• Namkana. La Sorcière des Brumes.

    Namkana. La Sorcière des Brumes.

    Dans la grande vallée des terres brûlées, vit un petit peuple mené par un homme au courage faisant parti du passé. Des années de disettes, des années de galères, avait fait de ce petit peuple, un peuple ou le manque de ferveur des hommes, avaient conduits un petit nombre de femmes à prendre la direction et la charge du peuple.

    Les autres peuples cherchèrent à faire partis de ce peuple qui avec peu se sortait de situation difficile, mais, les femmes ne cherchaient pas à agrandir leur clan, tout ce qu'elles voulaient ; c'est être libre et rester soudées. Puis, par un soir de brume aussi froide que les grosses neiges de l'hiver, une femme s'imposa parmi ce petit peuple.

    Les hommes refusèrent de se soumettre , alors, elle  attendit 
    patiemment. Elle connaissait bien les hommes et elle savait que tôt ou tard leur manque d’intérêt pour le clan, les mettraient en difficultés. Alors, elle attendit.

    Cette femme,  très particulière, une femme qui n'avait jamais eut peur. Elle possédait une connaissance  presque parfaite des plantes et des animaux et surtout des hommes. Au tout début de cette histoire, elle se tint comme toutes les autres  femmes, car
     , son pouvoir n'était pas encore révélé. Les femmes de ce temps là, étaient entreprenante, elles ne refusaient aucun travail même si celui-ci était pénible.

    Une décision.

    Quand après un hiver aussi terrible qu'inhumain, quand cet hiver là, leurs prirent leurs tout petits; les femmes refusèrent de rester dans les grottes à y grelotter et à se terrer jusqu'à ce que la mort froide vienne leur ravir la vie.

    Elles tinrent conseil tout comme les hommes se plaisaient à le faire, assis sur leur pierre au coin du feu de la grotte commune et attendant que les femmes les servent. Mais, en ce cycle de vie là, les femmes firent le repas que pour les enfants, les vieillards restant et elles mêmes.

    Puis, elles s'installèrent devant l'âtre et elles se parlèrent. Chacune pu exprimer sa révolte, ou tout bonnement dire leurs accords avec telle ou telle autre femme. Namkana jubilait, elle attendait avec patience son tour, sachant que bientôt, elle pourrait parlé et, ses yeux brillaient d'un feu étrange.

    Enfin, ce fut son tour de parler, elle se leva et droite, elle nomma chacune des femmes présentes. Nalou, Minirka, Mikana, Natahou, Frilia, Sépronia et toi Alout; puis, les fixant de son regard d'ambre sombre, elle se frappa la poitrine. Moi, Namkana, femme première, venant des âges d'avant...ayant subis le grand tourment des eaux et du ciel le feu! Ayant vu mourir des hommes forts, des femmes et des enfants très beaux...

    -La force des mots.

    Moi Namkana, je vous dis qu'il faut partir d'ici, sinon, c'est la mort! Regardez les hommes que font-ils? Rien! Rien pour vaincre le vent qui assèche tout, rien pour trouver de l'eau afin d'abreuver le maigre troupeau qui nous reste et pour étanchée la soif des vieux et des enfants, sans parler de la nôtre. Que font les hommes pour trouver des pâtures? ( à suivre).

    « Eugène Ionesco.Diderot. »
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