• Le Guerrier Noir. ( livre)

    Erguel

     Première et douloureuse  leçon.

    Comme de fait, il était en train de manger de façon gloutonne et il empêchait ses soeurs et sa mère de manger. De colère, je saisis une autre carcasse et je la jetais au pieds du goinfre. Il fit un bond emmena sa proie, puis, de nouveau  et sans me quitter des yeux il se rua sur sa  carcasse, plus vieille, plus goûtue.

    Je m'avançais sans cesser de le regarder, ma boule ronronna ,les autres aussi et ma mémère en fit autant. Erguel gronda de façon doucereuse, remuant doucement son énorme queue à trois fourche. Il battit l'air de celle-ci plusieurs fois,mais, je continuais à avancé. Alors, la voix de mon amie me parvint:


    " laisse le faire, en règle général les nôtres savent quand il faut arrêter de mangé. Il a des lacunes, car je ne lui ai pas appris la chasse, alors, il croît qu'en tant que mâle...il peut tout faire. Ce sera une grave erreur, regarde bien.


    C'est ce que je fis et je ne fus pas le seul à regarder. La plupart des hommes en faisaient autant, fascinés par le spectacle de ce goinfre sans cervelle. Un léger sourire retroussait leur lèvres. Un bruit sonore, et notre jeune compagnon s'éloigna de sa carcasse avec dégoût...puis, il vomit plusieurs fois de façon désordonnés du moins pour nous les hommes.

    La mère et les filles regardaient et je compris que la mère Ertgard donnait une leçon de vie à ses enfants. Alors, fasciné, je fis comme tout le monde, j'admirai le spectacle. Après un dernier haut le coeur, ce petit monstre sans cervelle revint vers sa mère pour se faire dorloté.

    elle attendit qu'il baisse sa nuque et vive comme l'éclair, elle le saisit au cou et y enfonça sa puissante mâchoire. Des couinements de colère,puis, des gémissements de douleurs se firent entendre. Pour ne pas vexer ce futur monstre, je fis signe et tous le monde repartit à ses travaux laissant l'Ertgard faire la loi chez elle, ce qui était normal.

     

    Elle se devait de remettre les choses en ordre pour se faire respecter par tous le monde  y compris ses propres enfants, surtout de son fils. Celui-ci grandissait vite et prenait de jour en jour de la force, dans peu de temps, il serait plus grand que sa mère, ses dents seront plus large,plus grandes aussi, son poids dépassera celui de sa mère et il le savait.


    La lueur qui traversait ses prunelles sombres faisaient frémir plus d'un homme. L'ombre de la colère luisait en elles. Cet Ertgard là, serait redoutable.

    Une mise au point.Quand plus tard l'heure du repas sonna, tous les hommes s'attroupèrent comme à l'ordinaire pour se servir les uns après les autres et cela en ordre. Etais-ce  encore une façon de montrer l'ordre à ses rejetons! L'Ertgard était là et ses petits aussi. Erguel boitait et il baissait la tête, on fit comme si de rien n'était, puis, chacun trouva sa place pour manger et pour raconter des histoires.


    Après un bon moment de bonnes rigolades; j'entendis dans ma tête mon amie qui demandait à parler. Je fis un signe aux hommes et je saluais l'Ertgard-Notre amie Ertgard veut nous parler. Voulez-vous écouté son récit! Des oui enthousiaste se firent entendre de partout, mon frère vint aux nouvelles et resta pour écouté ce que l'Ertgard avait à dire.

    Je lui trouvais la mine pâle, et son corps me sembla sans force.Il me fixa de ses yeux éteints, et j'eus mal pour lui, il me sourit, me fit un léger signe t se pencha pour écouter. Bien lui en prit . Je parlerai pour elle, car je l'entends, mais pas vous...êtes vous d'accords? Les oui se firent de nouveau entendre, mon frère hocha la tête.

    -Markpial ici présente veut vous expliquez quelque chose, alors, écoutez bien car c'est important." J'ai vu chez vous hommes, que notre façon de vivre vous intéresse et que vous êtes bon car vous nous donnez à manger et un toit pour dormir comme vous dites, nous pas pareil que vous. Vous méfiez Ertgard quand lui ronronné comme ça vous dites ronronné? Nous ronronné fâchés, très dangereux quand nous faire ça, pas bon pour les autres quand nous ronron.

    Quand nous calme, remué queue à trois pointes et oreilles droites alors nous très heureux. Quand poils retroussés sur nous et crocs découverts veut dire joué, vous peur quand nous faire ça, donc plus faire, nous plus joués non plus, nous s'ennuie, nous aime jouer beaucoup, à courir, à se battre doucement, à lécher,à rouler terre, enfin, nous voulons jouer avec hommes bons. Hommes nous vous vouloir?

    Des expressions singulières se firent, je regardais moi-même ma boule de poil et ses yeux brillaient, je lui dit:" pourquoi ronronne tu alors? -Toi, aimes ça, toi heureux, quand ronron...alors moi, aime faire plaisir toi. Change pour toi frère." J'en fus abasourdi, elle avait changée son mode de fonctionnement animal, un instinct de génération en génération acquis depuis la nuit des temps , pour un homme; pour moi!


    Je regardais enfin les hommes qui assis bouche bée, sans voix épiés les Ertgards, se montrant soudain inquiets, puis, un jeune ...Markon je crois se roula par terre et éclata de rire en faisant des signes  vers les jeunes et ceux-ci se ruèrent sur lui, lui mordillant les mains, le nez, les jambes, le léchant partout ou ils  pouvaient l'atteindre, un autre, Krastien se roula à son tour par terre en faisant des signes, puis, se fut tout les Helkians.

     

    Les jeunes Ertgards ne savaient plus ou donner de la voix. Ma boule de poil se joignit alors à eux, un véritable tourbillon, des jappements de rire, de poil, d'hommes, un régal pour ces hommes sans enfants. Ne sachant comment ils devaient se comportés, ils restreignaient leurs mouvements, quand Markpial d'une voix forte leur dit :" Faites comme pour vos petits et comme pour vos animaux de maison, bon pour eux, bon pour nous."


    Pendant trois jours entiers ce fut un réel plaisir, pas un instant n'était perdu. Dès les tâches accomplis, c'était à qui commencerait. Les rires fusaient de partout. Le troisième soir, c'était plus calme, les tensions s'étaient comme envolés, les hommes et les bêtes faisaient comme une trêve amicale, chacun se regardant un sourire fugace aux lèvres.


    Puis, autour du feu, chacun revivait ces jours extraordinaires et les rêves éveillés continuaient rien qu'en regardant les jeunes allongés par terre non loin d'eux.Les visages de ces hommes rudes, vieillit par la guerre et l'horreur s'éclairaient d'un doux sourire.

    <<La fin de la trêve.>>

    Puis, un bruit, celui d'une toile de tente, d'un rabat relevé avec brusquerie. Markpial se dressa et elle regarda l'homme debout qui s'appuyait contre mon frère.

    Elle le reconnu et me disant dans ma tête à toute vitesse et pourtant d'une façon si légère que je crus avoir rêver, mais elle insista plus fort, alors je l'écoutait:" prends Myaelle et part vite sans te retourné, ne réponds pas à l'homme, il t'écoute depuis longtemps.

    Lui pas bon comme toi, lui  te vouloir du mal...poison encore en lui. Il veut te tuer, toi parts maintenant, revenir quand je dirais et pas avant, vite toi partir Neschel, vite. Elle dit mon nom pour la première fois et c'est sans doute pour ça que je l'écoutais sans trop réfléchir. Je ramassais vivement mon sac, ma boule de poil me colla aux talons, puis je dis à Markon:

    " je parts chassé le poisson, dis le à mon frère et surveille mon frère pour moi. Sorts d'ici ce soir, va dans ta tente Markon j'ai besoin de ton aide. Il hocha la tête et partit vers sa tente sans se retourné. Alors la voix forte d'Artas se fit entendre, mordante, pleine de rancoeur, le venin qui coulait encore dans ses veines le faisant rugir. Son état était pourtant bien meilleur que la dernière fois ou je l'avais vu. Pourquoi cette haine après moi! Je l'entendis en moi et cela me glaça le sang.

    -Oui, oh oui je peux te parlé comme tu parles avec tes fauves. Ces sales vermines qui contamines mes hommes par leurs façon de se conduire, comme des chiens sans maître. Oui, oh oui! Je sais qu'elle m'entend, mais qu'importe, que m'importe et un rire froid fusa de ses lèvres à peine ouverte.

    C'est avec toi que je veux me battre. Viens donc bâtard de chien enragé...guerrier noir...je te lance un défi
    -quoi! tu fuis! Lâche, lâche que tu es, n'as tu pas d'orgueil, chien monstrueux, viens donc te mesurer à moi. Viens! Je te l'ordonne.

    sa voix rauque le fit toussé et ainsi je pu fuir; avec en tête un bourdonnement sanguinaire un besoin de faire du mal, de lui arracher ses tripailles, de le vider de sa vie. Un son long et fort puissant se fit entendre au loin, puis, j'entendis le bruit d'un corps qui tombe et d'un autre qui essai de le relevé.

    J'entrevis des hommes debout, effarés, dressés, dépassés par ce qu'ils venaient de voir et du peu qu'ils avaient entendu, puis, ce fut le calme alors j'entendis les ronronnements puissants et cela me calma l'esprit. Mon corps en feu se calma et je retrouvais enfin une température normale.

    <<Une légende>>

    Encore quelques foulées et je serais auprès de mes rieurs, de mes marrants. Ils voudront joués eux aussi , puis, ce sera la nuit dans le terrier vide, à l'abri. Mais soudain dans ma tête la voix rauque fut de retour. Cette fois je faillis tomber tellement j'étais surpris. Il parvenait à me narguer dans mon esprit.


    Inquiet de cette étrange nouveauté, je cherchais à comprendre ce qu'il disait, j'aurai mieux fait d'évité.
    -" Chien galeux je vais te détruire, je suis l'homme noir. Mon destin c'est de mettre fin à ta misérable vie. Ton frère va m'y aider, je te retrouverais, partout ou tu iras, j'y arriverais et un jour, tu seras à ma merci.


    Un rire monstrueux résonna dans ma tête, puis, quelque chose d'autre y vint, un son léger d'abord, puis plus fort chassa cette voix haineuse, ma boule de poil me parlait et là je m'arrêtais éberlué.


    -Que! Qui!...Quoi! C'est bien toi? Tu essaie  de me parlé? Depuis quand?
    - Enfin! j'ai réussis à te faire réagir.
    _ Mais depuis quand!
    - Oh! c'est la première fois.

    _ Alors pourquoi aujourd'hui?


    - Bien parce que cet homme est mauvais, tu ne dois pas écouté sa voix, il n'est pas l'homme noir. Dans quelques jours il ira mieux, c'est à cause du poison qui est en lui, c'est ça qui le fait déliré, il ira mieux bientôt et il oubliera ce qu'il ta dit, il ne pourra plus s'adressé à toi de cette façon, son esprit sera libre,oui, il oubliera,mais ton frère lui n'oubliera pas et les hommes non plus...mais ce n'est pas grave dans le sens qu'ils verront que cet homme là, bien que mauvais ne pourra jamais se mesuré à toi."



    - Alors, l'homme noir existe vraiment!
    -Oui, d'après la légende, il existe bien un homme noir, mais pas un guerrier noir, cet homme noir vient à la vie à cause du guerrier noir pour le combattre et le tuer. Dans la même légende, il y a une guerrière noire, avec son Ertgard noir, un mâle et un jour on se rencontrera; mais, il n'est pas temps de penser à cela, tu as d'autres choses à faire pour l'instant.

    -Eh! Attends un peu, depuis quand comprends tu ma langue?
    -Oh! ça...depuis le début, mais il m'a fallut du temps pour comprendre ce que tu disais et ce que les autres disaient et puis, tant que tu étais là-bas, il n'y avait pas besoin que je te parle. Là ça change tout, puisque je dois t'expliqué beaucoup de chose...sais tu que ton adversaire,oui, pour l'instant il l'est, sais tu donc, que tu aurais pu le détruire!
    -Quoi! Mais comment?


    - Eh bien...quand il te parlait dans ta tête, tu aurais pu si la colère ne t'avait pas fait bouillir le sang, ou si ta peur de faire du mal à ton frère ne t'avait pas empêcher de réfléchir, tu pouvais le détruire, lui prendre sa misérable vie. Quoi que je crois que tu le sais, et que c'est pour ça que tu as fuis si vite...te croyant à l'abri de sa parole, non!

    - Hum! oui tu as raison je pouvais le détruire,lui et tous les autres, mais alors, ma haine l'aurait emporter. Bon donc tu dois m'expliquer des choses! Alors je vais t'écouté, quoi que...un moment ma boule de poil, ta mère me parle depuis longtemps, dans ma tête. C'était la première fois qu'elle parlait aux autres l'autre soir, mais moi, je l'entendais depuis le début,j'en suis sûr.


    -Oui, oui! elle te parlait dans ta tête, mais elle est plus sage que moi qui suis encore toute jeune. Elle a grandit pas loin des hommes sages qui vivent non loin de ton ancien village. Puis, il a fallut qu'elle quitte l'endroit car les hommes prenaient beaucoup de territoire, cela devenait dangereux pour eux.


    Elle ne voulait pas leur faire du mal, elle a préféré partir. Quand tu l'as découverte dans le terrier, ce n'était pas son antre, sa grotte si tu préfère...mais prise par le temps, elle n'a pu rejoindre son antre, alors, elle a fait du terrier l'endroit ou logiquement ses deux petits devaient venir au monde. Quand tu l'as trouvé, elle allait abandonnée la lutte, c'était trop dur, elle était trop fatiguée.


    Tu nous as sauvé la vie et la mienne doublement, même si je devais naître pour toi.
    - Hein!
    - Ne fais pas l'idiot, tu crois qu'elle t'aurai laissé l'approcher de son trou, si elle avait pu se lever!
    - Non, bien sûr que non, je ne connaissais pas votre espèce avant et j'aurai sans doute passé mon chemin sans m'arrêter...mais, les gémissements de douleurs étaient trop dur pour moi, je ne pouvais pas ne pas voir ce qui se passais pour l'animal en détresse.

    Alors je me suis approché doucement puis, elle m'a regarder, j'allais faire demi-tour, j'avoue j'ai eu peur...mais la plainte suivante m'a fait comprendre qu'elle avait un gros problème. Je pouvais l'aider, je lui ai dit. Elle a gronder, retroussées ses babines, hérissées ses poils.

    Imposante elle l'était ah oui alors, mais elle a gémit doucement pendant que je m'approchais d'elle. Alors,  j'ai eu confiance et j'ai fait ce que je devais faire, sans plus me poser de questions. La  suite tu l'as connais. Quand je pense à ce que j'ai du faire pour e nourrir toi boule de poil!


    -Arrête, arrête de m'appeler comme ça!
    -Quoi!

    - J'ai un nom important, tu dois m'appelé par mon nom. Boule de poil ça veut rien dire pour les Ertgards, donne moi mon nom...

     

    << Un nom>>

    Interloqué, je la fixais, mais elle était bien en colère. Ses yeux si doux d'habitude, devinrent noir et c'est sans ménagement qu'elle me fit tombé
    .-" Donne moi mon nom Neschel!"
    - C'est la première fois que toi, tu me donne mon nom.
    - Réfléchis, c'est la première fois que je te parle.
    - Ahhh oui! c'est vrai, tu attaches de l'importance à ton nom?
    - Oui, comme toi tu attaches de l'importance au tiens, non!
    - Oui, bien sûr que oui, mais là...
    -Quoi! tu l'as oublié? Tu as oublié mon nom?
    -Euhh oui, Myaelle! un léger rire et c'est à grand coups de léchouilles que je reçu ma récompense.
    - Je croyais que tu l'avais oublié, que cela n'était pas important pour toi.

     

    - Vois tu Myaelle, moi, j'aimais t'appelé boule de poil, car ainsi, tu restais petite. Là, en te donnant ton nom, tu es plus grande et je dois maintenant te parler comme je le fais avec les autres et mon coeur se serre car tu es la lumière de mon coeur.

    - Non, Neschel, je suis encore petite, mais je connais plus de chose que toi et c'est pour cela que je veux que tu me donne mon nom, comme tu viens de le dire, cela te force à voir en moi une adulte et c'est très bien et puis tu vois, tu n'as pas fait attention à ta voix.

    - Oh! c'est vrai ça, tu es futée Myaelle, oui très futée, alors dis moi ce que je vais devoir faire..
    .-D'abord tu vas chassé pour nous, un bon gros poisson, on partage et on dors. Demain mon frère ne sera pas loin du terrier, il vient pour se mesurer à toi, le pauvre, il sait que tu dois lui apprendre la chasse...mais, il pense tout connaître et il est très fier.


    -Eh! attends, tu vas trop vite pour moi là. Pourquoi dois-je apprendre la chasse  à ton frère?
    - Parce que mère ne le peut pas et que ce bêta d'Erguel se croit très fort, mère à prit peur, alors elle te l'a envoyer, sachant que tu en prendrais soin. C'est bien les mères hein Neschel! Je bougonnais, car là  je me sentis pris au piège. La petite terreur voulait me faire mordre la poussière, alors là...j'allais bien m'amuser , quoi que!


    Bon, aller on chasse, on mange et tu m'explique; je crois que c'est la meilleure tactique.
    - Oui mon frère de vie.

    Bouche bée, je regarde Myaelle puis je soupire vaincu encore une fois par une Ertgard. La chasse fut bonne et après le repas on s'installa le mieux possible et là elle m'expliqua ce que je devais faire pour sa famille.

    Je poussais un énorme soupir, puis comprenant enfin je souris. Le lendemain elle me dit:" On va aller chasser, nous prendrons une très grosse part, il arrive, il sera là lorsque nous mangerons...il aura les restes.

    cela lui fera comprendre que pour la nourriture c'est toi le chef et il se tiendra sur ses gardes...mais, méfies toi de lui, il apprend très vite et quand ses cornes pousseront, il faudra le chassé d'ici alors, mes soeurs viendront et tu leurs apprendra la chasse en groupe.

    << Mauvaise nouvelle>>

    -Les cornes Myaelle? Quelles cornes? d'ou les cornes?
    - Euh,oui, les mâles Ertgards ont trois grosses cornes qui leurs poussent une  sur  front et deux sur les joues . Suivant l'âge du mâle, elles sont soit petites, soit grandes. Ah! tu dois aussi penser à l'envers.
    - Penser à l'envers! comment veux tu que je fasse cela?
    - eh bien...quand tu es le guerrier , tu penses différemment, alors fais le en te battant contre lui, ainsi il ne lira pas tes pensées. Il ne pourra pas te battre s'il ne sait pas ce que tu vas faire, c'est simple non!
    (y-l)

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