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Par osebo-moaka le 25 Avril 2013 à 15:42Contre toi.
Blotti contre toi, j'aime murmuré tous bas
Peut-être que ce ne sont que paroles frivoles
Ou bien paroles d'amour,
Je ne sais ce que toi tu entends
quand soudain...
Tes bras se ressèrent sur moi...
En ces instants là,
je sais que nos coeurs battent
Sur le même tempo.
Que leurs musique se font écho
Blotti contre toi, je respire ta chaleur
Et je me répète bien des fois que je ne serait rien
sans toi.
Y-l
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Par osebo-moaka le 25 Avril 2013 à 15:34La pendule s'est arrêter.
du jour ou tu as franchis la porte,
Le vide de ma vie s'est comblé.
Le tic-tac qui égraine les heures
a tout à coup cessé et c'est la douceur
De ton regard, la chaleur de ta peau
La force qui se reflète dans le miroir
Qui embelli aujourd'hui ma vie.
La pendule s'est arrêter.
Y-L
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Par osebo-moaka le 15 Avril 2013 à 19:02
Vent de bise,
aussitôt que tu souffles,
le poisson abonde
dans les barques.
( un pêcheur parmi-vous?)
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Par osebo-moaka le 29 Mars 2013 à 11:34Il existe une catégorie professionnelle dans laquelle les gens sont payés pour abuser de la confiance des autres de façon très légale. Ce sont les conseillers en Marketing, ces gens qui sont des spécialistes de la crédulité des consommateurs. Par exemple, l'étudiant, piégé! il est prêt à payer plus cher si on lui donne de la musique à consommer, et en plus, il s'agirait de musique clssique. et dans les magasins, ce n'est pas en rouge ou en vert ou en jaune que les vendeurs sont convaincants, non, c'est en couleurs très sombres. Preuve que les jeunes ont besoin de se rassurer auprès d'un certain conformisme!
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Par osebo-moaka le 28 Mars 2013 à 12:00Extrait.
" Tard je vous ai aimée, Beauté si ancienne et si nouvelle, tard je vous ai aimée. C'est que vous étiez au-dedans de moi et moi j'étais en dehors de moi."
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Par osebo-moaka le 24 Mars 2013 à 23:52Si vous saviez comme je suis heureux et malheureux depuis hier, vous auriez pitié de moi. Il est cinq heure du matin; je suis seul dans ma cellule; ma fenêtre est ouverte sur les jardins qui sont si frais, et je vois l'or d'un beau soleil levant qui s'annonce au-dessus du quartier que vous habitez. Je pense que je ne vous verrai pas aujourd'hui et je suis bien triste. Tout cela ressemble à un roman; mais les romans n'ont-ils pas leurs charmes? Ecrivez-moi; que je vois au moins quelque chose qui vienne de vous. Adieu jusqu'à demain.
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Par osebo-moaka le 24 Mars 2013 à 23:04Si vous ne voulez pas venir,
baisez un morceau de papier blanc
et envoyez-le moi.
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