• " Baisers, baves d'amour, basses béatitudes, à mouvements marins des amants confondus"
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  • Petite histoire de F. F, se sent patraque, fatigué, il faut que F, dise à maman qu'il a de la fièvre.

    F, appel très fort:" mamannnn! Maman arrive et regardant F elle lui dit:" Tu es fiévreux mon petit filou!" Oui, répond F, j'ai froid, et la fenêtre est rester ouverte toute la nuit.

    Fibule le chat est venu me tenir compagnie, mais, Filandre à gronder après lui, alors je l'ai fait fuir par la fenêtre et il faisait froid.

    Je vais te faire un bon jus de fruits bien frais, tu pourras le boire avec une paille. Je vais enlever les fleurs, elles sentent bon,mais des fleurs dans une chambre ce n'ai pas bon.

    Papa arrive, il voit F, frissonner dans son petit lit, il faut que tu gardes la chambre F. ding-dong, c'est le facteur...il dira à la famille que F et fiévreux.

    Ce bon facteur qui connaît tout le monde, fier,courageux, froid ou chaud, il apporte le courrier.

    Fit donc dit papa, mon fils et souffrant, la fièvre le fait frissonner, le médecin va venir et fera baisser la fièvre. J'ai mis des fraises , des figues, des framboises et un peu de miel que Fanette nous a offert. Bois F, tu iras un peu mieux après.


    F, boit son jus et se sent mieux. F, sait que les fruits c'est bon pour la fièvre, alors, il boit tout. Soufflant et toussant F, se dit que le lit par ce froid c'est drôlement bien.

    Fanette vient voir ce qui se passe:" Alors mon petit F, comment te sens tu?J'ai froid, je frissonne, j'ai de la fièvre. -Oh pauvre F, c'est un refroidissement que tu as, ce n'est pas grave.


    Maman ordonne à tous le monde de sortir de la chambre. F, doit  faire un somme,  ne faites pas trop de bruit. F, en effet sent bien que la fièvre le fait doucement dodeliner de la tête.

    Finalement F, après trois jours de fièvre fait de nouveau des bêtises, il va bien mieux. F est très heureux, fibule est revenu le voir et câlinant le chat F, sait que la fièvre n'est plus là.

    Trouves avec maman les F, f, et mets les en couleurs.
    Amuses toi bien.
    y-l

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  • L'enfant se tenait sagement  assis sur le tabouret de la cuisine, il attendait que la vieille femme daigne enfin lui parlait...il n'y était pour rien lui si, sa mère l'avait envoyé chez cette vieille dame qu'il ne connaissait pas ...en plus...il avait très faim.
    Son ventre grondait de plus en plus et la vieille dame poussaient de grands soupirs qui le mettait très mal à l'aise.
    Bien éduqué par sa jeune maman Vladimir bientôt sept ans savait se tenir. Oui mais là...il avait vraiment très faim. Sur la table,il y avait un compotier remplis de fruits, des poires, des pommes, des oranges et des citrons. Pouvait'il en prendre une de pomme?
    Il ouvrit la bouche afin de posé sa petite question quand...d'un mouvement très vif, la dame ôta le compotier et lui jeta un regard très sévère. Les joues rouges de honte Vladimir baissa sa belle tête,et laissa ses larmes
    ruisselées sur ses joues havres.
    _C'est pas que j'veux pas t'en donner petiots mais c'est pas à moi ça! Tu comprends quand j'te cause? Oui, bien sûr qu'il comprenait,pourquoi ne l'aurait-il pas compris? Elle le regarda et sa physionomie changea un peu.


    Les yeux pâles se posèrent vraiment sur l'enfant._Ben mon petiot tu lui ressemble bien à ta mère et on voit bien ton père en toi aussi, c'est ben ça,mais l'aurai pas fallu à ça non alors. Bon t'y es pour rien hein! ça c'est sûr là.
    Va revenir lui et il sera pas très content,elle t'a jeté dans nos pattes ben elle est bonne celle-là, oui da je la comprends bien la petiote mais quand même. Tu t'appelles comment toi ?
    lui demanda t'elle de sa voix bourrue tout en lui servant un grand bol fumant d'une soupe appétissante.Il souffla deux fois sur sa soupe avant de répondre se rendant compte de son impolitesse il lui dit:" Oh!je suis désolé Madame, Maman m'a dit de bien vous répondre, je suis Vladimir ,Hector,François-Marie de Présompierre.

    Mais je ne dois pas me servir de ce nom ici alors...Maman m'a dit que vous me donneriez un autre nom à votre convenance._Elle est bin bonne la p'tiote pour sur elle est bin bonne,m'en va t'en donner moi du de Présompierre ici! Ah!
    _ Bin, bin, bin, alors la petiote s'appelle t'y pas comme nous hum! Sûr ça qu'elle porte note nom alors! Des on va faire comme ça hein le p'tiot.Note nom à nous c'est Image alors tu seras François-Marie Image,ça te va ça?

    _ Oui Madame ça me va bien elle est très bonne votre soupe...maman sait en faire mais...pas des si bonnes ah ça non! La vieille femme ria si fort que des larmes noyèrent ses yeux bleu si pâles. C'est ainsi que la trouva Hector son mari alors qu'il rentrait des champs.

    Entendre sa Marie rire ainsi lui fit tant de bien qu'il murmura une petite prière de remerciement. "Seigneur (dit'il ) j'accorde à celui ou à celle qui a fait rire ma Marie le gite et le couvert pour aussi longtemps que cela lui sera nécessaire Amen.

    Il frotta avec vigueur ses vieilles bottes écoutant le rire clair et léger de sa Marie et entra cherchant de ses yeux noir si froid l'intrus qui avait redonné le rire dans la vaste maison.
    Hector fut dans tout ses états lorsqu'il aperçu le jeune garçon au cheveux blond comme les blés et aux yeux violet. Il murmura pour lui-même:"Oh Seigneur c'est vache ça, si j'avais su que tu me jouerai ce vilain tour...ben j'aurai pas promis ce que j'ai promis.

    " Bon coeur, Hector sut faire face au violent chagrin qui lui vrilla le coeur et devant le visage baigné de larmes de sa Marie, devant le regard si lumineux et pourtant inquiet du petit...Hector trouva le courage de sourire et de s'exclamé

    _ Ben la Marie c'est qui qu'on a là? Marie se dressa et regardant son homme, la joie emplit son coeur elle aurai bondit sur lui mais son âge et son arthrite ne le lui permettait pas ce genre de frivolité alors de sa voix encore belle elle s'exclama:" Regarde donc Hector, la petiote nous envoie son petiot pour qu'on en prenne bin soin et il aime ma soupe tu t'en rends compte Hector...il aime ma soupe lui!

    Hector fit semblant d'être en colère et dit:" Quoi petiot t'aime la soupe de la Maire, là t'es pas mon copain pour sur que non..."C'est quoi ton nom ptiot qui mange de bon coeur la soupe de la Marie hein c'est quoi dis! _ Ben c'est Vlad euh non c'est François-Marie Image.

    _Oui da, je veux bien que tu porte mon nom petiot mais dis voir ton vrai nom. L'enfant regarda Marie qui d'un bon sourire le rassura...alors, la bouche barbouillée de soupe il déclara:" Vladimir, Hector, François-Marie de Présompierre.


    Mais ici, je serai François-Marie Image et ça me va très bien, je peux manger? Ben, c'est qu'elle refroidit ma soupe je veux pas la gâchée elle est trop bonne,maman la réussie pas comme Madame Marie Pour sûre maman doit venir pour apprendre.


    Il plongea sa cuillère dans le potage en core chaud sans comprendre pourquoi Hector et Marie se tenait les côtes de rire. lui, il dégustait sa soupe les yeux presque fermés,ravi d'être ici, il se voyait déjà parcourant les vastes prairies qu'il avait aperçu en arrivant ,pourvu,oui pourvu qu'Hector et Marie veuillent bien le garder.

    Sans se rendre compte qu'il avait parlé tout haut le petit garçon s'étonna du silence qui régnait dans la grande cuisine, relevant la tête de son bol de soupe, il sourit l'air béat. Hector et Marie pouffèrent de nouveau...le visage de l'enfant était tout barbouillé de soupe orange.

    Il se joignit aux rires et attendit la suite._Ben mon garçon, puisque te v'la ben on te garde et t'iras à l'école du village, tu f'ras tes corvées,et t'y s'ras sage avec nous t'es d'accord avec ça? Ah oui, la soupe tout les soirs et si Marie y fait une tarte t'en aura comme moi ça t'y va?


    _Oui Monsieur ça m'y va bien. _Ah oui dit Hector on fait comment Marie dis voir?_Ah mon homme,l'est à nous là hein faut le voir comme ça, l'est à nous alors on lui dit c'est mieux pour tous le monde,c'est pas sa faute à lui,l'est si beau, si petiot,c'est le petiot à note petiote mon homme,et dis...on le garde avec nous hein!

    _Oui ma femme,on le garde avec nous._Aller petiot on va te dire comment tu doit nous appeler Marie et moi et ça pour toute la vie t'écoutes là! Hochant sa belle tête Vladimir écouta et voila ce que lui dit Hector et cela...changea la vie difficile du petit garçon...


    _Marie et moi Hector...on est tes grands-parents alors appelle-nous pépé  Hector et mémé Marie et ça nous ira très bien t'es d'accord petiot? Vladimir sauta de sa chaise et se rua sur les deux vieux en riant et en pleurant à chaudes larmes. Une famille,il avait une famille, il n'était plus seul...jamais plus il n'aurai froid, il n'aurai peur, pépé Hector et Mémé Marie allaient veillé sur sa pauvre petite personne.


    Lui le bâtard avait le foyer de ses rêves. Il resta avec ses grands-parents jusqu'à la fin de leur vie. Aujourd'hui assis sur le vieux tronc,il attend. Il attend la femme et son enfant.
    Eux aussi allaient connaître la force d'un vrai foyer, eux aussi allaient appartenir à quelqu'un et vivre en harmonie pour le reste de leur vie.
    y-l.
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  • Dans un chemin, sablonneux, malaisé,
    Et de tous les côtés au soleil exposé,
    Six forts chevaux tiraient un coche.
    Femmes, moines, vieillards, tout était descendu:
    L'attelage suait, soufflait, était rendu.
    Une mouche survient, et des chevaux s'approche,
    Prétend les animer par son bourdonnement,
    Pique l'un, pique l'autre,
    et pense à tout moment
    Qu'elle fait aller la machine,
    S'assied sur le timon, sur le nez du cocher.
    Aussitôt que le char chemine,
    Et qu'elle voit les gens marcher,
    Elle s'en attribue uniquement la gloire,
    Va, vient, fait l'empressée: il semble que ce soit
    Un sergent de bataille allant en chaque endroit
    Faire avancer ses gens et hâter la victoire.
    La mouche, en ce commun besoin,
    Se plaint qu'elle agit seule, et qu'elle a tout le soin
    Qu'aucun n'aide aux chevaux à se tirer d'affaire.
    Le moine disait son bréviaire:
    Il prenait bien son temps! Une femme chantait:
    C'était bien de chansons qu'alors il s'agissait!
    Dame mouche s'en va chanter à leurs oreilles,
    Et fait cent sottises pareilles
    Après bien du travail, le coche arrive au haut.
    Respirons maintenant, dit la mouche aussitôt:
    J'ai tant fait que nos gens sont enfin dans la plaine.
    ça, Messieurs les chevaux, payez-moi de ma peine.

    Jean de la Fontaine.

    Ainsi certaines gens, faisant les empressés,
    S'introduisent dans les affaires:
    Ils font partout les nécessaires.
    Et , partout importuns, devraient d'être chassés.
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  •  Quand une femme du monde a les yeux vides,
    c’est que son regard est tourné vers l’intérieur.Philippe Bouvard. dans humour bande-dessinee-asterix-00041

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  •  Philosophe hollandais, (1632/1677).
    L’appétit n’est rien d’autre que l’essence même de l’homme.

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  • » Tout ce qui parfois se meut, de-ci et de-là, marque des pauses. L’oiseau qui vole s’arrête à un endroit pour construire son nid et dans un autre pour se reposer. L’homme qui marche s’arrête quand bon lui semble. Ainsi le dieu Wakan s’est-il arrêter. Le soleil si beau, si brillant, a aussi un endroit pour s’arrêter. »

    Chef Indien du Dakota. dans Citations galerie-membreoiseau-busetn_aigle-012-277
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