• Madame, monsieur, dans un premier courrier, je vous signalais que mon aspirateur robot s’était entiché d’une lampe de chevet et ne cessait de se…frottait contre celle-ci à chaque fois que mon majordome passait chaque matin mon Métalicat 2000 dans ma chambre.

     

     

    Comprenez bien que cela m’indispose énormément. Voyez vous-même par mes mots, faites vous une image…Corentin ( mon majordome depuis 10 ans) me fit la remarque suivante le lendemain de l’achat de ce Métalicat 2000.


    _Madame, j’ose espéré que ce soit une habille plaisanterie de la part de Madame! Si cela n’est pas le cas, je dois vous dire que cet appareil est défectueux.
    _Pourquoi donc Corentin?
    _Que Madame me pardonne par avance, mais pourriez-vous m’accompagnez, je dois montrer à Madame mon propos!
    _Certes Corentin certes…avouez tout de même que votre comportement n’inspire pas …comment dire …confiance!
    _Madame, mon propos et tous ce qu’il y a de plus correct.

     

    Madame me connaît bien, non!
    _Il est bien entendu que ma confiance vous est acquise Corentin. Soit, je vous suis.

    Et voila qu’il se positionne afin de mettre en mouvement ce fabuleux Métalicat 2000 dont mes chères amies m’ont ventés les mérites.


    Or chose fort étonnante, ce Métalicat s’est avec brusquerie dirigeait en traînant presque Corentin vers l’une de mes tables de chevet…certes elle est ancienne, elle possède un charme avenant mais quand même!



    De voir ce tas de feraille lui faire des comment dire…papouilles? mamours? gouzi-gouzi? bref vous décrire la chose n’est pas aisé.


    Puis mon étonnement fut encore plus grand quant enfin je réalisai que c’est avec cette lampe très très ancienne que ce Métalicat voulait…faire plus ample connaissance.

    Vous me direz que l’appareil a pu avoir un léger disfonctionnement du fait du transport.


    J’aurai pu y croire mais, de jour en jour, Corentin a bien du mal à se faire obéir ( le mot n’est pas trop fort) du Métalicat…il ne veut brossé, lustré, aspiré que l’endroit ou repose cette fichue lampe ancienne.

     

     

     

    Pour le contrer, Corentin eut la bonne idée de déplacé cette petite chose fragile ainsi la pièce pu être faite mais le lendemain, ce fut chose plus difficile à chaque fois que Corentin déplacé la petite chose, Métalicat grondait furieusement, toussait et il rejetait la poussière accumulée .

     

    Si vous voyez ma pauvre moquette blanche, c’est une pure horreur, je vous avise de la situation et vous invite à venir voir par vous-même cette étonnante, exécrable, incompréhensible et inavouable résultat.

    Je tiens a savoir si par un concours de circonstance étrange ,votre Métalicat ne serait pas un objet recyclé …puisqu’il possède tout autour de lui ce bois si précieux ( bois de rose dont est pourvu ma superbe lampe de chevet.

     


    Mon arrière, arrière grand-tante l’avait hérité de sa mère qui elle-même l’avait hérité de sa mère légèrement farfelue…)

    Elles étaient deux,par un malheureux hasard, l’une d’elle fut perdue. Depuis que je possède celle-ci, il m’est impossible de posé sur la table de chevet ne serais-ce qu’un vase.

     

    Pourtant cette lampe et ce depuis que Corentin passe Métalicat dans ma chambre,est de plus en plus belle, son bois de rose est de plus en plus rose, c’est impensable et pourtant vrai!


    Je vous pose donc la question et j’attends votre réponse. Avec mon respect le plus sincère. Madame de la Franchevilière?

    Réponse:

    Madame
    En effet l’appareil que l’on vous à livre par erreur, est défectueux et ce depuis le début.Vous me dites qu’il répond à votre lampe de chevet…vous m’en voyez ravi et vous recommande de le garder auprès de comment dire… sa moitié…

     


    Nous ne pouvons le reprendre et vous exprimons par cette présente nos meilleurs sentiments.
    Fabrique Ancienne et Nouvelle..Jacques Cal pour mieux vous servir.
    FAN @.fr.

    Retour de courriel de Madame.

    Monsieur suite à votre courriel, je tiens à vous préciser que Métalicat se trouve en ce moment même au grenier en compagnie de ma très chère lampe ancienne, ainsi Corentin ne souffre plus de affres de cet étrange appareil.


    Une étrange et fabuleuse histoire que celle-ci à je l’avoue attirer une foule immense…ainsi, je me trouve avec un beau bénéfice, mon domaine sera ainsi préservé.

    J’ai recommandé à mes amies vôtre entreprise et vous souhaite longue vie. Sincèrement, Madame de la Franchevilière.
    y.l
    Sur une idée de Pascal perrat.
    3 juillet, 2019.

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  • Lui donna la main pour traverser la vie et ne la lâcha plus. Une fois,pourtant…
    Je me souviens de ces jours ou jeune femme, j’étais assise derrière mes parents lorsqu’un fou du volant, nous percuta sur le côté.

    La voiture fit plusieurs tonneau et moi, je pensais stupidement que ma seule journée de plaisir, venait encore d’être gâchée. Je voyais le regard fou d’angoisse de ma mère, celui de peur intense de mon père puis… l’horreur total. Un bruit dément, un craquement,un embrasement puis…plus rien…le néant.

    Je m’éveille dans la douleur, je respire et le mal m’attaque de toute part. Un bip résonne, des pas précipités se font entendre. Une voix douce m’interpelle: »enfin Mademoiselle Frest vous voila de nouveau parmi nous, ne bougez pas je vais vous aider. »

    Quoi! Pourquoi dons ne puis-je bouger? Oh le retour de flamme me percute de plein fouet. Je croasse: » Mes parents? » L’infirmière se tend, elle me murmure
    _Le médecin va passer il vous expliquera tout, soyez forte mademoiselle Frest.

    C’est pas bon ça! Pourquoi ne pas me le dire vous?
    _ Ce n’est pas à moi de vous…
    Je hurle et mes larmes coulent et inondent mes joues. Une voix grave demande…_Eh bien quel est le problème ici? _Ah Docteur Gérardo , Mademoiselle Frest vient de se souvenir et elle ne va pas bien.

    C’est pas de le dire, pour sûr que je vais pas bien, c’est quoi ce cirque?
    _Mademoiselle Frest, cela fait presque un mois que vous êtes maintenue inconsciente, hier soir, nous avons décider de vous laissez reprendre contact avec la vie. Vous êtes jeune et toute la vie s’ouvre pour vous, ayez confiance, bon reposez-vous,je passerais ce soir.

    J’y crois pas, il me balance ça avec le sourire puis hop-là,il s’en va gaillard devant!Et de déblatérer que j’ai toute la vie pour moi! Pauvre mec, s’il connaissais ma vie,bref, je dois reprendre pied dans cette triste réalité.

    Deux jours plus tard, Joëlle et Myriam viennent me voir, elles font partis de celles qui au travail ont une petite attention car, il ne faut pas trop m’approcher au cas ou le mal vivre pourrait s’attrapé hum!

    _Bonjour Morenne, comment vas-tu aujourd’hui?
    _Bonjour à vous, je vais au mieux, je sorts dans une semaine, donc c’est un signe n’est ce pas?
    _Tu en es sûre ? me demande Myriam avec cette voix douce que l’on prend pour parler à ceux qui sont hospitalisés à croire que nous devenons débile…

    _Je ne sais pas, le médecin est confiant alors…
    _Oh si lui te le conseille!
    _Oui hein!
    Phrase vide de sens, un soupçon d’incertitude,une difficulté à engager une conversation banale…le pied quoi!
    _Merci d’être passé les filles, vous êtes les seules et j’apprécie grandement.
    _Paul_Vincent n’est pas venu te voir? Peut-être qu’il ne sait pas que tu es réveiller!
    Ben voyons!

    _C’est possible, je le verrais plus tard, ce n’est pas trop grave.
    Elle me salue et passe la porte qui ne se referme pas et j’entends: »la pauvre elle ne s’est pas vue, sûr que Paul_Vincent va être plus que surpris.

    Je sonne mon infirmière qui souriante s’amène le sourire aux lèvres.
    Je l’attaque de suite: » je veux un miroir ».
    _Mademoiselle Frest, il est trop tôt pour cela, soyez patiente s’il vous plaît!

    _Patiente! Le seriez-vous à ma place?
    La colère inonde mon esprit. J’ai vécu tant de misère, reçu tant de coups du sorts, je vie sans vie, la nostalgie, l’angoisse, la peur du lendemain me tiennent la main. Je ne suis rien , rien que le vide et le néant, pour un instant de ma vie sans douleur, sans tristesse, sans mélancolie, sans l’angoisse de ce vide infini, je serais prête à donné la moitié de ma vie.

    Aussitôt la porte s’ouvre Paul_Vincent entre le sourire aux lèvres et là en un instant, son sourire se fane telle la rose qu’il tient fortement. Ses mots me font tombé si loin, si profondément que je ne sais à quoi me raccroché.
    _Non! Ah non! Pas ça, là…je ne pourrais pas, pardon. Il passe la porte, me laissant morte.

    De nouveau celle-ci s’ouvre à nouveau.

    _Bonjour jeune fille, alors on veut faire un pacte! Je suis prêt et vous?
    Bel homme, dent blanche, yeux noirs, cheveux blond comme les blés, il me sourit et mon mal-être s’enfuit…

    Bonjour la vie et tans pis pour le reste! Oh peste que je suis… Aujourd’hui, je ris, je souris à la vie, suis-je pour autant sauvé? Non, au contraire…Pourtant , je suis ravie.

    y.-l.
    sur une idée de P.Perrat.

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  • Le Mensonge est 'il toujours nécessaire? Je vous réponds que pour moi, il l'est, c'est une nécessité. Je vous conte ici l'une de mes vies à vous de voir si...la nécessité se voit!
     
     
    Blod! Blod! Que se passe t'il donc , Blod? J'ouvre ma porte, je hume l'air frais de ce matin de mai.Mon chien un corniaud; belle gueule comme je l'appel gronde furax, le poil au-dessous de sa tête tout ébouriffé. Blod à sept ans. Il ressemble à un York qui aurait bouffé des tas et des tas d'anabolisants.
     
    Il est blanc de poil, un peu rugueux partout sauf sur la tête qu'il a très douce...des poils si fins qu'on pourrait dire des " cheveux" de bébé. Sa tête m'arrive au genou et pour l'heure, il n'est pas content du tout. Je le calme d'une caresse mais, il fait son têtue, il reste sur ses gardes.

     
    J'ai trouvé Blod accrocher à un pin ,sale,sec,babines retroussées,mousseuses à force d'aboyé. Depuis combien de temps était 'il là? Le seigneur seul le sait! La chance pour lui fut que malgré l'avis de mon médecin, je décidais d'allé faire un tour en forêt. Le temps était doux, pas de vent, le ciel était dégagé.


    C'était le bon moment et puis, je devais y aller. Mes pas me conduisirent vers le monolithe, j'en fit le tour, le prenant en photo. Un pâle rayon de soleil venant le couvrir, la photo sera belle. J'entendis l'appel. Etonné car peu de villageois possédaient un chien et, les vacanciers n'étaient pas encore arrivés.

    Dans une semaine, nous serons envahie ou presque par, des mines blanches, cherchant le calme du bord de mer et de promenades en forêt. Finis pour moi le coin du monolithe et finis la tranquillité...pas grave, j'en connaissais d'autres. L'appel se renforça malgré les ronces, je continuais d'avancé pour, découvrir cette pauvre bête amaigrie, les yeux fous, la bave moussante aux babines.

     
    Que c'est cruel de faire cela ( même moi , je ne ferai pas cela pour dire!). Le lien enserrant son cou, avait pénétré ses chairs. Des mouches le rendait dingue, me voyant, il remua un peu la queue ou plutôt son petit bout de queue. J'avance encore, je lui parle, il jappe, remue de plus en plus son bout de queue, il tremble, manque de tomber plusieurs fois tellement il se dandine.


    Je tends ma main, près à la retirer très vite, du moins j'espère que mes réflexes feront cela. Il gémit, lance un coup de langue sèche sur ma main. Dieu ,ce chien est en vie! On se demande comment! Il n'a pas de haine, il est tout amour, tremblant de joie de me voir m'implorant:" Ne me laisse pas tout seul, ne me quitte pas, je serais sage!"

     
    J'ai le coeur gros. Je le libère et tous fou, puant, il s'abat sur moi. Il n'a plus de force, il a tout donner en me voyant jouant son va-tout.
    Ses poumons se gonflent  mais encore un peu et sa vie se serait envolé avec, la dernière inspiration.

     
    J'ouvre ma bouteille d'eau, je laisse coulée un petit filet sur ses babines. Il les lèches. Après cinq minutes de ce petit jeu, je le prends dans mes bras et rapide, je fais demi-tour. Ma voiture n'est pas si loin que ça. Je le pose sur le siège passager. Il me suit de son regard de feu. Je monte à mon tour...


     
    Je démarre ma vieille Toyota toujours partante et direction le vétérinaire. Bon, je ne vais pas en ville. Je vais chez Loïc Granchard retraité. Il aime les animaux autant qu'il aime sa femme... c'est pour dire!
    Il est dans son jardin, c'est le moment de semer, de planter, de biner bref de jardiner.


    Me voyant charger, il s'empresse de venir à ma rencontre.
    _Ola petit que me ramènes-tu donc de beau?
    _Mon futur chien doc si, vous parvenez à le remettre d'aplomb!
    _Tu l'as trouver ou ce petit gars là? L'est mal en point dis donc!

     
     
    _J'étais au monolithe pour quelques photos, j'ai eu un appel doc, je l'ai suivi, mes pas m'ont conduits jusqu'à lui. Il souffre beaucoup, il est peut-être mourant, il pue, son cou est une plaie ouverte à vif suintante de pu...mais c'est un combattant, il m'a appelé alors doc...c'est pas pour s'en aller maintenant. Je lui ai donné quelques filets d'eau et, nous voici! Alors doc , vous allez le soigner? Je paie c'est sûr!
     
     
    _Bah! Bah, bah! Mon petit gardes tes sous , t'en as bien besoin. On va regarder ça. Comment il s'appel ce gaillard?
    _Blod, c'est comme ça que je vais l'appelé doc.
    _Blod hein! Allons donc pour Blod. T'en dis quoi toi?
    Fixant le regard de Blod, le doc rugit de rire, les larmes aux yeux, il finit par me dire:" Il est pas satisfait à cent pour cent mais, il l'accepte par amour pour toi, car tu es à présent son maître!"

     
    A pas presser le doc emmène mon Blod jusqu'à son garage qui lui sert pour moitié de rangement en tout genre et, pour l'autre moitié, d'une pièce d'auscultation pour animaux et, parfois pour humain. Un doc, c'est un doc. Blod me lance un drôle de regard.
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  • Infamie...     Fourberie. 
    Bonsoir Mademoiselle! 
    Je frémis, je ne l'ai pas entendu. Je ne sais de  quel côté il vient, c'est la première fois que ça m'arrive. Je dois me reprendre sinon ma vie sera courte. Quelle misère! 
     
    Bianca abuse vraiment, je crois que je vais lui dire quelle doit se trouver une autre poire. J'en ai ma claque. Chaque jour, chaque soir c'est la même  rengaine. Le carton rose sur mon Iphone m'indique que Bianca est avec un nouveau jule et que je ne dois pas rentrer. 
     
     
    Merde, qui est la propriétaire des lieux? 
     
    Rencontre:       
     
    J'ai rencontré Bianca Swalst    il y a trois ans et demi. Je finissais mon cursus, elle avait encore deux années à faire et de la volonté pour ça. Mon héritage en main, c'est à dire la vieille maison de mon oncle Alfred Fleuk plus, un pactole pas négligeable.
     
    Je me suis dis qu'un colocataire , ça   ne serait pas si bête! La maison est grande, à l'écart de la ville alors...avoir quelqu'un avec qui partageait le soir un repas et la fin de semaine n'être pas toute seule serait un bonus.

    Je laissais deux affiches  une à la cafet, l'autre sur le mur au bahut. Dans l'heure qui suivit, je reçu plus de sept appel pour visiter et connaître la maison et les fonctionnements de la vie. 
     
     
    Le premier était un jeune homme charmant avec un petit accent British Alec Blasq, vingt sept ans ...futur biologiste en recherche d'une chambre avec commodités et d'un partage de frais modérés.  Il me plut d’emblée. Mais, le loyer n'était pas conforme à ses recherches. Il visita quand même   , après tout me dit'il, s'il connaissait du monde qui cherchait ce genre de partenariat...il se ferait un plaisir de parler de moi. 
     
     
    Mais malgré le charme de la maison et du reste, il ne pouvait donner suite. Son pécule ne le  lui permettait pas  . Ah quel dommage! Je soupirais en espérant que celui ou celle qui avait rendez-vous serait à même de vivre avec moi. 
     
     
    Deux heures plus tard, je recevais Bianca Swalsy Vingt et un ans, blonde aux yeux entre le  gris et le bleu. Belle jeune femme qui le savait et semblait être sûre d'elle même  . Une combinaison qui me déplut fortement dès le départ. Pourtant, elle ne rechigna pas     face au prix demander ni au fait que je demandais trois mois de loyers d'avance. 
     
     
     
    Les trois derniers bulletins de salaires puisqu'elle m'avait dit qu'elle travaillait trois soirs par semaine et souvent le vendredi et le samedi soir. J'acceptais de faire avec elle un petit bout de chemin afin de voir si nos caractères seraient en osmose ou non/.y.l. à suivre.
     
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  • C'était un méchant lundi, le vent mordait les mollets, la bise cherchait qui griffer. Soudain , la ville fut prise d'un grand frisson, ses murs grelottèrent. Étonnamment je me sentis fière de ce jour. Complète s'il en fut. Mon retour se faisait avec le froid de l'hiver. Moi, moi la Dame de l'hiver j'étais enfin de retour. 
     
     
     
    Mon âme glaciale chantait...heureuse de vivre à nouveau. De loin je vis les arbres centenaires mis à nus, eux qui il y a peu encore, laissaient se balançaient leurs  feuilles, leurs filles fières virevoltants  au grès du vent d'automne. 
     Je ris, de ce rire qui  fait grincé des dents les grands.


    Emprisonnée depuis trop longtemps enfin libre, je pouvais de mon ire glaciale modifier ce qui m'entourait. J'inspirai de longues goulées puis de mon expiration je glaçais tout ce qui était vivant. 
     
     
     Le monde à nouveau m'appartenait ,  mes doigts glacés , modifiaient tout. Des cris, des pleurs, des murmures, des râles,puis...des hurlements, d'autres cris, d'autres râles mais point de murmure. 
     
    La glace! La neige! Ouais la neige est là! Maman, papa, venaient voir, c'est l'hiver et un beau.

    Il fait tous blanc dehors. Maman, papa, la luge ...vouisssss, 
    Au moins les petits eux ne m'oubliaient pas et leurs petits coeur s'emplissaient de joie quand moi la Dame de l'hiver je leur faisais le cadeau de fin d'année, un beau manteau tous blanc! y.l.
    une idée de Pascal Perrat.
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