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    Soudain une voix s’écria! Vingt deux, voila les slips…
    Ben pourquoi t’es de sortie toi?
    _Elle a rompue d’avec Claudio, c’est fini, il ne viendra plus farfouillé…si tu vois ce que je veux dire! elle va de nouveau nous sortir. Finis les fanfreluches de luxe…
    _Oh non Cotone, je vais me retrouver au placard?

     

    _Eh oui Satine, tes camarades et toi, allez prendre un peu de vacances et nous les Cotone, on reprend du service.
    _Ben d’habitude c’est quand elle a ses coquelicots qu’elle vous sort!
    _Dis donc Satine c’est quoi que tu piges pas quand je te dis que Claudio et elle c’est fini?

     

    _Oh regarde Cotone, regarde vers ta droite!
    _Quoi! Je vois rien moi, le pilier me bloque la vue.
    _Vingt deux Cotone, voila les slips!
    Oh,oh,oh là c’est cool, c’est ceux de Sergio, le beau.
    _Dis moi Satine à quoi ils ressemblent?

     

    _Ben à des slips pas de quoi s’extasier, ça vaut pas un bon boxer moulant sur des fesses fermes, qui allongent les cuisses musclés…tant qu’à faire. Oups le vent ce coquin vient de les enroulés les uns les autres.

     

    _Ah bon, alors ce sont ceux de Xavier et de Victor, ne t’extasie pas plus va! Ils ne sont pas pour elle.
    _Attends,attends Cotone, voila un extraordinaire boxer noir, une taille ma coquine je te dis pas, ça, ça vaut le coup d’oeil.

     

    _Tu vois le gars Satine, tu le vois?
    _Ouiiii, faut qu’elle vienne, faut qu’elle vienne et vite. Un corps de géant, des muscles parfait, de longues jambes musclées, un derrière à tomber. Il pourra la soulevée sans problème tu peux en être sûre Cotone.

     

    _Oui mais, il est avec les deux autres?
    _Non Cotone, non, il est seul sur son fil,il bouge bien avec le vent…c’est sûr Cotone, c’est toi et tes soeurs qui retournent au placard…nous autres on va avoir du travail et crois moi qu’on va pas chaumée. Soitine cette pimbêche et même les sinthé froufroutantes vont venir en renfort…quel bonheur. Ah Cotone, je suis sèche. Excuses-moi petite mais j’ai un boxer à faire frétiller.

     

    Ne t’inquiète pas Cotone, tu ressortiras quant elle aura ses coquelicots à moins qu’il ne lui offre un beau bébé! Saches-le Cotone on va l’aider à avoir son bébé,tiens regarde, la voila…oui,oui,ouiiii elle l’a vue. Cotone mon amie, nous reprenons la main.

     

    Sa joie me fit mal mais pourquoi,pourquoi gémit Cotone,pourquoi ne suis-je pas moi aussi en satin? Deux heures plus tard, on me jeta dans le placard.Quand donc reverrais-je la lumière du jour? Un peu de coton parfois fait du bien à certaines fesses dodues…il ne faut pas nous oubliées au fin fond d’un placard tout noir…Nous avons nous aussi notre utilité et pas seulement certains jours du mois qu’on se le dise.y.l.

    Sur une idée de Pascal Perrat.

     

    « Cher ami toi qui est "ostéopote"...Une ascension mouvementée... »
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