• Andramiel ( livre 1)

    _Oui, oui père… mais de voir nos vaillant chevalier se battre pour votre honneur et pour  leur honneur fait battre mon coeur et l’amour entre en moi comme le soleil quand il inonde notre beau jardin.



    Je ne peux m’empêcher d’être heureuse, très heureuse de cela. Père, venez avec moi, allons nous reposer aux merveilleux rayons de ce chaud matin d’été.
    Et c’est ainsi…sur un mensonge teinté de haine que débita le règne de la princesse() bénis par le dieu de ses pères.


    Le royaume se situ à l’extrémité Sud d’Ambelianthe, vaste citée de haut marchands, de fonctionnaires de cour, d’armuriers et d’autres professions utiles pour tous et vivant sous la protection des hauts remparts du château.
    Le château a une forme particulière, vue ainsi, il ressemble à n’importe lequel des châteaux des hautes terres.


    Mais si  on arrivait à grimper à la hauteur du mont Divin, alors la vue était une perfection, un magnifique papillon aux ailes déployées voila l’impression que donnait le château.



    D’après la légende, une princesse, un jour parviendrait à le faire volé; afin qu’il ne soit pas pillé et pour protégés les gens et les biens. Mais cela était une légende que l’on racontait aux enfants de générations en générations.
    L’eau y est chaude voir très chaude, très douce de goût, pour la refroidir des puits à eaux froides  avaient été creusés et des bassins pour le plaisirs avaient  été construits.



    Les enfants adorent barbotés dans l’eau tiède, lorsque le soir tombant après s’êtres battus comme des petits fous dans la forêt aux mille feuilles et c’étaient à qui rapporteraient la plus douce , la plus tendre, la plus sucrée des feuilles pour en faire une douceur.


    Le choix se porta ce soir là sur la feuille d’Edouard d’Eltong frêle garçonnet de 12 ans mais vaillant chevalier à l’épée. Il fallait se méfier de son air de petit malingre et plus d’un pouvait en témoignés.


    Parfois le sourire me venait aux lèvres en repensant à l’instant ou il avait cru me vaincre, le pauvre, s’il avait su qu’en plus c’était contre moi qu’il se battait…il en serait rester dans les jupons de sa mère;


    mais j’avais besoin de ses fabuleux talents, un autre m’était nécessaire mais comment l’approcher?
    Lui qui ne quittait jamais la reine, ma mère! Et pourtant, il allait le falloir.Son aide nous sera précieuse…donc je devais trouver un bon plan.


    Je devais  rallié Alian M-C Portian ,à mon côté, quatre chevaliers avec la princesse possédée chevauchant au grès des vents; prouvant leurs vaillances à chaque combats, donnant aux paysans la force de brandir les armes.

    Le fastueux bateau tinté de blanc.
    Alian avait un pouvoir et je l’avais découvert un jour ou me promenant seule dans le jardin des fleurs, j’entendis  la voix douce de ma mère.


    Alian mon petit, si tu savais comme je serais heureuse de voir cette fleur extraordinaire fleurir pour cette fin de mai.
    _Mon enfant aura ses sept années, un doux moment pour cette petite merveille que les dieux m’ont données.
    _Les dieux Madame! Ne serais-ce pas le roi mon père?


    _ Oui, oui Alian, bien sûr que c’est ton père ( et un doux sourire entrouvrit ses douces lèvres, un beau souvenir qui faisait briller ses yeux de velours), mais pour mon époux le roi… ce sont les dieux qui m’ont donner ou plutôt offert cet enfant du bonheur.


    _ Oui mère… je comprends cela; mais mon coeur n’est pas en joie. Elle ne voit en moi qu’un écuyer à la solde du roi…mais jamais comme  son frère aîné.
    _ Pas  aîné dans ce sens là Alian, tu as ton royaume et elle à le sien.


    _Oui, mère ( soupir) ce n’est pas ainsi que j’aurai du formuler ma requête. J’aimerais connaître ma soeur, être son frère ( grand soupir venant du coeur s’échappa des lèvres d’Alian).
    _ Alors pour cela fais toi chevalier…
    _ Moi! son chevalier! Mère elle est déjà meilleure que Brecwic c’est tout dire…
    _ C’est son don, mais elle aura besoin du tien et tu le sais. Quatre chevalier et au milieu un coeur rouge  sang…se tenant prêt…


    _ Prêt à quoi mère?
    _Là Alian, là… je ne sais pas;…mais pas du tout et cela m’angoisse, c’est pour ça que chaque instant est important de vivre en sa présence. J’en ressent un bonheur qui palpite, une soif de vivre, de rire, de danser, de fêter la vie, tu vois Alian!
    _ Oui, c’est aussi ce que je sent, mais en moins fort. Elle n’est que ma demi-soeur après tout.

    Rencontre.


    _ Vois-tu mon fils, j’ai décidé qu’à cette fête… tu allais faire sa connaissance. Vous avez  des points en communs c’est vrai. Vos yeux vert extraordinaire, vos boucles brune et cette mèche blanche posée comme une couronne au dessus de votre front en font jasé plus d’un… mais ce n’est pas le moment, et enfin, le moment de la rencontre est venue.


    Sept ans cette année, c’est le moment, les mages en sont certains(  en pensée la reine se souvient de ces lourds moments passés avec eux à scruté les étoiles et à chercher dans le plus ancien grimoire la réalisation,la prophétie donnée par Andramiel au tout début de…ils m’ont tellement fatiguée, tellement pressée en tout point que j’ai presque perdue la raison, oh! Andramiel, comme ces souvenirs là sont douloureux en ma mémoire).


    Un sourire hésitant flotte au coin de sa bouche. Cette année doit être celle de la découverte pour la princesse… de ses propres choix, deux ont été choisis et approuvé, le troisième et convoité.
    _ Savez-vous mère qui est ce troisième demanda Alian en toute innocence.
    _ Oui mon fils… c’est toi.
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