• Maria Kalogheropoulos, dite Maria Callas en 1950,  cantatrice grecque.

    Dès ses débuts à la Scala de Milan en 1950, elle fut la cantatrice la plus célèbre de son époque,

    imposant une personnalité vocale et théâtrale qui influença notablement sa génération.
    Elle quitta la scène à Covent Garden en 1965.

    Parmi ses rôles les plus célèbres: Norma ( Bellini) et Luccia di Lammermoor ( Donizetti).

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  • Princesse castillane, elle est la fille du roi Alphonse VII et d'Aliénor d'Angleterre.
    A la mort de son époux Louis VIII le Lion ( 1226), roi de France, elle exerce la régence pendant la minorité de son fils Louis IX.

    Jusqu'à sa mort, elle conservera un rôle politique important et assumera une deuxième fois la régence pendant la croisade d'Egypte ( 1248-1252).

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  • Les Charites sont des déesses grecques personnifiant la grâce et la beauté, la vie dans toute sa plénitude, et plus spécifiquement la séduction, la nature, la fécondité et la créativité humaine.

    Aussi accompagnent-elles les Muses. Selon le poète grec Hésiode, elles sont les filles de Zeus et d'Eurynomé. Certaines traditions tardives en font plutôt les filles d'Hélios ( le Soleil) et d'Eglé, ou Dionysos et de Coronis.

    Elles étaient généralement trois: euphrosyné, thalia, Aglia. On les représentes souvent se tenant par les épaules. Euphrosyné est l'allégresse, la joie de vivre. Thalia est l'abondance, le trop-plein de vie.

    Aglia est la beauté dans ce qu'elle a de plus éblouissant. Aglia, la plus jeune passe selon Hésiode pour être l'épouse d'Héphaïstos à la place d'Aphrodite.

    Elle est aussi la messagère d'Aphrodite. Comme tous les dieux et déesses, les Charites sont éternellement jeunes et belles.

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  • Erguel

     Première et douloureuse  leçon.

    Comme de fait, il était en train de manger de façon gloutonne et il empêchait ses soeurs et sa mère de manger. De colère, je saisis une autre carcasse et je la jetais au pieds du goinfre. Il fit un bond emmena sa proie, puis, de nouveau  et sans me quitter des yeux il se rua sur sa  carcasse, plus vieille, plus goûtue.

    Je m'avançais sans cesser de le regarder, ma boule ronronna ,les autres aussi et ma mémère en fit autant. Erguel gronda de façon doucereuse, remuant doucement son énorme queue à trois fourche. Il battit l'air de celle-ci plusieurs fois,mais, je continuais à avancé. Alors, la voix de mon amie me parvint:


    " laisse le faire, en règle général les nôtres savent quand il faut arrêter de mangé. Il a des lacunes, car je ne lui ai pas appris la chasse, alors, il croît qu'en tant que mâle...il peut tout faire. Ce sera une grave erreur, regarde bien.


    C'est ce que je fis et je ne fus pas le seul à regarder. La plupart des hommes en faisaient autant, fascinés par le spectacle de ce goinfre sans cervelle. Un léger sourire retroussait leur lèvres. Un bruit sonore, et notre jeune compagnon s'éloigna de sa carcasse avec dégoût...puis, il vomit plusieurs fois de façon désordonnés du moins pour nous les hommes.

    La mère et les filles regardaient et je compris que la mère Ertgard donnait une leçon de vie à ses enfants. Alors, fasciné, je fis comme tout le monde, j'admirai le spectacle. Après un dernier haut le coeur, ce petit monstre sans cervelle revint vers sa mère pour se faire dorloté.

    elle attendit qu'il baisse sa nuque et vive comme l'éclair, elle le saisit au cou et y enfonça sa puissante mâchoire. Des couinements de colère,puis, des gémissements de douleurs se firent entendre. Pour ne pas vexer ce futur monstre, je fis signe et tous le monde repartit à ses travaux laissant l'Ertgard faire la loi chez elle, ce qui était normal.

     

    Elle se devait de remettre les choses en ordre pour se faire respecter par tous le monde  y compris ses propres enfants, surtout de son fils. Celui-ci grandissait vite et prenait de jour en jour de la force, dans peu de temps, il serait plus grand que sa mère, ses dents seront plus large,plus grandes aussi, son poids dépassera celui de sa mère et il le savait.


    La lueur qui traversait ses prunelles sombres faisaient frémir plus d'un homme. L'ombre de la colère luisait en elles. Cet Ertgard là, serait redoutable.

    Une mise au point.Quand plus tard l'heure du repas sonna, tous les hommes s'attroupèrent comme à l'ordinaire pour se servir les uns après les autres et cela en ordre. Etais-ce  encore une façon de montrer l'ordre à ses rejetons! L'Ertgard était là et ses petits aussi. Erguel boitait et il baissait la tête, on fit comme si de rien n'était, puis, chacun trouva sa place pour manger et pour raconter des histoires.


    Après un bon moment de bonnes rigolades; j'entendis dans ma tête mon amie qui demandait à parler. Je fis un signe aux hommes et je saluais l'Ertgard-Notre amie Ertgard veut nous parler. Voulez-vous écouté son récit! Des oui enthousiaste se firent entendre de partout, mon frère vint aux nouvelles et resta pour écouté ce que l'Ertgard avait à dire.

    Je lui trouvais la mine pâle, et son corps me sembla sans force.Il me fixa de ses yeux éteints, et j'eus mal pour lui, il me sourit, me fit un léger signe t se pencha pour écouter. Bien lui en prit . Je parlerai pour elle, car je l'entends, mais pas vous...êtes vous d'accords? Les oui se firent de nouveau entendre, mon frère hocha la tête.

    -Markpial ici présente veut vous expliquez quelque chose, alors, écoutez bien car c'est important." J'ai vu chez vous hommes, que notre façon de vivre vous intéresse et que vous êtes bon car vous nous donnez à manger et un toit pour dormir comme vous dites, nous pas pareil que vous. Vous méfiez Ertgard quand lui ronronné comme ça vous dites ronronné? Nous ronronné fâchés, très dangereux quand nous faire ça, pas bon pour les autres quand nous ronron.

    Quand nous calme, remué queue à trois pointes et oreilles droites alors nous très heureux. Quand poils retroussés sur nous et crocs découverts veut dire joué, vous peur quand nous faire ça, donc plus faire, nous plus joués non plus, nous s'ennuie, nous aime jouer beaucoup, à courir, à se battre doucement, à lécher,à rouler terre, enfin, nous voulons jouer avec hommes bons. Hommes nous vous vouloir?

    Des expressions singulières se firent, je regardais moi-même ma boule de poil et ses yeux brillaient, je lui dit:" pourquoi ronronne tu alors? -Toi, aimes ça, toi heureux, quand ronron...alors moi, aime faire plaisir toi. Change pour toi frère." J'en fus abasourdi, elle avait changée son mode de fonctionnement animal, un instinct de génération en génération acquis depuis la nuit des temps , pour un homme; pour moi!


    Je regardais enfin les hommes qui assis bouche bée, sans voix épiés les Ertgards, se montrant soudain inquiets, puis, un jeune ...Markon je crois se roula par terre et éclata de rire en faisant des signes  vers les jeunes et ceux-ci se ruèrent sur lui, lui mordillant les mains, le nez, les jambes, le léchant partout ou ils  pouvaient l'atteindre, un autre, Krastien se roula à son tour par terre en faisant des signes, puis, se fut tout les Helkians.

     

    Les jeunes Ertgards ne savaient plus ou donner de la voix. Ma boule de poil se joignit alors à eux, un véritable tourbillon, des jappements de rire, de poil, d'hommes, un régal pour ces hommes sans enfants. Ne sachant comment ils devaient se comportés, ils restreignaient leurs mouvements, quand Markpial d'une voix forte leur dit :" Faites comme pour vos petits et comme pour vos animaux de maison, bon pour eux, bon pour nous."


    Pendant trois jours entiers ce fut un réel plaisir, pas un instant n'était perdu. Dès les tâches accomplis, c'était à qui commencerait. Les rires fusaient de partout. Le troisième soir, c'était plus calme, les tensions s'étaient comme envolés, les hommes et les bêtes faisaient comme une trêve amicale, chacun se regardant un sourire fugace aux lèvres.


    Puis, autour du feu, chacun revivait ces jours extraordinaires et les rêves éveillés continuaient rien qu'en regardant les jeunes allongés par terre non loin d'eux.Les visages de ces hommes rudes, vieillit par la guerre et l'horreur s'éclairaient d'un doux sourire.

    <<La fin de la trêve.>>

    Puis, un bruit, celui d'une toile de tente, d'un rabat relevé avec brusquerie. Markpial se dressa et elle regarda l'homme debout qui s'appuyait contre mon frère.

    Elle le reconnu et me disant dans ma tête à toute vitesse et pourtant d'une façon si légère que je crus avoir rêver, mais elle insista plus fort, alors je l'écoutait:" prends Myaelle et part vite sans te retourné, ne réponds pas à l'homme, il t'écoute depuis longtemps.

    Lui pas bon comme toi, lui  te vouloir du mal...poison encore en lui. Il veut te tuer, toi parts maintenant, revenir quand je dirais et pas avant, vite toi partir Neschel, vite. Elle dit mon nom pour la première fois et c'est sans doute pour ça que je l'écoutais sans trop réfléchir. Je ramassais vivement mon sac, ma boule de poil me colla aux talons, puis je dis à Markon:

    " je parts chassé le poisson, dis le à mon frère et surveille mon frère pour moi. Sorts d'ici ce soir, va dans ta tente Markon j'ai besoin de ton aide. Il hocha la tête et partit vers sa tente sans se retourné. Alors la voix forte d'Artas se fit entendre, mordante, pleine de rancoeur, le venin qui coulait encore dans ses veines le faisant rugir. Son état était pourtant bien meilleur que la dernière fois ou je l'avais vu. Pourquoi cette haine après moi! Je l'entendis en moi et cela me glaça le sang.

    -Oui, oh oui je peux te parlé comme tu parles avec tes fauves. Ces sales vermines qui contamines mes hommes par leurs façon de se conduire, comme des chiens sans maître. Oui, oh oui! Je sais qu'elle m'entend, mais qu'importe, que m'importe et un rire froid fusa de ses lèvres à peine ouverte.

    C'est avec toi que je veux me battre. Viens donc bâtard de chien enragé...guerrier noir...je te lance un défi
    -quoi! tu fuis! Lâche, lâche que tu es, n'as tu pas d'orgueil, chien monstrueux, viens donc te mesurer à moi. Viens! Je te l'ordonne.

    sa voix rauque le fit toussé et ainsi je pu fuir; avec en tête un bourdonnement sanguinaire un besoin de faire du mal, de lui arracher ses tripailles, de le vider de sa vie. Un son long et fort puissant se fit entendre au loin, puis, j'entendis le bruit d'un corps qui tombe et d'un autre qui essai de le relevé.

    J'entrevis des hommes debout, effarés, dressés, dépassés par ce qu'ils venaient de voir et du peu qu'ils avaient entendu, puis, ce fut le calme alors j'entendis les ronronnements puissants et cela me calma l'esprit. Mon corps en feu se calma et je retrouvais enfin une température normale.

    <<Une légende>>

    Encore quelques foulées et je serais auprès de mes rieurs, de mes marrants. Ils voudront joués eux aussi , puis, ce sera la nuit dans le terrier vide, à l'abri. Mais soudain dans ma tête la voix rauque fut de retour. Cette fois je faillis tomber tellement j'étais surpris. Il parvenait à me narguer dans mon esprit.


    Inquiet de cette étrange nouveauté, je cherchais à comprendre ce qu'il disait, j'aurai mieux fait d'évité.
    -" Chien galeux je vais te détruire, je suis l'homme noir. Mon destin c'est de mettre fin à ta misérable vie. Ton frère va m'y aider, je te retrouverais, partout ou tu iras, j'y arriverais et un jour, tu seras à ma merci.


    Un rire monstrueux résonna dans ma tête, puis, quelque chose d'autre y vint, un son léger d'abord, puis plus fort chassa cette voix haineuse, ma boule de poil me parlait et là je m'arrêtais éberlué.


    -Que! Qui!...Quoi! C'est bien toi? Tu essaie  de me parlé? Depuis quand?
    - Enfin! j'ai réussis à te faire réagir.
    _ Mais depuis quand!
    - Oh! c'est la première fois.

    _ Alors pourquoi aujourd'hui?


    - Bien parce que cet homme est mauvais, tu ne dois pas écouté sa voix, il n'est pas l'homme noir. Dans quelques jours il ira mieux, c'est à cause du poison qui est en lui, c'est ça qui le fait déliré, il ira mieux bientôt et il oubliera ce qu'il ta dit, il ne pourra plus s'adressé à toi de cette façon, son esprit sera libre,oui, il oubliera,mais ton frère lui n'oubliera pas et les hommes non plus...mais ce n'est pas grave dans le sens qu'ils verront que cet homme là, bien que mauvais ne pourra jamais se mesuré à toi."



    - Alors, l'homme noir existe vraiment!
    -Oui, d'après la légende, il existe bien un homme noir, mais pas un guerrier noir, cet homme noir vient à la vie à cause du guerrier noir pour le combattre et le tuer. Dans la même légende, il y a une guerrière noire, avec son Ertgard noir, un mâle et un jour on se rencontrera; mais, il n'est pas temps de penser à cela, tu as d'autres choses à faire pour l'instant.

    -Eh! Attends un peu, depuis quand comprends tu ma langue?
    -Oh! ça...depuis le début, mais il m'a fallut du temps pour comprendre ce que tu disais et ce que les autres disaient et puis, tant que tu étais là-bas, il n'y avait pas besoin que je te parle. Là ça change tout, puisque je dois t'expliqué beaucoup de chose...sais tu que ton adversaire,oui, pour l'instant il l'est, sais tu donc, que tu aurais pu le détruire!
    -Quoi! Mais comment?


    - Eh bien...quand il te parlait dans ta tête, tu aurais pu si la colère ne t'avait pas fait bouillir le sang, ou si ta peur de faire du mal à ton frère ne t'avait pas empêcher de réfléchir, tu pouvais le détruire, lui prendre sa misérable vie. Quoi que je crois que tu le sais, et que c'est pour ça que tu as fuis si vite...te croyant à l'abri de sa parole, non!

    - Hum! oui tu as raison je pouvais le détruire,lui et tous les autres, mais alors, ma haine l'aurait emporter. Bon donc tu dois m'expliquer des choses! Alors je vais t'écouté, quoi que...un moment ma boule de poil, ta mère me parle depuis longtemps, dans ma tête. C'était la première fois qu'elle parlait aux autres l'autre soir, mais moi, je l'entendais depuis le début,j'en suis sûr.


    -Oui, oui! elle te parlait dans ta tête, mais elle est plus sage que moi qui suis encore toute jeune. Elle a grandit pas loin des hommes sages qui vivent non loin de ton ancien village. Puis, il a fallut qu'elle quitte l'endroit car les hommes prenaient beaucoup de territoire, cela devenait dangereux pour eux.


    Elle ne voulait pas leur faire du mal, elle a préféré partir. Quand tu l'as découverte dans le terrier, ce n'était pas son antre, sa grotte si tu préfère...mais prise par le temps, elle n'a pu rejoindre son antre, alors, elle a fait du terrier l'endroit ou logiquement ses deux petits devaient venir au monde. Quand tu l'as trouvé, elle allait abandonnée la lutte, c'était trop dur, elle était trop fatiguée.


    Tu nous as sauvé la vie et la mienne doublement, même si je devais naître pour toi.
    - Hein!
    - Ne fais pas l'idiot, tu crois qu'elle t'aurai laissé l'approcher de son trou, si elle avait pu se lever!
    - Non, bien sûr que non, je ne connaissais pas votre espèce avant et j'aurai sans doute passé mon chemin sans m'arrêter...mais, les gémissements de douleurs étaient trop dur pour moi, je ne pouvais pas ne pas voir ce qui se passais pour l'animal en détresse.

    Alors je me suis approché doucement puis, elle m'a regarder, j'allais faire demi-tour, j'avoue j'ai eu peur...mais la plainte suivante m'a fait comprendre qu'elle avait un gros problème. Je pouvais l'aider, je lui ai dit. Elle a gronder, retroussées ses babines, hérissées ses poils.

    Imposante elle l'était ah oui alors, mais elle a gémit doucement pendant que je m'approchais d'elle. Alors,  j'ai eu confiance et j'ai fait ce que je devais faire, sans plus me poser de questions. La  suite tu l'as connais. Quand je pense à ce que j'ai du faire pour e nourrir toi boule de poil!


    -Arrête, arrête de m'appeler comme ça!
    -Quoi!

    - J'ai un nom important, tu dois m'appelé par mon nom. Boule de poil ça veut rien dire pour les Ertgards, donne moi mon nom...

     

    << Un nom>>

    Interloqué, je la fixais, mais elle était bien en colère. Ses yeux si doux d'habitude, devinrent noir et c'est sans ménagement qu'elle me fit tombé
    .-" Donne moi mon nom Neschel!"
    - C'est la première fois que toi, tu me donne mon nom.
    - Réfléchis, c'est la première fois que je te parle.
    - Ahhh oui! c'est vrai, tu attaches de l'importance à ton nom?
    - Oui, comme toi tu attaches de l'importance au tiens, non!
    - Oui, bien sûr que oui, mais là...
    -Quoi! tu l'as oublié? Tu as oublié mon nom?
    -Euhh oui, Myaelle! un léger rire et c'est à grand coups de léchouilles que je reçu ma récompense.
    - Je croyais que tu l'avais oublié, que cela n'était pas important pour toi.

     

    - Vois tu Myaelle, moi, j'aimais t'appelé boule de poil, car ainsi, tu restais petite. Là, en te donnant ton nom, tu es plus grande et je dois maintenant te parler comme je le fais avec les autres et mon coeur se serre car tu es la lumière de mon coeur.

    - Non, Neschel, je suis encore petite, mais je connais plus de chose que toi et c'est pour cela que je veux que tu me donne mon nom, comme tu viens de le dire, cela te force à voir en moi une adulte et c'est très bien et puis tu vois, tu n'as pas fait attention à ta voix.

    - Oh! c'est vrai ça, tu es futée Myaelle, oui très futée, alors dis moi ce que je vais devoir faire..
    .-D'abord tu vas chassé pour nous, un bon gros poisson, on partage et on dors. Demain mon frère ne sera pas loin du terrier, il vient pour se mesurer à toi, le pauvre, il sait que tu dois lui apprendre la chasse...mais, il pense tout connaître et il est très fier.


    -Eh! attends, tu vas trop vite pour moi là. Pourquoi dois-je apprendre la chasse  à ton frère?
    - Parce que mère ne le peut pas et que ce bêta d'Erguel se croit très fort, mère à prit peur, alors elle te l'a envoyer, sachant que tu en prendrais soin. C'est bien les mères hein Neschel! Je bougonnais, car là  je me sentis pris au piège. La petite terreur voulait me faire mordre la poussière, alors là...j'allais bien m'amuser , quoi que!


    Bon, aller on chasse, on mange et tu m'explique; je crois que c'est la meilleure tactique.
    - Oui mon frère de vie.

    Bouche bée, je regarde Myaelle puis je soupire vaincu encore une fois par une Ertgard. La chasse fut bonne et après le repas on s'installa le mieux possible et là elle m'expliqua ce que je devais faire pour sa famille.

    Je poussais un énorme soupir, puis comprenant enfin je souris. Le lendemain elle me dit:" On va aller chasser, nous prendrons une très grosse part, il arrive, il sera là lorsque nous mangerons...il aura les restes.

    cela lui fera comprendre que pour la nourriture c'est toi le chef et il se tiendra sur ses gardes...mais, méfies toi de lui, il apprend très vite et quand ses cornes pousseront, il faudra le chassé d'ici alors, mes soeurs viendront et tu leurs apprendra la chasse en groupe.

    << Mauvaise nouvelle>>

    -Les cornes Myaelle? Quelles cornes? d'ou les cornes?
    - Euh,oui, les mâles Ertgards ont trois grosses cornes qui leurs poussent une  sur  front et deux sur les joues . Suivant l'âge du mâle, elles sont soit petites, soit grandes. Ah! tu dois aussi penser à l'envers.
    - Penser à l'envers! comment veux tu que je fasse cela?
    - eh bien...quand tu es le guerrier , tu penses différemment, alors fais le en te battant contre lui, ainsi il ne lira pas tes pensées. Il ne pourra pas te battre s'il ne sait pas ce que tu vas faire, c'est simple non!
    (y-l)

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  • La visite...
     Elle cligna des yeux et poussa un gros soupir, avec difficulté elle se leva...je n'avais pas prévu cela et de la voir se traîner ainsi, cela me fit mal; mais je ne pouvais l'aider et elle le savait bien , d'ou le soupir je suppose.

    Avec lourdeur, elle sortit du terrier les petits derrière nous suivant le mouvement. Arrivé à la butte, elle monta avec grande difficulté puis, se laissant tombée elle appela ses petits, ma boule blanche resta avec moi. De son regard elle l'invita à venir , ce qu'elle fit en courant .

    Un délice de les voir tous là ensemble, ils mangèrent les herbes et les baies, puis, ils se levèrent et se dirigèrent vers le terrier. Alors, elle me dit:" Prends tout ce qu'il reste et va soigner l'homme vie de ton frère, emporte la petite avec toi car elle est ta soeur de vie. reste en vie et un jour nous nous reverrons homme noir."


    Je fis ce qu'elle me dit et après avoir dit au revoir, je repris le chemin  inverse. Après trois jours, j'arrivais enfin. Mon frère m'attendait avec grande impatience. J'étais à peine arrivé qu'il me sauta presque dessus - Alors! Alors! tu les as avec toi? Dis moi...tu as les herbes et les baies?

    Elle a bien voulu que tu en prenne! - Oui, j'ai ce que tu m'as demander, mais, crois moi, c'était dur pour moi; car maintenant, ils n'ont plus rien...elle a donner tous ce qui restait d'herbes et de baies. Ton ami lui devra la vie et toi aussi  mon frère, ne l'oublis pas, ne l'oublis jamais.

    M'arrachant le sac des mains, il couru à la tente ou les hommes qui soignent l'attendait. Ils s'emparèrent à leur tour du sac et fermèrent la toile devant lui, il resta debout devant la toile alors, je le rejoignis, le prenant dans mes bras je l'emmenais afin qu'il boive une boisson chaude auprès du feu et qu'il mange un morceau.

    I
    Il le fit mais sans grand appétit et il but mais sans joie aucune. Assis auprès du feu nous attendîmes. Le soir doucement tomba et la nuit étala son noir manteau sur nous. Le repas fut servi et chacun en profita pour se reposer. Alors, les langues se délièrent, les victoires des jours passaient se refaisaient et tous reprenait le récit de l'autre ajoutant ou rétractant une anecdote.

    Puis les discours changèrent et les regards se tournèrent vers moi ,là encore, tous voulaient savoir, connaître mon histoire, comment j'avais fait...L'histoire leur plut tellement qu'ils me demandèrent de la leur racontait une deuxième fois et même mon frère y prit du plaisir. Les marrants les fascinés, ils voulaient tous se rendre là-bas afin de les voir au moins une fois.

    Les rires fusèrent puis peu-à-peu, chacun alla se couché des rêves pleins la tête avec des marrants dedans. J'en étais sûr. Deux jours plus tard, la médecine était prête et la les hommes sages vinrent nous chercher. C'est mon frère qui fit boire la médecine à son ami et moi j'étais là pour tenir celui-ci, car la réaction allait être violente et elle le fut.

    J'étais fort et c'est heureux, car personne n'aurai pu le tenir comme je le fis, d'ailleurs dans la tente, il n'y avait que mon frère, son ami, ma boule de poil blanche et l'être que je suis. Tous les autres avaient fuit emplit d'épouvante à ma vue. Après quelques heures de lutte, il se calma enfin.

    Un léger sourire flottait sur ses lèvres sèches et c'est confiant que mon frère me dit:" Ah! comme il est heureux que tu sois là avec ta force!
    - Oui! Tu crois!
    -Oh! Neschel mon frère! Tu sais ce que je veux dire. Si je connaissais un remède pour toi, je remuerais le ciel et la terre pour le trouvé, tu me crois dit?
    - Oui soupirais-je, je te crois et j'ai confiance en ton affection n'en doute pas. Laisse moi, il faut que je garde mon calme.


    Il retourna auprès de son ami de vie, moi, il fallait que je trouve la force pour redevenir Humain. C'est Myaelle qui m'y aida, comment? Cela je ne le sais pas encore, mais un jour je le saurai. Soudain, des hurlements, des cris, des bousculades, des appels,un nom on hurlait mon nom.

    Neschel! Viens! Viens vite! On a besoin de toi,vite! Bougonnant car j'étais fatigué, je sortis pour voir à l'entré du camp...ma mémère et ses petits, me voyant, ils vinrent vers moi tout doucement.

    Un bon dénouement.

    Les autres n'existaient pas pour eux, seul mon visage, mon odeur leurs étaient nécessaire. Je m'accroupis et j'attendis de voir ce que voulaient mes étranges amis. Avec douleur , elle vint ses petits derrière elle. Et, posant sa grosse tête sur mes genoux elle me dit:" Je suis venue car je ne peux les nourrir sans toi, je te l'ai dit, j'ai besoin de quelques jours comme tu dis. On a suivit ton odeur, j'ai mal."

    -Ou! dis moi ou?
    -J'ai besoin de dormir.
    - Ah! viens avec moi, tu vas voir, on va te faire un terrier pour toi et tes petits et vous serez bien. Je sifflais et plusieurs hommes vinrent d'eux mêmes, pas besoin d'explications, car ils firent ce qu'il fallait et l'Ertgard eut bientôt un terrier de grosses branches entrelacées, de la bouse et des pierres mélangées tout autour du terrier en forme de butte, de l'herbe sèche déposée à l'intérieure en guise de couche, herbes odorantes et sèches.

    Elle entra, s'installa, grogna un peu, ronronna beaucoup et les petits entrèrent à leur tour. Une nouvelle vie. Un concert de ronronnement s'ensuivit, c'était un délice. Les hommes écoutaient et riaient ( la peur envolée pour l'instant) heureux pour un moment, c'était bon. Puis, un des petits sorti, alla directement vers l'animal pendu,puis sans vergogne le croqua à belles dents. Les autres suivirent évidemment!
    Que faire?

    Le chef de cuisine, un gros paysan bien trapu du nom de Gradel Baquedard dit aux hommes présent:"Allez les gars on prend celui qui reste et on va le pendre près de la tente des cuisines, ainsi, ils sauront qu'on partage,une pour eux une pour nous."Un concert de ronron vigoureux vint clore le débat et de nouveau les hommes se mirent à rire de bon coeur.

    Prenant mon couteau, je taillais un gros morceau du gibier et je l'apportais à ma mémère, je reçu un formidable coup de langue à me faire tomber sur le derrière. Elle le mangea et elle s'assoupit heureuse d'être avec moi. Mon frère vint me trouver et ses yeux étaient rieur.
    - Elle t'a eu on dirait non!
    - Ben je crois que oui, j'avais pas compris ce qu'elle m'avait dit...>> j'ai besoin de quelques jours! >>Hum! et bien nous voila ensemble. Comment va ton ami?


    -Mieux, bien mieux, dans quelques jours il sera capable de diriger le camp, en attendant...on va rester ici l'ennemi se tient tranquille profitons en. Il faudra chasser plus on a d'autres bouches à nourrir...après tout on leur doit bien ça, hein mon frère!

    -Oui Arniel, les petits seront utiles, ils traqueront les rongeurs qui pullulent dans le coin et nous , nous chasserons le gros gibier; les grands  Sgonl aux longues cornes...il nous en faudrait trois pour quatre jours, ce  serait bien. La rivière abonde en poisson, ce qui nous changera de la viande.


    Il est trop tôt pour les racines, alors, on pourrai peut être prendre de la ronce rose pour la bouillir avec la viande, cela corsera le bouillon.
    - Ah oui! et qui ira cueillir cette cochonnerie de ronce rose, dis voir Neschel, qui ira? Qui aura la folie en lui pour aller la cueillir, cette fichu plante mordante, meurtrière, toi peut être?



    -Eh bien oui Arniel, je ne la craint pas, tu le sais très bien. pour moi, elle n'est que ronce et pas poison, laisse moi faire on a tous besoin de vitamines et tu le sais. Il n'y a pas de fruits, plus aucunes baies, pas de pousses de joncs, ou d'éldrek, alors la ronce sera la bienvenue et ses vertus sont appréciables. Laisse moi faire mon frère, je ne crains plus rien maintenant et c'est pour le bien de tous.

    Le danger de la rivière.


    -Bien, va pour ça, mais la petite va avec toi.
    _ Riant avec force je rétorquais, ça c'est sûr mon frère et même si je ne le voulais pas; elle viendrait quand même et puis elle est ma racine de vie alors...elle vient avec moi. Tournant le dos à un frère ahuri, je partis en courant et en riant de plus belle.

    La petite ronronna de joie, mon sac de dos devenait plus petit au fil des jours, ma boule de poil grandissait vite maintenant qu'elle avait à manger tous les jours en une part raisonnable et sans doute que la proximité des siens y jouait un rôle! là j'avoue ne pas en savoir plus, puisqu'elle ne me quittait jamais.


    Je lui fit comprendre qu'elle devrait bientôt courir à mes côtés , que je ne pourrais plus la portée...elle fit un léger cri ou grincement des dents, je ne sus puis, je continuais ma route. Arriver au bord de la rivière, je voulus la traverser mais des griffes s'accrochèrent à mes épaules.


    - Oui! Qui a t-il? Je regardais à droite puis à gauche, ne voyant rien j'allais continué, mais de nouveau les griffes furent sur mes épaules, plus insistantes. Bon...il y avait quelque chose qui n'allais pas, et je devais deviner quoi.

    Scrutant, écoutant, humant, je ne découvris rien alors, je prends un bout de mon pain et je le jette dans l'eau. Un gros remous, un bouillonnement, une multitudes de poissons voraces se dispute les miettes, pfuits,

    Heureusement que tu es venue avec moi ma belle-encore un peu et j'étais de la bouillis pour poissons, un bel appât que voila. Bon, comment allons nous faire!

    -" Un gros bout de bois qui flotte ferait peut être l'affaire!" le son dans ma tête était délicat, je caressais ma boule de poil en la remerciant de son idée.


    - Oui! Tu as raison là regarde j'en vois un, allons-y. Je prends le morceau de bois, je le jette à l'eau...pas de bouillonnement donc pas de poissons en vu. Restant sur mes gardes, je me mets sur le morceau de bois et à l'aide d'une grosse branche on traverse la rivière.


    J'ôtais  le bout de bois pour pouvoir repartir ce serai bien qu'il soit là et de nouveau je courus vers la forêt qui n'était pas si loin. Je pouvais presque la touchée et des bruits, des murmures se firent entendre.

    Mon amie ronronna de plus belle alors, je m'avance hardiment puis, je récolte les baies restantes et je tire sur les racines apparentes facile , mais, pour prendre des branches épineuses ... c'est  plus délicat.


    Comment, comment faire? D'un coup plusieurs branches tombèrent et prirent la couleur rouge ce qui voulait dire qu'elles étaient sans danger. N'y comprenant rien, remerciant à tout hasard la forêt, je m'empare de mon butin, je remercie le buisson et il frémit ( le dites pas à mon frère d'accord!)

    étourdi par le ronronnement, puis par le bruissement de la forêt,par l'odeur des baies et des lieux aussi, j'allais pour me posé...quand...je sentis une douleur -pas forte non, mais assez pour me faire protesté.


    -Eh! que fais tu? Tu n'as pas le droit de me mordre, arrête ça tu veux! Elle continue à me mordillé et je comprit enfin, alors, j'avance mollement mais j'avance et quand je ralentis, elle me mordille. En arrivant près de la rivière, elle me mordit un peu plus fort.

    Un nouveau danger...


    Ce qui voulait sans doute dire...avance plus vite et c'est en ricanant que je montais sur mon bout de bois. La traversée se passa bien, de nouveau je sortis mon bout de bois de l'eau, on ne sait jamais!

    Puis je me mis à courir afin de rentrer rapidement au campement. J'étais ivre de fatigue et affamé. Je pris quelques baies et j'allais les avalées quand la morsure se fit sentir, là, elle avait bel et bien plantés ses crocs.


    De colère j'allais l'attrapée-quand je croisais son regard inquiet, aux aguets, elle avait peur pour moi, pourquoi! Je repartis aussi vite ne laissant pas ma faim et ma fatigue me distraire. Quelque chose n'allais pas et je devais très vite trouver ce qui cloché.


    A la nuit tombée, nous étions de retour, les hommes avaient bien travaillés, ainsi que les jeunes si j'en jugeais le tas de viande à l'étal. Mon ami le cuistot était jovial et j'entendis craqué les os, les petits se régalaient.Me jetant un regard en biais, il me dit:
    " tu as tes herbes et tes baies?"

    - Oui, j'en ai un bon paquet.-Ah! d'accord, tu veux bien en mettre dans la grande bassine celle qui est sur le feu, cela va corsé le bouillon et il sera meilleur hein! Tu l'as dit toi même!
    - Oui, oui tu vas voir ça, ce sera un régal et vous aurez tous plus de force, viens avec moi que je te montre comment faire.


    Il me suivit avec sa machette en main. Un grondement, je souris, un sourire de travers, il me regarde et hoche la tête l'air de dire:" je vais pas faire le malin avec toi."
    -Dis voir Gradel, il ne s'est rien passé au camp?


    -Oh! Si tu veux tous savoir, il y a bien un soucis, mais, je sais pas comment te l'expliquer,le mieux c'est que tu vois par toi même, bon tu m'explique.

    - Ouais, bon tu prends des gros morceaux de tissus et ce faisant il m'accompagne  jusqu'à la grande marmite qui bouillonnée déjà. Je sortis du sac une grosse poignée de baies que je jetais dans la marmite, dans l'autre sac, il y avait les branches rose épineuses, alors je lui dit :
    " tu vois ici, il faut faire très attention Gradel;

    mets tes morceaux de chiffons de façon à ce que les épines ne traversent pas tes mains, puis, tu les jette dans la marmite ( dis voir gradel,avec tes deux mains ce serait mieux, crois moi, c'est dangereux,pose ta tranchette).

    Comme ça et je lui montrais, un fumet s'échappa de la marmite et cela attira le regard des hommes
    .-Oh!  dit - Gradel...ça va se corsé là aussi mon vieux.

    -Hein! Pourquoi?

    -Tu voulais savoir eh bien tu vas comprendre Neschel, le chef va sortir demain ou après demain, le jeune Eldrack a fait des sienne et vois, il re-commence.
     S'il ne se calme pas, tu vas avoir de gros soucis, tu en es responsable que tu le veuille on non mon ami, vois.
    Erguel.

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  • Un mari est un emplâtre qui guérit tous les maux des filles.

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  • Rita Rudner. 
    être mariée, j'adore!
    C'est formidable de penser
    qu'on a rencontré La personne,
    précisément,
    qu'on va pouvoir embêter

    Humour.

    le reste de notre vie!
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    3 commentaires