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Je tenais une célèbre auberge au Mont-Saint-Michèle.
Je m’appelais Anne Bourtiaut, Mais on me connaît sous
le nom de l’enseigne de mon auberge…
J’y accueillais les pèlerins avec un plat confectionné à
partir de produits issus de la basse-court.
Qui suis-je ?
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Dans l’ombre de la nuit, je m’égare et vole vers l’infini.
Pareil au vent à la lumière du couchant je suis la vie.
Infinité, particularité, dualité, familiarité, beaucoup de é.
Mon éternel question, le voile sombre de mes nuits passées
là ,ici, ou? Je ne sais pas… Dis moi toi, oui toi! Que penses
tu de cela?Dirais tu que l’oublie pour moi serait le mieux?
Le lieu ou enfin sans fard aucun je baisse ma garde je baisse
les bras pour mieux ressentir le double de moi-même, ma
vérité est pourtant si simple, du moins je le crois?
Suis-je en vie? Ou suis-je une ombre qui court dans la nuit?
Y-L
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Dans le tourbillon de mon esprit ,
souffle le vent de la folie.
Folie douce! Joie du peu ressentit!
Souvent il varie.
Il ressemble fort à la tempête ,
qui soudain, fonce tel
un gros monstre endormi sur ce qui
veut le rompre.
pas de force?
Si bien au contraire, mais si mal employé ,
si mal définit,
que parfois j’en oublie le sens et le finit.
O! cruel insomnie quand donc me laisseras tu vivre ma vie.
Dans le tourbillon de mon esprit règne
le souffle du temps maudit.
Maudit par mes sens sans cesse en mouvements
Gargouilles, fripouilles, Ratatouille, grenouilles, merdouille, tout
en ouille.
Qui me fournira la réponse tant rechercher?
Qui d’un simple mot, d’un simple soupir,
d’une seule définition
me laissera vide et endormie?
Dans le tourbillon de mon esprit, souffle le vent de la folie.
Mais là encore, c’est de la mienne dont je parle
…Alors!
C’est moi.Y-L
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Une femme entre dans un magasin de sous-vêtements.
Elle dit à la vendeuse:
-Bonjour madame, je peux essayer le soutien-gorge
dans la vitrine?
-Mais bien sûr! ça attirera du monde!
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Le docteur Good-paster, condamné à 199 années de prison pour meurtre,
a pris une forte dose de somnifères. Les médecins ont pu ranimer le détenu
et annoncer que ses jours ne sont pas en danger.
Echo d’Alger,30/10/1960.
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Je suis là, assise sur l’un de tes rochers.
J’ai du vague à l’âme, juste un peu torturé.
J’avais envie de venir te salué, te dire comme
tu me manquer. Le bruit de la foule s’enroule
autour de moi et me fait chavirer. J’entends
comme un lointain écho le son de ta voix.
Viens, viens plus près de moi; avance et regarde.
J’avance, je regarde, je scrute, je sens le sable
qui lentement s’enfonce j’exulte car tu me tiens.
Je ne tangue plus retenu par la force de ta vie.
J’ai bien fait de venir, parle moi, je t’écoute.
Et lentement le doux son des vagues apaise
ma douleur et me rend ma ferveur.Toi…
Oui, toi… de nouveau tu me rends ce qui fait
de moi un être vivant. Je reviendrai bientôt
auprès de toi, mer vivante, mer chantante.
J’écouterai encore et encore l’écho de ta voix.
Y-L
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