• Infamie...Fourberie.Mensonges et compagnie.

    Infamie...     Fourberie. 
    Bonsoir Mademoiselle! 
    Je frémis, je ne l'ai pas entendu. Je ne sais de  quel côté il vient, c'est la première fois que ça m'arrive. Je dois me reprendre sinon ma vie sera courte. Quelle misère! 
     
    Bianca abuse vraiment, je crois que je vais lui dire quelle doit se trouver une autre poire. J'en ai ma claque. Chaque jour, chaque soir c'est la même  rengaine. Le carton rose sur mon Iphone m'indique que Bianca est avec un nouveau jule et que je ne dois pas rentrer. 
     
     
    Merde, qui est la propriétaire des lieux? 
     
    Rencontre:       
     
    J'ai rencontré Bianca Swalst    il y a trois ans et demi. Je finissais mon cursus, elle avait encore deux années à faire et de la volonté pour ça. Mon héritage en main, c'est à dire la vieille maison de mon oncle Alfred Fleuk plus, un pactole pas négligeable.
     
    Je me suis dis qu'un colocataire , ça   ne serait pas si bête! La maison est grande, à l'écart de la ville alors...avoir quelqu'un avec qui partageait le soir un repas et la fin de semaine n'être pas toute seule serait un bonus.

    Je laissais deux affiches  une à la cafet, l'autre sur le mur au bahut. Dans l'heure qui suivit, je reçu plus de sept appel pour visiter et connaître la maison et les fonctionnements de la vie. 
     
     
    Le premier était un jeune homme charmant avec un petit accent British Alec Blasq, vingt sept ans ...futur biologiste en recherche d'une chambre avec commodités et d'un partage de frais modérés.  Il me plut d’emblée. Mais, le loyer n'était pas conforme à ses recherches. Il visita quand même   , après tout me dit'il, s'il connaissait du monde qui cherchait ce genre de partenariat...il se ferait un plaisir de parler de moi. 
     
     
    Mais malgré le charme de la maison et du reste, il ne pouvait donner suite. Son pécule ne le  lui permettait pas  . Ah quel dommage! Je soupirais en espérant que celui ou celle qui avait rendez-vous serait à même de vivre avec moi. 
     
     
    Deux heures plus tard, je recevais Bianca Swalsy Vingt et un ans, blonde aux yeux entre le  gris et le bleu. Belle jeune femme qui le savait et semblait être sûre d'elle même  . Une combinaison qui me déplut fortement dès le départ. Pourtant, elle ne rechigna pas     face au prix demander ni au fait que je demandais trois mois de loyers d'avance. 
     
     
     
    Les trois derniers bulletins de salaires puisqu'elle m'avait dit qu'elle travaillait trois soirs par semaine et souvent le vendredi et le samedi soir. J'acceptais de faire avec elle un petit bout de chemin afin de voir si nos caractères seraient en osmose ou non/.y.l. à suivre.
     
    « C'était un méchant lundi...Le mensonge est ' il toujours nécessaire? »
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