• Un câlin abandonné sur une plage a été retrouvé par deux jeunes chiens errant entre deux matelas et tentes, il faut d’abord dire que c’est une délicieuse odeur qui les attira…Un reste de gâteau laissé par l’un des enfants…sans doute trop pressé dallait se jeté dans les vagues scintillantes.

    comment dire non à ce lent mouvement? Bien que les éclaboussures, les vagues s’en allant et revenant sans jamais dire  » Bon les enfants cela suffit, j’en ai assez! » Non les vagues étaient là pour les amusés eux les petits vacanciers. Entendre leur rire, leur cri telle des mouettes rieuses à foison juste pour un mois ou deux après…après eh bien elle resterait seule en se languissant d’eux.

    Alors les petits avaient oublié le câlin et ils l’avaient abandonné sans un regard en arrière. Il traînait sur la serviette du petit dernier enfoui presque dans le sable mou. Du bruit, du mouvement mais pas les petits. Un reniflement, un autre, une odeur plus une autre mais…là encore, pas les petits.

    Qu’allaient faire ceux qui venaient d’arriver? Allaient ‘ ils le mâchouillé, lui bavait dessus, le jeter en l’air, le tordre dans tous les sens? Le tirer jusqu’à ce qu’il craque encore? Quelque chose de chaud, quelque chose de doux, des dents qui le soulève avec délicatesse…

    Un reniflement, un autre, un murmure, les dents le reprennent. Un tour à gauche, un tour à droite. Un piétinement, un petit cri puis, un oumphhh retentit. Le câlin se trouva loger entre les deux jeunes chiens, lové dans leurs pattes. Leur museau pas très loin de lui. La douce chaleur de leur souffle le réconforta.

    Il était bien, il se sentait enfin à sa place là, ou il fallait donné de l’amour, sans comprendre, sans question, sans envie, sans rien, juste ça se donner un câlin. Emplit de joie le câlin fondit, s’enfonça dans les poils des chiens.

    Les enfants revinrent avec leur père. Riant, se trémoussant, éructant d’avoir bu la tasse trop souvent- puis le plus petit surpris, poussa un petit cri._Papa câlin en à fait deux, c’est super on a deux câlin en plus!Maman va être contente…regarde ça papa un blanc et un gris tous ce qu’elle aime.

    Le petit se mit à gloussé, les chiens venaient de se réveillés et avec jubilation, ils donnèrent des coups de langues, des coups de truffes à qui le voulait…même le père en reçu plus d’un. Le coeur en liesse, la famille compris qu’il n’était plus besoin de câlin imaginaire car, avec eux…les deux chiens ils auraient de vrais câlin à chaque instant de leur vie fut ‘ elle courte, fut ‘ elle longue.

    L’amour de ces deux câlins là ne finirai pas et en effet maman fut très heureuse de garder avec eux tous ces deux vrais câlin la que la vie leur avait offert.Pour un bel été, ce fut un bel été fait de joie et de partage…et plus encore car les deux câlins rentrèrent avec la famille après tout, ils en faisait partis eux aussi.

    Si comme le mien de câlin, le vôtre dort de plus en plus…alors songez y c’est parce qu’il vieillit mais ce n’est pas pour cela qu’on le laissera à la maison! Ah ça non, comme tous les ans, il viendra avec nous voir la mer et entendre chantaient les mouettes de l’océan.

    Les balades à pieds et la pêche sont plus belles quand il nous regarde de son beau regard noisette avec l’air de dire: » Dis c’est quand qu’on rentre se couché? » Qu’il se pelotonne contre nous restant aux aguets, nôtre câlin vieillit mais…il n’est pas avare de  » câlin » Bel été à tous. y.l.
    sur une idée de Pascal Perrat.

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  • Aujourd’hui, je me retrouve avec Lysa à boire un bon café et à manger un petit gâteau à la crème de noisette. Assises toutes les deux face à la baie vitrée, nous regardons nos collègues de travail , les passants ordinaires affairés qu’ils sont, à se mettre à l’abri car…en ce dix novembre-il pleut des cordes et ce depuis une petite semaine.

    Nous sommes bien loin Lysa et moi-même de ce tohu-bohu. Je regarde mon amie enfin celle qui est ce qui se rapproche le plus d’une amie…car dans ce monde, l’hypocrisie et le paraître on force de loi. Mais oui, Lysa reste fraîche bien dans ses chaussures hautes, ses jeans colorés et ses polos qu’elle décore elle-même. Ses longs cheveux noir ondulent sur ses épaules et caresse son dos, lui faisant un châle douillet.

    Son visage est mince en forme de coeur, ses yeux vermeil étonnent, fascinent, troublent ou fichent une peur bleue à ceux qui ne s’y attendent pas. Elle n’est pas très grande, 1,m,70 avec ses talons de dix centimètres donc, un petit mètre soixante. Elle est fine mais son ossature est ferme, ses muscles fins cachent bien la force brutale qui coule en elle tel un fleuve tumultueux.

    Sa peau est légèrement ocre avec des reflets d’argent. Ses oreilles, petites, pointues, démontre son ascendance elfique ainsi que sa facilité de redonner vie aux plantes qui, croisent son chemin ou…l’inverse. Je lui sourie car, je sais qu’elle fait de même avec moi. Lysa El-Flok fille du Seigneur El-Flok Mordoc…promise au fils du Seigneur Bel-El-Delsort troisième du nom; future prisonnière de la Haute-Vallée des Cols.

    Ce qui est amusant, c’est qu’elle a fait exactement ce que moi j’ai fait…sans rien dire à personne, elle s’est enfuie afin de vivre au moins une dizaine d’années de vie terrestre qui égalerai vingt sur mon monde, quarante sur le sien. Oh! On sait bien qu’on nous recherche ardemment, nous sommes des proies pour les autres races, des victimes pour d’autres, des marchandises sacrées pour bien d’autres et enfin de bien belles friandises pour un petit nombre.

    Si nous sommes reprisent, nous souhaitons vraiment que ce soit par des chasseurs de primes…au moins eux, ils ne nous souilleront pas-ce qui n’est pas le cas des autres. La foule au dehors se fait moins présente. Je finis mon gâteau et je bois mon café mmmm!

    ————————————————————————

    Bonjour, je m’appelle Lysa El-Flok du moins pour ce monde -ci. Je suis en compagnie de mon amie Héllya Cormac-Demon Fille du Haut-Seigneur des terres noires Marcurius Cormac-Démon. Elle est splendide, une vraie fleur vénéneuse , poison corrosif s’il en est mais…douce et fragile d’apparence, mordante envers ceux qui se montrent trop entreprenant envers moi ou envers elle-que ce soit des hommes, que ce soit des femmes, c’est pareil.

    Elle est surveillée par Mikka son gardien, un guerrier de l’entre-monde. Un mètre quatre-vingt-dix-huit, cent dix kilos, noir de poil, les yeux bleu lagon cernés d’un noir profond, féroce, maudit par son clan et beau comme un être de l’entre_monde. Il n’est pas constamment auprès d’elle ça non, elle ne le supporterai pas mais…un seul appel d’elle et hop!

    il est là…fier, froid, furetant de son regard merveilleux. Est ‘ il seul? Non, un deuxième être de l’entre-monde, reste en arrière prompte à intervenir mais sachant garder ses distances car…l’attrait qu’il ressentent est puissant. Ils ne doivent en aucun cas s’y laisser prendre. Comment résiste ‘ il à sa beauté froide? C’est un mystère.

    Grande, élancée, sa peau ivoire, ses superbes cheveux auburn, son regard de braise virant au noir profond dans sa colère, son visage ovale, une beauté telle une madone qui, ne laisse personne indifférent. Elle craque pour son haut gardien Héliam Macthor Mac Ferguson. Vous pensez qu’ils ne sont que deux pour surveillés la petite merveille…ne le croyez pas.y.l. à suivre…

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  • avait le sourire rusé. Ces deux-là, à coup sûr, étaient de connivence. j’avais d’ailleurs surpris le crayon lui chuchotant doucement ,la chanson du vent dans la haute ramure du chêne géant.
    L’homme sourit encore plus sans, se formaliser du fait que moi, l’enfant des bois je le regarde fasciné par ce que mon petit coeur pensait percevoir.

    L’homme réagit à la supplique du crayon mais, lentement hochant sa tête lui murmura à son tour… »quel genre, ou, crois-tu que cela sera suffisant? Bon on va voir ça,tu dessine,je pense avec toi!

    Le crayon dans les doigts noueux de l’homme s’activa. La danse du bois contre la feuille du papier,le noircissant allègrement, le sourire de l’homme devint plus grand .

    Rien n’était plus beau pour l’enfant que j’étais que de regarder cet homme qui me fascinait travaillé avec cette fierté, cette lumière qui dansait autour de lui me faisait rêvé… un jour, oui, un jour je serais comme lui.

    Je le connaissais,ça oui, je le savais, mais… j’étais si jeune. Mon regard ne quittait pas le crayon qui soudain sembla s’élever dans les airs pour, venir se placer juste là derrière son oreille.

    Dans mon petit trou,pas plus grand que mon corps, je levais mes petits bras potelés vers ce visage tout ridé.
    « Oh mon tout petit, tu es éveillé? est ce moi et mon crayon qui t’avons sorti de ton doux sommeille? Tu vas être heureux petit …allez viens là voir ce que nous avons créé pour toi!

    Il me prit dans ses bras, me souleva, je sentis le vent qui telle une main aimante me soulevait afin d’aidé l’homme. Pelotonné tout contre lui, je babillais en bavant .

    Il me pencha sur le dessin achevé: »regarde ça petit, le crayon et moi on a compris qu’il te fallait une belle maison dans l’arbre et le grand chêne , il est tout à fait d’accord pour cela…tant qu’on ne lui plante pas de clous dans son coeur. Tu vois ça petit?
    J’ai hâte de te voir quant enfin plus grand tu fouleras l’herbe haute et que dans un cri de joie tu brandiras la clef de ta maison dans l’arbre;

    Ce jour là petit,mon crayon et moi nous cogiterons afin de te faire une balançoire ou encore un toboggan et tu riras ce qui chauffera mon coeur et celui de mon crayon de bois.
    Les jours, les années passèrent, je grandis fort et fier puis un jour je fus invité et là… tout me revint en mémoire. Mon coeur palpita plus vite et je revoyais l’homme qui doucement écoutait son crayon posé là tout contre son oreille.

    Aujourd’hui à l’aube de ma vie, je regarde le tout petit qui somnole dans son trou bien à l’abri.
    Mon crayon derrière l’oreille , je sus que mon sourire paraissait rusé, l’était-il? Oui sans aucun doute car j’écoutais les proposition que doucement me chuchotait mon crayon…

    Avec lui et pour lui, le vent ce jour serait notre ami…Sur une large feuille de papier, mes doigts noueux travaillaient à l’invite de mon crayon de papier. L’avion de bois et son hélice serait un très beau cadeau pour tes deux ans,mon crayon me chuchota d’autres idées et je ne pus qu’en rire car, toi ,oui toi, tes yeux grands ouverts posés là sur moi, me ramenèrent en arrière .
    je me revis enfant fier

    de voir mon grand-père et son crayon magique me construire tout un monde féerique.
    y.l
    sur une idée de Pascal Perrat.

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  • Lui donna la main pour traverser la vie et ne la lâcha plus. Une fois,pourtant…
    Je me souviens de ces jours ou jeune femme, j’étais assise derrière mes parents lorsqu’un fou du volant, nous percuta sur le côté.

    La voiture fit plusieurs tonneau et moi, je pensais stupidement que ma seule journée de plaisir, venait encore d’être gâchée. Je voyais le regard fou d’angoisse de ma mère, celui de peur intense de mon père puis… l’horreur total. Un bruit dément, un craquement,un embrasement puis…plus rien…le néant.

    Je m’éveille dans la douleur, je respire et le mal m’attaque de toute part. Un bip résonne, des pas précipités se font entendre. Une voix douce m’interpelle: »enfin Mademoiselle Frest vous voila de nouveau parmi nous, ne bougez pas je vais vous aider. »

    Quoi! Pourquoi dons ne puis-je bouger? Oh le retour de flamme me percute de plein fouet. Je croasse: » Mes parents? » L’infirmière se tend, elle me murmure
    _Le médecin va passer il vous expliquera tout, soyez forte mademoiselle Frest.

    C’est pas bon ça! Pourquoi ne pas me le dire vous?
    _ Ce n’est pas à moi de vous…
    Je hurle et mes larmes coulent et inondent mes joues. Une voix grave demande…_Eh bien quel est le problème ici? _Ah Docteur Gérardo , Mademoiselle Frest vient de se souvenir et elle ne va pas bien.

    C’est pas de le dire, pour sûr que je vais pas bien, c’est quoi ce cirque?
    _Mademoiselle Frest, cela fait presque un mois que vous êtes maintenue inconsciente, hier soir, nous avons décider de vous laissez reprendre contact avec la vie. Vous êtes jeune et toute la vie s’ouvre pour vous, ayez confiance, bon reposez-vous,je passerais ce soir.

    J’y crois pas, il me balance ça avec le sourire puis hop-là,il s’en va gaillard devant!Et de déblatérer que j’ai toute la vie pour moi! Pauvre mec, s’il connaissais ma vie,bref, je dois reprendre pied dans cette triste réalité.

    Deux jours plus tard, Joëlle et Myriam viennent me voir, elles font partis de celles qui au travail ont une petite attention car, il ne faut pas trop m’approcher au cas ou le mal vivre pourrait s’attrapé hum!

    _Bonjour Morenne, comment vas-tu aujourd’hui?
    _Bonjour à vous, je vais au mieux, je sorts dans une semaine, donc c’est un signe n’est ce pas?
    _Tu en es sûre ? me demande Myriam avec cette voix douce que l’on prend pour parler à ceux qui sont hospitalisés à croire que nous devenons débile…

    _Je ne sais pas, le médecin est confiant alors…
    _Oh si lui te le conseille!
    _Oui hein!
    Phrase vide de sens, un soupçon d’incertitude,une difficulté à engager une conversation banale…le pied quoi!
    _Merci d’être passé les filles, vous êtes les seules et j’apprécie grandement.
    _Paul_Vincent n’est pas venu te voir? Peut-être qu’il ne sait pas que tu es réveiller!
    Ben voyons!

    _C’est possible, je le verrais plus tard, ce n’est pas trop grave.
    Elle me salue et passe la porte qui ne se referme pas et j’entends: »la pauvre elle ne s’est pas vue, sûr que Paul_Vincent va être plus que surpris.

    Je sonne mon infirmière qui souriante s’amène le sourire aux lèvres.
    Je l’attaque de suite: » je veux un miroir ».
    _Mademoiselle Frest, il est trop tôt pour cela, soyez patiente s’il vous plaît!

    _Patiente! Le seriez-vous à ma place?
    La colère inonde mon esprit. J’ai vécu tant de misère, reçu tant de coups du sorts, je vie sans vie, la nostalgie, l’angoisse, la peur du lendemain me tiennent la main. Je ne suis rien , rien que le vide et le néant, pour un instant de ma vie sans douleur, sans tristesse, sans mélancolie, sans l’angoisse de ce vide infini, je serais prête à donné la moitié de ma vie.

    Aussitôt la porte s’ouvre Paul_Vincent entre le sourire aux lèvres et là en un instant, son sourire se fane telle la rose qu’il tient fortement. Ses mots me font tombé si loin, si profondément que je ne sais à quoi me raccroché.
    _Non! Ah non! Pas ça, là…je ne pourrais pas, pardon. Il passe la porte, me laissant morte.

    De nouveau celle-ci s’ouvre à nouveau.

    _Bonjour jeune fille, alors on veut faire un pacte! Je suis prêt et vous?
    Bel homme, dent blanche, yeux noirs, cheveux blond comme les blés, il me sourit et mon mal-être s’enfuit…

    Bonjour la vie et tans pis pour le reste! Oh peste que je suis… Aujourd’hui, je ris, je souris à la vie, suis-je pour autant sauvé? Non, au contraire…Pourtant , je suis ravie.

    y.-l.
    sur une idée de P.Perrat.

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  • Je vis depuis longtemps dans ce charmant village ou, le temps s’écoule lentement sauf, les jours ou les vacanciers nous envahissent. Ils prennent d’assaut les pistes, faisant tout et n’importe quoi,ivre de liberté, plus d’interdit pour eux sauf, la vitesse, la joie, l’ivresse compte pour ces gens qui…frôlent parfois la mort. La montagne offre beaucoup mais, elle sait se montrer cruelle, les moniteurs de skis et autres personnels sont là pour mettre en garde ces férus de neige…écoutent ‘ils?

    Non, ce n’est pas eux qui vont tombés dans une crevasse ou encore déclencher une avalanche,non, ça c’est pour les débutants et pourtant…il n’y a pas que les autres qui subissent les écarts de conduites de ces gens imbus d’eux même. Les sauveteurs risquent leur vie, et là…ils laissent derrière eux femmes et enfants. C’est ça la réalité de la montagne, tout comme pour la mer …belle, paisible et d’un coup froide et mortelle. Ma petite station de sports d’hiver en a fait les frais bien trop souvent.

    Je clos mes volets, je ferme ma porte. C’est décidé à trente cinq ans, il est grand temps de partir car, plus rien ne me retiens ici. J’ai perdu mon tendre époux lors d’une de ces explosions que l’on entendait dans le fond de cette vallée incurvée. Mes parents étant à Lyon, je me disais que peut être là-bas, il y aurai de la place pour moi.

    Pourtant en écrivant à ma mère, je sus qu’il y aurait un problème. Je l’entendais déjà: » Ma chérie, les temps sont dur pour nous et nous ne pouvons te prendre avec nous. Ton père crois-le bien le déplore bien plus encore que moi, mais que veux-tu à nos âges! » Bref, je pensais connaître sa raison. J’envoyais quand même mon courrier et j’attendis ardemment la réponse.

    Réponse qui ne vint que deux semaines plus tard. Sous le pli assez épais, il y avait une lettre que je m’empressais d’ouvrir et de lire. Voici en quelques lignes les mots qui ont ouvert mon coeur en deux.
    « Madame, je ne suis que la voisine et si je me permets de vous écrire, c’est parce que votre lettre est arrivée chez moi. Vos parents sont décédés d’un accident de la route. Le chauffard a été appréhendé.

    Ma lettre ne vous apportera certes pas le réconfort que vous souhaitiez et je m’en vois désolée pour vous. Sachez que vos parents vous aimaient d’un grand amour. Le Notaire M. Fostilio de Lyon vous envoie ces documents à signer. Il se fera un plaisir de vous recevoir croyez-le bien. Mes mots vous feront sans doute souffrir, ne m’en veuillez pas. Madame Dubois Lerijeanne, Françoise.

    Comme de fait, cela me fendit le coeur en deux. Mon père passe encore mais…ma mère! L’oeil de mon oeil, la joie de ma triste vie. Elle s’en est aller sans savoir à quel point je l’aimais. Je fondis en larme et ces larmes furent pour moi une délivrance totale car, pour mon cher amour, je n’avais versé aucunes larmes.

    Voir et croire en l’avenir, c’est ce qu’il me reste.

    Malgré ce coup du sort, je partis pour l’étude du sieur Fostilio. Je devais comprendre ce qu’il s’était passé, voir s’il y avait des remboursements à effectués, les obsèques ne sont généralement pas gratuite, je voulais entendre le compte rendu de l’accident, j’en avais besoin.

    Deux jours passées dans un drôle d’établissement au fond d’une impasse, me fit regretter de mettre mise en danger, c’est ce que je ressentais au fond de moi. Heureusement, mon ange gardien veilla sur moi durant ces deux trois jours ou j’attendis M. Fostilio.Quand enfin je fus reçu par le soi-disant Maître Fostilio, Je perçus chez lui l’envie de m’escroquer qui me fit froid dans le dos. Bref, tout alla pourtant très bien. Il n’avait que l’apparence d’un truand.

    Devenais-je trop méfiante au risque de paraître sèche, impolie? Il m’expliqua qu’il n’avait que peu d’information, la police pourrait certainement m’en expliquer plus puisqu’ils avaient ( les policiers) les tenants et aboutissants de cette triste histoire. Lui, il ne pouvait que me donner des explications sur les comptes de mes parents.

    J’appris que les Pompes Funèbres ne me demanderaient rien puisque mes parents avaient un plan obsèques conséquent et que leurs directives en vue d’une inhumation était écrites en noir et blanc et déposé chez Notaire. Notaire qui me fixait et me rendait nerveuse. Le surplus, me serait versé plus tard. Quant aux autres comptes, il fallait attendre que tout soit en ordre pour que je puisse en jouir pleinement. J’appris que les deux comptes réunis, me permettrait de bien vivre sans travailler, J’en restais comme deux ronds de flan.

    Dire que mes parents étaient économes…c’est peu dire. Maître Fostilio m’apprit qu’en fait ils avaient gagner au loto une très grosse somme d’argent, qu’ils ne s’étaient pas emballés et avaient fait fructifié leur pécule si on peu le dire ainsi. Bref, mes parents ne me laissait pas sans le sous, c’était incroyable.

    Après d’autres petites explications et une autre prise de rendez-vous,

     

     

     

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