• Page Trois.
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    Une façon comme une autre de faire connaissance!
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    _Ah ok, c'est bon pour ton texto, attends...Ah! okay, je raccroche, salut Alban à demain. Je n'us pas le temps de finir que la voiture s'engouffra dans un trou noir.

    Le  téléphone  ne capta plus rien. La poisse, j'espérai que le bâtiment que j'avais
    aperçu était au moins pas trop loin d'un réseau, d'une borne, d'un capteur bref de quoi téléphoner à Alban dès demain matin sinon...il allait flipper grave et ça allait être ma fête!
     Le gonze y rigolait pas.


    _Hum ton patron est toujours aussi protecteur à ce que j' ai entendu, t'a t'il mis en garde contre moi? Contre mon patron?
    _Bah oui...t'as sûrement entendu la conversation alors...
    _Tu en pense quoi au juste?

    _Moi? Rien, je vis ma vie, ce qui me plaît n'est pas souvent au goût des autres  mais,  ma vie ne regarde que moi. Je laisse vivre les autres, qu'ils en fassent autant.
    Eh bien Arthur tu me surprends encore et j'aime ça! Il y a peu d'hommes qui me surprennent et encore moins qui me donnent envie de déroger à mes habitudes...

    Tu es spéciale Arthur face à cela, tu devrais écouté Alban, car si ce que je pense de toi est avéré... je ne te lâcherai pas de sitôt mais...si tu n'es qu'un petit c.. à fourré, je te largue dès que j'ai satisfaction. Tu piges là?

    _Reçu cinq sur cinq, sauf que mon c.. n'est pas dans la balance ce soir et peut-être jamais à moins que tu ne sois mon futur compagnon! Si c'est toi, alors on discutera de mon c.. et du tiens...ça te branche Alian?

    _Tu as retenu mon prénom! pas mal Arthur. Allez tu viens?
    Plus le temps pour la parlotte. Il ouvrit sa portière  sortit de sa belle voiture, il prit la direction des escaliers, son postérieur dansant dans son pantalon fait sur mesure" canon".

    Ni une, ni deux, je le suis. Deux étages plus haut, il ouvre la porte d'un superbe appart. Celui-ci est meublé avec un goût unique, sobre, classe, des murs blanc nacré, luminaires anciens, salon noir et or cuir bien sûr! On passe le salon, je vois une salle attenante à une cuisine moderne dans les tons gris anthracite liseré rouge ardant le tout sur un parquet en losange très chic
    Outch j'ai pas ma place ici, quel coup de boutoir dans la gueule!

    _Tu veux boire quelque chose?
    Oh oui je boirai bien ta vie si c'était possible, ta cave en entier sans rien oublié du désarroi qui est le mien en ce dur moment! J'ai rien à voir, à faire avec un homme comme lui, je dois me réveillé merde!
    _Tu as quoi en réserve?
    Crétin de Andes...Quel couillon! je pouvais pas lui sortir une phrase intelligente? Non, un tu as quoi en réserve...lamentable!

    _Humm, bière, café, thé, chocolat chaud, vin, champagne , eau jus de fruits, choisis.
    Son regard se promène sur moi, sa nonchalance fait battre mon coeur. J'ai une foutue envie de l'embrasser mais, je ne le ferais pas. A lui de voir ce qu'il veut.

    Pour ce soir, j'ai posé mes conditions, je veux connaître les
    siennes. Son regard d'argent  devient plus foncé. Oh! Oh! Oh! Je réponds très vite , peut-être même un peu trop vite...
    _Un café noir si tu as.
    Il soupir puis il se dirige vers la cafetière ultra moderne. D'un doigt long et fin, il appui sur la touche, place une tasse délicate en dessous puis l'arôme  du café emplit mes narines.


    Il me soupèse de son regard puis se lance...
    _ Une douche ça te tente?
    _ Avec toi...avec joie!
    Alors, tout va très vite. Je me retrouve à poil dans la douche à l'italienne digne du temps des  Romains, c'est dégradant à souhait, immense, mosaïque délirant, savon ambré, champoing au Ging sheng...nous nous savonnons mutuellement. Nos corps avides se rapprochent, nos bouches affolées se caressent, nos langues dansent une gigue endiablés. Quant à nos sexes... n'en parlons pas!

    J'ai des envies folles, tant pis pour ma dignité, je le plaque contre le mur, la douche coule toujours, l'eau devient tiède...ce qui me sauve? Bin c'est l'eau très froide. Un rire, un soupir, puis nous nous retrouvons dans sa chambre.
    je reprends là ou j'en étais rester, il pousse un râle. Je le mène là ou je veux l'emmener, son gémissement rauque me fait sourire. Je me redresse, il me ceinture, ses bras puissant m'ensèrent, sa bouche s'empare de la mienne avec avidité.

    Notre respiration est saccadées, c'est jouissif. Après une petite toilette, un séchage rapide, son regard est féroce. A nouveau il me porte et de nouveau la suite mais ce qui me fait saliver pour le moment ce n'est vraiment pas cette merveille non mais cette autre merveille qui me couve d'un regard emplit d'un désir féroce, si féroce que j'en ai des frissons.

    La nuit fut très courte, il me respecta, nous étions repus. Je dormis deux trois heures tout au plus. Après une autre douche coquine, il m'invita à croquer un morceaux, il me demanda de l'excuser dix minutes car me dit 'il:" il faut que je me restaure, je ne tiens pas à te couper l'appétit. Il te faut des forces pour ce petit matin Arthur".

    Il me sourit puis il disparu me laissant là devant un petit déj  indescriptible. J'avais tellement les crocs que je me foutais de si j'allais oui ou non tout manger. Une chose était sûr, je m'ennuyais déjà d'Alian. Je partis à sa recherche. Mes pas me conduisirent dans une annexe plus petite ou il y avait une minnie cuisine. Alian se tenait debout devant l'un des placards. Okay beau mec se restaure!
    La suite sur Moomies, eklablog.
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  • Le pucelage?
    C’est un oiseau qui s’envole
    quand la queue lui vient.

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  • Je suis allé à Lourdes avec ma femme.
    Il n’y a pas eu de miracle,
    je suis revenu avec.

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  • Euh, je crois que oui, mais j'ai douze ans, je pourrais venir avec vous et, mon frère pourrait rester avec ces gens, je pourrais vous aider, vous ne pensez pas maître?

    _ Non Zian, mais, je vais te faire confiance et, je ne vais pas te faire ce que j'ai fais à ton frère. Tu es l'aîné Zian et, je pense que cette confiance n'est pas déplacé...ne me fais pas regretter cette confiance que je t'accorde Zian. Le regard que le maître posa sur le jeune Zian était emprunt de gravité.

    Il y avait aussi un peu de tristesse dans ses dernières paroles et Zian compris au delà de ce que son esprit de douze ans pouvait comprendre, que le maître s'en remette à lui pour un secret qui ne devait pas être révéler, en cet instant, Zian devint ce qu'il serait plus tard, un guerrier.


    L'image qui se forma dans son esprit ne dura que quelques secondes, mais, lorsqu'elle disparut, il restait dans les yeux de Zian une légère brume...puis, il hocha la tête et prit son jeune frère par l'épaule et lui dit: " viens, nous rentrons chez nous, cela fait plusieurs heures que nous sommes partis pêché et, la pêche n'a pas était bonne, père ne va pas être content de nous.


    Viens, dépêchons nous de rentré avant la nuit, aller viens je te dis.
    _ Mais ou! ou veux tu aller Zian!
    - Mais, chez nos parents tiens. Aller Lizu, allons chez nous.
    - Alors, on va  à la maison Zian! On va mangé et dormir et le vieux maître viendra nous voir plus tard, dans l'année? C'est ça hein?

    -Oui, Lizu c'est ainsi que cela se fera, c'est ma parole de vieux maître, maintenant...retournez sous la tente de vos parents,ils s'inquiètent et, bientôt c'est tous le village qui sera inquiet, nous,nous retrouverons bientôt les garçons, c'est notre secret à nous.- oui, oui maître s'écrièrent les garçons.


    Alors, le maître reprit son chemin. il connaissait sa  route mais, il sentait en lui le réveille de la Sorcière et, à cause de cela, il ne voulait pas brusqué les chose. Il avançait doucement, comme un maître récoltant des informations sur les plantes, prenant des notes afin de pouvoir vérifier plus tard, on ne sait jamais.

    Les remèdes des anciens ne sont pas à prendre à la légère, un sourire...un bol de riz, quelques histoires lui valaient la permission de dormir dans la hutte des invités de passages.Mais, comme la loi le disait:

    il devait être parti le lendemain à l'aube, c'est la loi dans le village des Fleurs de l'Oublis et, là encore il valait mieux obéir; sinon on restait prisonnier à vie dans cette vallée des Fleurs de l'Oublis...c'est triste, de belles choses poussent
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  • Laisse moi respirer longtemps, longtemps, l’odeur de tes cheveux, y plonger tout mon visage, comme un homme altéré dans l’eau d’une source, et les agiter avec ma main comme un mouchoir odorant, pour secouer des souvenirs dans l’air.
    Si tu pouvais  savoir tout ce que je vois! Tout ce que je sens! Tout ce que j’entends dans tes cheveux! Mon âme voyage sur le parfum comme l’âme des autres hommes sur la musique.
    Tes cheveux contiennent tout un rêve, plein de voilures et de mâtures; ils contiennent de grandes mers dont les moussons me portent vers de charmants climats, ou l’espace est plus bleu et plus profond, ou l’atmosphère est parfumée par les fruits, par les feuilles et par la peau humaine.
    Dans l’océan de ta chevelure, j’entrevois un port fourmillant de chants mélancoliques, d’hommes vigoureux de toutes nations et de navires de toutes formes découpant leurs architectures fines et compliquées sur un ciel immense ou se prélasse l’éternelle chaleur.
    Dans les caresses de la chevelure, je retrouve les langueurs des longues heures passées sur un divan, dans la chambre d’un beau navire, bercées par le roulis imperceptible du port, entre les pots de fleurs et les gargoulettes rafraîchissantes. Dans l’ardent foyer de  ta chevelure, je respire du tabac mêlé à l’opium et au sucre; dans la nuit de ta chevelure, je vois resplendir l’infini de l’azur tropical;
    sur les rivages duvetés de ta chevelure je m’enivre des odeurs combinées du goudron, du musc et de l’huile de coco. Laisse -moi mordre longtemps tes tresses lourdes et noires. Quand je mordille tes cheveux élastiques et rebelles, il me semble que je mange des souvenirs.
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  • Douce et Belle Bouchelette.

     

    Ainsi, ma douce guerrière

    Mon coeur, mon tout, ma lumière,

    Vivons ensemble, vivons

    Et suivons

     

    Les doux sentiers de la jeunesse:

    Aussi bien une vieillesse

    Nous menace sur le port,

    Qui, toute courbe et tremblante,

    Nous entraîne chancelante

     

    La maladie et la mort.

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  •  Pour paraître plus diaphane et se protéger l’épiderme, les femmes grecques, notamment celles des villes, étalaient sur leurs visages du blanc de céruse, aussi désigné comme blanc d’argent. Il s’agit d’un carbonate de plomb. Les courtisanes, par coquetterie, s’en enduisaient tout le corps. Néanmoins, déjà, on commençait à dénoncer ce pigment blanc comme malsain. Le 1 er octobre 1760, Lady Coventry meurt après s’être maquillée pendant plusieurs années le visage avec de la céruse fabriquée à base de poudre de plomb blanche. Elle fut la première victime d’empoisonnement cosmétique reconnu par la médecine. Ce produit fut interdit d’utilisation en France, vers 1915, à cause de sa toxicité et ne servit pas heureusement comme produit de protection de l’épiderme.
    Roland André.

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