes aussi longtemps que quelqu’un sera là pour les lires.

     

    *****
      Pour Léo futur créateur et pour mon amie, mamietitine, qui me permet d’écrire grâce à ses images que je trouve chez elle.
    Ensemble, nous sommes forts, seul, nous sommes triste. Que brille la douce lumière de l’amour, dans le coeur de tous les enfants de la terre,
    et,
    que le coeur des mamies viennent éclairés leur soirée par la lecture de contes enchantés.

    dragon07.jpg
    Y-L

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  •  

    Une incroyable rencontre.

    Les deux enfants se tenaient là devant nous. Ils nous souriaient et nous faisaient de grands signes de la main. Intrigués nous leur rendîmes leurs saluts, puis nous continuâmes notre ballade. Au détour d'un chemin de terre particulièrement pentu, nous tenant chacun les côtes tant le souffle se faisait court, souriant de notre intrépidités...je me mis à penser à cette journée.Un ami du Nord était venu me voir pour passé quelques jours en Normandie. Je me renseignais après d'autres amis et voisins, afin de lui faire connaître les vieilles légendes et bâtissent du coin. Visite du château, de Haras et de site tous très beau, mais bien souvent fermés. Pierre-Alain fut sensible à ces belles demeures anciennes, au cadre, à la verdure et surtout aux parterres si bien ordonnés. Là, nous nous dirigeons vers une très vieille demeure, qui soit disant était connue pour receler un mystère. Pierre-Alain aime tous ce qui a trait avec ce qu'il appel...le signe de vie extérieur. Nous passions des soirées à rechercher toutes les légendes et les on dit, qui pouvaient le faire vibrer. Et, quand Pierre-Alain avait une idée, il fallait par tout les moyens qui soient que cette canaille parvienne à visiter ces lieux. Et- c'est ainsi que nous étions là  en ce beau dimanche d'octobre 1935 à chercher une très vieille bâtisse , qui soit disant était hantée. Pierre-Alain avait frémi d'impatience.
    Il s'était levé à six heures. du matin et préparé le café ,le pain-beurre, puis il avait fait le casse-croute et le thermos...mit le tout dans son sac de voyage léger et était venu me réveiller. Là, j'avoue que ma première réaction fut de grogné et de désapprouvé cette intrusion si matinale pour moi...
    Mais Pierre-Alain n'en tint pas compte...il ouvrit mon double-rideaux, la fenêtre puis les volets, le chant des moineaux et la fraîcheur de la matinée me fit frissonner. En grognant de plus belle, je marmonnais des paroles peux amène.Pierre-Alain éclata de rire.
    Il revint avec un plateau, le café fort sentant bon, le pain beurré et la confiture me firent salivé. Des noms d'oiseaux se formèrent dans ma tête, mais c'est d'un sourire que je l'accueillis. Alors Henri, comment vas-tu ce matin? me demanda t-il...pas réveillé et plutôt envi de me rendormir si tu veux le savoir.
    Allez...arrête de grogner, tu vas voir cette journée sera très belle et tu m'as tellement parler de la maison que j'en ai rêver, alors, c'est un peu, beaucoup de ta faute; si ce matin je tiens à lui rendre visite. Humpff! et tu ne pouvais pas attendre huit heures?
    Ah non! la dernière fois tu m'as fait le coup et on a loupé la visite à un quart d'heure près. Cette fois tu ne m'auras pas, j'ai tout prévu, le repas et prêt...je suis prêt ne manque plus que toi, alors, tu manges et tu viens on a pas de temps à perdre aujourd'hui.
    Euh! j'ai le droit à la douche,oui!
    Oui, mais vite faite, on part à 8 heures trente, il est presque 8 heures mon ami, active. Et sur ces paroles, il me laissa mangé.
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  •  

    Hello! Lutin3... l'aide au Père que Noël fait...et ses drôles de gâteaux.

    Hello!
    Vous me reconnaissez!
    Oui?
    -C'est ça, je suis lutin3, l'aide du Père que Noël fait.

    Quoi?

    Si je suis grand!
    Oh oui je suis grand, très grand,

    il le faut pour aider le vieux Monsieur.
    Comment je suis grand?
    Eh bien, comment te dire...
    Euh, euh-grand quoi...
    Moufff,moufff, mon petit frère se moque de moi,
    Attends Lutin4, attends.
    Je suis grand comme trois  manches de cuillères,
    alors tu vois que je suis grand.
    Oh! tu m'embêtes toi! Tu sais...
    -oui, oui, oui je vais le dire...
    nos cuillères ne sont pas si grandes que ça.
    -bon...je ne suis pas ici pour parler de ma taille,
    car il faut quand même être grand pour apporter de l'aide au Père que Noël fait.
    -Si Lutin4, si...
    Je vais te raconté l'histoire des drôles de gâteaux du vieil Homme.
    Il y a très longtemps, le vieil homme vivait
    dans un endroit ou tout les arbres étaient morts les uns après les autres.
    Il devint si triste qu'un soir...
    alors qu'il était assis sur sa chaise faite de vieilles branches d'arbres,

    il crût entendre dans le murmure du dernier chêne vivant,
    une petite chanson qui lui ordonnait de faire des gâteaux en forme d'étoile.
    Etonner, il écouta mieux et le murmure devint une mélodie.
    Puis, elle devint triste,
    si triste que le coeur du vieil  Homme se fendit en deux.
    Alors il entendit le Chêne qui d'une voix très douce,

    mais triste, lui dire:" Vieil Homme,
    je t'ai chanté toutes les chansons que je connaissais...
    mais tu n'as pas bougé,
    tu n'as pas planté ce que je t'ai demandé de planter,

    ni fait les gâteaux que je t'ai demandé.
    Ma dernière plainte , tu semble l'avoir entendu, puisque ton coeur s'est fendu en deux.
    Quand tu auras planté, quand tu auras réalisé mes gâteaux, alors... ton coeur sera de nouveau un. Je reste-là, près de toi et je te regarderai faire.
    Quand enfin, je sentirais de nouveau l'air frémir aux chants des oiseaux, je te ferais un cadeau qui fera de toi l'Homme le plus heureux de la Terre d'en-bas.
    Le vieil Homme hocha la tête et dès le lendemain se mit à faire des gâteaux. Mais, ceux-ci n'avaient jamais la forme qu'il voulait. Alors il les jetait au fur et à mesure à l'endroit ou avant il y avait une très grande forêt.
    Les années passèrent... de jour il faisait ses gâteaux qu'il jetait ensuite jamais satisfait de lui et, de nuit il réalisait les rêves des petits...( mais là, il ne le savait pas, il ne comprenait pas ce qu'il faisait la nuit). Il ne dormait presque pas, mais il n'était jamais fatigué.
    Pourtant il en faisait des pas et des pas. Car l'ancienne forêt était loin de chez lui.
    Le vieux chêne lui chantait toujours la même chanson.

    Pique, pique, pique, jette,jette,jette.
    Fais,fais,fais, ô joie, ô joie, ô joie,
    Pique,pique,pique,cuit,cuit,cuit,
    Plante,plante,plante, merveille,merveille,merveille.
    Ne regarde pas,
    n'écoute pas,repart chez toi.Le vieil Homme fredonnait doucement cette chanson et au fils des années, il la connaissait par coeur.Puis, un soir, il s'endormit, et il rêva longtemps, longtemps.
    Quand enfin, il s'éveilla. Il entendit un joli bruit. Il faisait beau ce jour-là. Le soleil dardait ses rayons de miel sur sa petite maison et le joli bruit était toujours là. Alors, le vieil Homme sortit de chez lui et suivit le bruit.
    Il marchait comme quand il allait jette ses gâteaux. Il regardait autour de lui et soudain, son coeur se gonfla dans sa poitrine.
    Il était heureux.
    Au détour du chemin, il lui sembla voir beaucoup de vert et de gris. Alors, il se dépêcha, il marcha plus vite, plus vite...puis il s'arrêta stupéfait. Là , ou avant il n'y avait plus rien... se trouvait une magnifique forêt et chose plus stupéfiante encore, de petits arbres vert mais sans feuilles.; ils sentaient bon...alors il sentit en lui son coeur battra à grand coups. Son coeur était de nouveau un.
    Le vieux chêne l'appel et le vieil Homme rapidement vint à ses pieds.
    - " alors mon vieil ami! que dis-tu de ton oeuvre?"
    -Mon oeuvre vieil arbre?
    -" Oui, tes gâteaux, si mauvais que tu venais jetés ici...pique,pique,pique,jette,jette,jette,fais,fais,fais,merveille,merveille,merveille.
    T n'avais pas compris?
    Chaque graine que tu faisais doucement cuire, mais, qui ne cuisait pas... chaque gâteaux avait en son coeur la vie d'un arbre. En les jetant encore chaud dans un sol humide de rosée, tu as fais une merveille.

    - Oh! je comprends tout mais , dis-moi, vieil ami, à quoi peuvent bien servir ces petits arbres rabougris et sans feuilles?
    - C'est ma surprise pour les hommes, ces petits arbres sont des Sapins. Ils ne possèdent pas de feuilles, mais des aiguilles, pour se souvenir que ceux-ci sont d'une famille différente et qu'au plus froid de l'hiver, quand tout les autres dorment du sommeil réparateur...il reste au coeur de la forêt le cadeau de vie pour les petits hommes.
    Et comme tu le vois...de petits arbres ont poussés, là ou hier encore la terre était seule, aujourd'hui, un grand nombre de futur chêne, hêtre,bouleau,fresne et de nombreux arbrisseaux,poussent,poussent et la forêt redevient ce qu'elle était il y a de cela bien longtemps.
    De petits animaux sont revenus, signe certain de l'amour à venir. Mon coeur de vieux chêne cogne à nouveau et j'ai entendu...oui,oui, j'ai entendu le chant de celui qui vit en forêt le plus clair de son temps. Le rouge gorge ah! Vieil Homme ton travail ici est terminer, reste le plus beau... celui de faire sourire les  enfants au coeur de l'hiver.
    Tu vas reprendre ta vie en main et poursuivre ton beau travail. Des aides viendront à toi, lutins,fées et les animaux. Tu ne seras plus jamais seul. Tu deviendras le Père que Noël fait et aux fils des années ton nom changera. Tu seras alors pour les touts petits enfants...
    Le Père Noël.
    Et ils t'attendront avec beaucoup d'impatience.
    Va, je te libère.
    Et c'est ainsi que le vieil Homme reprit sa vie en main Et n'est ce pas les enfants que chaque hiver vous l'attendez ce Père que Noël fait?
    Moi Lutin3 je le sais bien, puisque que j'aide maintenant ce bon vieux Bonhomme.
    Soyez sage et faites de beaux rêves, ce sont vos rêves qui nous font vivre.
    OhOhOh!
    créa de creacyra-centerblog.net
    (merci).

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