• Une incroyable rencontre.

     

    -Eh bien, s’ils veulent qu’on les suive; on va le faire, c’est peut être important… Et nous voila partit à suivre deux gosses d’environs 6 et 8 ans; qui avaient l’air d’avancer bien plus vite que nous. Ils se trouvaient toujours là quand ont été larguer. Au bout de vingt minutes, je commençais à trouvé ça plutôt difficile à admettre; car les enfants ne parlaient pas, juste un petit sourire et ce signe de la main.

    Qui se voulait même pressant. J’allais dire à Pierre-Alain qu’il y en avait marre et que ces gosses nous faisais un sale coup; quand, soudain, au détour d’une haie nous vîmes une très ancienne maison. Elle était là… Froide, dominatrice, elle  écrasait de sa présence le près  dans lequel elle était , un  chêne d’une grandeur  et d’une majesté incroyable se tenait droit devant elle.

     

    De chaque côté on voyait l’ancienne muraille de pierre éboulée de ci de là. Une magnifique mais bien étrange demeure. Un puits à l’ancienne était à demi couvert par les vignes et les ronces. Un peu plus loin on voyait une autre bâtisse moins imposante, mais de belle proportion, style maison d’ouvriers, ou de domestiques ou encore de métayer ou on ne sait l’imagination débordante, nous nous entretenions tous les deux de ce que pouvait être cette demeure.

    Elle n’était sur aucune carte, aucun panneau, pas de nom, sauf celui qu’on lui donna pour rire. Le château des enfants perdus. En approchant un peu plus, nous pûmes voir que cette maison était vraiment très ancienne et pas du tout dans le style des maisons ou demeures de Normandie. Pierre-Alain parlant bas on ne sait pourquoi d’ailleurs, me dit:  » tu ne trouves pas qu’elle ressemble à une vieille baraque anglaise? »

    Et je dû en convenir, car c’est vraiment l’impression qu’elle donnait. Nous avancions vers l’arbre tant il était imposant, nous voulions le toucher, en faire le tour; le mesurer bref parlé de sa grandeur. Mais, les enfants me firent de grands signes et leurs regards étaient poignant à voir.

    Alors, je fis signe à mon ami et c’est un Pierre-Alain peu conciliant que je traîné à ma suite. Je me demandais toujours à quoi cela rimer. Que me voulait ces deux petits garçons? Et pourquoi Pierre -Alain ne les voyait pas? Me faisait -il une blague?

    C’était bien dans son genre, mais, quand je me retournais, je sus qu’en fait il n’avait pas vu les enfants. Alors que là! il les voyait bel et bien et son expression en disait long… Il se rapprocha de moi, ce n’est pas un homme peureux et pourtant là, je vous assure que c’est l’impression qu’il me donna.


    Je le fixais un moment et je vis sur son visage de la sueur, mais, pas dû à la chaleur; car il faisait très froid. Il me rendit mon regard et d’un pauvre sourire me fit comprendre qu’il les voyait enfin et qu’il n’était pas rassuré. Aucun mots ne sortit de sa bouche, sauf pour me demander:  » Dis qu’est ce qu’on fait? »


    - Hein! en bien, on les suit il n’y a pas grand-chose d’autre à faire, regarde les! Ils ont besoin de nous qui que ce soient et nous ne pouvons les laisser seuls. Ils sont trop jeunes, allons voir… Et nous comprendrons peut être, toi qui voulais du mystère te voila servit… -Oh! très drôle! oui très drôle… Les enfants nous faisaient des gestes de plus en plus forts et c’est avec crainte que nous  nous mîmes à courir pour les rattrapés. Et là! à suivre?

    Y-L

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