• Les variations Diabelli.
    La dernière oeuvre importante de Beethoven pour le piano, sont les Variations Diabelli, commencées en 1819 terminées en 1823 sur commande de l'éditeur Diabelli.
    Il avait demandé à de célèbres compositeurs de l'époque d'écrire quelques variations sur une valse qu'il avait composée, Beethoven, dans un premier temps avait refusé l'offre, jugeant le motif de Diabelli extrêmement banal...mais ensuite, des difficultés économiques pressantes l'avaient convaincu à accepter.
    Il compose trente trois variations, surprenant par sa capacité à puiser des idées musicales infinies dans un matériel thématique aussi simple et fade.
    Dans les Variations Diabelli, Beethoven, a souvent recours au contrepoint, ainsi que dans ses derniers quatuors.
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  • Personne ne l'avait prévenu, seul, il se tenait seul,perdu devant l'immensité.L'invitation était pourtant bien réelle...alors ou était-elle? Il chercha, chercha jusqu'au soir et resta les bras ballant face à l'océan qui devint son miroir...quel homme incarnait-il face à cette immensité?


    Etait-il toujours ce fringant jeune homme qui plaisait tant aux femmes ou était-il devenu transparent? Le miroir de l'océan lui rendit espoir, beau,il l'était encore, droit et bien vert pour ses trente ans alors!!! que c'était-il passer entre l'envoie de cette invitation, le temps de la réflexion, puis...de renvoyer sa réponse positive.



    Quoi! il n'aurait pas
     attendre si longtemps? Pourquoi donc! Il l'attendrait jusqu'à demain puis...il reprendra le train qui, le ramènerait à Toulouse. Tant pis si elle ne venait pas. Un rêve, un rêve éveillé l'avait conduit à répondre à l'invitation de cette inconnue et puis...Il était encore là au petit matin alors que l'aube se levait et que l'océan mugissait, écumant ses vagues folles allaient et venaient lui léchant presque les pieds.




    Il soupira, encore une heure et après je parts... se promit-il. Il allait pour se tourner quand soudain son regard accrocha une douce lumière.
    Étonné et presque subjugué par l'apparition, il attendit le coeur battant la chamade.



    Elle était venue tout compte fais, elle était là à le toucher un sourire d'une grande douceur sur ses lèvres pleines...douce invitation aux baisers. Elle lui tendit la main, il s'y accrocha et ensemble,ils allèrent rejoindre le fond de l'océan. L'invitation du rêve  venait de se réalisé.



    Il revint plusieurs jours plus tard, étonné de se retrouver seul,abandonné sur cette belle plage. Il chercha longtemps, son rêve le tenait encore éveillé. Il se souvint des tendres moments passés avec sa belle mais...ou était-elle passé?



    Son rêve  le garda prisonnier de longs jours encore puis, par un triste matin, il s'éveilla seul, trempé, nauséeux, fiévreux. Il rentra chez lui à Toulouse et chercha à oublier. Un mois plus tard...une belle jeune femme sonna à sa porte. Il ouvrit...son rêve se tenait devant lui,elle lui remit une lettre et sans un mot, elle s'enfuie.



    Cette lettre,je la garde précieusement,j'ai atteint l'âge ou le temps n'a plus la même saveur,ou on prend justement le temps de
    savourer les rêves éveillés ou pas. Aujourd'hui j'ai quatre vingt dix ans et je retourne ce soir sur ma plage doré. Je le sais...
    l'invitation reste ouverte et je peux y répondre.y.
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  • A l'époque j'avais presque sept ans et comme à chaque fin d'année revenait pour moi l'étape cruelle des cadeaux reçus. L'année de mes six ans, j'étais encore avec toute la bande de mon village et, notre institutrice aimait dès la rentrée nous faire écrire un petit récapitulatif de ces festivités hivernale.



    A mon grand regret, mon père détestait tous ce qui a trait de près ou de loin à ces festivités et chaque année c'était la même rengaine.A mon époque tu crois qu'on avait de quoi ce payer tous ça braillait-il!



    Sûrement pas, j'allais traire les vaches,  je donnais du foin aux brebis, des épluchures au cochon et après je filais à l'école ou le maître me foutait une taloche pour être encore arriver en retard...alors le soir on mangeait la soupe et un quignon de pain rassis et au lit. Les fêtes...bast c'est pour les bourgeois,pour ceux qui ont des sous, pas pour les pauvres comme nous...demande rien, t'aura rien.



    Et c'est sur ça que j'allais souvent me coucher, le ventre plein certes, mais le coeur en déroute. Maman achetait le sapin et elle y mettait du coeur à le faire beau. Elle ouvrait sa fenêtre afin que certains passants puissent le voir et lui faire compliment, elle allumait les chandelles électriques pour faire voir que son sapin était éclairé...et les commères s'en donnaient à qui veux tu du sapin de la famille Lechard.



    Oui-da, mais s'ils savaient... On allait à la grande messe et tous se félicitait des joies à venir et on se quittait sur des embrassades et des bon voeux de repas en famille. Là encore de famille point! Mais pourtant on ventait le faite de prendre soin de la vieille tante Berthe couchée au fond de son lit avec une belle angine.




    De l'oncle Ferdinand et sa goutte qui, ne pouvait cette année encore venir festoyer avec nous...quelle triste fin d'année n'est ce pas? Quand à invité mes chers grands-parents...quelle idée saugrenue et la gifle retentissante que je reçu ce matin là, me cuisit durant toute la grande journée. Bref, vous voyez le tableau!



    Pourtant, il fallait bien dire que ledit père noël était passé Mmmm! Pour moi l'idée était toute trouvée et comme Mademoiselle Fierbrant ne me contredisait pas souvent, je me suis dit que cette dernière année avec elle serait identique et bien...non! Cette fois , lorsque nos pages d'écritures lui furent remis en main propre et que gentiment, fouillant dans le tas, elle en sortit trois pour les lires...je priais mon ange gardien pour qu'elle ne tombe pas sur ma
    traîtrise, ma forfaiture, mon mensonge.




    Flûte!!!_ Oh Marie-Solène quelle idée originale... veux-tu nous dire en quelques phrases ce que tes grands-parents t'ont offert ? Rougissante, d'embarras? Non, de honte, je baissais le front et d'un ton unis je fis mon récit.
    ( Y-L)
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  • Me voila bien, papa va bientôt se remarier et ma future-belle-mère, ne m'aime pas. Oh bien sûr devant papa et le peu de famille que nous avons à nos côtés...elle fait sa belle, me câline en enfonçant ses griffes dans mon dos et en minaudant sur ma chevelure de  miel doré qu'elle aurait aimer posséder elle aussi et papa qui sourit béatement en pensant que les larmes dans mes yeux sont des marques de tendresses.


    Le fou et je n'ai le droit de rien dire pourquoi? Mon père est gravement malade là, il reprend du poil de la bête et surmonte sa crise cardiaque avec une
    bonhomie que je n'aurai pas imaginer il y a peu.



    Martiella dit que c'est grâce à son immense amour ( en disant cela, elle laisse traîner les mots qui roulent dans sa gorge comme autant de cailloux sur la grève)  et papa acquiesce rougissant comme un petit garçon. Elle pose alors son regard de vipère sur moi et lentement derrière le dos de papa elle me susurre
    un"  Tu me vois là! je suis à ma place bien au chaud, toi...je vais t'envoyé à  Duremonde et tu y restera".



    Papa se tourne vers elle et lui demande ce que veux dire ces messe basse. Souriant de plus belle elle l'embrasse avec tendresse et me souriant
    dit: " Oh ce ne sont que
    connivence entre filles mon trésor une mise au poing qui ne peut attendre et d'ailleurs ; elle sait que c'est pour son bien, n'est ce pas Calista?

     

    _ Puisque tu le dis et que papa est d'accord avec toi que veux tu que je réponde!
    _ Un peu de tenue Calista tu parles à ta mère.
    Je manque de m'étouffer à ma mère! non mais je rêve là, papa débloque de plus en plus, jamais ça non, jamais elle ne sera ma mère. Ma mère, ma tendresse elle s'en est aller il y a presque trois ans maintenant,pourtant mon coeur saigne toujours alors si le fait de les laisser tous les deux peut m'apaiser je signe.



    Mais pas question de laisser planer un doute.
    _ Ma mère! j'espère que tu plaisante papa, jamais elle n'aura cette place dans mon coeur et un jour tu comprendras ce que je te dis. Je signe pour Duremonde plus vite je parts...plus vite j'aurai la paix; mais hors de question de venir à votre mariage ça...c'est sans moi .
    et sur ces paroles incendiaires je parts sans un regard en arrière.




    Je suis futée alors, je me planque derrière le gros sofa bleu nuit que Martiella adore et j'écoute.
    _ Ecoutes moi Oscar, c'est pour son bien et le nôtre aussi d'ailleurs, tu as vu ses notes n'est ce pas! Penses-tu que cela soit raisonnable de la laisser avec toute cette liberté...les horaires du lycée lui laisse tant de temps libre que c'en est horripilant.



    Que fait-elle lorsque le dernier cours fini il lui reste deux bonnes heures avant de prendre le car pour rentrer ici, tu le sais toi?

    _ Non, je n'ai jamais penser que Clarissa me trompait  alors, je lui laisse sa liberté, j'ai confiance en elle...elle ne m'a jamais déçu.
    _ Oui mon amour, je te comprends mais là, nous allons partir pour un bon mois elle sera livrée à elle même et je t'avoue que j'ai un peu peur.





    Certaines de ses fréquentations ne sont pas fiables et c'est peu dire. Te souviens tu de cette gothique toute de noire vêtue, ongles et yeux sombre breuuuh j'en ai eut des cauchemars un bon moment. Puis, il y a eu ce Stevens, beau garçon mais langage ordurier et très ,très collant non? Mon père se mit à rire et une quinte de toux l'arrêta.
    _ Là, là, tu vois tu t'inquiètes et après tu es souffrant, je te le dis Oscar, nous devons prendre une bonne décision en ce qui concerne notre fille.




    Oh la vache, elle a taper juste là, notre fille, ça ça va plaire à mon père. Bingo!
    _ Tu as raison mamour, oui, tu as raison. Tiens donnes moi ces papiers que je signe ainsi, nous serons plus serein. Et voila...mon propre père vient lâchement de m'abandonner. Je suis mortifier, mon coeur part en lambeau et mes larmes coulent en abondances. J'ai envie de hurlée et la sorcière jubile.




    Elle chantonne en passant juste à côté de moi sans se douter que j'ai tout entendu. Le téléphone sonne et crispée j'écoute.
    _ Oui! Oh c'est toi, que veux-tu donc? Non, pas encore...mais, bientôt là...il me fait assez confiance pour envoyer sa petite peste à Duremonde ...j'aurai bientôt les coudées franches et il me donnera les clefs de toutes ses portes et même celle du coffre, patiente encore un peu trésor et nous aurons la belle vie.




    Oui, oui moi aussi,  que veux -tu, il est encore vert et je dois tu comprends! Mais non voyons...tu le sais bien il n'y a que toi dans ma vie et dans mon coeur. Oh Jakson ne dis donc pas de telles sottises. Six mois, pas plus et après...je serais une veuve éplorée, si triste que le pauvre homme soit partie si vite et considérablement abasourdie de savoir que tous ses biens me revienne en propre. Oh pauvre petite, si jeune et orpheline sans un sous.

     

    Bon... tu as compris trésor! oui! bien alors laisses-moi travailler, je t'aime Jakson. et elle raccrocha toute heureuse.  J'éteignis mon portable et, j'attendis qu'elle regagne le grand salon. Elle sifflota  et j'entendis ses pas s'éloigner puis soudain un grand bruit. Je courus voir ce qui se passait et je trouvais mon père debout, le téléphone à la main qui fixait Martiella du haut de son mètre quatre vingt cinq.




    _ Tu vas me faire le plaisir de déguerpir et ce rapidement, je ne veux pas t'entendre, je ne veux plus te voir. Dès que possible j'enverrais tes effets chez ta mère, retourne vers ton Jakson, il est follement impatient. J'aurai dû écouter ma fille, j'ai été stupide..
    ._ Ecoutes Oscar..._
    La ferme, tu prends tes cliques et tes claques et tu dégages de chez moi. J'en ai souper de tes
    niaiseries. Horrifiée par sa propre bourde, elle passa devant moi et son sourire de façade ne me trompa pas.




    J'avais gagnée sans avoir fait souffrir mon père contrairement à elle. Là, j'étais aux anges et l'espoir grandissait de nouveau en moi.
    Clarissa mon petit.
    _ Oui papa! _
    Tu me pardonnes?
    _ Me jetant dans ses bras je ne pus que pleurer en me serrant fortement contre lui, et lui me serra doucement contre son coeur qui faisait " boum, boum, boum" quel beau bruit.



    Noël serait beau cette année car...nous allions le passer chez grand-mère Nathy à L-A.
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  • Je l'ai trouvé juste sous le grand sapin, j'étais très étonné de le voir là, ce n'est pourtant pas la saison! Alors...je l'ai emporté , caché sous mon grand manteau de laine chiné, je l'ai emporté pensant sans malice que je pourrais l'aider!

    Arrivé chez grand mamie, j'ai vite grimper l'escalier et sous mon doux
    oreiller je l'ai déposé...Grand mamie m'appelant j'ai un peu sursauté, c'était ma découverte et je ne voulais pas la partagé pourtant me dis-je...grand mamie en connais des choses et peut-être qu'elle pourrait m'aider...


    Grand mamie m'attendait en bas des escaliers son regard se posa sur mes chaussures toutes crottées... mince, j'ai oublié de les enlevées. _ Pardon grand mamie, je l'ai pas fait exprès, mais j'avais quelque chose de très important à mettre dans ma chambre et j'en ai oublié mes souliers...


    Ses yeux d'un gris vert semblaient lire en moi comme un grand livre ouvert et pourtant me souriant et branlant de la tête elle me dit dans un doux sourire. _ trésor cela ne marchera pas...il est trop tard pour cela, mais si tu veux quand même tenter l'aventure...il faut que tu lui fasse un vrai nid bien chaud.


    Va voir lapinou et glisse ton gros oeuf dans sa paille et dans trois semaines...peut-être ton oeuf aura éclot et là tu sauras ce que c'est! Oh Grand mamie que d'idée tu avais et moi j'y ai crue et cela a fonctionner. De mon bel oeuf tout
    tacheté est né par un froid jour de novembre un oisillon tout moche sans plumes et ben...je sais pas ce que c'est...


    Grand mamie m'a promis de le garder et de faire en sorte qu'il grossisse bien, je suis rentrer chez moi et j'ai attendue, j'ai attendue puis...maman me souriant me dit:" Tania, Grand mamie vient cette année, elle passera avec nous les fêtes de fin d'année. J'étais folle de joie et il m'a fallut attendre encore deux longues semaines avant de voir ma Grand mamie.

    Quelle surprise quand elle me tendit une cage ou à l'intérieur on entendit un creeekk creeekk. Qu'est ce que c'est maman demanda ma maman à sa maman? Une belle surprise pour Tania. En effet mon oeuf n'était autre qu'une pie, une belle pie noire et blanche que ravie j'appelais du nom de fany et fany vécue avec nous plusieurs années puis lasse elle s'envola pour aller à son tour faire un beau nid et savez-vous ou?


    Chez Grand mamie pardi...Fany me reconnais lorsque les vacances venues je retourne chez ma mamie et elle est fière de me présentés ses deux petits très farouches qu'importe elle est heureuse...alors moi aussi.
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